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B’ M
A’
J N = s(M)
I v
O u
B
P= h(N)
A
Dans tout l’exercice, pour tout point M du plan, z M désigne l’affixe de ce point .
1.a) A' B' a pour affixe z B' z A' 2 i et AB a pour affixe z B z A 2 i d’où
A' B' = AB : ABB’A’ est ainsi un parallélogramme.
AA' a aussi pour affixe z A' z A = -3 + 6i.
De cette manière AA'= -3 u + 6 v et AB = 2 u + v d’où AA'∙ AB = -3×2 + 6×1 =0.
Alors AB AA'.
On a prouvé ainsi que ABB’A’ est un rectangle.
c) s étant une similitude indirecte du plan de rapport 1, il existe deux complexes constants a et
b (avec a≠ 0) tels que z’= a z + b soit l’écriture complexe de s.
2i (2 i ) 2 4 1 4i 3 4i
L2–L1 donne 2+ i = a(2–i) d’où a = ; alors d’après
2 i (2 i)(2 i) 4 1 5
L2 : b= 5i –a(3+i)= 5i – (3+i)(3+4i)/5 = 5i – [ 9 –4 +i( 3+12)]/5 = 5i – [5+15i]/5 = 5i –[1+3i]
soit : b = 2i – 1.
Finalement s est l’application du plan vers lui-même qui a tout point M d’affixe z associe le
3 4
point M’ d’affixe z’ avec z’= ( i ) z + 2i – 1 .
5 5
1 1 1
2 a) z C (6 8i)(1 2i) 5 i (6 16 i (8 12)) 5 i (10 20i) 5 i
5 5 5
d’où zC = 2–4i + 5 – i, soit zC = 7–5i .
1 1 1
z D (6 8i)(3 i) 5 i (18 8 i (24 6)) 5 i (10 30i) 5 i
5 5 5
d’où z D = -2–6i + 5 – i, soit z D = 3–7i .
b) A' a pour affixe = ( -2+4i) – ( 1+i) = -3+3i tandis que C a pour affixe avec
= (7–5i) –(1+i) = 6 – 6i ; comme = -2, on a C = -2 A' .
B' a pour affixe ’= 5i – ( 1+i) = -1 + 4i tandis que D a pour affixe ' avec
’ = (3–7i) –(1+i) = 2 – 8i ; comme ’ = -2’, on a D = -2 B' .
Corrigé
1. Avec z=x+ i y où x et y sont réels, z = x–iy et (3+4i) z =(3+4i) (x–iy) = 3x+4y + i (4x –3y).
1 1
Comme z’= [(3+4i) z + 1–2i], on obtient z’ = [ 3x+4y + i (4x –3y) + 1–2i] soit :
5 5
1
z’ = [ 3x+4y +1 + i (4x –3y –2 )], autrement dit :
5
3x 4 y 1 4x 3 y 2
z’=x’ + iy’ où x’= et y' .
5 5
L’ensemble (E) des points invariants par f est la droite d’équation -2x+ 4y +1= 0 .
On vient de voir que pour tout point M du plan, s(M) = f(M) d’où f=s.
a. On remarque que 4×2–3×2 = 2. Soit alors x0 = 2 et y0 = 2 : (x0 ; y0) est ainsi une solution
particulière dans ℤ 2 de l’équation 4x – 3y = 2.
____________________________________________________
Finalement x’ = Re(z’) et y’= Im(z’) ne sont des entiers que si y=4 + 5k où k ℤ..
Énoncé
Corrigé
A
2,4
L
v
O u 1,2 B
Partie A
1. Avec a et b complexes tels que a ≠ 0, soit g la similitude directe d’écriture complexe
z’=az+b.
Il existe une seule similitude directe g telle que g(A) = O et g(O) =B ; elle a pour écriture
complexe z’ = 2iz + 6 .
{ f(A) = O et f(O) =B } { a × 3i + b = 0 et a× 0 + b = 6}
{ b=6 et -3ai + 6 = 0}
{ b=6 et a×3 i = 6 = -2i × 3i}
{ b=6 et a = -2i }
On a obtenu l’équivalence : { f(A) = O et f(O) =B } { b=6 et a = -2i } ; cela prouve que :
Il existe une seule similitude indirecte f telle que f(A) = O et f(O) =B ; elle a pour écriture
complexe z’ = -2i z + 6 .
Partie B
1. D’après son écriture complexe, f est la similitude indirecte trouvée dans la partie A.
Pour tout point M d’affixe z, f(M) a pour affixe z’ = -2i z + 6.
Conclusion
On a vérifié l’équivalence : M=f(M) z = -2 + 4i.
Autrement dit le seul point du plan invariant par f est le point K d’affixe k = -2 + 4i.
2. a. h est une similitude directe de rapport 1/2 et f est une similitude indirecte de rapport
|-2 i| = |-2|×| i | = 2×1=2 . Par composition g=f ∘ h est une similitude indirecte de rapport
2 × 1/2 = 1. En particulier g est un antidéplacement du plan.
h (K) = K d’où f(h (K) ) = f(K) = K d’où g (K) = K : K est invariant par g.
Finalement z’’ = -iz + 2 +2i est l’affixe de M’’= g(M) . Cela définit l’écriture complexe de
l’antidéplacement g.
c. Tout point L de l’axe (O ; v ) est déterminé par la donnée d’un réel l tel que il soit son
affixe.
L = f(L) il= -i ( il ) + 2 + 2i il = -i (-il) + 2 + 2i 0 = 2 – l + (2–l )i = (2–l) [ 1 + i]
D’où L = f(L) 2–l = 0 l = 2.
Finalement sur l’axe (O ; v ), le seul point invariant par g est le point L d’affixe 2i.
On vient de voir que g est une similitude indirecte (en fait un antidéplacement) laissant
invariant les 2 points distincts K et L ; g est forcément égale à la réflexion d’axe (KL).
3. Soit une droite parallèle ou perpendiculaire à la droite (KL), l’image de la droite par
l’homothétie h’, h’(est alors une droite parallèle à donc perpendiculaire ou parallèle à la
droite (KL).
L’image de la droite h’(par la réflexion g d’axe (KL), g(h’(= f)estalors bienune
droite parallèle à h’(), donc à
Soit une droite non parallèle et non perpendiculaire à la droite (KL), l’image de la droite
par l’homothétie h’, h’(est alors une droite parallèle à donc non perpendiculaire et non
parallèle à la droite (KL).
L’image de la droite h’(par la réflexion g d’axe (KL), g(h’(= f)est alors une droite
qui n’est pas parallèle à h’(), donc une droite qui n’est pas parallèle à
Conclusion
Les seules droites telles que et f(soient parallèlessont les droites perpendiculaires ou
parallèles à la droite (KL).
Enseignement de Spécialité-Mathématiques
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Enseignement de Spécialité-Mathématiques
Corrigé
_________
1.a.
J
B L
A K
C O I
Le complexe ei a pour module 1 et pour argument . Son point image M est tel que
1= OM et est une mesure de l’angle orienté ( OI ; OM ).
On utilise cette remarque pour placer A= M , B= M 2 et E= M .
6 3 6
En fait tous les points I, J, A, B, C, D, E sont sur le cercle trigonométrique (C) les positions
respectives des graduations 0, /2,/6, 2/3, --/2,-/6. On utilise à la question suivante
ces graduations pour obtenir les mesures des angles orientés indiqués.
L’angle orienté ( OC, OE ) a pour mesure -/6 – (-) = -/6 +6/6 = 5L’angle
orienté ( OE, OB ) a pour mesure 2/3 – (-/6) = 4/6 + /6 = 5/6
Soit alors la rotation r2 de centre O et d’angle 5/6: On a r2 ( C) = E et r2 (E) = B et r2
conservant les distances, on obtient : EB = CE soit : EB=EC.
F(E) est le point d’affixe a e i / 6 = e i / 3 × ei = e i ( 2 / 6 / 6) e i ( / 6) d’où F(E) = E.
a × 0 = a ×0 = 0 ( où 0 est l’affixe du point O) d’où F(O) = O.
Finalement F est une similitude indirecte du plan laissant invariants les 2 points distincts O et
E : F est forcément la réflexion d’axe (OE).
3. Soit T la translation de vecteur OI qui a pour affixe 1 + i×0= 1 ; T est la transformation qui
à tout point M d’affixe Z associe le point M3 d’affixe Z3 = Z +1.
_______________________________________________
1 3
Pour tout point M d’affixe Z, F(M) est le point d’affixe ( i ) Z = Z’ et T(F(M)) est le
2 2
1 3
point d’affixe Z’ +1= ( i ) Z +1= Z’’, d’où T(F(M)) = M’’ soit T∘F(M) = G(M).
2 2
On vient de vérifier que T∘F = G. G étant la composée d’une réflexion suivie d’une
translation est ainsi elle-même un antidéplacement.
Le Sujet
Corrigé
_______
1 i 1 i 2 (1 i) 1 i
1.c. On a z–z’ = z – [ z + 1 – i] = [1 – ] z –1 + i = z –1+ i = z–1+i.
2 2 2 2
1 i 1 i (1 i)i
2–z’ = 2–[ z + 1 – i]= – z + 1 + i et i (2–z’) = z (1 i)i où i2 = -1, alors
2 2 2
i 1
i (2–z’) = z i 1
2
D’où z–z’ = i (2–z’).
2.b. Pour M distinct de , on sait que M et M’ sont distincts et que M’=(M) et () sont
aussi distincts.
On applique la question précédente à la relation z–z’ = i (2–z’) : L’image de par la rotation
de centre M’, d’angle /2 est le point M ainsi : M’’M et l’angle orienté ( M' , M'M ) a
pour mesure /2 .
M’
v
O u
M
Le triangle M’M est rectangle et isocèle en M’.
3.a. On fait une démonstration par récurrence.
( 0 2)
2 i
( )0 e 4 2 1 e i / 2 2 i 2 a0 .
2
( p 2 )
2 i
On suppose que pour un certain entier naturel p, on ait ap = ( ) p e 4 2 (hypothèse
2
de récurrence) :
2 i / 4
Ap+1 = (Ap) a pour affixe ap+1 = e (ap –2) + 2, cela donne avec l’hypothèse de
2
( p 2) ( p 2 )
2 i / 4 2 i 2 2 i
récurrence : ap+1 = e ×( )pe 4 +2= × ( ) p × e i / 4 × e 4 +2d’où :
2 2 2 2
( p 2) ( [ p 1] 2)
2 i[ ] 2 i
ap+1 = ( ) p 1 e 4 4 +2 soit : ap+1 = ( ) p 1 e 4 +2 .
2 2
Conclusion
( n 2 )
2 i
Avec les 2 parties , on a bien démontré par récurrence que an = ( ) n e 4 2 pour tout
2
entier naturel n.
(5 2 ) 7
2 i 2 i
3.b. A5 a pour affixe a5 = ( ) 5 e 4 2 = ( ) 5 e 4 2 .
2 2
2 1 1 1 1 1
( )5 = ( ) 5 41
.
2 2 2 2 2 2 4 2
2 2
2 2 2
7
7 8 i i i 1 1
2 d’où e 4 =e 4 e 4 cos sin i .
4 4 4 4 4 2 2
7
2 5 i4 1 1 1 1 i 1 i 16 17 i
Alors ( ) e 2= ×( i )+2= 2 .
2 4 2 2 2 4 2 4 2 8 8 8 8 8
17 i
Finalement = a5 .
8 8
( n 2 )
2 i 2 1 n
4. Le vecteur A n a pour affixe an –2 = ( ) n e 4 , n = | an –2|= ( ) n = ( )
2 2 2
1
d’où n = n
; le point An est dans le disque de centre et de rayon 0,01 à la seule
2
condition que n < 0,01.
1 1 n
n < 0,01 n
< 100 < 2 2 n 10 000 < 2n ( passage aux inverses, puis
2 100
aux carrés) ; on passe ensuite aux logarithmes népériens :
n < 0,01 ln (10 000) < ln (2n)= n ln 2 ; on a 0< ln2, d’où :
n < 0,01 ln (10 000) / ln2 < n ; on a ln (10 000) / ln2 ≈ 13,3 ainsi :
n < 0,01 14 ≤ n.