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as = cette idée qu'il faut gander pr ioumenent ces nonents intenses. Yais pour le moent, 11 nous dit ¢ ce ntest pas 1e no cet Intense qui inporte, mais L'ensemble d'une vie. St cot enseable dtune vie brie dane chaque monent. Bt cot ensenble, 11 ne fant pas le voir comme Ltensenble des vies seulement, mais ‘comme enseadle de 1'honse avec lea générations précédentes, avec les vieilles yierres, Gont leo inscriptions ne peuvent yas toujoura Stre déchiffrées. Tet, test 1'idde de culture, A laquelle Slit a consacré plusieurs essais et 1'ids0 de tradition, A laquelle 41 tient’ beaucoup, qui est mise au promter plan, Le tonps pour ‘Napparadt uase un stade supériour : sous 1s Lampe, sous les étoiles, ctest le tame pour le soir (union du tempe pour et du temps de ). Bt, dtune fagon qui peut nous Stonner atabord, ui qul avait insists aur lich ot se maintenant, id'nou dit, on fadaent intervenir 1'idée de M'asour, qui ntétait eabre ue jusautiet = Liasour est Le plus pris dBtre lui-sne Quand Mei et le maintenant cessent dMmporte: Lit ot 1e maintenant n'importont pas, Wavions nous pas va, dans Bast Coker ¢" Je ‘eule dof ou 1h, ou ailleurs", eo viesLlards dent nous aviona marqué 1s peur se devraient a*étre dorénavant des oxplorateurs dana ce monde qu devient sans cosse plus compliqué et plus Strange . Quant A nous t Rous devas @tre toujours et toujours nous mourant De tele sorte que nous atteignions um autre intensité Pour une union plus intine, pour une consunion plus profonde A travere le sombre Froid et 1a désolation videy A travers Te ori ae Ja vague, le cri du vent, lea 7 wastes gait, obsont le marsouin et lteisean des tonpétes. Ba ‘ma fin eat moa comencenent.. ‘Dans son coumencesent est aa fin, ux derniers mots Dens 1a fin eat non comencenent. ‘route chose natasante est destinge h 1a mort ; mais le sort elle-stue cot un com cenconent et dans ce sens, ma fin est vraizent mon comencenent. Tn reatera b voir si nous ne devons pes faire un nouvel effort pour que se rejoigient maintenant ot Itéternité jh la fin do "Bast Coker", 11 semble quo l'ict et Le ssintenant Sehoctent peu, quill stagit dtaller A une autre intensité, non pas 1*intensité du sonont, fale quelque chose é’autre, qui sera l'intensité de 1*éteratté, Afin dtesoayer de réconcilier 1e maintenant ot 1'éternité, il faut passer per le potme suivant "Lee Trose Sauvages", C'est lo non de trois rochera du assachuasetts, prée Be cep ann 3 et elore que leo doux précédents ctaient dee pobnes de Je terre, colui-ct Get un potoe de Ieaus Alors que lea deux nrécéients poimes étaient plut6t des poles Je StEeE> Rébut de 1'éee pour le premier, fin de 1'6t6 dens le second, colui-ci est un pose de 1hutomo, "Burnt Norton" Stait le potse surtout de lair et du début de 1'été, "East Guest "Te potue do la terre ot do 1a fin de 1"été, celut que nous allons voir est oelut Ge Lead et Ge l'eutone ; viendra s'y ajouter, pour les conclure, le dernier quatuor “itttle Gidding" , podme du feu et de 1*hiver. ious ovonee devant l'eau, devant le fleuve ot 1a ner, d'abord devant le fleuve. Je ne sais pes grand chose su sujet des diewr, ‘sala je pause que le fleuve, Bst un dieu fort et brun, opiniftre, non donpté ot intraitable, Patient jusqa’é un certain point, et d'atord recon ‘conse frontiarey Ueile, mais dont on ah se aéfier, quand il atagit 40 transporter des nazchandises, Bt puis ceot un probliae, soulesent un problése oy ‘confronte le constructeur de ponts, Bt quand le problive ext résolu le dieu brun est presque oublié Par coux qui habitent les cités, aais salgré tout 2 ast 1h, implacable, Avec ees propres saieéns, sos propres rages, destruc tear e& nous faisant souvenir De co que les hommes choiaiesent dtoublier. Hon honoré, re recevant pas de sacrifices propitiatoires cer oo homes adatrent plutBt les cachines, mais pourtant G1 est 1A, attendant, quettant, attendant, a Bt oon ryfise ost partout, Jusque dans les fleurs qui orment les aalons et dans les fruits, Tot encore, nous pourrions repatler de Heidegger ; dans un de see deniers livres, 42 parle du pont, du fleuve et de le sine fagon que BLict il nous sontre, av-dessous du. Tleuve utilisé, ie fleuve dana son essence rebelle, Derritre oc ave nous avions vu jusqu'iet, ay-dessous dea chosea ordennées, noe voyons 1"éléaent, Et le fleuve a beau pouvoir Stre catalogué come frontibre sur les car tes géogrephiques, 11 a beau Stre utilisé pour le conterce, £1 eat en lui-afne autre choee, avec ses, propres saisons, ses propres orages. Le flouve est un syubole da temps j cteat du temps au fond que Eliot parle ici ; ce deatructeur qutest le fleuve ne pout pas he pas nous fetro penser au tonpe destructeur , ce que les hommes choisissent d'oublier, chest cette durée dastructrice, iu delh du flouve {1 y a 1a ner, "Le fleuve ost en now, 1a ner eat tout astour de nous". Bt 1'idée de 1a mer I'enine A 1'idéo de 1a fin do la terre ot au granit. Wavons- nous pas dit qu'il n'y a pas seulenent dans Lunivers fluldtté, il y a des stabilités, Mase pour le monent, Fegardons 1a ner ot aes grbves ch aes secousses Tejettert les Strangvs allusions & une eréation antérioure A tout autre, We fleuve oot Le tonps, Mais cast un tenpe qui n'est pas notre tenpe. Cotte clochs qui tinte, Par 1a boule, sang hte, un tema Flus view que le texps deo chronoattres, plus view Que le temps conpté par des femes anxievsee ot fatiguées Qui détissent, dévident, dénlent le pases et Lavent Bt qui aprés eassient de les rapiécer, de lee ravauder, Ce tenpe des vieilles femes que 1'on voit aprbs le tesps des ehronositres, ce temps des Parques, du détissaze, de cos anti-arques , cleat um toure oli le paosé ost tout entior déception et ltavenir sens avenir, un tents de L'arrét du teape . Kous nous Fappelons ce qué nous avons dit de 1a déception, Mais le flouve nous rappelle qu'il y a ‘autre chose dessous, un tenps qui ne cesse pas, qui est 1a houle, qui eat co qui était dopuia le début, co teups auquel nous rappelle 1a cloche quand la aarée renontes Yous allons voir que le rocher ost quelque chose qui eat et qui était, sutvant Ltexpression qu'iristote a choisio pour la substance, Mate fef, d/une fagon paradozale, coat 1a boule qui est of qui était, that is and vas fron the beginning. o Bliot a pris, pour caractérieer cote houle, quelques wots du service religieux an giican : "Dieu est et était dopuis le ddbat™, Ainsi, derridre 1e tenpe neeuré, derribre co temps de fatigue enti par lee visti femnos, entre minult et 'aubs, {1 y'a autre chose, et cet autre chose, cleat } la fois Jo tenpe et quelque chose de stable, qui cat Ja durde olle-afno, quelqis chose qut ata pes de fin, qui ne s'arrBte pas, of qui on ce sons eat, Devons-nous dire que darribre Yo tenpe qid atarréte ext le tena qui n'en finit pas? Ou ne devone~nows dire plutdt ‘que cea deux aspects du tenpe doivent coincider ? Elio est, 1a houle, depuis le commen cement, Mais nous eavons d'apris les quatusrs que "dans ma fin est mon connenceuent™. le eccond nowenent va Btre A a fois un mouvenont de descente ot un mouvement de nontée, de nontée par le not final de chaque strophe, mais de descente dans 1"ensenble do chacune dea atrophes qui sont description de la déperdition de l'entropie imiverselle 4o Ya deacente vers le non-zouvorent, (08 en est 1a fin de ce géaissonant sans son que Ion putase entendre, oh en est 1a fin de ce flétrisserent ailencieur des fleure de Lautome Ob y actel une fin yee Ala pritre de l’os aur Ia grive, A la pridre Non priable & Iannonciation des malheurs 7 ra une pribre presque priable. ‘développere dana le poise qui Pridre non priable ; TL y ane vontée vera la pridre, Ce ssuivra et qui concluera 1"ensexbie, dans 1a nage suivante, 12 y expliquera et TL n'y 4 pos do fin, mais addition. Tl y a me trainge De jours et de jours et a'houres ot d'heures Bt AL y-0 des dboonbres, De tout ce quton croyatt Ye plus digne de confiance et par. conséquent 1e eateur fests pour 1a renoneiation. Nous arrivons, puisqu'eddition il y a, & l"addition finale, Co n'est yas une raiaon your déeeapérer. La prentbre strophe fint aur le mot de “annonctation", 1a seconde our le mot de "renoneiation" pulaque 1a perte nfeat qutinvite la renonciation, Te troieiiae de nouveau sur le mot"annonciation! La quatritme finire aur le not de "destination". I1 y a one destination de l'avenir. St apres un examen , ‘exazination” , dans la cinquitne strophe, nous irons A 1'idée dtune amnonctation plus véritable encore, puisque, du petit a, 16 not est passé au grand A, Nous evons un vou vonent vers la religion, 1a religion chrétienne, 1a religion anglicane qui eat celle @'BLiot. 11 nly a pas do fin de 1a lanoatation sans votx, pas de fin , pour e» ouvenent do la souttrance qui finalenent (par| Erhebuag ) ntest plus de souffrance ot s'est plus nouve= ent, ania on mise tenpe nous avons finalesent 1'1dée que cette pritre de I'unsae Annon~ lation pourra se faire, bien que cette pridze soit A poine priable, a8, Nous rovenons & 14dée du eotif (motif au aons od on parle du notif d'une tapiese- rie) on dirait, & seaure que Lon dovient plus fgé, Que le passé a tm autre eotif, et cosne a’Stre une pure conséoution ou nfse un aévelopposent. Cotte 1dée de développement st une erreur partielle Mneouragée far dae notions auperficielles d¥évolution Bt cela devient, dans L'esprit des gens, une fagon Aéesvouer Le pases. Nous avions vu le moment de ls dérision de a vieillesse,puis celut de Ja vieillesse ‘come exploratrice dana un monde sans cosse plus étrange, puis celui de ls vietllesse en possession d'un eotif tranaformatour du motif, Chaque fois h 1a descente de 1a strophe, Correspond le redressexent, de plus en plus droit, de plus en plus haut, per le dernier wot. : Ainsi cela est un peu la contrepartie de ce que nous avions dit sur 1s déception au motif, Le passé va prendre un sena, Rous en avicns aéji Je sentinent et nous reverrons plus loin 1'iaée de “noaning", de signification, Il y a un sens qui va se dégager, aais Ad ne faut pas croize qu'il y ait A proprement parler nrogris et développenent. Nous avons dit qu'Eliot eat partioan do 1a tradition, bemcoup plus que du progr’ Le dix neuvidue eidcle, pour lut, a 6t6 g&té par 1'idée a évolution, et ce qu'il faut, cleat reconquérir, cleat poaséder vraiment lo passé non Le désavousr. Juaquttel, de ces moments 4e bonheur, comw celui du premier potme, de "Burst Norton nous ntavona Tien pu faire, Nous avions l'expérience, d'ailleurs une expérience tréa prée @*8treDlusotre, mais nous n'avions pas la signification, Resarquons que par sonents de donheur, nous n’entendons pas le sens da bien Stre, 1a jouisesnce, L"accouplisseuent, 1a sécurité, l'affection, mats 1*iliuination soudaine. Madntenant que nous nous rapprochona de le simification, Ltexpérience est restituée ous une forme différente, ot ai-delh do toute signification que nous pourrions assiger ‘au bonheur, Ainai, 41 y a une oignification, mais co n'est pas une signification qui nous fait arriver au bonheur, et le bonheur 1ul~sfue n'aurait peut~Btre pas de signification. Ce n'est pas non plus une signification qui nous fait aller vers le progrée et 1'évolution, Rappelons-nous ausei qu'il ne s'agit pas, quand nous nous rappelons ces nosents, de ea inoler du resto de notre vie et du roste de 1a tradition des autres générations. L' ‘expirience passée qui oat reasuacitée dans les significations n'est pas Ltexpérience d'un ‘soul individu, mais de beaucoup de génsrations. BE audeld de cola, et sidessous de cela, {2 faut voir encore quelque chose, quelque 6. chose gut est protablecent inoffable, et qui est le regard porté en arridre sous 1'aseu ranoe de L'hiscoire, telle qu'elle est consignée dans les livres, le deni-regard qui va en arritre, par desoua 1"épaule, vers la torreur primitive, Teh nous dépausons 'idée de tradition et de géndrations, Yous retrouvona peut-stre Lidée de ce flouve non doapté, qui était le prenter thao de co troieitne quatvor, Dee lore, que faudrant-{l faire 7 un acte de transmutation, d'une part, des joiea, ot dtautre part des douleurs. ea expérionces, csime celle du premier quatuor, c*étaient des expérionces de Joise, dont nous pouvons voir pou d peu le signification. Mais les nonents de dowleur, de souffrance, ont aussi leur signification, qu‘il faut découvrir. Bt nous pouvons moins Yea découvrir pour now propres souents de souffrance que your les soments de souffrance dee autres qui eont lie 4'aiteure & nos mowents de souffrance, We chorchona pas a'ile sont causéa rar co fait que nous avons espéré 1a chose qu'il ne fatlait pao eapérer, et que nous avons crsint 1a chose qu'il ne fallait pas crainire, allusion A un passage que noad avons Yu, Hato, nous rouvons dire que cos oments, quelle que soit lour causo, ont cctte permanence que le toxpe a, 7 autres, reate L nos yeux oncore plus que notre propre « Haia 1a peine dex autrea le toursent, le trouble 4 trouble, car faction submerge en quelque sorte nos truubl reste. TL y 8 quelque chose qui subsiste dans le teaps, bien que les gens changuat et sou rients Yous arrivons & cette conclusion mouentanée que 1e tenpa, que nous avione ni surtout come deatructeur, de nfse que le fleuve, est en tae tespe colul qui jéserve. Le tomps deotructeur est sussi 1e teups préverveur coume 1a rividre, aves lee char ses qu'elle porte (car le teups n'est nas sans Coan et il nest ras sane flouve). Cette ide de percanonce nous feit revenir, ou nous fait venir, car now y avons fait seulesent allusion, & 1'idée du roc + Le roc déchiqueté dane les emux toujours en uouvonent, Co roc déchiqueté, les vagues passent dessus, 109 brouiliards le cachent. Dane les Joura haleyoniens, dans les jours parfaiteent calnes, il ost simplenent une sorte de oniment ; quant le temp est favorable A la navigation 41 peut servir de repre pour es vatsooaux, eis dans 1a seivon sombre 04 1a furte aoulaine, 12 est oe qu'il était toujours. Malgré ce que nous avons ait du changenont constant, nous avione Ait qua paradoxe- lezen 1a houle est quelque chose qui était toujours, et le roc aussi est quelque chose qui était toujours, Up comontatour « ronarané qu e'dtatt 1h Vespression afte @Arstote Go eDraty Stew ce quten state, IL y a ins easente du Foor Un deo cormontateurs a dit qu'il regrettait Io troteitue souvenent inspiré per le sagesse de 1'Inde. Sliot a été tris attiré, un monent, par cette sagease, un nowent ‘sane doate , puisqu'il éorit Parfois, Je me dosante ai ofétait 18 os que Krishna aignifiait 4u milion d'autres choses, ou ai ofétait ume fason d*expriner a nfo chose, A savoir que Lavonir est un chant fan, me Rose Royale, ou 1a branche de Levande, Du regret nostaigique pour ceux qui ne sont pas encore fei pour egretter (1) Presade entre les feuilles jauniss d'un Livre qui n'a Janets été ouvert. Yous avions vu dans 1e deuxibee souveuent, leo années sans dation au silieu des Ascombres, puis 1'ésotion qui se chargeait de prendse en soi les années sana eotion Puls 1e dévousmont sano attachesent qui pourrait pooser pour non dévouenent comme le ‘ouvenent de 1a doulour est sane douleur, Lidée de Krishna va se sbler avec 1'idée d'Hérachite + le cerele des saisons & 1a constante renaissance. Bt 1a voie qui monte est 1a vole qu descend, la voie de Ltaller est 1a voie du retour ‘Yous ne pouvez pas affronter cette idée, mais cette chose ‘cortaine Qe Le temps ne guérit pas, car le patieat n'est plus sof. (quand 1e temps pourrait guérir) (wtarsonaoug oan aanieté dans Le douiae quatuor aux funéastien ae personne 7) Co qui reparatt ict, clest ce que nous avons appelé la déception du motif, Le temps guGrit . Mats 9741 guérit, 41 ne guérit pss celui qui a recu le blesaure, nous ne somes pas le afze et 11 y aun fassare de Paical auquel certainenent Eliot « penad “Le tonpe guérit les douleurs et les querelies, parce qu'on chenge, on n'est plus La éne personne. Hi loffensant ni 1offensé ne sont plus eux-ofaes", mais en pourvuivent 1a pensée pascaliome asser dialectiquenent, Quand le train part-et quo les passagers oe sont instaliés Pour gudter les fruits, pour lire les joumanx, your faire leurs Lettres d'affaires, Tours visages 90 aétonient . (i) Wers qi peraft lapliqur ta transigeation ‘nos Ot Le futur est Ie parade a pfmes qui sont rartis et qui sont Ay Mais ii ne faut pes croire que oe sont 1é et que ce sont les abies qui arriveront. wvant, voyageus, qui n'chapres pas mu paseé ‘aiftérentes, ou vers tn evenir ; Yous 'tes pes les mémoa gens qui avez lsissé 1a station Ou qui arriverent ax terniaus, Tendie que lee rails, a0 rétrdcissent, glissent on nse tomps @erriére vous j Bt sur 2e pont du bateau qui bourdonne Suivant le eillon qui s'élargit derriére vous, Yous ne penserez pas "le paseé est fini” Ou "Levenir est devant vous". paree que dYabord vous nlétes plus les mses et qu'ensulte 1aventr ost passé et que 12 “paaeé est tranefornmble (quant 8 son motif). Cleat co que dit 1a suite + ‘Ale tombée de la mit... Une voix mursurera .. (Sais non dens aucun langege) "Allez de l'avant, vous qui penses voyager t Yous n'étes pas ceux qui ont vu le port Reculer, et vous n'étes pas ceux qui débarqueront., Tol, entre le rivage proche et le rivage lointain, ‘Tendie que le tonps est retiré (1) considére l'avenir Bt le pasoé avec un esprit Seal. West-ce pas 1a signification de ce dévousment qui paratt non-dévousment (au oun xtbue movent de ce quatuor) Esprit égal puisque l'avenir égele le passé et le pasod 1'e~ venir. a oe sonent qui n'est pas action et qui n'est pes inaction Woled L'enaeignenent que Yous pouves receveir sur quelque ‘ophize a'8tre Gut fructifiera dans leo vies dos autres ¢ Bt ne ponses pas au fruit de Ltaction, Mais alles do l'avant. Cela est Anopiré d'un passage de la Yhagavad - Gita, Tl stagit , au mouent de la sort, de chotsir bien 1a sphire a'étre, ot Boudiha dit + "Si tu as choisi 4'8tro avec ‘not, tu seras avec not" Ctost 1B 1a goule action inportante, dit Eliot, on s'insptrant de 1a sagenso de (2) Come dans 1tentrtacte ou le métro ou gous 1'éther, 6. Bouddha, la seule action qui fructifiera dana lea vieg des autres, come nous aviona vw Yeo gouftrances des autres fructifier dans notre vie (at mourenont précédent de ce néae uot). Hats qutest ce sonent de 1a sort, ainen tout nozent (de aése que nove avions vay 2 1a fin du quetuor précédent, que le véritable mocent intense, ce atest pax Le mosent seolé ais I'instent qui ~est-tostonune~vie. nya ophize d'existence. 1 La aphire a'étre. apitres 2'Gtre, ot sous reverrons plu loin cette ntae expression de agit de choiaiz, indépendament des conséquences de 1'action, © voyageurs, 8 sarins, Yous qui venez au port, at vols dont les corps Supporteront 1"Jpreuve’ du procts ot du jugenent do le Ou de stimporte quel évinenent, cela eat votre deo~ ‘ination réelle. Ainai Krishna, come quant 41 avertissait Arjuna Sur le cham» de bateille, Done + ntalles pas bien, Yeie alles de avant, voyagoure. (esis nous savcns qu'aller do l'avant ctest aussi reculer) ous retrouvons le mot “destination”, et {1 sesble ict qu!il n’a pas 1a ore conneete tion religiouse anlicane qu'il avait dans 1e passage que nous avons Studi auparavant ‘Try @ tn détour par 1a aercase de 1'Tnde, qui nous apprend que, aucdelA du bien et du ‘dad, c¢ cui est Smportent, clest d'aller de l'evant, "fare forvard", sans que “de 1'avant™ voullle-rien dize qui atapparente & 1'évolution et au mrogris. I1 stagit, dans cette ac~ ‘tion qut va de llavant, de chotair notre plan 4'8tre, notre aphire a'Btre, Le quatribne nouvenent de ce qustuor, qui est tris court,’ et sur lequel je n!insie— terai pas, sera une pritre, Le podte rovient do ia sagesse do "Inde A la aagease chré~ tienne, Ala eagenss anglioane, CYest une adresse A Hotre-Dene do 1a Mer, Notre Dane du Prosontoire, Bt nous arrivons ax dernier couvenent du pobue. I1 fait allusion d'abord aux divers ‘Hesenents, aux drogues, sux Aérivatifa, aux évasions et sous ces divertissecents et éra- sions au dfave, au drase ‘politique, qui est au fond deo penséea. Quand 1 y a détresse dos nations et anxiété Ale foie sur leo rivages do I'Aste ot aur ‘es boulevards. Mais ce qu'il faut ce n'est point foulller le passé et Ltavenir A la fajon'des hie- toriens ou des voyants, uais ceci nous fait revenir A un thine qui appareissait dans lee 49. autres Quatuors, et gui réspnaraftra, définitivenent dirions-nous, dans le dernier, cf Get voir co quill appelle le point d'intersection de 1"inteaporel et du temps, Seulenent, co yoint dlintersection de 1'intemporel et du temps, ctest atnst que Kiorseqaard désiene 1'instant, cleat l'oeuvre du saint de le esisir, de la vivre, et co test pas au fond tne occupation , une oeuvre, de le saisir, car {1 ne s'agit your le saint (car seul le aaint e peut) que de le recevoir, de le recevoir au long d'une wort Gans M'azour, une wort qu. dure toute ue vie. Ce nfest pas que 1a chose de créé, mais de donaé et de pria. Deng Landour, Le dévouenent, 1*abanion de sot YHA co quill faudralt, Nelo pour nous Pour la plupart d'entre nous, ce qu'il y a, co sont des somente dextase aublte, come dans le presier polme + 11 aly @ quo 1e sonent non attenda, ce moment en dehore di tenpe et dans le tems, Laccts de distraction, perdu dans un rayon de soleil (et cola, ctest bien Burnt Norton), Ip thym sauvage non apergu, ou 1"éelair d'hiver (ot nous trouvons ict 1e jeu des contradictotres qu'il sine tellement ; nous avions 4éj8 va cet écleir atniver) Ou 1a cascade, ou une musique entendue si profondément. Qutelle neat’ pas entendua, neta fue vous Btes vous-ntne 1a musique ant que 1a susique dure. Bt tout cela, ce ne sont que des ‘allusions et des conjectures, Tout cela nta de gens que per ce mozent du saint que nous ne powvons pas atteindre nows-staéa, mais qui donne un seus A toutes nos allusions, & toutes noe conjectures. Ce moment qutil atagissait d'intégrer A 1a vie 1a plus profonde, ce sonent dp "Burnt Norton", ce n'est qu'une allusion, une conjecture, ue allusion suivie par une conjecture, Pout le reste, ii feut on revenix au saint, ctest-R-dire & la pritre, & ltodservance, Bla discipline, ponsée et action. Bt nous arrivons b 1a conclusion, qut sora ddveloppée dane le dernier podse. Le seul selut eat dane cotte religion qui eat’ colle d’Eliot L'allusion & deat-devinée, 1e don & doxi coapriay ‘eat 1"Incamstion. Ted 1"impoaaible union Des aphires d'exiatence est réello,. oat on acte. 50. Jt 1'incarnation, cteat plus qu’allusion & deni—devinée, done & (Hate b vrai dire ai 0! deai-compria). Tn stagisaatt, suivant 1a sageese do 2"Inte, de now placer dans 1a sphibre 4!exio- tence la piua haute possible, mais il stagit maintenant de concilier, dtunir les sptires fteletence, otest-vdire 1'étornel et lo tenporel, union inpossitie, sais qui peut-Bire réelle, sere-ce soulesont interoection ? Me eera-co pas une union plus intize encore 7 ious pouvons nous 1e dessnder. bbs lors, £2 y aura une sédenption de Iaction, Jet, Le passé ot 2aventr Sont eonguie » aont réconciliées Liaition, s'il on était eutronent, serait sourenent Do quelque chose qui serait mt seulesent Bt ate pas en sot le cause du eouvenent. Bile serait causée par autre chose qu'elle-afze tirés per des pouvoire désoniques et ohtoniens — alors qu'elle ost tirde par lanour divin, Four dohappor’h cette idée d'une action tirée par des pouvoire chtoniens, {2 faut penser qutav-deseus de nos actions, 11 y a une action divine, st nous avione perlé de cet rere de ‘I'iamonilité dont parle Aristote, dang un passage de Ja Métaphysique. Si nous te Tele compte de cette conqubte du passé et de l'avenir par le fait d*une action qui se Sout elie-atee ef qui nous pout , 1a Juste action est libération h ta fois du paseé ot de Ttavenir. Hous retrouvons et treasmuons le fruit de la sagesse de 1"Inde, Srideunent, pour 1e pluyert dtentre nove, le but ne peut pes Stre réalioé, Il stagit ooulénent, come nous 1'avons it, de faire Ja tentative, d'essayer. Croat cele seul qut Sous permettre do n'Gtre pas vaineus, Si nous somes invaincus, c'est soulenent parce que ‘nous conéimuane sana conse A esnayer. Bt oe quo nous aurons & faire, otest A nous , Hous eatisfaite ble fin Si notre réversion temporelle 43¢ Rot, notre retour vars origins, Yourrit (non trop loin de 114) ctest-d-dire non loin de 1'erbre de 1a toube Ta vie Gu sol sigaifiant. 1a fin de oe podme de 1a ner et du fleure, nous retoumnons a 901, somes rendue bin terre, Ce sol sera pourri par le retour A Mtegsence et A Lorigins, Mais nous sommes Sombre do 1a prenidre et iu mosent de 1"ixterssction qui finalenent sera soaant do Gane Leabre de la croix dont 11 eat difficile de dire qu'elle est allusion & deni-| Govinée, Le eol siguifiant n'est eignifiant que par rapport & le pribre du saint ou ciel fee oaiata, Crest ul qui donne un geno % toutes nos tontatives. Bt pourtant ces toute dives ont valeur absotue (Co fut Iensetmenent de Krischna) parfait par celui du Chris 5h absence de réateation yar nous ne fait pas que nous ne somes pas invaincus on donnant tun gens eu sol, perce que le ciel nous donne un sens, Ctest & partir de IA que nous couprendrona le dernier poise, Little Gidding, qi cat saeeang Sapte an Lieu do pllerinages Ts'ourre ur 1"1aco une bert aalaon contradictoire (come 1'était aéjk l'éelair d'hiver), Ce n'est pas 1"heure qui est entre Je’ printoe ot 1°48, con chr Chanel, oft une besro Ge peintens got ent au ailiew de Lthiver. Yous aviona vu que le flewve @ sea saisons. Toi, il y ison de «Tol, 41 y # une saieon de printeape du desichiver, Ait Eliot, qui est sa propre eaison. Le Guatriiae Gustuor est dqne L'enseable ‘un pone de L'hiver, aia nous verrons 1"union des contradictoires, dans 1a description, fabord, de cette saison, pile dana la vie humaine. cette sain n'ont pan conorea covenant, aux conventions du tampa, Das fore de pintenge on atteninay Vionseat rarfois eu ailiou de I'hivers Une chaleur an scour aatt Fer cntte présence de rintene te hier. Bin tin man ore ie nyt ara pty Tee roe te he seein om fi ere cae Se ih cote tne ee ure ee Se aed ee 1a peels ee teeta ee ae eo SOUT AOI Ce gad ede oe pees ti a cree te ee he Se ee ee terre, et 1'éternité. i pene 52. Le premier quatuor avait comue Liet um chéteau, 1¢ second un village, 16 troisi’ae dea rochera aur la ser, et le quatriine a Lou dano tm uonaathre, ot & cote idée de to~ nastire est 1:0 1'1d62 du fou. Le potas du Hongstére eat e podse du feu, évoque le feu sous aon aszect religieux ; il est 1h sous de multiples formes co feu : fou de 1e Ponte ebte, feu du Purgatoize, fou de 1'Enfer ot enfin flames de 1'anour divin, In prenter morceau - nous avions coxneneé A en paler - c'est 1a description d'un Jour de printezps dene le ailiou de i'hiver, clest-indire que c'est uno s:ison paradoxale qui, dit 7.5, Eliot, oat sa propre saison, Toutes choses stintdgrent dans des saisona universelles, sais ici ctest un jour, ou tne toute petite saison qui est sa saison pro~ pre, Elle eat euapeniue dana le teupe, et noua ne pouvons paw ne pas penser & cette heure qut ost entre lo printeups et 1466 de Claudel ; ot c'est une saison contradictoire par elle-abze, Nous avions aéjA vu 1a présence des contratres dans la renaée de 7.3. Eliot. Toi noe La vorrona dans ce début b tout moment pour ainsi dize, Tl y a & la foie "du gol ot du feu", 11 y aun éclat qui eat “avouglesent” et "le feu do 1s Pentectte" trdle oe jour 1b ans’ "ie tenps le plus sosbre de 1"annéo", Bt cola se paase "extre le mement oh 1'on fond sous 1effet de 1a chalour ot le zouent of l'on abl st la vo de 1'Bxe trouble en- ‘tre ces deux mouents". Ainai 1 y a ces dour idéee ; une saison prise en dehors de 1a convention tenporel~ le générale ou qui est comme il le ait encore : “hora du tonpe de 1s génération", et ‘une saison pour ainsi dire en ellenfce contraiictoire, et cea contradictions nous les reverrons dans 1a suite dz quatuor, quand tout-2-ltheure le podte rencontrera um autre pobte qui vst A la foie Dante probableuent, Milton pout-Stre et en tout cas Mallarmé Croat bla fin d'une mut intersinable, Ala fin d*une nuit sens fin, Ctoat La fin récurrente de ce qui n'a pas de fin", Ce podte est & 1a fois un ot multiple, ot 11 oat intine et non identifiable, ot uf rnfzo, 10 podte qui rencontre l'autre qui eat T.S. Eliot pense qu'il eat A le foie "lui nce et eutro” ot tous les deux se renoontrent dane une place "qui n'est aucune place” “sans avant ot sans aprés" , et quand l'un do cos fobtes donnera quelques reconmandations A Ltautre ce sora d’arriver A un comerce aieé , de l'ancien at du neuf, Ce prumter morcean, ce prester teape dx quatiior nous dit que quelle que soit 1a vole ‘que nous prenions nous arriverons b cote Chapelle do Little Gidding, A ce sanument sa- eé, Peu inporte le chesin, tous condulsent & cette wéiitation au Konsstire, devant 1a Fort, et que vous venies 1a auit comme un roi brisé, ou que vous venteg le jour ne cachant 5B. pes pourquoi vous tes vont, cola no fait rien, vous Stes ici devant 1a nome fapade ot devant 1a pierre toabele. Quelle eat la signification de notre marche vers co Sanctuaire 7 Nous ne eaurone pes exactouont ; c'est peu A peu seulement que oo révilera le "neaning" , 1a significa Hon ; ce pourguol vous penses que vous Stes vonu n'est qu'une sorte de Coquille, me deoree do signification hors de laquelle le destin se brisora seulenent quand il'sera rexpli, st jamais 41 est respi "ou bien vous ntavios pas on réalité de propos et de dessin Ou bien le deasein est au-delA de 1a fin que vous vous figuries, Bt etaltire eu monent ob on arrive’ 1*acconpliz™. Yous retzourons ce que nous avions appelé "La déception du motif, ctestrhedire que Lion n'a janaie toutai-fait ce que l'on cherehe, ou bien que quand on 1'a, on ne le veut plus ; cela nous paraft sans importance. Yous eonaes A la fin du wonde, nous retrouvons une expression que nous avions wwe dans e potne préesdent, dans les Trois Sauages + " Nous sommes A la fin du-monde prée de la michoire de 1a mer Mais ch que nous aoyona, cect (co sanctuatze) est 1a place 1a plus proche maintenant et en Angleterre". Car nous aavons sue le but de 7S, Eliot, la fin do 7.3, Eliot dane eb pode, coat de relier le maintenant et 1'éteraité et nous étions bien paseée par un instant ob nous ‘aviona dit "peu iaporte le Leu od nous somes" mais dorénavant nous verrons que le Liew (8 nous somsee inporte ; ce Lieu c'eat ce aonastire oli nous pouvons Btre en contact avec A'éterel, TL a 6t6 dane op Monasthze cise un de 900 anio qui était un comentatour de Pascal, Stovart, et qulil meet arrivé de renoontrer en France ; et co n'est pas indifférent car 1m penaée de Pancal est présente & plusicurs monents dans co pobse ot nous ntavons qu'A Lire les vers inméiiatonent suivants + St vous Stes vem par co chenin, Prengnt nlimporte quelle route, partant de n'inporte ob, En nlimporte quel texpa ou en ntinporte quelle saison, Cela reviondrait toujours au mtn, vous auries A vous débarrasser Da sens et de 1a notion, Yous n'étes pas tei pour vérifier, Pour vous instruire ou pour inforaer une curiosité, 0a pour faire une sorte de rapport, Yous &tee ici pour vous agenouiller TA ob 1a pritre a été valable Co qui dletingue ici 1a pensée de colle de Pascal, en tout cas de Pascal tel que nous 16 Lisons, ctest 1'44é6 que 1a pridre doit Stre faite bn un lieu qui est un Lieu sa oré par lut-sliae oli des norte d'aujourd'tut ont vécu autrefois et ont prié, et cette pride re dit-4l, cleat plus qu'un onire des zots, c'est plus que 1"occupation consciente de 1! 5A coprit qui pris, TL avait dit dans 10 pobse précédent que 1a pribre ategt pas une oocu- petion 7 42 fandrait dire plutst que c'est leeprit qui est tout enter occupé par le Pride, cleot Diow qui occupe l'eaprit, ce nest pas lteeprit qut sYoccupe de Dieu, Bt ce pourquot les norte n'avalent aucun Langage quand ile vivaient, Hainteneht ile peuvent noua le dize parce qu’ils sont morts ; pour la coomunication es morte ont une langue de fou gundelh du langage dea vivents, Tel, 1intersection du monent étemel Crest itAngleterre et op n'est mulle party Ce n'est mulle part ot ctest toujours ducdelA du langage deo vivants, car nous transcenions la vie. LMintersection du mosent temel, quelques note sont sous-ontendus, otest 1inter- nection du moment étemel et du présent, ctest ainot que Kierkereard définit 1! instant de 1'éternité, * cteat 'angleterre et ce neat mille part" et du seul fait qué cleat Ja fois T'angleterre et nulle part, nous vayons que c'est ce qui eat en réalité toujours. Nous passons au deuxitae mouvesent qui 96 découpose lut-ntse en deux, le second Gtant cette rencontre du pobte, de Mallarné, le prenier portant sur 1a transformation Goe S1ésents les uns dana les autres et qui part donc en un gens de 1a pensée d'iéraclit Mune naxine d'Héraclite qu'slict n'a pao choisie pour 1a mettre en t8te de sea potses. Then a nis deur autres, sala certainanent cette naxize oli Héraclite dit que "toute chose ‘se transforne on feu, que la terre cleat uno condensation & partir de l'air, qu'il y @ tine vole qui va de toutes choses vere le feu et une autre vole qui est 1a mime, qu va du feu vers toutes choses." Cette pensés est au fond 1a penaée a"Eiot quand 42 éerit ce passage, mats on mine tonps 41 y a une signification roligieuse des é1éaents. Tout est transformé en cette pousaidre dont 42 faut nous souvenir qu'elle nous conatitue. Nous ne sommes que pous- Sidre et Le feu et 1'eau qui det sont représente sous lour aspect destructeur et meu trier , sont ausei considérés religLeusouent, sont aussi des outils de vivification ot de purification, De 1a cendre aur la nanche d'un vieillard Cleat tout oe que 1a centre laisse, La centre dee roses bralées De 1a poussitre auspendue dana air Xarque la place ol: 1'hiatoire est finte, La poussidre quo nous resptrons A 6t6 une saison, Le mur, 10 laxbris ot 1a souris, Ia mort de L'eapotr ot du désospoir Cech eat la mort de i'air. Teh peut-Btze Eliot e!écarte-teil un pou dHéreclite, Ctest 1a mort de Mair 5 dana Héraclite chacun des éléments constitue par sa nort un autre élésent, Ici c'est tie pluttt ein, 1a fin de 1thiatoize de air en quelque sorte, ot cette histoire de 1 est 1s tominatson finale de "air en! pousstbre, Pee TL y a Smondation nous dit-il, Ia aéchereage ot 1'inondation, ‘Lean aur lee your ot 1a edcheresse dane 1a bouche, eau sorte et le sable mort Chacun Luttant Pour avoir 1a supSriorité mur Ltautre Rt le sol évivcéré ot parcheniné Regarde béent le vanité du travail Bt rit sons gaits, Bt ceck eat le uort de 1a terre. Lema et le feu succddent, ‘la ville, au pBturage ot aux herbes, ‘Lreau et 16 feu se noquont du sacrifice que nous avons refusé, Ltegu et le feu feront pourtir Tes fonéations g&tées que nous avons oubliées, ‘Wes fondations du sanctuaire ot du choeur, Ceci eat 1a mort de l'eau ot du feu. Lteau ot 1e feu pourent cana doute avoir un autre xBle que celui-1A, Pais vient 1a rencontre de Mallarmé Dens cotte houre incertaine avant 16 petit Joury Quand ost prée de finir 1a mult interminable 4a bout recomencant de ce qui est sans fin, (2) ‘Quand 1a notre colombe & 1a Langue de feu A passé pardessus I*horizon qu'elle hebite Quand 1s fenaiaon sorte a comme un bruit a! étein ‘Sur Ltasphalte ob 1'on ntentendait plus aucun won Entre troie quartiers "ob sontait ue funéo, Ua qui se promenait ot fifnour ot hatit Vonait vers mot poussé come un nétal de feuities Sena résistance ou vent de Itaube dans a ville, Bt couse jo fixate aur sa t0te batsaée, Ce coup does) adguias par qui nous défions Liétranger rencontré le prenier dens 1e soir Je surprie le regard soidain d'un mattre mort, Conm, puis oublis, puis dext-rappelé Ua ot plusieurs ausei, dans sos traits bruns recuita, Lee your d'un multiple fanttae fanilier Intine A le fois et non identifiable. (i) Wows tous Fappelons su proaicr mouvesent, la langue Ge fou j elle réapparattre a quatritne et au cinquidne mowsnents, 5. 7. st lw aie ve et seats ett Ht a su See ere Bien que cela ne fut pas vrai. (1) J'étais le néne Sur L'effort de toute votre vic eee i a) ar ae ce ee ee eee wees fe et aa, shies Bao at oraeets cite acne hin ee ey ana Ee Ene eatin secre, Be fart crashes mete Bt 42 dforit le déclin de 1a vie humaine, les woux de 1a vietllesse, Tout cola pourra cepentant un jour #tre purifis par le fou qui affine . Ctest 18 une expression de Dante, conse un dea Yors que nous venone de lize était un vers de Nallarad, ot ctest pour cela que nous disiona que le perscanage appara était A la fois et Dante et Mallarné et, poutestre Silton. tn conclusion du decsitne nouresent Jo co douxdbue nouvenent cleat que reconstitul, eatauré on alse tape que purtfis par ce f0u gil affiney le pobte se weut conse tn 'dan~ re tin + V'dtomneeent qs je eens ant quelque chose de tour on soture. ous rotrouvons 1"4dée de 1a danse qui élatt 46jh tris taportante dans fats a eee de ese tL Io prouier polne, Yoilh An fin alore de ce polue Yass cette facilits mfx onse 1"étoasenent. Done rarles Jo gourrat no pas conprendze, 30 pourrsi ne res =e rappelery Be lat 1 "Jo n'ai plus exvie do répéter oa pensée, a théorie que vous aver oublice , Gee chovos ont remli Lour fonction, qu'elies aotent, Se qoril en eott do alae de woo thiorles, do vos desneins. Et ries qu'ellos soient pardomndes par ies sutreay Goane. Jo vous prio de pariomer in fois Le sal ot Te disae Le fruit de la saison dernidre est mangé Bt le Site gavde Finra dane Le penn vide Gar oe nots de. l'année paasée appartionnent ‘an Lancnge da tame pasaée Et loo cote do I'ennée prochaine attendoct une autre voix". De faux au foux esprit exaspéré prochde SYA1 leat revigoré par le feu purifiant ‘i Lon dost ee souvoir en mesure et danser, dana 1a rue onlaidie. le jour pointait. Alors il ne quitta disant une sorte dation, Pais £1 a¥4vanoult quand résonna le’ cor, Le trotstine nouvanent nevient A 1'idée dindifférence qui avaiT ¢ than centre de plusieurs des pobnoe préeddents. East Coker avait bldné les vieillerds pour leur peur de stattacher un antre, aux autres, & Dieu, « 11 y a dit Eliot maintenant, trois conditions qui ressenblent l'une & l'autre et yourtant sont différentes complatenent 1'une de l'autre bien qu'elles fleurissent sur 1a Bae hal Fllot disait + 1e tut atest Janaia atteint parce qu'au moment cit nous pouvons accos pir ce que nous voulions, nous ne désirons plus Laccomplir. Tei, il nous dit st con~ Eraize "eo qui était bon pour l'année passée état bon l'année pasaée, co qui Stait bon pour I'année prochaine sera bon M'année prochaine" naia A vrai dire il nty a pout-Btre pas Stella tt atat tte pelt tace pe Contradiction, parce que ctaet préciséeent pour cela que nous-stnea eyant changé dans le fattechenent au moi, aux choses ot aux perscanes, Gélai dfune amnée notre but ne peut plus Gtre celui que nous nous proposions d*abords Le détachenent du mot, des choses et des personnes. Bt entre 1es deux sane doute entre un attechonent avougle et un détachenent atérile, ervissant entre lee deux 1'indifférence qui ressectle aux deux autres comse 1a nort res sonble A 1a vie, Ltesprit voyageur qui va entre deux sondes devenus senblables néprouve plus les aiseioultés dautrefois. Je troure maintenant continue "Kallamé", Des note que je n'avaie janaie pensé prononger Bn des rise que Je n'avais jenais penaé reviditer Quand j'ai laiesé mon corps sur un lointain rivage Bt pulaque nous nous préoceupons avant tout du langagey Bt que le langage nous poussait A donner un sens plus pur aux nots de le triby Bt Nanener Lesprit 21a yostvision du passé Bt b le prévision de ltavenir Btent entre deux vies, non florissante, intre Lortie vive et I'ortie norte, Yous evions aéjh vu que, a!inspirant de 1a sagesse de 1"Indo, 41 avait dans "Lee ‘Troie Sauvages" expliqué qu'il faut au-dolA des énotions, rejoindre este intifférence. Dane le morceau précédent de "Little Gidding” "Mallarmé avait fait allusion & dew non dee qui deviennent samblables l'un & l'autre, ot ctétait cette rencontre des deux mondes gui lui permettait de prononcer cos soto auxquels d'abord il n'avait pas penaé, Ltindif— Térence dont-Al nous eat parlé ici est entre deux vies, est 1a rencontre de deux vies. (2) Nous! n'y étions pas. 58. eect une parenté, une analogie, une identité entre les deux monies du mouvenent pré- cident et 1s deux vies do ce souvenantci 7 de Lindiftérence, 12 pase, sens nous oxpliquer tris bien coment, d 114Aée do le pénoire. Quel eat I'usage de la nénoire 7 ot cfeat oe quiil va expliquer. Ta mésotre est Stile, nécossaize pour 1a Libération, non pes, 1ibération do L'anour, mais au contratre Eeaiton de L'amour au-delA du déeir (come sous avions vu dans le premier souvenent un Guedeih dv langage) et ainsi Libération par rapport-B l'avenir, ausoi bien que per rapport Br esods Lidge du toops, du pasaé, du précent et de L'aveniz, est an contre de le séii- tation 2iELict et {1 s'agit avec ce temps de faire de 1'éternité ou de voir comment de oe Toupe on pout aller d'une cortaine fajon jusqu'h 1'étemité, Il y @ une expansion de 1! Geokr qui nous fere dépasser le désir, T1 dome un exeaple, L'anour d'un pays commence fer I'attechanect Aun chan d'action, 4 notre propre champ d'action, et finit par trou Ter que L'action est do peu dMmportance, ben qu'elle ne soit jenaia inaifrérente (toi TEE tstion se posoralt sbandonne-t-ii donc 1e précepte d'iniifférence, Lihietotre peut-dtre servituie, mais l'histoire pout-Stre Liberté. Il faut donc avoir conscience Wiis faut egarder I'histoize do ‘elle sanibre qu'elle nova Libbre ot que nous réconct Tons les ennenia dautrefoia, lea partis qui étaient alversaires les una des autres at trefois, dans une sorte de présent intemporel. Yols maintenent elles #*Svanouissent, Lee figures et los places en nize temps que 9! évanouit ‘Le 204 qui, comme 41 pouratt les aineit, Pour revenir renouveléa, trensfigurés dans wm autre motif, (toujours cette 4860 du motif de tapiszerie au-delA da teupe ot gouvemant 2e tempo). Bt stinspirant d@ Julienne de Norvich, 42 nous att 4, Le Péché eat indvitable, Mate tout sera bien Bt toute manibre de chose sera tien, SA fe pense A co Lieu, 1a tout oe qui ateat passé dans ce nonastbre ; si je revota les homes d'autrefois, Je les Foie unis dane 1a lutte nése qui lea séperatt, et ctest 1a pensée d'iéruclite de nouvem [oe nous retrouvens ; Béreclite dieatt que 1a Justice et le procks sont en séne tenra Gait, Itunton dea contradictions qui étaient au centre de la figure. Eliot voit deo gene pen fonplétenent recomandables ... quelques-uns d'un génie particulier, tous touchés par tmvgénie comm "le Roi et 4rois homes décapités prés de 1"échafaui ot eure ennente! bt 11 voit Crashay ot 12 volt Milton qui Gtait du cbté deo ennemie du Rot, avec Crom Nell. Fourquol devrione-nous célStrer cea norte plus que nous néses et nos contemporaine (poi sommes dee nourants 7 IL ne s'egit pas d'évoquer le spectre de 2a rove (at celut i prentor pote, ai celus des Iuttes royales) ; 11 ne stacit pas de rappeler & le vie Jes Vieilles factions plus que leo regles postiques des années passées, Tout cela est réoor Mié par 1o fait que nous yoyons le "pattern" , le motif de Ithistoire, Ces houses Gt ceux qui s'opposaient , et ceux A qui ils stopposéient acceptent Le constitution du Shonoe ct sont Fegua dana lee plis d'un aeul parti, Qvoique nous héritions de ceux qui ont 448 couronaés par la fortune, nous prenons en néne teaps de ceux qui ont été agfaits, 59. ce quitls pouvent nous laisser + "un symbole “consomé" dans 1a mort." ra bien, feait-il avec Julienne de Sorvich. ear Toute antdre de chose sera bien Por la purification du sobile Dane le terrean de notre impleration. Milton 4ci contemporain des événements auxquels Eliot’fait allusion rejoint a 46 Norvich “Tout est au mioux, Tout est au mieux trouvé dans la fin). scatinaemae Le quatridue souvent eat un mouvement de fou enflamé, Lm coloabe descendant brise Ltair Diune flame de terreur incandescent. Dont lee langues proclanent Liuntque ecqut ttenent hhora du piché et de "erreur. Nous somes acquittéa du péch6, TL atagtt de so purifier par le feu, d'8tre rechoté du fou per le fou, come au ‘temps par le tonpe, mais dorridre ce feu - et encore ici {1 ge souvient de Jultenas de Rorvich, Que trouvons nous 7 Clegt ’anour, Qui donc inventa le tourment 7 L'szour, Ltanour ost Le nos gubre fanilier 4 401A doa mains qui ont tiowé be tunique ariente, intolérable:de 1a flame, 449 c0 nouveau ot Sterne Kossus, Seulo 1a grtco peut 1'éearter, come soul 1"-oar ia tesa. Noun ne vivona, nous ne souptrons que consumés par un’ feu ou par Yautre ou, par 16 feu de enter ou Je feu du Paradis : ieee me pit mt i Mamie rom ope te ee = ore ne i assay neds Mana ne cocannn ota i of lonely Mo Co one nous appelont 18 comumnoment oot’ souvent 1a fin Pinir cleat comencor Ln fin clest ce dont nous partons et 11 va prentre d'une part Lexenple dhine phrase, d'autre part 1exenple de action : Sate farese et taute proposttion qui cot fuste, (et L'inage do la danae revient) est une fin ot un comencenent. Tout pode est une épitarhe, oat qualque chose qui conclut et toute action eet un res vero le fou ou vere 1'échafaud, ou vere 1a gorge, de la mer, ou vere 1a plerrs illisible, et c'est cela dont nous partons. - Lee comentatours ont reaarqué avec Juste rataon qutict 41 y a en quelque eorte, un 60. iow aytbolique des autres yotsea, L'Gchafaud, nous verona den parler, es perlens, ie cee reece y Ln gorge co 1s Uer ce sont "Lee Trois Saurageo" ¥ 2a pierre {134- Shoie 12 y avait fait ellusion dans le deuxitne quatuor. Nous vivons avec les mouranto Tis ston vont et nous allons aveo eux Nous sommes né avec les norts Yotay ila reviennent et nous spportent avec Sty que nous sourions avec les nourants, oe nteat pas le pannéo héraclZséenne | Hise juan" cous fit que nous oaincene avec 200 norte, cfent Dien we penese STAGGASlN tS Guat Ay pulngue loo vivente naiasent 60 Ta port come leo sorts natasent dee v= seo on retrouve 1'idée dane un dea argunente du Paédon, ue nosent de la rose et le novent de 1'Sf Sont de durée égales Le annont de I'1f test 1s sort 5 10 novent do 10 rose sous rapyelle 2e Prestes quntuce, on pourrait comparer éTaileura co passage D cortains were te Sie, 3s toe guatuor, C2 D°iT tenga auquel toi Lee eutren aont éguux, ctest te tone de ie pulsation avons oit%e 4) ba an tonpo moinire encore quo celui de 1a pulsation dYune artbres st pas racheté au tenpa, TL faut donc adsottre que sf Un peuple sans Motoire n' ‘Sous 16 anon Re eSchaté du teaps cleat par l'histoire, oar i'hietoire est un sottfy enpe nous trouvons 1e non-texps dea monents de 1'histoire, es prestera vors du proaier quatuor nous yossient La question de cette 1 le87tioe par TeUeEiTGn teqgo, et HLiot nous Gisatt que ttl y « une sorte de bloc de daster oe Ter TTE'peut pan étre Tashoté, Si tout temps est présent pendant 1! Gtemite 16 Sones tears Be taofble, irzachotable et {1 pense que co temps peutafStre racheté oF comeant cat see rtsil 7 Crest que L'histoire est faite de mosents tntonorelas ™ pave 7. sole oe re tcseption de 2ihistoire telle que ce qu'on voit ve auccéder dana Yssatoine- wee aa penaée de Spengler ot ctest dune certaine fagon 1a pensée de Poynvee » 0 Shot fee echineo gui ae retrouvent toujours de sorte que dene le teams seed Taveras sont clone qu ost stable ot une ouccension do cen différentes stabilities 2 coat Sree co Rous pouvons méiiter, dit slict, tandis que ta luntbre tombe icf fee C0 a cole coe Mivnipioure, ithistoire aoe, neintenant, on Angleterre, "Aveo Iattrait se cet amour et lavoix de cet aprel"s crest 1A ws citation du début du second chapitre du Tuage de 1!Inconnaisseses Viancur aus atrise sana se nowvoir, tel lo Dieu d¥aristote ~ le Dieu wu per Dantes of Llano pegcel cot aprel il vest fait sentir depute Te prester nonant sous 1a fox0e £1 yao Tee eafante dans le Jardin do Burnt Norton, pais on fut 1a cloches 7ai8 te Fore see nvoorta. Tout a 6té, a long de ces quatuors, appel de quelave chose qui Rteat rien d'autre, nous dit-il, que 1'ssour, » Nous ne cesserona yas notre exploration". In avait dit aux vietllards afse dtexplorer, 1a seule chose que nous avons & faire 61. teat da nous Linzer & cette exploration de Tunsvere 5 elle nous fat nivere 5 elie nose fast aller Su"Sctnnsat atu omecnerh a ny ota Fog fate notre exsloretion sora iFarrver 2h at noe somny part o co oma tre 2p ies pour te preaibre foie hk freer ie gorte Socom se ton ows feo someon (Nom rprelea fart teers gen et 1/union du jamais encore et du déJA une foie) 7 quand ce gull y avait A découvrir en dernier Liew ‘sur la terre (1) Bat co qut était ax début Ale source du plus leng fleuve (2) a voix de la cascade eaché Bt lea enfunte dans le poaier inoonny Brtendus, desi-eatendus dana le tranquillité antre deux vaguos de 1a ner, Vite saintenant, ict, maintenant, toujours, Condition de complite siplicité Gui ne codtant rien soins que toute chose (3) Bt 41 zeprend oute chose sera bien Toute manidre de chose sera bien, Quand les langues de feu Seront pliges dane le noeud couronné de feu Bt que le fou et le rose ne feront qu'une sox in gana parva 8 réconciLiation cherchée au nonont de 1"intersection du jou dens 1a croix, de 1a rose dans 1a croix. Voyons maintenant quslsuss ressosblances entre Len gutuors ot certaines oeuvres d'Bliot. 7 Bes foe TL y a deg thane que nous trouverons dans les drenes "Eliot, emp) S 00 drones d'Eliot, per exemple dans "le Réunion de fasitle" un des pervomagee dit b Lextre : "eect eat come une fin* et 24 agtze roprnd “et ctent aueat wn comencenen Deng Ie ése drane 20 retrouve 1'idée oo dou snes, Tl y a parfoia Lea nbseo peyeages,: 2a casoule Lointaion, Lee chante Aoiveau b mostié entendus, los rires des onfants dans le vorger. Yous avoun olgnalé Les resesblaioos avos 16 sagnese do "Indes 2 sugesse do 1"Inde, 24 mine date Durant dere pon st vn Gatto Sug Sud Bghart tia ala a S derit quil “avait ou coractonce o'Otre dane un Gtat do ayotiCication™ cette aaane- se de 1'Inde ne l'avait pas satisfait. - eee 1a concorvé copuntant catie t86e que 2 stéo te 1 oun avons citto de le Baghabattta 1 colut cat au coven do'ba nort > creat Labolt ul parle ~ pente qu'il wa son corps et atteint mon étre. oi eee (i) ia Hist al at a ple ore ; 2) nove nou sappalona foldsrlin come 41 y 9 un dngtant Toalia (5) et. ta sseuane dortent. peer eee 62. 11 serait trop long de citer tous los sorceaux de classiques frangais, anglatoy Steniene, aiionands perfois, wuxquels Eliot fait allusion, Il y a ce fraguont de Fascad SIO NEEES Gusrit lee douleurs ot les querelles perce qu'on change, on n'est plus 1a nse tatocane joni Loffeasant, ni Loffensé ne aont plus eur-aénea", suguel nous avons peasé ver vmmeatent le un des @atuars, La comparaison de 1a terre avec un hépital vient de ‘Tronas Brow ous avions rappelé auioi quelques nots do Dente. Mais ctest pluttt Saint-Jean de la croin, Julienne ae Worvich et quelquee autres uyatiquse qui sont le source de 16 Huwle aiElict. Je Teliral ce pasaage de Seint Jean de 1a Croix "Lea comunteations, qui saeeent de Dieu ont cette propriété quielles hurilient 1"Bne et qu'en nae temps elles Jretulient™, car aur ce chesin ” descenire + cteat en nies temps sontery nonter c'est aaa celui qui ethuntlie stexalte, et colul qui stezaite ethurilie™, Cela ressen sree bis h Pesoal et 4 Héraclite, Crest encore une figure une et multiple comme nous Te totes tout-Ael'houre pour Hallaraé ot Dante qu'Blict stest fongée ict. TL a fondu Vedio néraclitéenne deo voies aveo les cheuine de Saint-Josn de 1a Croix. cleat dans 1a treisitoe Révélation de Julienne de Norwich que nous trouvons le passa igo our le péché cité ans Little Gidding, "he pécné oot inévitable (ctost ainsi qu'on, He sect msnccnionent Ie wot anglais "Pebovely" ), Maia tout sera bien et toutes les sanitrer dae rane coront bien” ot dans 1a quatorsitns Révélation est lorigine de le fin du qua ‘hase morceau, "1a purification du zcb{le dana le terceax de notre pridre’. Je euls ene’ sentenne de Horwich, * le fondenent de ta pritre", Bt encore dana cette nfne févélation + Qui eat la cause de toutes choses, sinon L'atour ? Gut t's SERIPE cole © Mest Itanour". Leanour Stalt eu eignification, Que t'act-il soutré 2 Yet. pourquot crit vee aoateé par amour", Ltazour, ctest cause, contem ot fin, "une comaftres of Wo Srprentras ebouno autre’ chose aaha fin". Ttautour inooomn de "Nuage de 1"inconnaissance" nous dit "an soa de Dieu nous ne powvons pas penser et Sl fast que nous choiaissions le chose que nous ne pouvons pas peo see 7 par I’enour {1 pout Stre ten mais non pas par le pensée". on pourra resarquer que de chiacun de cos quatre quatuors A autre 41 ys ée culti- ‘ples pansagess Le thine du voyage revient A plusieurs reprises, ‘hu deuxitue nouvenent du dernier quatuor, les roses du prenier quatuor, 1e sur et 18, suaison du secon, 1'eau norte et le sable mort du troisibee sont évoqués ; ot de née ax Ctequider souvenent lea autres quatuore cont & nouvesy renéeorée et ebacun des quatuore Genene pour einai dire dans leo autrea. La fin de East Coker s¢ dirige A la fols vere Gant Coker ef, vero Little Gidding, Lea uaisons lient Gast Coker & Burnt Horton, 1a ner Best Ooker et’ lea Dry Salvages et les dernibres lignes de Little Gidding retournent vere Haast Norton, La dange de fest Coker peut oe nouvoir ea seoure au travers des foax du Furgatoire et pourtaat ocintiller dane 1a discipline du langage. Rt 1a roa deviendra 1a rose de I'histoire. (a) Rappetone los nots de Willian Lav, "Le sosbre déeordonné feu de "Are peut @tre suse Ben ie tondation du efel que de 1'enfer. Arrosé du song du Seigneur, 1e feu deviant un feu do lusttre" 6. ce que ous pourrions csbayer de faire oteat de vols on prenant lee monceaux aul ant leu snare s'il 7 a uae coratitition par extaple du presier sorceah 30 precio Ste ait reveblr percent ws resi tren enemy an ener Doroean au troieibee, to ser tans unt Yorton", 1a question ponée eat celle du tempo come coast do anaes oirte ates nt coals tisigd sorte Lion ch noun somes f Ay eum see flav eat fol Barve Horton pour ie prenier tortor et qu! est co nonatire de Little Sciaing pour derniers Pourquol y artil ft teapa ? Paroe que Tow eo pOurion® pesy Grapsbs Elioty oupporter a*8tro en préaence do I" Gtomit, que co soit 2'éteraité de Souiour ou 1"@temnits de jotec Lo tensa eat we sorte de Fidequ entre nous et 1" éteraité. How oon ft ute baa oli et st a Fone fs wre Iesrooy __.'9, tosien soronas dx eoond quatuor nou donne un des sotife easentiele palaaie ‘test 1h que nous trouvons “aon cosmencenent est ma fin". Ainsi quoi que nous pensions Ge ce tecpe come rideau, nous voyons que déj& nous pouvons, en nous éisant que la pre ire pertie sens ot ln aon nin Le dersice, per Gur te rans est uno sorte atiituston. copendant 11 y a du teape et 11 y a dour sortes do tonya. TL y le temps your ¢ espa Sur a sotason, eape Pout ln noureituney ete rar 88 pa S17 0 le taupe of on 1o"Sfona dane I'ordre’du Ge wer Le tome. deo sesns j i2'y a dows h te fots co tape tor ct co teara do qui a'uniovont Lrun a trantre four Tonner notre toma, Dans ce temps ES as succeodon béngchitéenne don SLs ul vont deaconire b la torre ot de La teste’ onter do nouvesn h la cha. Creat ine aorta de dames. Au-dessous de cole 11 y # un tompo plus profond ; c'est le teape du premier sorceau Gu troieitne quatucr, le teape du fleuve et plus encore le temps de 1a mer, le teaps de fa houle, le fleuve on tent que non dompté, le fleuve en tant qu'il nest pas sous aur ponts, aix navires, ux houses, et Le houle qui est ce qutelle était et qui nous donne ‘ine stabilité dans le devenir, une union de la stabilité et du devenir. Bt nous arrivons au quatritne quatuor oi on voit une saison ot les tempe sont proulllés, ine seieon euspondue dana le tespe qui n'est pes conforms & le convention, an covenant du toxps, ot ob tout est contradictotre, senaih my teem en ey fue ett Fit goa apt, come quer avec les morta qui eu yeid iol ot mille part ot on Angleterre aujourd?ia conséquent toujours. re = ea ‘ela sont les quatre preniers mouvenents, et nous allons etorder les quatre seconds nouvenents, Dis le début du douxitme mouvesent du prenier quatuor, 11 nous dit qu‘aa centre de ce nouvenent untvergel il y aun point fixe, {1 y a um hoya qui pour nous pour Yo moment oot enbourdé ; mais peut-dtre y at-il moyen de le transmier, do le purifier, de 1'Bter de la tove pour itunix avec 1a circulation des astres. De mfce qu'aa centre de Ltarbre d'une rous 417 @ un moyeu, de aéze 41 y a au centre du devenir ce qu’ELiot fappelie le point tranquille qui nfest mi chair, ni sans chair, ot qui ne vient pes de «+ st ne ne dirige pas vers .. } clest parce qu'il y ace point qu'il ya la dense, ot on ———— 6. ‘chose feusse dans cette expres ‘ne aavona yas ob est fet nous no savons Pas um sens on pout dire qu'il nly a que ia dange, La seule Wm sent citven francais le "y" 5 2a danse nieat nulle pert 5 See sion serelasce quielie nest ulle part, cette danse universel2¢, Vatton de texpe elle dure } elle est hors du teaps. ot apperatt 1'446e de 1n Liberté intésioure b 1'dyard 4 déeir pratisnty Le woo saayel tonta do répondre le trotathve aouresent du trofstise Custis iuiot a 1'1dée que oas devons transmuar 1es choves par une opérasson SO'e% appelie note eet staat indo proche je pense 4e 2e Auftabung hegeltene j e129 2008 yernottra eres oo sonde Je eréar wn gonde nowvestt+ yess 11 faut Yen nous rendre compte qus ce temps dont nos avona dit dh mao ane (aatgctons Par lily, nous somes niece protéess que lee homies de 1'VnSei%, Hous, une Protections de conscience avons-nous dit, Ta présende du panes, le présence Se 28" Blavend 0 Percent ia prégence que de peu te conscience, Stre conscient @\cst ne pat YERIT ne oom copay crest dere hore du teapa, Bt poartant, le qowvenkr ent WAy apportant Fire gare "Gappertant avec nol du pasad et nbue pout-Gtre de Lavenirs acheter 1e temps, Nalgré co que nous avions dit dans Yenps, mais ce racbat ne peut-stre i faut, & travers le temps, je preaier nouvenent du presier quatuor 1 y a un achat éu wrrrae faire que par le souvenir ; ce nteot quo par le tenpe que Je taupe rachotés or, le deuritue quatucr uous apporte cette idée qu'il y «8 1s fois un sélance seiscne conse le dive t nowent le dernier quatuor quand il fera aprarattre e Drieenee Seisone oma’ yihiver ; 11 J a us tarsif noveabre avpo gon trouble printantor dane 2¢ ies cmtuor of M1 y # sigat une succession dea aaisons. A cos deux 1d6ee pyocede douripee a nous avons eppelé *la déception da motif" 7 L'expérsence ne nove resselene Senate A foupa, Z1y a sno sorte de contre-texpe ; Ls satiafoction vient epsieer wt Aéeix que nous uavens plus. ‘pourons, jetant un regard sur le pases, 1'évaluer de fagon nouvellé. eis Pour aller 2 cette nouvelle éraluation 31, faut paneer Per Maat tt rasan eared got un couvossat sana fin. Yous avione noté que 1'idée de fin ent 2°tsee Seay Site finn) ot du but . Lthunilité ost oans terse ot ‘ci ctent 114062 de final, male en passant A travers elle nous nous 1ibbrerons. TL reste copendant que nous te deuxtboe soureaent Gu troisibue quatuor comence par uno figure, aderit 1a se9- conte da tate hous, Te dépériasenent, L'outropie. Tout va vore Le ruine, Mais cependant conte hoo que nous pregons conscience de cette sarche vers le destruction nope fait vennoneiation avec un’a“a'ebord et ensuite avec wi oh Liintérieur de oe double mouvunent de direo- ‘prent on elle-sine 1s non -éaotion ot 10 ‘germee seront Tepria au troiaitee ofis af le lmontation paratt ne pea avoir do fin, cleet ‘douridne Bouvenent du second quatuor, que nous trouve ‘Hon inverse, nous trouverons Aévousnent enna ettachacent, Hous verrons comsent oo ‘ouvenent 4u troieitne quatuor. Gang 1'humi1ité, rappelone-nous 16 rons le véritable sans fin. 5. __ ELE re cn «apn i ts yg soments de yur ou plutSt encore d'illumination soudai: 2 meat ate tfc ie ‘éterniser selon L'expression 4", esate elect 7 a tay tdi ecu san ci ares nae maa . res ". Sn méze teaps nous intéerons notre vie ® la culture et aundel “ae Shen inter ond tae ona Simchat cee a jut nous inporte encore davantage et les moments de le so. autres creat Lodge STS hee a Emcee pre ana gee meet eR riers at oer Se ne eae EERE One Se ioe a ae oS SLPVRnn Aalto airs eee e aan te are cain ng eae oct ant Sr ereai creed Sat ae SUMSRAN YA Gia Soa ure che oa ee Sete Soler pes eas Se ee souve xe quatuore, un souresoat vers 1 sent eat, dana lee doux presiers @ csroant er sea esta earn "Elum punt ole Go la mat ches Zoe sratinty cfarticalter cher Saint Jean de le Croix. a sa net se te Tene nsme mae hn rat ain ty omits se fe ae om mda noe premier quatuor, dans 1e jartin, ya dea norte ot iia pi ee Linc ne SSE Seite chacun Sur, ie Jour prey sper a " se £0 lumiare ives me rE a ct an eate Le mut pares aw i e manent, co n'est $itE iapprofendiseenent de 1'Boe. Hats Te Lieu cl nous sonnee i le Meu du jour, ni Cleat plutbt le Liou dtune sorte de eta, aeons. eae aeetacy at ls lieu din pasty ‘ ‘divertissesent sans signification, ain cou, content gue 10 pronter seat do on toiatbon somesant 1 fash sone rats cele fers Te oondo Gus avost pas sm sondey WS dem worn Donec hon prastity ot gal nesta Thy 70ur aii @irey - i ‘et de la déprivation, monde Tare eee der'nonle do Le privation ot de le déprivatio ‘esa notsy uoniey Sowde fe fale le portrase daur-un do aos pobnes antérieur le pays gité. Pour deux chenins, nou er vers ce monde inférieur et obscur, 11 7 & peut-btre a aay ER TN TES LEED Gescents, ot ula 127 a's cba twnucop pee 5° ay rise lcaioer, gil est tel que, sens souvozant, pour ainsi dire t dans cotte obscurité. catte Lae de I'absence de souvenenty elle ne pourre sane conte otéclairetr que per in suite par cortaine analogie avec 1a sagesse orientale, tobscurité, cleat celas ce monde de 1a nofreour et de ltobscurité, © . dona Je troisitas mouvesent du quatuor suivant, "Bast Coker” que nous rvtrouvons encore fui comence par pea nots t 0 eoabre, sorbre, sosbre. Jet on nest plus, comme dans 1e début du mouvenant de ‘chose qui neat ni vide ni plein, on eat devant 1° vii npurnt Horton" devant quelque ton est perdu, 1e pays de 2a porte, le Croat ans ro paye ce froid, ot 16 pave ol t'op 205 Tiss Ts Eo. Cronk avec cette Gtemni profond, dans Ltents'acte 61. ‘ou thdftre, dans LtarrSt dans un tunnel, ou sous Lteffet de 1'éther. 11 faut alore at- fondre, abtendre vane asnoir car Mespoir et l'amour peuvent Btre espoir et anour A6ce~ ants, et gana ponsce pace que nows ne sommes pas préts pour elle. Nous verrons que peu Y"peu L'eopoix reprendra une place, Maia ici Eliot nous dit qu'il faut attendre sans eopsir, fot puisqus nove no some yas prBts pour la poneée, sans ponsée, Ly a néamoins, sous influence d'un retour bref di moment "illumination, 1'1dée que nous allona nous sentir non perdu, A 2a fin de co mouvonont 11 nous dit le contratre de ce qu'il avatt ait au dvbut, Nous ne sommes pas perdus et il y aura de 1e lustdre, Lobscurité devienira lunitre et cette tranquillité mortelle ob nous étions deviendra aanoe. Nala {1 faut copendant nous pénétrer de co nosent dlobscurité, de ce moment de 1tab- yence d'extase, de ce voent ol: nous ne sommes pas. Bt c'est pour cela quiil termine en truiuissat des’ vers de SainteJoan de 1a Croix qui disent 1e vote négative, 1a vole de LMignorance , ou come ait le ayatique anglais "le nuage de 1"incomnaissance" . préparona B recevoir 1a grfice, & savoir, & posséder, & Btre, A partir du troisiine quatuor, le troisitse mouvenent change un po + 1'idée d'pbe= eurité, qui dosinait dane 16s deux proaiere mouvenents eo change on 1'idée d'indifffrence, Ti nly a pas d'aveniy nous dit Krishna, T1 faut acquérir 1indifférence . Bt A vrai dire Alict wile ici 1a sagosse orientale Héraclite, car 12 parle ici de 1'identité des deux voies chez Hérachtt Nous ne pouvens yas noae fer ax tompe pour guérix nos blessures, car nous changsons ot celui qui sore guért no oora pes colui qui était malade. L'1dée a'in voyage de 1"fne, peut-ttre ise d'une fagon. sinirale 1/4860 de voyage, ai Lon dit que cleat 1'idée de voyage de moi, est une 1262 doutouse ; nous ne sommes pas le néme au bout du voyage, nous ne sosmes plus celal qui eat parti. Bn ce sens il n'y a pour nous ni passé ni aventr. Pew A peuy nous avons 1'idé6e que le temps est une i2Jusion, le temps se retire, nous powons envisager le passé et avenir, comme le ait Eliot, d'un esprit égal. a dis lors ni action nt inaction, Toi de nouvosu {1 reponse A 1a sagease orientale. monent qui n'est ni d’action ni d¥inaction peut nous permettre d'accueillir 1'446e qu's] Deut y avoir salut, sur quelque sphire atexistence que nous.nous placions. Ltimportent crest cela, clest gur une sphbre dVexistence, sphire d'existence idéale ou sphire d'exis~ tence réelle, 9@ poser. 4u mosent de la mort, mats ce nonent de le mort, au fond, c'est tout mosont, Bt par conséquent, sens faire attention aux conséquences de now actions, co au'it faut, cost agir de le fagon que nous peusons juste, ot cfest de cotte fagon qu'il fy aura des’ conséquances utiles de nos actions pour les autres, 7 ponsant soulesent A 1a Justeose de L'action, mais sana que cela pulsse nous faire eroire que nous sommes dane le royause du bien, nous atteignons A une action féconde. Bt jctest pour cola qu'il n'y a qu’h evancer, A aller plus loin, fare forvard, & aller de Havant (mais nous avons bien dit que 1a vote vers L'avant est aussi 1a vole vere 1? Hritre), sans nous roser de questions sur les buts ; ctest-ainsi que nous agirons réelle- nt. "Reprenint un mot du deuxidae quatuor, 41 nous dit cfent 1A notre destination. 68. sete mt entice wens ne tts gin, snr “cE 2 anti gate ta eo oss Snail ee oo ae pa mie e anne ey Ba ens Soot om an wea ig ie ence ks net Lens es tui ee Rae GRO al Sy Se to Bbc cee ay oy Ae ar eter Sei iy ee Stent Pehl i B/tae ainda teal et mS ous pourrons nous Libérer, et nous Libérer grfice b I'iatotre et résoudre einet ae peoblten gut dtatt poaé par Le teaps dba le pronier guatuor, L'histotre peut @tre Mir bertés cette expansion de ltasour n'est qu'une forse de ce qutil appelle 2a tranefiguretson du nail, Le Truafiguretion du notif en un autre actif" A 1a aéception du notte sCpoee oe eeeicalesent = ia tranafiguration du notif, TL y « posaihilité pour 1’home 6! ter TarsrEaNtnsion ie sos sentinents, et par 14 néve do tranafigurer oon histoire, 40 Tere ine ere guty Finslewent, sera bien (como Iontétt ot le grand podte ot 1e grande fails sorMialttn at Julienne do Horvich). Tout oo gut a été Tui apvarattrs come Bony 38- aystiaus* eee entérteures, car 1m Tutte oot en ste tenps une union é'aprés Eliot, conse Termbe Hareclito, it b seguro que se purifiera le notif te notre action, § womans Gepree crons Your une plus grande portion de réalité gouvernée par co sotif aBse oF Par Lamour Revenons vers nous , les mouranta, plutbt que d'eller vers les sorts, Ne retounons gus onarribre (aalgré 2o culte de 1a tradition), Savons-nous pes dit qu's} faut aller de Levant ? ‘Bt cola se tormine par 1'affimmation qu'il y 8 un terrain, un terreau de notre {m- ploration Fer conesquent apzbe le noneat dobacurité, puis le sosent d”indif¢érenoe aut Rirquaient cop trofsidess nouvessata, nows-revenons & 1'14ée d!ime pribre, or cette pritre, clest elle qui fera 2essentiol du quatritne souvenent, do chacun de coo quatritees noivensata, qui se dstachera aur un fonds dtobecarité et de sort, om Settouller le prenter, maie qui , en noe tenpa, affirnere qu'tl y a une lusidre tran Tiflis ul Drille par dessus et que dane cette Linibre nous voyons ce que now evious Te Je edlat tranquilte de ce monde tournoyant, uoyeu tmobile, grdce auquel Le aonte vit ef existe, point imobsie grace euquel toute ia danse existe, pans Fast Coker, le troisibn» mowvenent eot constitué par 2a vision de 1!hBpitel( st ‘edt le wonds, ob L'en eat soigné par un chirurgien blessé, qui sans doute est le Carist: Chest un aouvenont qui nous dit 1'utilité de 1a maladie, come le souvenent préoddent nous diseit L'utilité de l'obscurité, Bide mise que dane io précédent mouvenent nous surions tras finalenent 1's360 du point Hhetigiiies te vision se ternine par 1'iaée d'un fou dont les fIames cont dew ro- laa aie 69. ane lee Trole Seavages, le troiaiboe mouranent ost constitié par bre he surttaisy Sa procontolres Bt dans le dereior dos Guatior®, dana Litt Oitaing 1b frvaunce de la colonbe, flasne Ge 2eeprit saint, now acqattte de tous nos péchle, pu feu infernal, nous somes Gélivrés par 10 feu céleste, Bt alore que nous a¥ions dit De tallait avtontre sane sopoiry nus vayone guts] noua demande deopérer dan 2" nour et dans la grace Reece ous nous acheninone par JA au cinquidse et dernier souvenent de chacin do cos quatuors, Dans ces demiers nouvenents apparaft 1'idée du motif, de ce sotif qui doit Stre Gucdessus de notre durée, et qui est A 1a fois aouvant et éternel, Les paroles, les sons, neurent, vont vera le silence ; coane tout ce qui vit va vera La ort, Mais ily a cc notif analogue au point tranquille dont nous avons parlé, Le 2o- fit, 1a forme, DL y a un échec de nos mots (qui sont bien loin du verbe). Tl permet dtat~ felndre la tranquillité. L'oouvre d'art est ainsi union du mouvement ot du repos. Tl y a coexistence, Il y a done wie fin sprés la fin, et un comencesent vers le comenconent. Bt le comencenent et 1s fin sont toujours ici, toujours maintenant. Nous nous acheainons vere L'union du présent et de 1'éternel qui est 1a fin - sans fin de tous cos quatuors. Yous touchone & 1"éterel. Nous avons 1"idée qu'il y a une présence éternelle. Bt si nous sxrivons,et nous y erriverons, 2 penser que le motif lui-nfne n'est pas innobile, eet nou vant, de néne que ce qu'il gouverne, alors nous eurons 1'1déo d'une unité entre le notif bt eo git est doniné par lui, qui nous fera comprendre I*unité de toute la vie husaine, ‘et Bue de toute 1thistoire. S'L1 ost ‘vrai que le détail du motif lui-nfse est aouvenent, alors nous pourrons conprenize que 1'histoire est faite elle-atse de motifs, qui aont on um sens éternels & a fois ot nouvants. Eliot a aéparé doi le désir et L'anour, le déeir étant nourenent, étant non déoire~ ble, et 1asour stant non mouvement (agaf quand 11 est pris sous son aayect & dent réel de temporalité) , étant désiveble. Mais Zlict-verra qu'il y a un mouvement dans 1'enour, quion peut arriver A l'uaité de ces deur terses, d°abord disaociés. Dis lors, nous pourrons revenir au mosent d'illunination, ce sonent dans 1e jardin ae "Burnt Korton", avec les rires deo onfanta, et eessyer de le reprendre dans quelque chose d'étemel, Mais cect va Stre éclairé par les deux quatuors suivante. Meintenant, rows nous heurtons eu tempa sort, au toups nore d'avant et d'apréb 1'i1lunination. Bx ‘trioupheronsenous ? Diabord, et tel est 1e début du cknquibee mouvenent de Sant Coker, bien souvent 11 faut adnettre que nous courons A un échec, puisque nous durons et Fuisque ce que nows voulons réqliser, ai aosent ob novis le réalisons ne nous sports plus autant qu'au début cho aust, parce gun oo ur fait un pbts, ee autrenpo¥ten Tour pun ont fait a amt males con deux 126, 32 fant ennayor, ot cleat ce quit note ealt Git tout A reboure 5 quand 41 nous avatt att gudl faut ‘aller de l'avant. Ea réalité, on ne va pds vant, puiequton refait ce que d'autres ont fait, ce que d'autres ont fait ausoi bien ou mieux, mais on eassio. 70. st 12 no fant pas ae contanter do cog nosents 4's unination conse celui $e, "Psst nents ee GERLE Te point do départ de tous con potove. TL siagit de ie dunée te taste SitNdren monont intense, mais de toute une vie. Et toute une Ties CWle Si- we retton per seulement notre vio individuelio, aia 16 vie deo généretions iS ee eons en nue tonpe 1a culture, 1"uon des morts e+ des vivanta, et, par une sorte de contradiction apparente, 2 nous ait que t'dcl of be nants ant geet grisporter, puioguo ce gui inporte, crest L'unité totale de notre snivt nant ogeeant a ndue tango de toute 1'hananits, Kata 12 rovient enauite A D*S4%2 an6 U9 seat reseent importe. On peut dire h In fois les deux, on un cortatn Pew iaporte westes Dott del, et 11 Anporte éooraéaent que ce oot Sei, et 1'stemnsthy nous on sone eonsoience ict. ous youons aller vers wie eutre intensité, qui eat on réalité rlue grace. oF vere ane piaat otwnde aorconton, Par cette expansion du notif dont nou erions oarnés ‘eana doute faut-i1 passer par 1a nuit des sens, » Laqvelle fatsait allu- Pour cel avant et apra ‘son le troisione nouvenent des quatuora. Tl faut que le nome to sien ereegvionne Zo eoshrv abgolt. Bt nous errivons alors } yenser une gorte 3 ‘unton entre 1a fin et le ddbut. a natson, avaitell ait, est ce dont nous partona, nats ctest aussi oo ol uous eric yous, at atti est vrai que Lea morte et 10s vivents vivent et courent les une ras 2ea Tere: Bee iiie eat on afte teape nort, ot notre sort eat en stue tonne vie. Pane be £8 free, mo ereaenconmnt j dane a Sort son début, dans Bon début na fin ot Lo qustribee quar aor va reprendze on lui 1e presier. ows arrivons su trojeitee quatuor. las konents d'{1iueinetion ont une valeur tre grande, parce quay pet eux, noua dépassone Ye aoreellesent Qu tenpay on ranagy, Peles oF erento’ Trinairesont, ous ome dano un état de divertisaenent, Hous alloas vers 12 Srey nous infersant Aeon sujet, ou vere Vtavenix, prédisent ou privovant } aon #8ie% saeee, ae itonente dapreofondiaserent 40 nous-séasa, dans cee sonents qui sent D7be ee aines senente dvextace, bien quo eitués dens le monde, nous dépeasons pans et ere~ ir dang un préeent qui est au-delB du tompe. aie tout cola n'a de sens, dtaprbe Eliot; que parce qu'il y a le sainteté, que par cco quill y « deo toutes qi, come i1 le ait, yar Loboorvanca, or le rytine oe tent aT regotvent lee dons de Dieu ot font dieparattre leur wol. Les coments 4”vwaination Tits reresTga Bomnt Horton, ces moments qui nous inportent tant, n'ont de valeur que Par rapport b dee moments plus profonda, Hous aviona perié de la durée de 1a vie, unis 1a durée de notre vie n'a de sens que par Ln durla, raproe Eliot, do cos thes doutes de sainteté, vouéee b Ie snintett. Oar Pe oe wowonts d'iiiuinstion mondaine, si Je piis dire, ne. sont que des allusions cf see cejecturen, Ei b quot font-Ale allusion, ot que conjecturent-ile 7 Ctesty Sammie et pas autre chose que 1'incernstion, allusion & deat devinée ‘chest 2e réalisation de 1'union iupasstble des sphires dtexieten- n out A Vhoure, nous evions Gt que pou Saporte dane quatlo apbire de ous oops, Hl svaghe tu b'y faces u'0'y Hameo 1a Ten gee te pewean foter ‘Yaintenant, nous voyons qu'il y a une facon d'unir les aphbres d'existence. Et oi nous i Yee unteccsa, por ih afno nose aniagcom le paaaé ot I'avectr, Te déeir ot i'etour, qul Staten séparés, comme je le rappelais dans "Burnt Norton", dds lore seront tunis. Ltaction Moot plus avulenent action moe, aula action nourante, Tous serous délivrés et du pees to I'arents, cone Soishon Le youalt, Sena doute nouw-atho n'ettetgnons jas cette victoire, mais seulewent un reflet de cette victoife, Malgré tout, nous sommes les nour "iSlone yar notre vie et notre nort, abides I°ane hi'autre, du ao) signiftant. Cotte 1dde que a fin est le comascnsant, of quo 10 comencenent ot aun te ext tn f10, oe ne ee east a ee tetreonte’ untareaoun posvoos De ols stare Goer ot aim paraoen et aut ection Cleat ce gon nom Ait sdttio O.dding"y lo dernier untuor. Us talon de L*unité tee arte et doo vivante oat raprelé. bin tre, om cigeaeuon gue Iihatare ot rita tne 18 ate, Ins WiC airtea hatuactane ale do sovtr of lo tepe pet C29 Scher ee ee Ee es cee oe higarteston yun Sterne ni l'éternité de dovleur, ni méme 1'éternité de joie. Meis ce temps qui fait que nous a A ee es eect tice ana wreirL erect meno da onclence st tonoaup fe rain oo tee qu nota pruut de Wotr In TOnlité selon peu A peu, peut-il étre racheté 7 = oveaaiaal “ : 11 peut tre rachoté par lui-atee, yar 1histots i stoire, parce que sous l'histoire nous Aécouveirons dea wotifa, dee zotifs qui sont faits, dit Eliot, de mosents éternels. Atsat, nous conprenoe ov gi"H4at diaatt tout ax 7 qui eat le moment présent. eee eee Liappel qul stost falt entendre tout au long do a au long dee quatore se fait réaatendre. Lops) vers Lczizind nanans £ iferporaisor incoents app wove 10 toujours come janis Thun, Le Weix A dottié entendue eet 1"Geho du secret A moitté deviné (1"Inoaraation). De toute 1'nistoize, nous devons avoir conscience, chacun d¥entre nous, et A checun qui eat notre maintenant, Bt font souleoent ainsi gue noun vorrona, d'une part ; 2 rons, d'ane part, que tout eat ban, ot que rot fatty et a vic Su anno wasn iy etre ie Seen & fame vimentin tm none Safe carne oA yaar we tain 6 fn ot > a Yous avons vi tour & tour las différenta motifs de L*union de 1a mort 12 notife de L'union de 1a mort ot de 1a view 4g none aorta dotvont yao nus importer lun ave soupaae, qu somee smurentsy nant doa mort eet stporte qu) ronat Yous oaiaong ares ep norte ot ow mourons avec eux ot ile meurent avec nous, Se mBlant A ce motif, celui de Ja contradic tion, des contradictions succeseives ot des contradictions simultanées, coune dans cos saisons qui se oBlent les unee aux autres, 1/4d6e de 1'union des aphires d'existence. : Re ot aon vient le tenps 7 Dtamte Ju viennent toutes cea contradictions, ere raat oatt goat in Feponoe bi Gatgeo de Lvunivors ot te ‘ sone ‘tlennent A ce qui contredit les contradictions. Mais a! Bidet, 11 nty a aw nour, Ainoi lea contradicts prendre, conparer stricteuont & Eliot, car ce Bt nous allons maintenant + sens 16 c os sont ats Quivers différentay nale nous’ pourrons capendant noter certsinos analogies, Blégies de Duino, de Rilke. -~ ‘opronttion de Lenses das quatre sree de oxtte, oun sounen feapin par Moprosttion 4 = aera og sete TU Saran tw asa poursa nov paratre GOuremer se ie MET ih de ntomeen, Toaatong fn Tot og wore so eee ae ue now soaren trenoportée, oh 2 fot so mle 6 Denyoup vias terrlLle $0 2% ond ie sanlot io ome, Rilke paste do torritie intut a dans apparition Se 10° Deny io mite otfiigéeay dart Len pranshres pages des E16 A en pouranen ot an Te oaitly noun ALt-i) y ant que Le PrRier tment de 1a terreur. te prenier regard des anante oat plein d'eftrol, Ltenfant Tout ange est territi nine oat offrayés Lisade de Dieu eat présente, ® poine présente. Dans 1a tuitiéne Eégie, les perce ont Dieu devant eux. A uh romont do 1a Troiaibss Slieke, Ritke nous Gtt sve pone pe ea cetterions rex 1e voix de Dieu, encore poins que nous ne suyertons colle des anges. Quen Fleur contest, sus fortecent nous presaent lea ceux. Hotns forts aie lee gecrariotont bien plus fortesent que mows. Nous Les supporters Juste, 2 peine, ea anges sont, nous verona de le dire, terribles, terribles parce qi'tls ont une existones pits forte quo la nOtre, stirkere Dasein, ce sont, dang 1a deuxiine Régie, dee oiseaux presque wortels, Dans une autre vie fs natetonant See oun un tayect rayonnant, au gown 42 Zebie, Nets sain oe sotto vemat vore nousy ie tatienent de notre POPS coeur pouteftre arturatsad Lis vont dangerenx. Bt af nous abattrait. ig restent néancoins dos "réupoites prenttres” cone un blenheureux ou Paradis 26 punter The sont cooontdeljenent deo mizoira, dea mircire de leur propre beauté, W'{2e Zoprenoent pour etast dize da leur prope’ visage Mais ams toute Drenseni-Se ooo ener quedque chose de notre essence. Tl ne pout yas sens doute Te savots SGenowent qui est Le tourbillonnesent de leur vie et de leur retour en soi ty eurataes, is sont inaaieiassbles et yourtant ilo ont certaines fonctions =, ‘tniquos que leur attribie Rilke, redressant Lea panting que 1!on nous donne on apeerec}er Jouunt avrdossuo de noys ot surtout racontant oo que L'home « aouffert et SditiS. a onto que nous dépeint Rilke eat b&ti sur un fondenent qui se présente vide tant8t come une raideur aride. Be Rilke parle de In suprinatie (Uhorgevécht) deo outta. Les ezants aont dans 10 souffle de 1a nuit aux grandes rensées étrangbres, ile sont b 1a fenttre noctume, dane Yes malts hautes de 1'

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