C’est-á-dire qu’ils ne peuvent rompre leurs engagements qu’apres 4 ans de vue
séparée. Le seul échappatoire aurait été que l’un d’eux retourne vivre dans leur pays natal pour au moins 6 mois et entame la procédure de divorce lá-bas. Á ce moment-lá, leur cas aurait été de la compétence d’une juridiction finlandaise ou suédoise mais de cette maniere, l’un d’eux aurait perdu son travail irlandais bien rémunéré. C’est avec ce genre d’histoires tarabiscotés que le Conseil européen a illustré la raison pour laquelle il faut harmonisé, avec l’aide de nouveaux décrets européens, le dénouement des chocs fréquents, en terme technique, collisions, du droit de divorce divergeant d’un État membre á un autre. Selon des estimations, des 122 millions de mariages dans les 27 États membres de l’Union européenne, 16 millions peuvent etre qualifiés d’internationaux dans lesquels differe la nationalité des couples, les époux vivent séparément dans différents États membres ou vivent ensemble mais pas dans les pays duquel ils ont la nationalité. Si ceux-ci veulent divorcer, ils se trouvent véritablement dans un jungle juridique. „J’ai un client hongrois avec un conjoin de Hong-Kong et un enfant en commun de nationalité allemande. Nous pouvons nous creuser la tete avec mon collegue allemand pour savoir ou et selon quel droit nous aller engager la procédure de divorce.” – a caractérisé la situation pour le HVG Blanka Illés, avocate de Budapest en donnant un exemple récent de sa clientele, qui pense qu’il est vraiment temps que l’Unions européenne mette de l’ordre sur ce terrain. Il y a 140 mille mariages qui se brisent chaque année au sein de l’Union européenne – dont plus de la moitié en Allemagne, en France et en Angleterre – en causant un gros probleme aux juges et avocats également. Les juridictions des États membres de l’Union doivent se repérer entre les 27 systemes juridiques. Á l’aide d’un décret entré en vigueur en 2005 „on arrive plus ou moins á décider ou déposer la requete” – a formulé Blanka Illés. Cependant, il n’y a toujours pas de lignes directrices uniformes pour déterminer l’État membre dont il faut appliquer la loi du droit de la famille pour une procédure de divorce concrete. Ainsi, les tiraillements juridiques transforment souvent les divorces déjá difficiles – selon les paroles de Viviane Reding, commissaire européen responsable du succes légal – en „catastrophe émotionnelle et financiere.”