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Civilisation de l'Indus

Les traces les plus anciennes de civilisation du sub continent indien se trouvent à proximité de la
vallée de l'Indus. Les fouilles, d'abord conduites en 1921-22 dans les anciennes cités de Harappa
et Mohenjo-Daro, toutes deux aujourd'hui au Pakistan mirent au jour une civilisation hautement
complexes vieille de 4500 ans. Les recherches archéologiques et historiques nous ouvre la
vision d'une image plus détaillée des civilisations de la vallée de l'Indus et de ses habitants. Il est
probable que c'était des Dravidiens refoulés vers le Sud de l'Inde quand les Aryens, avec leurs
méthodes militaires plus avancées, débutèrent leur migration vers l'Inde vers 2.000 avant notre
ère. Les graphèmes de la vallée de l'Indus restent indéchiffrables jusqu'aujourd'hui, La grande
quantité de sceaux découverts durant les fouilles, comme la statuaire et la poterie, sans
mentionner les ruines de nombreuses villes de la vallée ont permis aux chercheurs de bâtir un
compte-rendu raisonnablement plausible de la civilisation de la vallée de l'Indus.

Une sorte d'état centralisé avec une planification urbaine assez vaste, ce que suggère
l'organisation des grandes cités d'Harappa et de Mohenjo-Daro. On a utilisé La même sorte de
briques cuites pour construire des immeubles de villes parfois distantes de plusieurs centaines de
kilomètres. Les poids et mesures montrent une régularité assez remarquable. Les gens de la
vallée connaissaient la domestication des animaux et récoltaient des champs variés tels de coton,
de sésame, poix et orge. Peuple de marin aussi, sans doute, on a retrouvé certains de leurs
sceaux à Sumer. Par beaucoup d'aspects, la civilisation urbaine de l'Indus, s'oppose à l'idée
prédominante d'une Inde éternellement et essentiellement agricole et à la notion que la
métamorphose historique du rural et de l'urbain s'incarne dans une logique de continuité. Les
gens de la vallée de l'Indus, peuples de marchands se livraient à un commerce étendu

Ni Harappa ni Mohenjo-Daro montrent l'évidence d'autels de feu. On peut donc conjecturer


raisonnablement que les rituels variés ayant attrait au feu, si critiques dans l'Hindoustan furent
introduits par les Aryens. Les peuples de la vallée de l'Indus ne semblent pas utiliser le cheval. Il
n'y a pas d'évidence ostéologique de reste de chevaux dans le sub continent avant 2.000 a. J.
Quand les Aryens sont arrivés en Inde. Sur les sceaux et les terres cuites d'Harappa, le cheval
n'apparaît pas. Mais ce sont les autres ruines qui offrent les impressions les plus détaillées sur le
caractère de l'Indus. Des éléphants apparaissent, des taureaux, qu'il ne faut pas confondre avec
Nandi ou le Taureau de Civa Le taureau orné apparaît aussi dans de nombreuses représentations
d'Asie centrale. Il est intéressant de noter que Civa n'apparaît pas dans le Rig Veda. La vache
sacrée de l'Indus n'apparaît pas non plus sur les sceaux. Les femmes représentées sur les sceaux
sont portraiturées couronnées de coiffures élaborées, supportant une lourde bijouterie, suggérant
que les habitants de la vallée de l'Indus vivent une sensibilité aux goûts cultivés et à l'esthétique
raffinée. On a découvert quelques centaines de sceaux dans les villes, montrant quelque 400
pictogrammes : trop peu pour en faire un langage idéographique et trop pour un langage
phonétique. La civilisation de la vallée de l'Indus laissent un grand nombre de questions sans
réponses. Pourquoi, vu ses moyens ne s'est-elle pas étendue en dehors de la vallée ?
En général, les cités se sont développées dans un environnement aride, au bord d'une rivière,
parcourant un désert virtuel. Les peuples de la vallée de l'Indus n'ont pas exploité l'agriculture à
large échelle, ils n'ont pas eu à abattre de grosses quantités d'arbres. Ils n'en avaient, d'ailleurs,
pas les moyens limités à l'usage du bronze et des pierres incluses. Ils ne connaissaient pas
l'irrigation ni la grosse charrue.
Les circonstances ont-elles présidé à leur déclin ? Les premières attaques de village par les
Aryens ont débuté autour de -2.000, près du Baloutchistan, et des plus grandes cités, Harappa, au
moins, s'est retrouvée investie par les Aryens.

Le Rig Véda mentionne du dieu de la guerre Indra, qui détruit quelques forts et citadelles, peut-
être au nombre desquelles, Harappa ou d'autres villes de la vallée de l'Indus. La narration
historique conventionnelle parle d'un coup cataclysmique, qui frappe la civilisation de la vallée
de l'Indus vers 1.600 avant J.C. mais cela n'explique pas l'éradication des communautés
distantes de centaines de kilomètres. L'histoire courante suggère encore que le déclin et la
disparition de la civilisation de la vallée de l'Indus doive quelque chose à sa propre décadence
facilité par l'arrivée, en Inde, des Aryens.

Même au début de ce siècle, on croyait que les premières cités indiennes de quelque importance
ne se sont développées qu'à partie du premier millénaire avant Jésus-Christ. La découverte des
ruines immenses du Mohejo- Daro et d'Harappa en 1925 transforma l'histoire de l'Inde des
débuts. Les villes, localisées sur les rives de l'Indus et de la Ravi, respectivement, trouvèrent leur
expansion 3.000 ans avant l'ère chrétienne

De nombreuses maisons avaient plusieurs étages, équipés de bains et de toilettes. La grande


qualité des poteries, les lingots d'or et d'argent trouvés sur les sites de la vallée de l'Indus,
suggère l'accumulation d'une richesse importante.
Les villes, étonnement bien planifiées avec des rues larges et de bonnes rues secondaires
recelaient de vastes greniers à grain servant de réserve pour toute la communauté. Les
découvertes dans les excavations de Mésopotamie
Indiquent que le négoce prospérait entre les deux civilisations. Ce qui est curieux, c'est l'absence
de tout monuments publics, obélisques ou statues. De plus, aucune maison ne servait de palais
laissant penser à l'absence de grandes iniquités dans la société, et qu'un certain esprit
démocratique prévalait. On pense que les marchants auraient pu être responsable
individuellement pour la sauvegarde de leur bien contre les maraudeurs brigands.

La civilisation de la vallée de l'Indus appartient à l'age du bronze. On y a découvert d'excellents


outils de bronze. Elle exportait aussi du cuivre, des paons de l'ivoire, des textiles de coton en
retour pour de l'argent et d'autres produits. Quoi qu'il en soit, les habitants des différentes villes
et cités de la vallée de l'Indus sont essentiellement des fermiers dépendant des inondations
périodiques pour irriguer leurs terres. Le grain, collecté et distribué aux temples dont les greniers
faisaient partie. Adjacente au meilleur groupe de maisons, élevée sur une plate-forme, haute de
10 mètres se situent les restes de la citadelle de Mohenjo-Daro avec de nombreuses chambres
autour d'un réservoir, utilisé, semble-t-il pour des bains rituels.

Rien ne changea jusque la fin de la période. Après une période de décadence progressive vers
-1750, La fin fut subite et reste inexplicable même si l'évidence indique que le fleuve a vu son
cours modifier et que des inondations aient suivi. Des événements cataclysmiques, paraissent, en
tout cas, avoir frappé Harappa, les villes et les cités furent vidées de leurs habitants. A Mohenjo-
Daro, la citée fut incendiée et ses habitants tués. Ensuite des peuples moins avancés que les
habitants de la vallée de l'Indus semblent avoir pris possession des villes. On peut penser qu'ils
pavèrent le chemin des Aryens par la victoire de la barbarie sur une culture urbaine plus ancienne
et plus avancée.

Sources:
Kosambi, D. D. Culture et Civilisation de l'Inde Ancienne dans Historical Outline. Londres: Routledge & Kegan Paul, 1965
Thapar, Romila. Une Histoire de l'Inde, vol I. Penguin, 1966

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