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Berthier Camille

1°ESA

Construction de la fiche de lecture en première ES

Etape I :

*Cécile Brousse : administratrice de l’INSEE


*Jean-Marie Firdion : sociologue, chercheur associé au centre Maurice-Halbachs du CNRS
*Maryse Marspat : statisticienne, sociologue, chercheuse associée au centre Maurice-Halbachs et à l’Ined,
administratrice à l’INSEE.

* Les sans-domicile

• Editeur : La découverte
• Collection : Repères
• Nombres de pages : 118
• Année d’édition : 2008

• ISBN : 978-2-7071-5310-4

Etape 2 :

1. mots clefs : sans-domicile, SDF, sans domicile fixe, sans-abri, « clochard », « vagabond ».
2. Je pense que mon livre se réfère au programme de terminale, dans le chapitre « lien social et
intégration », en effet, ce livre s’interroge sur le fait social, la division sociale, mais aussi sur la
solidarité (centres d’accueil etc. …). Il parle aussi de la cohésion sociale, de l’exclusion sociale, et
économique. A travers ce livre on remarque que les sans domiciles sont exclus au niveau du travail, des
logements … Cependant, je ne pense pas que les individus soient influencés par la démarche de
Durkheim, car, ils ne sont pas prédestinés à être SDF, ils ne sont pas déterminés dès la naissance, ce
sont d’autres facteurs (divorce, célibat, perte du travail …), qui les poussent à malheureusement se
retrouver dans la rue.

Je pense que ce livre est un enrichissement, en particulier au niveau des tableaux de statistiques, en effet ce
livre est très riche en tableaux, on peux en trouver aux pages : 21, 27, 33, 35, 36, 40, 42, 51, 56, 63, 64, 69, 93,
97 et 101. Cependant, je ne pense pas qu’il fasse référence à un cours de 1ère. C’est un thème plutôt rébarbatif.

Etape 3

1. L’auteur s’interroge sur la problématique suivante : « Qui sont ces « sans domiciles, ainsi apparus dans la
presse et constitués en objets politiques publiques et de recherche dans un contexte particulier ? »
L’auteur va y répondre, en développant 5 chapitres, constitués eux-mêmes de statistiques, d’annotations,
d’exemples, ou mêmes de témoignages.
Il va donc tout d’abord développer un premier chapitre sur la situation historique qui fait émerger la catégorie
des sans domicile et aux façons dont elle se construit, puis dans un deuxième chapitre il va décrire les
caractéristiques socio économiques qui peuvent les distinguer et éventuellement les différencier des autres
personnes à bas revenus ou mal logés.
Ensuite dans un troisième chapitre, il va parler des politiques publiques et des aides aux sans domicile, il va
aussi parler des modes de survies des personnes exclus du logement, vivant dans des abris de fortunes.
Le chapitre 4 développe les conditions de la survie des SDF, et de l’organisation de leurs vies quotidiennes. Et
enfin, le chapitre 5, présente les parcours qui conduisent à cette situation et permettent d’en sortir.
2. Les auteurs essaient de définir la catégorie des sans domiciles. Pour les uns, c’est uniquement ceux, qui
passent la nuit dans des lieux provisoires, pour d’autres cette catégorie englobe les mal logés, personnes vivant
dans des locaux dégradés, insalubres, devant faire face à la promiscuité, tout en étant obligé de payer un loyer,
souvent prohibitif par rapport à l’emploi précaire qu’ils occupent. La deuxième partie consiste à définir les
caractéristiques des sans domiciles, hommes, femmes, seul, en couple, jeune, âgé, étrangers, revenus perçus,
état de santé … Certaines études accordent une grande importance aux liens sociaux et familiaux dans
l’explication du phénomène. A l’opposé, des économistes anglo-saxons ont mis l’accent sur le déséquilibre
entre distribution des revenus et des logements. Les facteurs macroéconomiques seraient plus importants que
les éléments d’ordres familiaux, cela permettrait alors un ajustement entre l’offre et la demande des logements.
La troisième partie concerne les politiques d’aide aux sans domiciles (associations et institutions publiques).
Les auteurs révèlent qu’en France ces structures sont très hétérogènes ce qui rend l’aide complexe. Or,
l’exemple suédois peut être critiqué lui aussi puisque comme le montre Ingrid Salhin le dispositif d’escalier
suédois insiste plus sur le caractère individuel de la situation des sans domiciles que sur la réelle pénurie de
logements. La quatrième partie rend compte des conditions de vie dans la rue y sont développées, les stratégies
de vie quotidienne, l’accès au droit sociaux, les moyens de se protéger physiquement et psychologiquement, le
maintien des liens sociaux par toute forme d’emplois même précaires.
Enfin, la cinquième et dernière partie contient plus de statistiques sur l’historique des sans domiciles et
également leur parcours résidentiel. En effet, quelques travaux d’ethnologues ont abordé ce sujet.

3. L’auteur en conclut que les sans domicile n’ont pas bénéficié des mêmes chances au départ et qu’ils
restent marqués par une faible qualification, un moindre réseau social et une santé souvent médiocre.
Dès lors le profil des sans domicile est le produit à la fois de leur histoire familiale et professionnelle et
des contraintes qui régulent l’accès aux diverses formes de logement.
Finalement les difficultés des sans domiciles ne peuvent pas se régler par l’augmentation des places
d’hébergement ou par une ouverture plus large des centres grâce à ces conditions d’accès moins restrictives.
De plus la population étudiée est située au bout de la chaîne (formation initiale réduite, ressources limitées …)
et donc destinée a subir en première ligne les effets des tensions sur les marchés du travail et du logement ainsi
que ceux sur la précarisation croissante des emplois.
Donc, on voit mieux l’ensemble des processus que les sans domicile déploient, non seulement en affectant les
conditions matérielles (vivre dans des abris de fortune par exemple) de la vie des personnes concernées, mais
aussi en mettant en péril l’image qu’elles ont d’elles-mêmes.

Etape 4

1.Je pense que dans le fond ce livre est intéressant, car il y a une certaine diversité des analyses présentées
permettant d’opérer une synthèse, il y a une richesse des constats, de nombreuses données chiffrées, et de
nombreux tableaux statistiques qui sont ici très intéressants pour le lecteur. De temps en temps le vocabulaire
employé est un peu difficile pour des élèves de première : par exemple page 46 : « De leur côté, les approches
en termes d’ajustements macroéconomique et de niveau de revenus sont loin d’épuiser la question de savoir
pourquoi certaines caractéristiques sociodémographiques sont plus fréquentes parmi les populations sans
logement. »
Dans chaque chapitre il y a des annotations (encadrés), et même très rarement on peut avoir des témoignages
de Sans domicile.

2. Je trouve que dans la forme de ce livre, le développement est un peu long, et puis l’ouvrage n’est pas
vraiment un livre de référence, je ne pourrai pas vraiment me resservir des données statistiques et des
définitions que j’ai apprises dans ce livre, je ne pourrai pas les réutiliser dans un devoir ou dans le
cours. Je pense juste que c’est un thème d’actualité, car le nombre de sans domicile est
malheureusement en hausse depuis quelques années et parce que de plus en plus de personnes ont des
difficultés à se loger à cause de la hausse des prix du logement.

3. J’aurai aimé trouvé plus de témoignages de sans domicile, pour vraiment réaliser leurs conditions de vies …

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