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Le Symbole Perdu par Dan Brown

Si ce n’était pour les machinations barbares du vilain, autre carcasse mortifiée et unidimensionnelle qui vous
donnent des frissons dans la moelle épinière ou la conspiration genre enjeu oedipien. Non, le plus terrifiant à
propos du Symbole Perdu est que Brown n’a pas flanché quand le Vatican a condamné le Code Da Vinci et à
protester contre contre le tournage du film Anges et Démons à Rome, à le croire, clairement, hanté par la secte
puissante et secrète des Maçons.

Son livre ressemble à une tentative désespérée de s’intégrer à la Maçonnerie plutôt qu’à une interprétation des
étranges rites et symboles qui illuminent comme dans –illuminati!- comment le club ultime et privé de la bande
des garçons a conspiré pour donner forme à la capitale de la nation et à la civilisation occidentale depuis que
Georges Washington inaugura la pierre d'angle de l’immeuble du Capitole avec le rituel et vêtu du costume de
Maçon complet avec un délicieux petit tablier de satin assorti. Si les Maçons intimident plus que le Vatican, Si
Brown et devenu une part de leur rideau de fumée sémiotique, alors, tout ce que je peux dire c’est : que Dieu
nous aide tous !
Pendant ses cinq ans de recherche, a-t-il commencé à croire ces histoires sensationnelles qui racontent que les
Maçons vous coupent le cou quand vous révélez leurs secrets, a-t-il découvert que les Maçons ne sont pas
seulement des vieux mecs dans un drôle de costume qui profitent d’une bonne soirée loin de leurs femmes ?
Pourraient-ils vraiment être comme se le demandait un documentaire récent de Channel Discovery des «
conspirateurs athées liés par un pacte de mort qui infiltrent les institutions et mènent le monde ?

A-t-il décrypté les documents codés enfermés dans un coffre de la CIA, fondée par un ancien Maçon, Harry
Truman. Et ces légendes sauvages étaient-elles vrai ?, que Jack l’éventreur était Maçon et que son identité fut
couverte par le commissaire, Maçon lui-même ? Que Salieri et d’autres assassinèrent Mozart après qu’il révéla
quelques-uns uns des secrets maçonniques dans dans la Flûte Enchantée ?

En s’intéressant plus avant aux excavations de Brown sur le pouvoir mystique de Washington, les anciens
portails, les passages secrets et les mondes d’ombre. Pour les natifs qui ont aimé ces monuments depuis leur
enfance, le temple du Rite Écossais avec ses deux sphinx, seizième rue, le Capitole brillamment éclairé, peuvent
se montrer curieux d’en savoir plus sur ces vénérables temples de marbre et enfin accéder à la sagesse secrète
des âges. Ils s'entendraient rapidement avec Robert Langdon, pseudo de l’auteur, traître en tweed et éviter
l’ennui de penser que le symbologiste de Harward porte encore sa montre Mickey Mouse, qu’il moût à la main
ses grains de café de Sumatra et refuse de comprendre quand une mignonne avec un cerveau se matérialise pour
l’aider à démêler les secrets anciens

Le personnage de Katherine Solomon, mince, aux yeux gris experte en sciences noétiques, l’étude « des
potentialités inexploitées de l’esprit humain ». Brown voudrait peut-être aussi explorer les potentiels inexplorés
du corps humain, depuis que l'héroïne a la cinquantaine, ce qui a du sûrement faire sursauter les cocktails dans
les bureaux de Hollywood, quelques années plus âgée que Langdon, sans doute allusion à son épouse et muse,
Blythe, qui a douze ans de plus que lui et l'aida à rédiger 187 hommes à éviter : Un Guide de Survie pour les
Femmes frustrée de leur romantisme.

Les émotions sont le genre de choses que Brown semble avoir de la difficulté à déchiffrer. Ses scènes de sexe
sont cryptées, Katherine et Langdon agissent en camarades puisqu’elle sait même le poids des âmes, leurs scènes
de sexe les plus torrides s’expriment par un regard ou une expression amicale de Robert.

Les nouvelles de Brown semblent évidemment inspirées par Indiana Jones et les Conquérants de l’Arche Perdue.
Mais il ne peut qu’imiter la narration galopante et la fascination des archétypes mythologiques, pyramides, saint
graals, carte du trésor et codes secrets, Il n’accède pas au coté sexy et ludique de l’héritage Spielberg-Lucas.

Ses métaphores se répandent sur la page. Inoue Sato, un fonctionnaire des renseignements enquête sur une main
sans corps portant une bague maçonnique et les tatouages iconiques qu’on peut voir dans la rotonde du Capitole,
naviguait dans les eaux profondes de la CIA comme un leviathan émergeant seulement pour dévorer sa proie ou
alors, çà la frappa de plein fouet ou la révélation s’écrasa sur Langdon comme une vague. Et juste au moment ou
le héros pense qu’il peut retourner dans l’au sans danger, une autre mauvaise métaphore l’emmène comme une
vague : Maintenant, sa tête lui faisait mal comme un torrent tumultueux de pensées intimes connectées.

On peut pratiquement entendre la musique féerique d’un orgue si Mal’akh, le vilain de la fable, aux yeux qui
brillent d’une férocité animale, apparaît parfois parodie d’un mauvais de Bond : tu n’es qu’une toute petite pièce
ans une grande machine ou de Woody Allen : le corps soupire quand le corps soupire. Brown n’en garnit pas
moins l’ouvrage de ces expressions : revêtu seulement d’un pagne entourant ses fesses et son organe sexuel au
repos, Mal’akh commença ses préparations, et Pendu en dessous de l’arche, son organe, massif portait les
symboles tatoués de sa destinée. Dans une autre vie, ce lourd axe de chair était sa source de plaisir charnel. Mais
plus maintenant. Brown a toujours écrit des scénarii déguisés en nouvelles, mais maintenant il coule aussi dans le
bronze. Warren Bellamy, L’architecte maçonnique du Capitole, est décrit comme un ancien afro-américain, aux
cheveux coupés de près, énonçant ses mots avec une précision croquante : Bellamy était léger et détendu érigé
droit, le regard percant exprimant la confiance d’un homme qui contrôle ce qui l’environne. On dirait Dieudonné
qui téléphone à Thierry Lhermitte. Le caractère de Bellamy offre à Brown une autre opportunité pour faire
moousser le macon, quand l’architecte dit à Langdon : l’art de la franc-maconnerie, m’a donné un profond
respect pour ce qui transcende la compréhension humaine. J’ai appris à ne jmais me fermer l’esprit à une idée
simplement parcequ’elle perait miraculeuse.

L’auteur est devenu riche et fameux sans jamais atteindre la subtilité. Un caractère ne plonge pas seulement dans
le noir, encore doit-il etre d’encre. Un caractère n’écoute jamais en état de choc mais bien doublement choqué.

Et considérez ce monologue intérieur bancal du chef de la police du Capitole : Le Chef Anderson se demandait
ou tout cela finirait. Une main dans la Rotonde ? Un mausolée, un mort, dans ma cave ? Des gravures bizarres
sur une pyramide de pierre. Soudainement, son petit jeu avec les Redskins sembla perdre toute signification.

Tout le monde a entendu dire que dans le temps les Maçons n’étaient pas les bienvenus chez les Catholiques et
qu’ils étaient considéres comme étant tellement catholiques que ceux d’entre eux qui les rejoindraient se
verraient excommuniés. Aujourd’hui, les désaveux de l'Église ont mis la sourdine eux toujours si exclusifs quand
il s’agit de rites secrets, de rituels de sang et d’exclusion des femmes. Mais Langdon suggère aux étudiants de
Harward que les Maçons sont d’une ouverture d’esprit rafraîchissante et ne pratiquent aucune sorte de
discrimination. A un étudiant qui proteste que la Maçonnerie à l’air d’un culte fantomatique, Langdon répond
que c’est un système moral et il note : La Franc-maçonnerie n’est pas une société secrète, c’est une société avec
des secrets. Il débusque des histoires de pères fondateurs, supposés introduire un pentacle satanique et le compas
et le carré des Maçons dans le dessin des rues de la capitale en rajoutant que si on dessine suffisamment de
lignes d’intersection sur une carte, vous allez trouver toutes sortes de formes. Les Maçons sont représentés par la
personnalité attrayante de Peter Solomon, frère aîné de Katherine, bel homme, riche historien et philanthrope qui
dirige le Smithsonian Institute et inspira au jeune Langdon son intérêt pour les symboles.

Dans une interview, Brown a dit avoir été tenté de rejoindre les Maçons, appelant leur philosophie Une belle
étape pour la spiritualité humaine. Dans le prochain opus, on verra probablement, Langdon revêtu d’un fez de
pèlerin avec un châle Burberry et un tweed de chez Rampon.

Dans ce livre, l’aide de Langdon permet d'empêcher le vilain de publier une vidéo sur YouTube, qu’il a
enregistré secrètement pendant ses rites d’initiation maçonnique. Le gagoulé boit, dans un crane, des vins rouge
sang avec une dague pressée sur sa poitrine nue ; il doit prendre part au procès-verbal de son propre meurtre, il y
avait des coups simulés sur sa tète, y compris l’empreinte d’un marteau rituel, on y entendait une référence
biblique au sacrifice humain, la soumission d’Abraham à l’Etre Suprême, au sacrifice d’Isaac, son premier né
Ce sont, en partie des avertissements pour ceux qui laissent sourdre les secrets de l’ordre, avertissements que
Dan Brown a clairement pris à cœur. Langdon pouvait dire d’avance que la vidéo était une pièce de propagande
injuste, écrit Brown, ajoutant que le symbologue pense pour lui-meme que la vérité sera toujours, comme
toujours dans la Franc-maçonnerie. Brown ne donne pas ce qu’on attend, des tuyaux sur qui sont les Maçons
chez les politiciens d’aujourd’hui et sur quelle usine à gaz ils fonctionnent. On a laissé le travail à Eamon Javers
de Politico, qui a mis à jour une liste de w Franc-maçons au Congrès qui se lit comme une vaste conspiration de
droite. Joe “Vous mentez!” Wilson est un membre de la loge Sinclair de Washington. Le député Eric Cantor de
Virginie, président de la minorité de la Chambre, qui essaie de suffoquer le plan santé d’Obama est un membre
de la loge de Richmond tput comme son père et son oncle. Charles E. Grassley de l’Iowa, qui proteste contre le
plan supposé d’élimination des vieux, pressa en lui diant Javers : Ne nous jugez pas par les droles de chapeaux
que nous portons. Comble d’humiliation, le président obama a quitté soudainement la Maison Blanche, un soir,
récemment et se rendit au Monument Washington, dans l’obélisque qui figure dans le climax de Brown, y resta
20 minutes. Si on ajoute les 13 minutes probablement nécessaires pour atteindre la limousine, s’y faire conduire
jusqu’à la Maison Blanche et retourner à sa résidence, vous obtenez le nombre maçonnique magique de 33.

Finalement comme dans le Code Da Vinci, Il n’y a pas de rachat. Brown devrait arrêter de se soucier de
pyramides non terminées et se préoccuper de nouvelles inachevées. Spielberg et Lucas nous donnèrent, au
moins, un arc et des tourbillons, des humains qui se dissolvent. Ainsi on n’obtient aucune ancienne sagesse qui
changera profondément le monde tel que nous le connaissons, tout juste un lot de pudding New Age sur que
comment qu’on est les dieux que nous attendions, je vous épargne la lutte père fils pour la domination globale,
on en a déjà eu assez avec les Bush

On s’en fout, hein Dan !

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