fraternité SacercCotaCe Saint-Tie X

Trieuré Saint-Jrénée OctoBre 2012 ' 273 Saint Jean :

JSTous avons cru à fa cfiarité

C arotte empoisonnée
Alors que la vie du Prieuré redémarre dans toutes la paix, mais plutôt créer les conditions de confusions et
les activités que nous proposons durant l'année scolaire, de dissensions. La carotte était empoisonnée, car sous
il est indéniable que la Tradition a passé un cap difficile des apparences d'accueil bienveillant il y a eu, entre
ces derniers mois. autres, la demande d'acceptation de Vatican II et de ses
L'ouverture des discussions avec la Rome ac- faux principes (liberté religieuse, faux œcuménisme,
tuelle a été l'occasion de faire entendre toutes nos gra- collégialité, nouvelle messe...). Logiquement, notre
ves réserves et objections concernant Vatican II en rup- Supérieur Général a refusé de signer l'inacceptable le
ture patente avec la Tradition multiséculaire de l'Église. 3 juin, mais nous ne pouvons qu'être refroidis de cette
Cinquante ans après l'événement, il aurait ruse qui a visé à essayer de diviser la Fra-
pu être temps d'essayer de tirer un bilan, ternité, si elle n'abandonnait pas.
hors de la louange béate et volontariste, Il n'est pas exagéré de noter cela,
style « bienheureux les invités à la fête ». puisque nous y reconnaissons la politique
La Fraternité a pu mettre en valeur que si constante du Vatican vis-à-vis de la Tradi-
la fête prend des tournures d'enterrement tion, depuis les sacres de 1988, avec la
au flonflon, c'est que les données du dépôt création des communautés ralliées à cha-
de la foi n'ont pas été respectées, que les que occasion propice (FSSP, le Barroux,
erreurs précédemment condamnées par le Campos,... ou récemment l'IBP). Par ail-
Magistère ont été resservies clairement ou leurs, en proposant de traiter d'un côté avec
insidieusement sur toute l'étendue des tex- notre Supérieur Général et séparément avec
tes. Après deux années de discussions, les les trois autres évêques de la Fraternité,
choses demeurent en l'état, aboutissant au celui-ci manifestait à qui veut le voir, son
constat d'un désaccord, puisque les textes désir d'un éclatement de la Fraternité, alors
de Vatican II sont inconciliables avec la qu'elle approchait des 600 membres prêtres
doctrine pérenne de l'Église. Donc on ne peut garder (100 de plus en quatre ans). Heureusement, grâce à
la Tradition et Vatican II ensemble, c'est l'un ou l'autre. Dieu, ce nouvel essai de division n'a pas été suivi de
Néanmoins le Vatican a proposé à la Fraternité succès, même si notre vaillante société en a été secouée.
une « régularisation pratique », un statut canonique, sa- Cette carotte immangeable était doublée d'un
chant que l'on ne peut valablement condamner celui qui bâton par derrière. La personne qui vous ouvre les bras
défend ce que l'Église a toujours fermement soutenu, et et qui en même temps se propose de vous étrangler si
repousse ce que l'autorité compétente a déclaré comme vous n'approchez pas, n'est pas un ami au sens propre !
faux, erroné... Laissant entrevoir une issue qui aurait C'est dire, il me semble que tant que le Vatican n'osera
permis une situation plus honorable et « assise » à la pas parler en bien publiquement de la Tradition, des
Fraternité Saint Pie X, des négociations confidentielles documents du Magistère qui ont condamné les erreurs
ont été lancées. toujours renaissantes des hérésies passées, et remettre
En réalité il ne s'agit que d'un leurre, car la Rome en cause la doctrine biaisée contenue dans les docu-
actuelle - malgré l'absence d'autorité normale de ments de Vatican II, on assistera à ces contorsions qui
Vatican II, les erreurs manifestes, les formulations am- ne visent pas au bien et à l'expansion de la Tradition
biguës, les fruits avariés et les déclarations d'ouverture - dans l'Église. On pourrait espérer aussi que le Pape ac-
ne s'est pas montrée disposée à remettre un tant soit peu tuel qui n'a pas hésité ajustement critiquer la Nouvelle
en cause, Vatican II et ses suites. Au contraire, comme messe, célèbre publiquement et habituellement la Messe
par le passé, elle n'a eu de cesse de rajouter des condi- de toujours. Ces temps ne sont pas arrivés. Prions et
tions illégitimes et inacceptables. En paraissant suivre continuons à travailler pour que les conditions favora-
ces demandes, notre Supérieur Général et ses assistants, bles à une vraie restauration voient le jour, si possible
n'ont que mieux mis en relief le manque de loyauté de avant qu'il ne soit très tard.
ces autorités. Car formuler des exigences dont on
connaît le refus public de l'autre, ce n'est pas chercher
Le Prieur, Abbé François-Xavier Camper
E n l'Eglise
Après les succès^ Véchec : Vusine Notre-Dame des Anges de Rustrel (Vaucluse)
1 Pauline-Marie Jaricot va tenter de résoudre le problème ouvrier : Lyon
est au cœur de Tessor industriel et le libéralisme économique y fait des ravages.
Les émeutes des Canuts (ouvriers en soierie) de 1831 et 1834^^^ sont sanglantes
et on se bat au cri de « vivre en travaillant ou mourir en combattant ».
Leur situation est tragique : dix-sept heures de travail quotidien avec un salaire
de misère, des logements insalubres, aucune protection sociale. Pauline mûrit un
vaste projet pour « rendre à l'ouvrier sa dignité d'homme en l'arrachant à l'escla-
vage d'un travail sans relâche ; sa dignité de père en lui faisant goûter les dou-
ceurs et les charmes de la famille ; sa dignité de chrétien en lui procurant avec
les joies du foyer domestique, les consolations et les espérances de la religion ».
Dans le même temps, Casimir Perrier (1777-1832) ministre de Louis-
Philippe (1830-1848) leur proposait comme remède la patience et la résignation !
Pauline s'appuie sur ses succès, ses relations, ses revenus, ses réflexions et
Pauline sur son lit de mort immense charité pour mettre sur pied son programme : elle achète une usine
des hauts-fourneaux, Notre-Dame des Anges (1845) : complexe industriel où
« les ouvriers vertueux pourraient en famille jouir des avantages d'un travail rétribué ».
« Ce fut pour moi comme le regard d'Eve sur la pomme fatale. »
Les hommes de confiance chargés de l'achat se révélèrent escrocs : tout l'argent engagé a été dilapidé. Pau-
line y a englouti sa fortune, et en plus il faut rembourser à ceux qui lui avaient prêté de l'argent : l'usine de Rus-
trel est vendue à vil prix le 12 mai 1852 et le 26 février 1853 le curé de Saint-Just fait inscrire Mademoiselle Jari-
cot au nombre des indigents.
« Le mystère qui enveloppe mes affaires est celui de la croix. »
Alors commence un long calvaire : Pauline pense surtout à ces humbles ouvriers qui lui ont prêté et qu'elle
ne peut rembourser.
Usée, malade (cœur), humiliée, la fière Lyonnaise part quêter dans toute la France tandis qu'une amie fi-
dèle, Julia Maurin, sillonne l'Europe pour collecter des fonds.
De toutes parts on vient à son aide : Pie IX (1846-1878), le cardinal Newman (1801-1890), le roi de Prusse
Frédéric-Guillaume IV (1848-1861), le Père Julien Eymard et même un évêque de Mandchourie !
Les collectes de la Propagation de la Foi vont diminuer^^l Pauline ne se laisse pas abattre mais tout échoue :
un péage dans sa propriété de Lorette permet de gagner plus rapidement la chapelle de Fourvière et fournit des
subsides. Echec : la Commission de Fourvière s'y oppose. Dix ans de lutte entre Pauline et la Commission com-
mencent.
« Ceux qui me contrarient. Seigneur, croient bien faire et ainsi ne vous offensent pas. »
Peu avant la mort de sa tante, Ernest Jaricot (fils du frère aîné de Pauline, Paul) promet d'éteindre toutes les
dettes : il tombe gravement malade. Pauline meurt, c'est lui qui remboursera les créanciers mais Pauline ne le sau-
ra pas en ce matin du 9 janvier 1862 quand elle rend son âme à son divin Maître.
Ainsi s'accomplit la justice de Dieu : Pauline a consommé son "martyr" et les créanciers ont été payés.
Pauline-Marie Jaricot s'est trouvé au cœur des grands combats sociaux du XIX^ siècle : au moment où elle
envisage son usine modèle, Frédéric Ozanam (1813-1853/^^ crée la Société Saint Vincent de Paul, Marx (1818-
1883) publie le « Manifeste du Parti communiste » (1848) et Proudhon (1809-1865)^^^ écrit « Solution au pro-
blème social ».
Pauline voit se répandre les erreurs du socialisme, les méfaits du capitalisme libéral et met en pratique la
doctrine sociale chrétienne telle qu'elle sera élaborée par le comte de Chambord (1821-1883) dans sa « Lettre aux
ouvriers » puis par le pape Léon XIII (1878-1903) dans rencycHque Rerum Novarum (1891).
Autres périls : le naturalisme, le libéralisme condamnés par ses amis, les papes Grégoire XVI et Pie IX.
Alors elle proteste de son attachement à l'Eglise dans la dernière circulaire du Rosaire Vivant (octobre 1861) :
« ma plus grande consolation est d'avoir toujours été soumise à la Sainte Eglise catholique, apostolique et ro-
maine acceptant tout ce qu'elle enseigne, et rejetant sans examen tout ce qu'elle condamne... »
C'est donc tout naturellement que le pape Léon XIII ayant lu la première biographie^^^ de Pauline-Marie
Jaricot déclare que « sa mémoire est, à plus d'un titre, une bénédiction dans l'Eglise ».

: En 1834 la maison de Lorette est prise entre les feux des insurgés et de l'armée, elle est touchée par des obus et Pauline et ses amies se
réfugient dans un souterrain pendant trois jours tout en gardant précieusement le Tabernacle.
: Les donateurs de la Propagation de la Foi étaient aussi le plus souvent les Associés du Rosaire Vivant.
: Frédéric Ozanam s'est marié à Lyon, à l'église Saint Nizier (plaque commémorative).
^"^^ : Proudhon - révolutionnaire et théoricien socialiste - est installé sur les bords de la Saône, quai Saint Vincent (à l'époque quai Sainte
Marie des chaînes).
: écrite par Julia Maurin en 1879 : « Souvenirs dune amie ». suivre)
L a méditation
Amour de Jésus-Christ dans Vinstitution de VEucharistie
« Le comble de l'amour est de livrer sa vie pour nations ; mais ici nous voyons le contraire. Le Père éter-
ceux que l'on aime. » C'est de vous que vous parliez, ô nel remet entre les mains de son Fils le vase de sa miséri-
Jésus, en tenant ce langage : pour me donner votre vie corde pour être répandu sur toutes les nations de la terre.
dans l'Eucharistie vous avez abandonné votre sacrement En nous parlant de son sang adorable. Il nous dit comme
aux profanations des méchants, et vous ne parvenez jus- à ses apôtres : « Buvez-en tous, et vous y trouverez la
qu'à moi qu'à travers les irrévérences et les dérisions. rémission de vos péchés et la vie étemelle. » O bonheur
C'est au moment où vos ennemis vous préparent une ineffable !... O heureuse source ! »
couronne d'épines, des clous et une croix, que vous me « Quand Jésus-Christ opéra ce grand miracle » de
préparez un calice de bénédictions, un pain céleste : oh ! la consécration, « Il leva les yeux au ciel et rendit grâces
que par là vous me dites éloquemment la force de votre à son Père, nous faisant voir ainsi combien ce moment
amour ! Faites que j'en sois tout embrasé pendant cette heureux pour nous était désiré par Lui. Oui, mes enfants,
méditation. sembla dire alors ce divin Sauveur, mon sang est impa-
Trois choses font éclater l'amour de Jésus pour tient de se répandre pour vous ; mon corps brûle du désir
nous dans l'institution de l'Eucharistie : d'être déchiré pour guérir vos plaies ; la pensée de mes
I. Les mépris auxquels II s'expose. souffrances et de ma mort me comble de plaisir ; c'est
« Avant d'instituer ce sacrement d'amour, Il sa- que vous y trouverez un remède à tous vos maux. Oh !
vait très bien à combien de mépris, de profanations II quel amour que celui d'un Dieu pour ses créatures ! »
allait s'exposer. » O mon Sauveur, que ne restez-vous au Exemple
ciel après que vous y serez remonté ! Là du moins « les L'eucharistie était le centre vers lequel conver-
anges vous y aimeront d'un amour pur et parfait » ; mais geaient toutes les pensées, toutes les affections de M.
dans l'Eucharistie, les juifs vous perceront encore de Vianney : il employait, pour en parler, un langage naïf,
clous, les mauvais chrétiens vous recevront indignement, plein de poésie que l'amour seul peut trouver et qui ne
« les uns sans contrition, les autres sans désir de se corri- s'effaçait plus de la mémoire ni du cœur quand une fois
ger, d'autres peut-être avec le crime dans le cœur » ! - Il on l'avait entendu : pour lui, l'Eucharistie, c'était le Maî-
le sait, « mais tout cela n'est pas capable de l'arrêter ; Il tre adoré qui, avant tout autre, avait droit à ses homma-
veut que son corps, son âme et sa divinité se trouvent ges.
dans tous les lieux du monde, et qu'avec Lui nous trou- « J'avais une dizaine d'années, écrivait un ecclé-
vions toutes sortes de bonheur ». Il veut être notre vie à siastique peu après la mort du Saint ; c'était en 1820. On
ses propres dépens ; Il veut être notre adoration, notre nous exerçait, dans la cour du collège de Meximieux où
action de grâces, notre prière, notre propitiation. je faisais mes études, à jeter des fleurs pour la procession
IL Le jour où II institue ce sacrement : de la Fête-Dieu, lorsque je vis approcher un prêtre d'un
« Quelle charité que celle de Jésus-Christ, de choi- extérieur très simple, très pauvre et très humble. Un de
sir, pour instituer l'Eucharistie, la veille du jour où l'on mes camarades nous dit : « c'est le curé d'Ars ; c'est un
doit le faire mourir ! En ce moment tout Jérusalem est en saint... Il ne vit que de pommes de terre cuites à l'eau. »
feu, toute la populace en fureur, tous conspirent sa perte, Je le regardai avec étonnement. Comme on lui adressa
et c'est précisément dans ce moment qu'il leur prépare le quelques paroles polies, il s'arrêta un instant, et souriant
gage le plus ineffable de son amour. Les hommes trament avec bonté : « mes amis, dit-il, quand vous jetterez des
les plus noirs complots contre Lui, et Lui n'est occupé fleurs devant le Saint-Sacrement, cachez vos cœurs dans
qu'à leur donner ce qu'il a de plus précieux. On ne pense vos corbeilles, et envoyez-les, au milieu des roses, à
qu'à Lui élever une croix infâme pour le faire mourir, et Jésus-Christ. » Puis, sans faire aucune visite, il traversa la
Lui ne pense qu'à élever un autel pour s'immoler chaque cour et se rendit à la chapelle de l'établissement pour
jour pour nous. On se prépare à verser son sang, et Jésus- saluer dans son tabemacle le Maître de la maison. J'ai
Christ veut que ce même sang soit pour nous un breuvage oublié à peu près tous les noms des condisciples que j'a-
d'immortalité pour la consolation et le bonheur de nos vais alors, et presque tout ce qui se passait sous mes
âmes. Oui, nous pouvons le dire, Jésus-Christ nous a ai- yeux ; mais le nom de ce prêtre, sa visite au Saint-
més jusqu'à épuiser les richesses de son amour ». Sacrement, les paroles de mon camarade ne sont jamais
IIL Certaines circonstances mêmes de Finstitu- sorties de mon esprit. J'étais surtout frappé (car j'étais
tion : fort gourmand) de la pensée de l'homme ne vivant que de
« Il choisit pour instituer l'Eucharistie, du pain et pommes de terre. Je comprenais, sans m'en rendre
du vin, nourriture de tout le monde, des riches comme des compte, qu'il y avait là-dessous quelque chose de rare et
pauvres, de celui qui est fort comme de celui qui est lan- de prodigieux. »
guissant, pour nous montrer que cette nourriture céleste O Saint Curé d'Ars, priez pour nous et obtenez-
est pour tous les chrétiens », petits et grands, sujets et nous la grâce de réparer par un généreux amour les outra-
rois : venez à moi, vous tous qui souffrez, personne n'est ges que Jésus reçoit au Saint-Sacrement.
exclu du festin que je vous ai préparé.
Il consacre le vin dans un calice. « Nous lisons en
saint Jean que cet apôtre vit un ange à qui le Père étemel Abbé H. Convert, Méditations Eucharistiques,
remettait le vase de sa fureur pour le verser sur toutes les 3^ extrait des écrits du saint Curé d'Ars
L a vie spirituelle
Parents et Patrie
Comme promis, les vertus sociales capteront les parents et la patrie : les parents de qui nous sommes
notre attention dans ce nouveau cycle de la "vie spiri- nés et par qui nous avons été élevés ; la patrie en qui
tuelle" afin d'allumer dans les âmes le désir de la per- s'incarne le milieu social dans lequel nos parents ont
fection ; mettant en pratique les conseils et lumières pu vivre et nous-mêmes venir au monde. Le quatrième
que ces vertus donneront sur la cohérence de la Reli- commandement de Dieu fait un devoir à tout homme
gion catholique, nous garderons l'équilibre et l'enthou- d'honorer parents et patrie. En veillant à la vénération
siasme chrétien. Sursum corda. Hauts les cœurs ! des enfants pour leurs parents, rallumons également
La première des vertus sociales est la Piété, sou- dans les foyers l'amour de la patrie. C'est l'un des sou-
vent oubliée et aujourd'hui très défigurée. Pourtant elle cis fondamentaux de notre école Saint Jean Bosco de
n'est pas sans importance puisque Dieu, en rappelant Marlieux (01) qui, à travers toutes les activités veut
aux Hébreux les fondements de la simple loi naturelle, rendre à la jeunesse la vertu de Piété.
place cette vertu en quatrième position dans les com- Le devoir d'honorer concrètement ses pa-
mandements : « Tu rents reste encore
honoreras ton père et aujourd'hui, plus
ta mère, si tu veux évident que celui
prolonger tes jours d'honorer sa patrie
dans le pays que parce qu'elle sem-
Dieu te donne » (Ex. ble une entité éthé-
20,12). Après trois rée. Mais une vertu
premiers commande- sociale comme la
ments portant sur les Piété ne peut pas
liens de l'homme ordonner des actes
avec son Créateur, envers une idée in-
Dieu lui rappelle ses déterminée ! La pa-
liens avec ceux par trie, comme les pa-
lesquels et dans la- rents, sont des per-
quelle il a reçu la vie sonnes qui ont for-
et l'éducation, à sa- mé et construisent
La ferme, Marie Leszczynska : « J e t'aime ô ma Patrie
voir ses parents et sa encore l'histoire et
patrie. Alors que la vertu de Religion ordonne les rela- la culture intellectuelle du peuple dans lequel nous
tions à Dieu qui est au-dessus de toute société, la vertu sommes nés et duquel nous avons reçu des mœurs par-
de Piété perfectionne les rapports fondamentaux pour ticulières, le secours d'institutions qui ont aidé nos pa-
toute société humaine, ceux envers la famille et envers rents à nous élever. C'est un "patrimoine" que normale-
la patrie. Le terme de « piété » qui signifie l'attention ment, chacun est fier de recueillir de ceux qui l'ont éla-
dans la prière et la dévotion au sens large, n'est donc boré, pour le conserver et le transmettre à ceux qui sui-
pas l'objet de cette étude, même si son emploi n'a rien vront. L'"amour de la patrie" se modèle sur la piété
de faux ni de trompeur, puisqu'il caractérise une atti- filiale qui, sans s'arrêter aux défauts des parents, leur
tude de l'âme chrétienne qui, à l'intérieur de la vertu de accorde cependant la prédilection en raison de leur
Religion, s'adresse à son Père des Cieux. proximité et en reconnaissance de leurs bienfaits. Il est
L'amour et le soutien que tout homme doit mani- normal d'aimer son pays simplement parce que c'est
fester à ses parents et sa patrie sont l'objet de la vertu "sa Patrie", le ciel qui nous a vu naître, le sol qui nous a
de Piété, qui se prolonge dans la vertu de Respect que nourrit, l'héritage que nos parents et nos grands-parents
nous analyserons ensuite. ont amélioré par leurs travaux et souvent défendu de
Pour comprendre le bel ordre qui commande à la leur sang.
nature et qui règne entre ces différentes vertus, il faut Bien sûr, il faut se garder de confondre la patrie
les replacer sous la lumière de la vertu cardinale de avec le chef qui la gouverne, avec l'un quelconque de
Justice qui fait rendre à chacun ce qui lui est dû. La ses régimes politiques ou avec une idéologie.
Religion, la Piété et le Respect sont des filles de la Jus- « Tu honoreras ton père et ta mère, tes aïeux, ta
tice, et cherchent pour cela à rendre autant qu'elles patrie »... ce sont tous des personnes qui, mortes ou
peuvent à ceux qui ont donné l'essentiel à l'homme : la vivantes, réclament la manifestation de notre révérence
Religion veut répondre au don de l'existence et de la et de notre amour par l'exercice de la vertu de Piété.
vie surnaturelle, et la Piété au don de la vie et de l'édu-
cation.
Il faut remettre à l'honneur la vertu de
I Piété pour l'équilibre de la société notamment. Abbé Sébastien Gabard
Au principe de l'être humain, après Dieu, il y a
 n l'honneur de Marie
o virginité,
s'écrie Gerson, vous
avez été élevée si
haut, que vous êtes
devenue la Mère de
Dieu selon la chair, et
vous engendrez encore
spirituellement quand
la vertu de Dieu sur-
vient en vous et fait
que la très-pure partie
de l'âme ne peut être
corrompue, mais
qu'elle est rendue, par
cette vertu de Dieu,
féconde en bonnes
pensées et en déli-
cieux amour. Cette partie de l'âme est l'esprit. Et ainsi vous
enfantez, vous embrassez et vous tenez dans vos bras
l'Enfant Jésus, à l'exemple de l'auguste Vierge, notre invio-
lable Souveraine, qui le portait et l'embrassait si tendrement
et avec tant d'amour. O virginité, sainte et belle fleur de la
sainte Eglise ! O abeille qui produisez le miel de la dévo-
tion ! O la plus belle fleur du plus blanc lis, on ne peut assez
vous louer, à cause de votre dignité, ni assez vous exhorter
et vous conseiller de veiller sur vous, à cause de la fragilité
du vase dans lequel vous êtes. Et en effet, si Dieu ne gardait
cette vertu par une grâce spéciale, nul ne pourrait la conser-
ver ; mais il la conserve en ceux qui, dans un cœur bon et
intègre, implorent son secours, faisant ce qu'ils peuvent en
s'humiliant, en se mortifiant, en fuyant les dangers.
La virginité est la gloire de l'Eglise chrétienne, dit
Bossuet. Cette vertu était réservée au christianisme. Aussi
est-ce la seule religion où la perpétuelle virginité a été à
l'honneur, où elle a été consacrée à Dieu, où l'on a souffert
toutes sortes de persécutions et la mort même plutôt que de
consentir à un mariage humain. Jésus-Christ s'est déclaré
l'époux des vierges ; c'est Lui qui a fait connaître au monde
ces eunuques spirituels autrefois, prédits par les prophètes
(Is. 56, 3-4-5 ; Mt 19,12), mais qui n'ont paru que dans la
religion chrétienne, et a inspiré à son Apôtre que la sainte
virginité est la seule qui peut consacrer parfaitement à Dieu
un cœur incapable de se partager (1 Co 7,32-33-34-35). Fils
d'une Vierge, vierge Lui-même ; qui a pris pour son précur-
seur Jean-Baptiste, vierge, et pour son disciple bien-aimé
saint Jean, vierge aussi selon la tradition chrétienne ; dont
les apôtres, qui ont tout quitté, ont quitté principalement
leurs femmes (ceux qui en avaient) pour le suivre ; toujours
par conséquent dans la compagnie et, pour ainsi dire, entre
les mains de la continence : d'où il ne faut pas s'étonner si,
comme la foi, la sainte virginité a eu ses martyrs. Aussi les
persécuteurs mêmes ont reconnu la pudeur des vierges chré-
tiennes. On les voyait, dit saint Ambroise, affronter les sup-
plices et craindre les regards ; au milieu des tourments et
livrées aux bêtes farouches et à des taureaux furieux qui les
jetaient en l'air, soigneuses de la pudeur méprisant les tour-
ments et la vie, et n'ayant, pour ainsi parler, que le front
tendre dans un corps de fer ; martyrs de celui qui est tout
ensemble Fils de Dieu et Fils d'une Vierge.
La virginité chrétienne n'est pas stérile ; elle enfante
Jésus-Christ dans les âmes par l'apostolat de la foi ; elle le
Excellence de la virginité
fait vivre dans les corps mêmes par celui de la charité. Nos
vierges chrétiennes sont les sœurs, les mères de tous les
membres souffrant de Jésus-Christ, plus mères souvent que
celles de la nature ; elles continuent l'office de la maternité
divine. La maternité chrétienne, de son côté, n'est pas
moins virginale par la grâce du sacrement de mariage, qui
lui en fait accomplir les fins, sans préjudice moral de la
sainte intégrité, et qui lui en fait enfanter et cultiver les
fruits pour le ciel ; elle continue l'office divin de l'angéli-
que virginité de Marie. Il y a ainsi de Marie dans toutes les
femmes.
La virginité, qui est le comble de l'intégrité, dit en-
core Auguste Nicolas, {Marie Type de la femme, livre 3,
chap. 7) n'avait pas eu d'expression parfaite avant Marie.
Ne parlons pas des vestales. Outre qu'on pouvait à peine en
réunir sept, saint Ambroise a très bien caractérisé leur virgi-
nité : c'était une virginité à gage, temporaire et pleine d'or-
gueil : trois caractères qui sont incompatibles avec la vraie
virginité, dont le propre est d'être aimée par elle-même,
d'être entière dans sa durée comme dans tous ses autres
caractères, et d'être voilée de modestie et d'humilité.
La bienheureuse et immaculée Vierge, mère, modèle
et sœur des vierges, a enfanté une noble et grande famille,
la famille des vierges de Jésus-Christ.
Jésus-Christ est né d'une Vierge, dit saint Grégoire.
O vous, femmes, pratiquez la virginité, honorez-la, afin que
vous soyez mères de Jésus-Christ.
Saint Augustin assure que la joie, le bonheur, le
contentement, la paix sont les enfants de la virginité. La
virginité, dit-il, n'a pas d'enfants selon la chair ; mais, à la
place de ces enfants, elle enfante les joies du cœur, de l'âme
et de l'esprit. Seigneur, la continence n'est jamais stérile,
mais elle est féconde en joie et en allégresse par vous qui
êtes son époux, ô Seigneur !
Une triple couronne est due aux vierges : la couronne
de la virginité, la couronne nuptiale de leur divin mariage
avec Dieu, la couronne des athlètes. Une quatrième cou-
ronne leur est due : c'est celle du martyre, et d'un long mar-
tyre.
Les familles selon la chair disparaissent, meurent : la
famille des vierges vivra éternellement.
Le titre de Vierge des vierges, que Marie porte, fait
dire à saint Jean Damascène qu'elle est une plante très fer-
tile de virginité, et que par elle la beauté de cette angélique
vertu s'étend dans tout le monde. Saint Jérôme écrivant à
sainte Eustochie, lui dit que depuis le temps qu'une Vierge
a enfanté le Roi des vierges, qui porte sur ses épaules les
marques de la principauté, le don de la virginité a été libéra-
lement accordé au monde, spécialement au sexe féminin, et
que le Fils de la Vierge a choisi ici-bas une suite d'anges
incamés, comme là-haut il en avait déjà une d'anges céles-
tes. C'est Marie, dit saint Ambroise, qui reçoit les vierges à
la sortie de cette vie pour les présenter à leur céleste Epoux,
et qui entonne des cantiques d'allégresse lorsqu'elles sont
introduites au cabinet du Prince de gloire. C'est Marie qui
plante les lis partout et qui les fait croître dans les monastè-
res, dans les maisons particulières, dans les villes et les
campagnes.
Abbé Barbier, La Sainte Vierge, T. 2 p.280 à 283
 Horaires des Messes
Lyon
Prieuré Saint-Irénée
Dimanches et fêtes :
8h30 : Messe basse
lOhSO : Messe chantée
IShSO : Messe basse
En semaine :
IShOO: Chapelet
18h30 : Messe basse
Messes supplémentaires, se
renseigner
Valence
Chapelle de la Mère de Dieu
Place de l'église
(portail vert en face du n° 5)
26300 Bourg de Péage
09 50 38 69 89 (Lyon)
Dim. et fêtes : 1 IhOO
Bourgoin-Jallieu
Eglise Saint-Barthélemy
Chamont
38890 Saint-Chef
09 50 38 69 89 (Lyon)
Dim. et fêtes : 8h00
Bombes
Ecole Saint-Jean Bosco
La Ville
01240 Marlieux
04 74 42 86 00
Dim. et fêtes: 10h30
Chapelle du Sacré-Cœur
155, route du Grobon
01400 Châtillon/Chalaronne
04 74 42 86 00 (Marlieux)
Dim. et fêtes : 8h30
j vin, à Ambérieux. Le soleil a agréablement accompagné les assistants arrivés plus
Beaujolais
Couvent Saint-François
Morgon
69910 Villié-Morgon
Dim. : lOhOOet 18h00
Eglise Saint-Cyr
Ambérieux d'Azergues
69480 Anse
04 74 67 08 20
Dim. et fêtes : lOhOO
Monts du Lyonnais
Ecole de La Péraudière
69770 Montrottier
04 74 70 13 26
Dim. (année scolaire) : UhOO
Prieuré Saint-Irénée
56, rue d'Inkermann - 69006 LYON
Tel : 09 50 38 69 89 - Fax : 04 72 75 00 79
Abbé Camper: 06 62 13 67 21
Abbé Gabard : 09 50 38 69 89
lyon.fsspx@free.fr
L*Mgk de Lyon
IPNS - 500 exemplaires
L a vie au Prieuré
Carnet paroissial :
Baptême : Jeanne Brugère, le 8 septembre a Lyon (10* enfant de Monsieur
et Madame Jérôme Brugère). g|
Samedi l^'^ septembre : arrivée du Père Athénagoras qui vient passer un mois.
Dimanche 2 : Monsieur l'abbé Etienne de Blois honore le Prieuré par la célébration
d'une première messe solennelle à l'issue de laquelle il distribue ses premières béné-
dictions. Jour de fête qui se prolonge jusqu'à 14h00 autour de l'apéritif sur le parvis de
la chapelle.
Du lundi 3 au vendredi 7 : Monsieur l'abbé Gabard suit sa retraite annuelle à Ecône
avec 50 autres prêtres guidés par Monseigneur lissier de Mallerais.
Samedi 8 : à 8h30 la chapelle*de la Mère de Dieu à Bourg-de-Péage est en efferves-
cence pour son pèlerinage à Notre-Dame de l'Osier. Après la messe chantée de la Nati-
vité de Marie, les pèlerins se retrouvent à Vinay et dans une atmosphère très recueillie
montent vers Celle qui a fait saigner un Osier en 1649 pour convertir un protestant et
rappeler aux catholiques que l'on ne doit pas faire de jardinage le dimanche ! Les ani-
mateurs du sanctuaire sont très accueillants.
Du lundi 11 au vendredi 21 : Monsieur l'abbé Camper met ses pas dans ceux de No-
tre-Seigneur à l'occasion d'un pèlerinage en Terre Sainte organisé par les R.P. Leca-
reux et Jean-Noël de Mérigny. L'abbé a pu célébrer la messe à Tabgha (multiplication
du pain et des poissons), au mont Carmel, dans la chapelle "Dominus flevit" (où Jésus
pleura sur Jérusalem) et dans la chapelle des Croisés au Saint Sépulcre. « Jérusalem,
Jérusalem convertis-toi au Seigneur ton Dieu ».
Samedi 15 : l'école de La Péraudière fait sa rentrée scolaire avec 44 élèves. Elle ne
peut pas prendre un élève de plus pour l'instant.
Dimanche 16 : l'école Saint Jean Bosco de Marlieux reçoit l'abbé de Cacqueray pour
l'inauguration des nouveaux bâtiments qui doublent la superficie des locaux de l'école.
Les abbés J. Laguérie et Frament, ainsi que le R. Père Antoine capucin, se joignent à la
fête.
Du mercredi 19 au samedi 22 : l'abbé Gabard est hospitalisé pour une appendicite. Il
laisse le gouvernement aux abbés de Marlieux qu'il remercie chaleureusement ainsi
que tous les fidèles qui ont prié pour son rétablissement. L'abbé a maintenant 15 jours
de convalescence.
Samedi 22 : le pèlerinage d'Ars est chaque année une rentrée pour les Lyonnais, mais
trop peu de pèlerins ont assisté à la messe solennelle célébrée par Monsieur l'abbé Boi-
I nombreux, jusqu'à la Basilique, en
présence du Père Laurent de Morgon,
des abbé Chauvet, de Blois de Mar-
lieux et de notre Prieur arrivé à
temps.
Venez à Lourdes
du 26 au 29 octobre
Avec le car du Prieuré
200€ en chambre double
-Renseignement :
M^"^ Guiot Desvarennes
Tel : 04 78 29 39 85
CONFERENCES Portable : 07 77 70 33 45
. L'esprit missionnaire.
par Monseigneur lissier de Mallerais
L'abbé Camper
. L'origine de la dévotion mariale à
Lyon. accompagne le pèlerinage.
par Monsieur l'Abbé Callier
. t ' œ o v r e de la Fropagatlon de la Foi
et le développement des missions ad Avec l'association Pascendi
gentes au XfX° siècle.
300€ : chambre double
par Monsieur Jean Saignol
. Pauline-Marie Jaricot et la question
sociale.
Renseignement :
par Monsieur Hugues Petit M. et Mme Giordanengo
. Les amitiés de Pauline-Marie Jaricot
par Monsieur l'Abbé Laguérie Tel : 02 54 34 63 03
. Pauline-Marie Jaricot et te Rosaire
S'inscrire rapidement.
Vivant
par !e R.RAngeNco op.
 Intention du mois cCoctoBre
L'JAigCe voCti^eur
Annonces mensuelles
La consécration de la Russie au Cœur Immaculée de Marie. du Prieuré Saint-Irénée
O C T O B R E 2012
A noter. LUNDI 1 Saint R é m y , (3^ cl)
Evêque de Reims et Apôtre des Francs
Pendant le mois d'octobre, dédié à la Vierge Marie, office du Rosaire le soir P7h45 : Office du Rosaire
18h30: Messe
J e u d i s : au Prieuré à 2oh30, réunion du Cercle des Foyers Chrétiens. MARDI Les saints Anges Gardiens (S' cl)
17h45 : Office du Rosaire
Samedi 6 : Visite aux Martyrs de Lyon.
£ 0 Mardi Q : au Prieuré à 2ohi5, catéchisme pour adultes (abbé Camper)
18h30: Messe basse 1
MERCREDI 3 Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, (2" cl)
Vendredi 12 : à iShso, messe de requiem pour les fidèles du Prieuré. Vierge, Patronne secondaire de la France et Patronne des Missions
à 2ohoo : Réunion de rentrée du Cercle de l'Immaculée. 18h00 : Chapelet
£ 0 Mardi 16 : au Prieuré, à i ç h s o : Cercle des Adolescents. 18h30: Messe basse
£ 0 Jeudi 18 : au Prieuré à 2oh30 : Conférence-reportage de M. l'abbé JEUDI 4 Saint François d'Assise (3' cl)
Camper : « La Terre Sainte ». 17h45 : Office du Rosaire
Vendredi I Q et Samedi 20 : Récollection des prêtres du Doyenné de Lyon.
£ 0 Samedi 20 et Dimanche 21 : Pèlerinage des 16-30 ans à Notre Dame de la VENDREDI
18h30: Messe basse
De la férié (4" cl) Mémoire de Saint Placide et ses compagnons, martyrs
I
1^' vendredi du mois
Salette, (cf. affiche au Prieuré.) organisé par le Cercle de l'Immaculée. confessions de IlhOO à 18h00 : abbé Camper
Dimanche 21 : A la sortie des messes, quête pour les missions. 18h00 : Chapelet ^
Jeudi 2fs : au Prieuré à içhis, messe chantée par les étudiants. 18h30 : Messe basse
^ du vendredi 26 au lundi 2 Q : Pèlerinage du Christ-Roi à Lourdes. 19hl5 : Exposition du Saint-
Dimanche 28 : à l'issue des messes, quête pour les prêtres. Sacrement jusqu'à 22h00.
BP S a m e d i 1^^ décembre : à Lyon, au Palais de la Mutualité Colloque SAMEDI Saint Bruno, Confesseur (3'' cl)
Mariai «Pauline-Marie Jaricot», Les riches heures du rosaire vivant. r'' samedi du mois
confessions de IJhOO à 18h00 : abbé Camper
Jubilé 1862-2012. Renseignements et inscriptions au Prieuré Saint Irénée. IThOO : Rosaire
18h30: Messe basse
DIMANCHE 7 Solennité de Notre Dame du Saint Rosaire (2' cl)
19* dimanche après Pentecôte
confessions de 8hl5 à 9hl5 : Abbé Camper
confessions pendant la messe de lOhJO : Abbé de Blois
« Seigneur, donnez-nous des saints, eux seuls purifient, Pas de confessions pendant la messe de 18h30
réjouissent et consolent la terre. » Pauline Jaricot. 8h30 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
lOhOO : Chapelet 18h30 : Messe basse
10h30 : Messe chantée
LUNDI Sainte Brigitte de Suède, Veuve (3" cl)
Mémoire des Saints Serge et ses Compagnons, martyrs.
1 lhl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
18h30 : Messe basse
Prieuré Saint-Irénée MARDI Saint Jean Léonardi, Confesseur (3^ cl)
56, rue d'Inkermann - 69006 LYON Mémoire des Saints Denis, Evêque de Paris. Rustique et Eleuthère, martyrs
Tel : 09 50 38 69 89 - Fax : 04 72 75 00 79 - lyon.fsspx@free.fr 7hl5 : Messe basse _ I ' 7 h 4 5 : Office du Rosaire
L'JAigCe voCtigeur - tiré à 400 exemplaires - IPNS mmmmmi^^ . Messe basse
MERCREDI 10 Saint François Borgia, Confesseur (S"" cl) DIMANCHE 21 IV dimanche après Pentecôte (2' cl) Dimanche des Missions
7hl5 : Messe basse 18hOO : Chapelet confessions de 8hl5 à 9hl5 : Abbé Gabard
18h30 : Messe basse confessions pendant la messe de lOhJO : Abbé de Blois
JEUDI 11 Maternité de la Très Sainte Vierge (2' cl) confessions pendant la messe de 18h30 : abbé Camper
7hl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire 8h30 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire

VENDREDI 12 de la férié c/;

7hl 5 : Messe basse
18h30 : Messe basse

17h45 : Office du Rosaire

LUNDI
1 OhOO : Chapelet
10h30 : Messe chantée ....•.......^^
22 de la férié c/;
18h30 : Messe basse
I
1 lhl5 : Messe basse ^ gg^-
18h30 : Messe de requiem pour les
fidèles défunts du Prieuré 18h30: Messe basse
SAMEDI 13 Saint Edouard, Roi d'Angleterre, Confesseur cl) MARDI 23 Saint Antoine-Marie Claret Evêque et Confesseur (3' cl)
Anniversaire du grand miracle solaire à Fatima
7hl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
confessions de 17h00 à 18h00 : abbé Camper 18h30: Messe basse
1 IhOO : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire MERCREDI 24 Dédicace de la Cathédrale Saint Jean (1' cl)
18h30 : Messe basse 7hl5 : Messe basse ^ ^ ^ ^ 18h00 : Chapelet
DIMANCHE 14 20'dimanche après Pentecôte c/j % WÊÊÊÊÊ 18h30: Messe basse
JEUDI 25 de la férié (4' cl)
confessions de 8hl5 à 9hl5 : abbé Camper
Mémoire des Saints Chrysanthe et Darie, Martyrs
confessions pendant la messe de lOhSO : abbé Chauvet
17h45 : Office du Rosaire [
confessions pendant la messe de 18h30 : abbé Gabard 18h30 : Messe basse
8h30 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire 19hl5 : Messe chantée par les ,
lOhOO : Chapelet 18h30 : Messe basse étudiants
10h30 : Messe chantée VENDREDI 26 de la férié (4" cl) Mémoire de Saint Evariste, Pape et martyr
LUNDI 15 Sainte Thérèse d'Avila, Vierge (3' cl) 7hl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
llhl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire . 18h30: Messe basse
18h30 : Messe basse
SAMEDI 27 De la Sainte vierge au Samedi (4' cl) en certains lieux Notre-Dame des Victoires
MARDI 16 Sainte Hedwige, Veuve (S"" cl) En certains lieuxApparition de St Michel au Mont Tombe
D é d i c a c e de la Basilique du Mont Saint Michel Confessions de 17h00 à 18h00 : abbé Gabard
7hl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire 17h45 : Office du Rosaû-e

MERCREDI
18h30 : Messe basse
17 Sainte Marguerite Marie Alacoque, Vierge (3' cl)
I 18h30 : Messe basse
D I M A N C H E 28 Fête de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Roi (l'cl)
7hl5 : Messe basse ^ ^ ^ ^ 18h00 : Chapelet IT dimanche après Pentecôte
'WÊÊÊÊÊ l^h^O : Messe basse Confessions de 8h00 à 8h20 : Abbé Claret
JEUDI 18 Saint Luc, Evangéliste c/; Confessions pendant la messe de lOhSO : abbé Gabard
7hl5 : Messe b a ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ 17h45 : Office du Rosaire Pas de confessions pendant la messe de I8h30.
I I I I I H I H M H É l^b^ • Messe basse 8h30 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
VENDREDI 19 Saint Pierre d'Alcantara, Confesseur (3' cl) lOhOO : Chapelet 18h30: Messe basse
7hl5 : Messe basse Récollection Doyenné. 10h30 : Messe chantée
LUNDI 29 de la férié (4" cl)
SAMEDI 20 Saint Jean de Kenty, confesseur (3' cl)
17h45 : Office du R
confessions de 17h00 à I8h00 : Abbé Camper
18h30 : Messe basse
17h45 : Office du Rosaire MARDI 30 de la férié (4" cl)
18h30 : Messe basse
7hl5 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
18h30: Messe basse
MERCREDI 31 de la férié (4' cl)
1^15 : Messe basse 17h45 : Office du Rosaire
18h30: Messe basse