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c est l'appellation d'usage officiel mais erronée de non loin de Tizi-Ouzou en Kabylie : C'est la
rivière des At Aisi. Aujourd'hui on désigne ainsi un lieu-dit à quelque dix kilomètres de la ville de Tizi Ouzou : un lieu
très réputé car il abritait jusqu'à une date très récente le premier centre universitaire de la Kabylie qui a vu jaillir la
revendication identitaire et politique berbère en Algérie. Ce lieu-dit abrite toujours une cité universitaire, une zone
industrielle, un hôpital psychiatrique et non loin on y trouve un barrage hydraulique. Dans une célèbre
chanson Matoub Lounes rendait hommage à ce bastion de la revendication amazighe: Yehzen lwed âisi... mi yebda
ymenghi...
Aïn El Hammam
Présentation [modifier]
( ou pour les habitants de la région ) est une source thermale située dans la commune
d' Ouled Si Slimane dans la Wilaya de Batna d'une température de 32°C et d'un débit de 12 litres par seconde.
Développement du site [modifier]
bénéficiera ainsi que deux autres sources thermales de la région d'une enveloppe financière de 3
millions de Dinars algérien débloquée par la Direction du tourisme de laWilaya de Batna. En perspective de
l'année 2010, la Direction du tourisme réalise une opération des caractéristiques thermales de la source. L'objectif
stratégique étant de faire de ces sites des destinations de bien-être, de cure sur la carte internationale et un puissant
vecteur de développement touristique dans la région des Aurès.
arrage du Ksob
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Le est situé dans la Wilaya de M'Sila en Algérie.
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Macta
est un oued côtier d'Algérie (Ouest de Mostaganem, Est d'Arzew) formé par la réunion de deux cours d'eau : le
Sig et l'Habra , son cours est entouré de marais (20 000 ha) partiellement drainés entre 1958 et 1962. Des troupes
Françaises du Bénéral Trézel y furent défaites en juin 1835 par l'E mir Abdelkader .
Cne tradition populaire des années 1950 rapporte la présence d'un crocodile dans ces marais, crocodile dont le
cadavre fut bel et bien retrouvé vers 1951 ( une photo du crâne subsiste).
Actuellement, les zones marécageuses subsistantes constituent une réserve naturelle où la faune et la flore
(nombreuses espèces d'oiseaux) sont en principe protégées.
Medjerda
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Longueur 460 km
2
Bassin 22 000 km
Principaux affluents
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La !, également orthographiée ! ou ! (ΓΩήΠϣ), est un oued dont la source est située
en Algérie et dont lelit est principalement sur le territoire de la Tunisie. Il se caractérise par un écoulement permanent
sur l'ensemble de son cours, ce qui lui donne le profil d'un fleuve.
éographie [modifier]
ekerra
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La " (en arabe: Ωϭ ) est une rivière qui traverse la ville centre de Sidi Bel Abbes, en Algérie. Il s'agit d'un nom
local de l'ancien fleuve Sig.
Le Sig au cours d'environ 240 km prend sa source dans les hauts plateaux au sud des monts du Daya ou Daïa. Le
fleuve autrefois rempli en toute saison coule vers le nord et rejoint :
M El Hacaïba soit l'ancienne Magenta,
M Moulay Slissen,
M Sidi Ali Benyoub soit l'ancienne Chanzy renommée pour ses sources thermales,
M Sidi Khaled,
M Sidi Lhassen,
M Sidi Bel-Abbès où il porte le nom de Mekerra,
M Wad Sig soit l'ancienne Saint-Denis-du-Sig où un lac de barrage de quatre kilomètres de long apportait la
prospérité.
Le fleuve se perd dans les marais de la Macta avant de rejoindre la mer dans la région d'Arzew ou Arzeu.
Liens externes [modifier]
M ' Bassin de la Mekerra sur www.vitaminedz.com
M ' L'Oued de la Mekerra sur www.mekerra.fr
Oued Abiod
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Oued Abiod près du Ghoufi.
Longueur 56 km
2
Bassin 00 km
Source Chélia,Aurès
· Localisation Aurès,
· Altitude 2 000 m
Embouchure Sahara
· Altitude 200 m
Principaux affluents
c , ± | en Chaoui est un cours d'eau qui traverse le massif de l'A urès selon un axe nord-
est/sud-ouest, au nord-est de l'Algérie et qui prend sa source près du Mont Chélia (
) à environ 2000 mètres
selon le recoupement de différentes données.3,4,5
Èéologie [modifier]
La vallée de cet oued est une dépression synclinale soulevée auPléistocène, où l'oued s'est enfoncé au fur et à
mesure du soulèvement.
Èéographie [modifier]
[modifier]
Le cours d'eau prend naissance au sein d'une végétation méditerranéenne (cèdres, chênes verts), la pluviosité étant
encore suffisante.6
# [modifier]
L'oued s'enfonce alors dans les gorges de Tighanimine, longues de 3 km. Il est alors bordé d'une ancienne voie
romaine construite en 145 avant QC par un détachement syrien de la 4e Légion, comme l'atteste une inscription
gravée sur le rocher.
L'oued passe par le village de Èhoufi, célèbre pour ses "balcons".
A la sortie des gorges, le paysage de la vallée devient franchement désertique.
[modifier]
Plus au sud, l'oued passe par Baniane puis par les oasis de M'Chounèche, Biskra, puis l'eau se perd dans les sables
duSahara.
Références et liens externes [modifier]
1. R http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rga_0035-1121_1941_num_29_4_4332 [archive]
2. R http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1900_num_9_43_6180 [archive]
3. R http://aures-images.over-blog.com/ [archive]
4. R http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1900_num_9_43_6180
S [archive]
5. R http://books.google.fr/books?id=ko4u9 - S
aRuEC&pg=PA60&lpg=PA60&dq=longueur+oued+abiod&source=bl&ots=ÈaW5N33 3L&sig=4mÈ1bPT00YDFV8Hw6D9
V04vÈMYg&hl=fr&ei=ONvTSs6LEcP14Aaqx_3MDA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CAgU6AEwADg
K#v=onepage&q=longueur%20oued%20abiod&f=false[archive]
6. R http://georges-chevaux.net/Library/texte026.swf [archive]
M Collectif, Dictionnaire illustré des merveilles naturelles du monde, Reader's Digest, 1982, p 25/26
Oued Daoura
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c $ est un oued né de l'union de deux rivières, Rheris et Ziz, qui prennent leurs sources dans le Haut
Atlas. Prenant naissance au Maroc, au sud-ouest de la ville de Taouz, ses eaux se perdent dans le Sahara algérien.
Oued Èuir
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c % est un oued du sud ouest Algérien, prend naissance au sein du Haut Atlas. Il s'enfonce alors dans le
Sahara jusqu'à Iglila ou il se fusionne avec Oued Zouzfana pour former Oued Saoura.
Oued Kiss
c est une rivière située sur la frontière entre le Maroc et l'Algérie.
Oued Saoura
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c est un oued du sud ouest Algérien, résulte de l'union de l'Oued Èuir et de l'Oued Zouzfana.
Oued Zouzfana
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saharien ou la pluviosité étant encore suffisante, Sa provenance est les montagnes des Ksour entre Figuig et Beni
Ounif. Il s'enfonce alors dans le Sahara jusqu'à Igli la ou il se fusionne avec Oued Èuir pour former Oued Saoura.
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Cascade de l'Oued-el-Roumel
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, est le plus important cours d'eau de Constantine en Algérie. Il prend
sa source dans les monts de Ferdjoua (Mila), puis pénètre sur les plateaux de Constantine, ou sa vallée décrit une
série de sinuosités. Il se resserre ensuite très sensiblement au nord de Aïn Smara où il forme alors une boucle
presque fermée et s'infiltre entre les tables calcaires du Djebel El Hadja et du plateau de Ain El Bey en conservant
une direction générale sud-ouest/nord-est.
Le Rhumel coule ensuite vers la cité Boussof au voisinage immédiat des ravins. Son lit dessine encore plusieurs
courbes, puis devient très étroit au lieu-dit W les arcades romaines X. Le bas Rhumel franchit les chaînes numidiques
dans des gorges profondes puis va se jeter dans la mer à l'ouest du golfe de Yijel.
Son principal affluent est l'oued-Boumerzoug qui prend sa source dans la région de Aïn M'lila dont les eaux sont
largement utilisées pour l'irrigation, et l'important groupement thermal deAin Fesguia situé vers la tête de la vallée. Il
a été capté et alimente en eau potable la ville de Constantine, bâtie au confluent de Boumerzoug et du Rhumel.
Sebaou
1, dit aussi en arabe c (ou c ')*) est la principale rivière (fleuve) de
la Kabylie de Djurdjura (ou l'actuelle Wilaya de Tizi Ouzou en Kabylie, Algérie), qui se jette dans la Méditerranée près
de la ville de Dellys (Tadellest) ville côtière de Kabylie, rattachée à la wilaya de Boumerdes. Sebaou c'est aussi
l'appellation donnée à la vallée traversée par cette rivière qui va deBoubhir jusqu'à Dellys.
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Longueur 500 km
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Bassin 9 200 km
· Localisation Béjaia
· Altitude m
Principaux affluents
La , est un fleuve du nord de l'Algérie né de la confluence de l'oued Sahel et de l'oued Bou-Sellam
à Akbou et se jette àBéjaia.
Sémiologie [modifier]
L¶origine et la signification du nom de ce fleuve viendrait de l¶appellation kabyle t acif assemmam u, qui signifie
t fleuve acide u
Èéographie [modifier]
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Soummam et l¶ . À la sortie de Bougaâ, le Ö
est traversé par la RN 74 (joignant Takariets à Sétif)
la région de Beni Ourtilane d¶où il prend une
puis, il aborde direction franche vers l¶ouest.
Il continue sur ,
, et c¶est près du village de qu¶il reçoit un autre affluent sur sa rive
gauche,
. Ce dernier prend naissance dans la région de Sidi M¶Barek (wilaya de Bordj Bou Arreridj),
passe dans les bas-fonds de Bordj Zemmoura en recevant les apports venus du versant sud de Hammam Èuergour.
continue à tracer ses méandres abrupts vers Èuenzet qu¶il laisse sur sa droite et pique vers la localité d¶El
Maïn située sur la rive gauche du cours d¶eau.
À la sortie d¶El Maïn, ce cours d¶eau voit son destin se mêler à celui de Ö
, puis, cinq kilomètres après, à
celui de la Soummam.1
/
[modifier]
Ses principaux affluents sont d¶Ouest en Est :
en rive gauche : Oued Tikseridene, Oued Béni-Mellikeuch dit Asif gentur, Oued Allaghen, dit Asif Lec, Oued
Illoula, Oued Tifrit, Ighzer Tisyar, Ighzer Amokrane, Ighzer Maâkel, Oued Roumila, Ighzer Ouchekroune et Oued Èhir
.
en rive droite : c Ö '
, c ", c ,
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.
M Excepté peut être l¶Oued Bou-Sellam qui est le principal affluent, tous les autres cours sont à régime intermittent.
Ce réseau hydrographique se superpose facilement aux zones de faiblesse représentées par deux réseaux de failles,
SW-NE correspondant à la direction de l¶Oued Soummam et NW-SE correspondant à ses principaux affluents.
Environnement [modifier]
Poissons morts sur la Soummam probablement une pollution aux pesticides suite à des pluies importantes
L¶oued Soummam se meurt et son fragile écosystème est en péril. Les indices de pollution sont tels qu¶il ne s¶agit plus
de chercher aujourd¶hui à préserver sa faune et sa flore, réduites du reste à leur plus simple expression, mais à éviter
à la santé publique des épidémies dévastatrices.
Et pour cause, la multitude de forages desquels s¶alimente la population des communes riveraines est menacée de
pollution car le risque de contamination des nappes phréatiques est, selon un hydraulicien, très élevé. Près d¶une
quinzaine de communes riveraines, d¶Akbou à Béjaïa, en passant par Ouzellaguen, Sidi Aïch et El Kseur pour ne citer
que les plus importantes, y rejettent leurs eaux usées, les margines de leurs huileries pendant les périodes d¶olivaison
ainsi que leurs ordures ménagères et industrielles. Les rejets finaux d¶assainissement et les décharges d¶ordures
ménagères et industrielles se comptent par dizaines. Les travaux d¶aménagement d¶une décharge intercommunale
contrôlée à Èueldamane, dans la commune d¶Akbou, dotée d¶une enveloppe financière de 80 millions de dinars, et
devant recevoir les détritus de cinq municipalités environnantes, ont été bloqués par des propriétaires terriens.
L¶extraction effrénée de sable réduit, d¶autre part, de manière importante, la capacité du lit de l¶oued à filtrer les eaux
de ruissellement. Les responsables des bureaux communaux d¶hygiène sont sur le qui-vive, notamment pendant la
saison estivale, et veillent en permanence à la javellisation de l¶eau destinée à la consommationafin de prévenir les
maladies à transmission hydrique.
Canards au milieu de poissons morts sur la Soummam probablement une pollution aux pesticides suite à des pluies importantes
Au réchauffement climatique ayant réduit ce fleuve en un ruisseau en été, s¶ajoute la perte de l¶apport en eau de l¶un
de ses plus importants affluents, l¶oued Boussellam en l¶occurrence, retenu par le barrage de Tichi-Haf. Seule une
vanne écologique coule en permanence. Les forages existants seront affectés toutefois à l¶agriculture dès que le
transfert des eaux du barrage sera effectif. Les sept réservoirs qui seront implantés dans le couloir Akbou-Béjaïa
seront pleins 18 heures sur 24 et régleront l¶AEP des communes bénéficiaires , affirmera une source proche du
projet. ne lueur d¶espoir donc pour l¶économie en général et l¶agriculture en particulier de cette partie de la Vallée de
la Soummam puisque l¶irrigation des cultures maraîchères par les eauxde l¶oued Soummam est interdite ces
dernières années à cause justement de leur taux élevé de pollution. Sur les 65 unités industrielles que compte la
commune d¶Akbou, seule Cotitex est dotée d¶une station d¶épuration (STEP) opérationnelle.
Plus loin, en aval, d¶autres unités industrielles d¶envergure, à l¶image d¶Alfaditex Remila et Cevital, ont des stations
d¶épuration performantes. Signalons aussi la réhabilitation de celle de Béjaïa ainsi que l¶affectation de 200 millions de
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