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Histoire

Identifier:

Bismarck(1815-1898), est d'abord chancelier Prussien. Il est un homme prudent et décidé. Il va


armer la Prusse et va pousser l'Autriche, qu'il cherche à exclure de l'Allemagne, à la guerre (Affaire
des duchés). Il sera vainqueur à la bataille de Sadowa le 3 juillet 1866. Ensuite, il rassemble les
États du nord et du centre de l'Allemagne dans la Confédération de l'Allemagne du Nord placée
sous la tutelle de la Prusse. Pour faire rentrer l'Allemagne du Sud dans la Confédération, Bismarck
entraîne ensuite les États allemands dans une guerre contre la France Il deviendra alors Chancelier
du IIe Reich et président du Conseil de Prusse, détenant le pouvoir, s'attache à renforcer l'Empire
tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. En désaccord avec l'empereur Guillaume IIBismarck doit se retirer.

Clemenceau (1841-1929),fut un homme politique français, président du Conseil de 1906 à 1909 et


de 1917 à 1920, il joue un rôle déterminant à la tête de la France durant la Première Guerre
mondiale (il nomme Foch maréchal de France et place le commandement allié entre ses mains)et
durant les négociations du traité de Versailles (en 1919, il prend position, contre Lloyd George et
Wilson, pour le désarmement de l’Allemagne, l’occupation d’une partie de son territoire et de
lourdes réparations) dont il a été l’un des grands artisans.

Foch (1851-1929) fut général puis maréchal français, il contribua à la victoire de la bataille de la
Marne, en septembre 1914, à la tête de la IXe armée. Il fut nommé Maréchal de France,
commandant des armées alliées sur le front de l'Ouest pendant la fin de la guerre. Il mit un terme à
l'offensive de la Somme en avril 1918 (voir Somme, bataille de la), mena avec succès la seconde
bataille de la Marne (juillet 1918) et lança l'offensive générale Alliée. Foch signa l'armistice le
11 novembre 1918.

François-Ferdinand de Habsbourg (1863-1914) était archiduc d'Autriche, fils de l'archiduc


Charles-Louis et neveu de l'empereur François-Joseph Ier ; son assassinat, par un nationaliste Serbe,
fut l'une des causes directes de la déclaration de la Première Guerre mondiale.

François-Joseph Ier (1830-1916) fut empereur d’Autriche (1848-1916) et roi de Hongrie (1867-
1916) et le dernier monarque important de la dynastie des Habsbourg. Il attaqua la Serbie suite à
l'assassinat de son héritier, ce qui déclencha une réaction en chaine causant la première guerre
mondiale.

Guillaume Ier (1797-1888) fut roi de Prusse (1861-1888), empereur d'Allemagne (1871-1888) Il
engagea une grande réforme visant à renforcer l'armée et appela Otto von Bismarck à la tête du
gouvernement (1862) . Après la réunion, en 1871, des États allemands du Sud aux États du Nord, il
fut proclamé empereur au château de Versailles, alors que son armée assiégeait la ville de Paris.

Guillaume II (1859-1941), fut empereur d'Allemagne et roi de Prusse (1888-1918), dont la


politique contribua au déclenchement de la Première Guerre mondiale: Il participa de manière
significative et souvent décisive à la formulation de la politique intérieure et étrangère, mais il était
impulsif et versatile ce qui, en plus de son programme d'armement et de la triple alliance, amena la
France et l'Angleterre à se méfier de l'Allemagne.

Lloyd George(1863-1945)était un homme politique britannique et l'une des figures majeures de la


vie politique britannique durant la Première Guerre mondiale. Au début de la Première Guerre
mondiale, Lloyd George, ministre des Munitions puis Secrétaire d'État à la Guerre, s'efforça de
mobiliser l'ensemble des forces dans le conflit. Il participa à la constitution d'un commandement
allié unifié, sous les ordres de Foch. Il siégea à la Conférence de la paix et contribua à définir les
grandes lignes du traité de Versailles.

Helmuth Karl Bernhard, comte von Moltke (1800-1891) fut un un militaire prussien puis allemand.
l fut général en chef lors des guerres des duchés, contre l'Autriche (Bataille de Sadowa) et contre la
France (Bataille de Sedan).
Excellent organisateur, il utilisa les chemins de fer pour rassembler les armées et assurer leur
ravitaillement.
Helmuth Johann Ludwig, comte von Moltke, (1948-1916) fut chef d'état-major de l'armée
allemande de 1906 à 1916 où il appliqua le plan Schlieffen. À l'issue de la bataille de la Marne, il fut
remplacé.

Nicolas II (1868-1918), dernier tsar de Russie (1894-1917), les défaites russes et les souffrances
causées par la guerre lui furent attribuées car il avait pris personnellement le commandement de
l’armée en 1915. Il fut obligé d’abdiquer en mars 1917et fut exécuté avec sa famille en 1918 par les
bolcheviks.

Gavrilo Princip (1894 -1918) était un anarchiste serbe.Il assassina le 28 juin 1914 l'archiduc
François-Ferdinand d'Autriche et sa femme.
Wilson, Thomas Woodrow (1856-1924), fut président des États-Unis (1913-1921) et joua un rôle
majeur dans la création de la Société des Nations. D'abord favorable à la neutralité lors du
déclenchement de la Première Guerre mondiale, il dut faire face à la guerre sous-marine menée par
les Allemands. Les États-Unis entrèrent alors dans la Première Guerre mondiale le 6 avril 1917.
Wilson envoya des troupes américaines combattre en France. Il formula un programme définissant
les objectifs de paix, les quatorze points, appelant à la fin du colonialisme, préconisant
l'autodétermination des peuples et proposant la création d'une Société des Nations pour assurer la
paix. À la fin de la guerre, Wilson partit pour l'Europe et participa aux négociations qui aboutirent à
la signature du traité de Versailles. Cependant, à deux reprises, le Sénat refusa de ratifier le traité de
Versailles et se prononça contre l'adhésion des États-Unis à la Société des Nations.

Savoir ce qu'est:
N.B. Seule les dates en gras sont à mémoriser

Quatorze points de Wilson, nom donné aux propositions faites par le président des États-Unis
Thomas Woodrow Wilson après la victoire des Alliés lors de la Première Guerre mondiale.
L’objectif de ces propositions a été d’établir les fondements d’une paix juste et durable. Les trois
points principaux sont:
● Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes
● La fin de la diplomatie secrète
● La création d'un système de sécurité collective favorisant le désarmement

Affaire des duchés 1866, élément déclencheur de la guerre entre l'Allemagne et l'Autriche : les
Allemands accusent l'Autriche de mal administrer le duché du Holstein et l'annexent; L'Autriche
proteste à la confédération et demandent l'envoi de soldat. Cependant, ils seront battus à Sadowa et
l'affaire sera réglée à la paix de Prague.

Anschluss terme allemand signifiant « rattachement » et utilisé pour décrire la volonté de réunir
l'Allemagne et l'Autriche.

Bataille de Sadowa,victoire prussienne sur l'Autriche (3 juillet 1866) qui eut un fort retentissement
en Europe et consacra la montée en puissance de la Prusse. Cette victoire prussienne fut celle d'une
armée technique, brillamment commandée par von Moltke, utilisant les voies ferrées pour se
déplacer, sur une armée traditionnelle et composite dont les défaites face à la France en Italie
avaient déjà révélé les faiblesses. Sadowa fut décisive à court, moyen et long terme. À court terme :
l'Autriche dut signer la Paix de Prague. À moyen terme, en plaçant la Prusse dans une position de
force exceptionnelle, Sadowa isolait la France ; à long terme, elle marquait une suprématie de
l'armée et de l'organisation militaire toute entière de la Prusse, devenue l'Empire allemand.

Batailles de la Marne: deux batailles décisives de la Première Guerre mondiale. La première,


livrée entre le 5 et le 13 septembre 1914, a stoppé la progression allemande dans le nord-est de la
France et ouvert l’ère de la « guerre des tranchées ». La seconde, du 15 au 18 juillet 1918, qui s’est
soldée par une nouvelle défaite allemande, a marqué un tournant vers la fin de la guerre.

Première bataille.
Fin août 1914, tandis que l’armée française recule le commandant en chef Joffre et son état-major
établissent un plan pour redresser la situation et empêcher que l’armée allemande atteigne la
capitale. Les Français attaquent une zone pratiquement dégarnie du front Allemand qui s’étend de
l’Ourcq jusqu’à Verdun : le 5 septembre 1914, les soldats de la garnison de Paris se précipitent au
front, utilisant tous les moyens disponibles, par exemple en réquisitionnant environ 600 véhicules,
les « taxis de la Marne ».Le 6 septembre 1916, Joffre déclenche l’offensive sur ce front. Le
9 septembre, l'Allemagne se replie sur la ligne de l’Aisne. La menace d’invasion de Paris est
écartée. Alors que la presse parle du « miracle » de la Marne, le bilan de l’assaut côté français est
lourd : 25 000 morts. La bataille de la Marne de 1914 permet toutefois de stabiliser le front en
mettant fin à la guerre de mouvement.

Seconde Bataille.
Forts de leur supériorité numérique depuis le début 1918 et de leurs offensives victorieuses au
printemps et au début de l’été 1918, les Allemands entendent donner le coup de grâce aux troupes
françaises épuisées. Le 15 juillet 1918, les Allemands franchissent la Marne au sud-ouest de Reims
pour, selon le plan de Ludendorff, percer le front français. Mais ils ont mésestimé les forces alliées ;
du 15 au 17 juillet, ils se heurtent à une violente contre-offensive franco-américaine dirigée par le
généralissime Foch . Écrasés par une surprenante capacité de réplique liée en partie à la présence de
1 000 chars, au renfort de l’aviation et à une utilisation massive de l’artillerie, les Allemands sont
contraints à la retraite. Cette seconde bataille de la Marne marque un tournant décisif dans le
conflit : c’est le début des offensives victorieuses des Alliés, et la fin de la guerre survient, quatre
mois plus tard.

Bataille de Verdun, engagement militaire majeur de la Première Guerre mondiale opposant


Français et Allemands, à proximité de la ville de Verdun (département de la Meuse). Livrée entre
février 1916 et février 1917, la bataille a marqué un tournant décisif de la guerre sur le front
français L'offensive débute en 1916, Une préparation d'artillerie d'une intensité sans précédent
écrase les forts entourant Verdun. Par des attaques successives limitées et contenues, l'avancée des
troupes allemandes sur la rive droite de la Meuse refoule les Français, qui opposent cependant une
défense inattendue. La bataille de la Somme prévue par les états-majors français et britannique en
décembre 1915, (donc avant l'offensive allemande sur Verdun) ayant été maintenue, les Allemands
sont dans l’obligation d’alléger leur dispositif offensif sur Verdun. Le cours de la bataille s’en
trouve bouleversé. Les Français reprennent alors progressivement l'initiative. La reconquête de
positions, détenues par les Français avant la bataille, s'achève en février 1917. Aussi meurtrière
qu’inutile sur le plan militaire (le front ne bouge quasiment pas), la « boucherie » de Verdun a coûté
la vie à 163 000 Français et 143 000 Allemands et blessé plus de 400 000 hommes. Lourd tribut de
guerre, les terres ont été dévastées par 31 millions d’obus, Verdun est devenu un des plus hauts
lieux de mémoire de la Grande Guerre avec son mémorial et ses infinis cimetières.

Bataille de la Somme: longue bataille d'usure livrée en 1916 par les Alliés contre les forces
allemandes dans la région de la Somme, au nord de la France, au cours de la Première Guerre
mondiale. Première grande offensive combinée franco-britannique, la bataille de la Somme n'a
cependant pas entraîné (contrairement à ce qu’escomptait l’état-major) de progression des troupes
alliées sur le front occidental.
À l’heure où les stratèges allemands ne croient plus aux vertus de la guerre de mouvement
(2 500 000 hommes vivent alors dans les tranchées), le principe d'une grande offensive alliée est
décidé dès décembre 1915 par le commandant en chef des forces françaises Joffre. Il en confie la
direction au général Foch et à sir Douglas Haig. Malgré le désastre de Verdun (à partir de février
1916), le projet est maintenu. Le choix se porte sur la vallée de la Somme, dépourvue d'objectifs
stratégiques évidents, mais qui forme la limite des secteurs français et britannique sur le front
occidental. En dépit de son échec et de son coût humain, la campagne menée dans la région de la
Somme a servi à démontrer aux commandants alliés qu'une amélioration importante de la
coopération et de l'entraînement est nécessaire pour espérer vaincre l'armée allemande. En effet,
malgré de terribles conditions climatiques et de graves erreurs tactiques, cette gigantesque bataille
de matériel a été pour les Alliés une période d'apprentissage, notamment dans l'emploi de l'artillerie,
qui a contribué à la victoire finale de 1918.

Blietkrieg: Terme allemand signifiant « Guerre éclair » il désigne l'offensive rapide (guerre de
mouvement) que les allemands souhaitaient réaliser pour vaincre la France en quelque semaines.

Confédération d'Allemagne du Nord: union des États allemands du Nord, sous l'égide de la
Prusse, à l'initiative de Bismarck. Cette nouvelle confédération, succédant à la Confédération
germanique, dont l'Autriche est exclue et où la Prusse joue un rôle prépondérant est créée en 1867
suite à la Paix de Prague.

Confédération germanique: groupement de 39 États allemands qui avait été établi à l'instigation
de l'Autriche par le congrès de Vienne (1815)

Confédération du Rhin: confédération constituée à Paris, le 12 juillet 1806, par seize princes
allemands et placée sous l'égide de Napoléon I. La naissance de la Confédération entraîna la
dissolution du Saint Empire romain germanique. Elle marqua un premier pas vers l'unification
allemande ; elle fut remplacée, après le congrès de Vienne, par une nouvelle Confédération
Germanique.

Congrès de Vienne: conférence internationale mise en place pour redessiner la carte de l'Europe à
la fin de l’expérience napoléonienne et qui s’est tenue du 1er septembre 1814 au 9 juin 1815. Les
puissances européennes y décident de réduire la France à un état ne lui permettant plus de prétendre
à l’hégémonie sur l’Europe. Il s’agit donc de redéfinir les équilibres territoriaux du vieux continent,
secoué par les tourmentes révolutionnaire et napoléonienne. Chacun vient y défendre son point de
vue, ses intérêts territoriaux, nationalistes, et tenter de satisfaire un expansionnisme bien partagé.

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