Chapitre 3, TP : Etude de spectres lumineux (corrigé)

I. Spectre d’émission de la lumière blanche

I.2.1. Spectre de la lumière blanche :

I.2.2. Quand on diminue l’intensité avec le rhéostat, les couleurs du spectre de la lumière blanche s’effacent au fur
et à mesure du violet jusqu’au rouge, qui disparaît en dernier.

I.2.3. Quand on diminue l’intensité de la lampe, elle est moins chaude (sa température diminue). On observe que la
lumière devient principalement rouge. On en déduit que plus un corps est froid, plus il émet dans les longueurs
d’onde proches du rouge.

II. Spectres de bandes d'absorption

II.2.1. Absorption par le permanganate de potassium

II.2.2. Effet produit : la bande verte a presque entièrement disparu. La lumière, dont les longueurs d’onde
correspondent au vert, a été absorbée.

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Thème n°1 : l’Univers 4
II.2.3. Absorption par le sulfate de cuivre

II.2.4. Effet produit : la bande rouge s’est fortement réduite. La lumière, dont les longueurs d’onde correspondent
au rouge, a été fortement absorbée.

III. Spectres d'émission de raies

III.2.1. Avec le spectroscope, on observe un spectre qui ressemble au spectre de la lumière blanche déjà dessiné. La
lumière du jour est celle émise par le soleil. Il s’agit de lumière blanche, tout comme celle émise par le filament de
la lampe que l’on a utilisée juste avant.

III.2.2.

Spectre d'une lampe à vapeur de sodium

Spectre d'une lampe à vapeur de mercure

III.2.3.

Avec le spectroscope, on a une précision moyenne (± 10 nm), mais l’ordre de grandeur est satisfaisant.

Pour le sodium (1 raie) : λjaune = 590 nm

Pour le mercure (5 raies) : λviolet = 410 nm, λbleu = 440 nm, λvert = 540 nm, λorange_1 = 620 nm, λorange_2 = 690 nm

(La raie rouge n’était pas visible avec le spectroscope car ce dernier est limité à 700 nm !)

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