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Oued Aissi

c  est l'appellation d'usage officiel mais erronée de  non loin de Tizi-Ouzou en Kabylie : C'est la
rivière des At Aisi. Aujourd'hui on désigne ainsi un lieu-dit à quelque dix kilomètres de la ville de Tizi Ouzou : un lieu
très réputé car il abritait jusqu'à une date très récente le premier centre universitaire de la Kabylie qui a vu jaillir la
revendication identitaire et politique berbère en Algérie. Ce lieu-dit abrite toujours une cité universitaire, une zone
industrielle, un hôpital psychiatrique et non loin on y trouve un barrage hydraulique. Dans une célèbre
chanson Matoub Lounes rendait hommage à ce bastion de la revendication amazighe: Yehzen lwed âisi... mi yebda
ymenghi...

Aïn El Hammam
Présentation [modifier]

  ( ou  pour les habitants de la région ) est une source thermale située dans la commune
d' Ouled Si Slimane dans la Wilaya de Batna d'une température de 32°C et d'un débit de 12 litres par seconde.
Développement du site [modifier]

  bénéficiera ainsi que deux autres sources thermales de la région d'une enveloppe financière de 3
millions de Dinars algérien débloquée par la Direction du tourisme de laWilaya de Batna. En perspective de
l'année 2010, la Direction du tourisme réalise une opération des caractéristiques thermales de la source. L'objectif
stratégique étant de faire de ces sites des destinations de bien-être, de cure sur la carte internationale et un puissant
vecteur de développement touristique dans la région des Aurès.

Vertus thérapeutiques [modifier]


Les vertus thérapeutiques et curatives de la source thermale Aïn El Hammam concerne les affections rhumatismales
et veineuses (artériopathie et hypertension artérielle).

Barrage de Koudiet Lamdaouar


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Le    construit en 1994 sur l'oued Reboa est situé à 7 km au nord-est de Timgad et à
35 km de Batna en Algérie.

Le barrage de Koudiet-Lamdaouar vu de la route Chemora-Timgad


C'est un barrage réservoir qui mobilise les eaux superficielles de l'oued Reboa dont le bassin versant couvre 59 000
km².
48,72 % de la population de la Wilaya de Batna, soit 682 000 habitants, boit l'eau provenant de ce barrage qui
alimente les villes de Batna,Tazoult, Timgad, Ain Touta, Barika, Arris et Ouled Rechache dans la wilaya de
Khenchela.

arrage du Ksob
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Le   est situé dans la Wilaya de M'Sila en Algérie.

La retenue du barrage du Ksob dans les monts du Hodna


Le barrage construit sur le lit de l'oued éponyme de 1933 à 1939 est du type à voûtes multiples, de 32 m de haut.
D'une capacité de 50 millions de mètre-cubes d'eau destinés à l'irrigation de 13 000 ha, le barrage ne permet,
aujourd'hui, que l'irrigation du tiers de cette superficie en raison d'un état d'envasement avancé.
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Barrage de Maafa en Algérie dans les Aurès.


Le Ö  est une rétenue d'eau édifiée en Algérie1, sa construction a débuté en 2009.
Situation géographique [modifier]
Situé dans la commune de Maafa , dans la Wilaya de Batna non loin de la ville de Aïn Touta dans
les Aurès en Algérie, le barrage a été construit en aval des @orges de Maafa afin de ne pas nuire au à la viabilité de
l'Oasis . Réalisé dans un cadre magnifique , le barrage pourra servir aussi de point de pêche selon les autorités
locales qui y ont introduit certaines espèces de poisson.
Descriptif [modifier]
Débuté en 2009 et déjà quasiment terminé , le Ö  été décidé depuis trois ans environ , depuis les
fortes pluies que connait la région , afin de contenir les eaux et maximiser l'utilisation des eaux d'Irf M'Souf et des
sources avoisinantes. Celui servirait ainsi à développer dans un premier temps l'Oasis de Maafa mais également à
développer l'irrigation des cultures des habitants chaouis de la commune. Le barrage permettrait en outre d'alimenter
en eau potable les habitants de la commune. De taille plus modeste que les grands ouvrages d'art comme peut l'être
celui de Timgad , le barrage de Maafa peut néanmoins s'enorgueillir d'être l'une des rares rattachée à une commune
de moindre taille au Maghreb.
Notes et références [modifier]
1. A ' Diaporama sur la commune de Maafa [archive] sur 444 
. Consulté le 19 août 2010.

Macta
 est un oued côtier d'Algérie (Ouest de Mostaganem, Est d'Arzew) formé par la réunion de deux cours d'eau : le
Sig et l'Habra , son cours est entouré de marais (20 000 ha) partiellement drainés entre 1958 et 1962. Des troupes
Françaises du Bénéral Trézel y furent défaites en juin 1835 par l'E mir Abdelkader .
Cne tradition populaire des années 1950 rapporte la présence d'un crocodile dans ces marais, crocodile dont le
cadavre fut bel et bien retrouvé vers 1951 ( une photo du crâne subsiste).
Actuellement, les zones marécageuses subsistantes constituent une réserve naturelle où la faune et la flore
(nombreuses espèces d'oiseaux) sont en principe protégées.

Marais de la Macta : végétation palustre (vers 1975)

Oued Sig en crue (vers 1975)


Bibliographie [modifier]
M Masson, R. (1976). La végétation des marais de la Macta (Région de Bou-Nefer). Bull. Soc. Déo. et Archéol.
d'Oran : 60-65.
M Metzmacher, M. (1979). Les oiseaux de la Macta et de sa région (Algérie) : Non passereaux. Aves, 3-4 : 89 ±
123.
Liens externes [modifier]
Le Portail de la Nature et de l'Ecologie en Algérie
Catégories : Cours d'eau d'Algérie | Marais | [+]

Medjerda
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Vue de la Medjerda au niveau de la route nationale 5

Partie de la Medjerda s'écoulant en Tunisie

 



Longueur 460 km
2
Bassin 22 000 km

Bassin collecteur Medjerda


3 R
Débit moyen 29 m €p

Régime régime pluvial

  

Embouchure mer Méditerranée (golfe de Tunis)

 


Principaux affluents

· Rive gauche oued Kasseb, oued Béja

oued Mellègue, oued Tessa, oued


· Rive droite
Siliana

Pays traversés Algérie, Tunisie

Principales villes SoukRAhras, Jendouba, Bou


Salem,Testour, Medjez elR
Bab, Tebourba,Djedeida

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La !, également orthographiée ! ou ! (ΓΩήΠϣ), est un oued dont la source est située
en Algérie et dont lelit est principalement sur le territoire de la Tunisie. Il se caractérise par un écoulement permanent
sur l'ensemble de son cours, ce qui lui donne le profil d'un fleuve.
éographie [modifier]

Profil du cours de la Medjerda


Elle prend sa source près de Souk-Ahras, dans le Constantinois algérien, puis coule vers l'est avant de se jeter dans
la mer Méditerranée (golfe de Tunis). S'écoulant sur plus de 460 kilomètres1 dont 350 en Tunisie, c'est le seul et le
plus long cours d'eau pérenne de Tunisie.
Dans sa partie aval, l'oued connaît un débit moyen annuel de 29 m3·sí1 même si celui-ci connaît des contrastes
saisonniers très marqués1, notamment en raison de l'affluence d'oueds aux flux irréguliers. Ainsi, le débit d'étiage peut
se réduire à moins de1 m3·sí1 alors que, pour les crues de périodicité décennales1, il peut atteindre 1 000 à 1 200
m 3·sí1. Les pluies exceptionnelles de mars 19731 ont même entraîné un débit de 3 500 m3·sí1 . La Medjerda charrie
chaque année environ 800 millions de mètres cubes d'eau.
Parce qu'il traverse des terrains soumis à une érosion parfois intense, l'oued charrie aussi d'importantes quantités
d'alluvions : entre 10 et 30 grammes par litre, voire 100 grammes par litre à l'occasion de très fortes pluies comme
celles de mars 1973, soit un apport annuel de sédiments dans le golfe de Tunis estimé à 22 106 millions de tonnes
avant la construction de barrages1. Le calibre moyen des particules transportées est inférieur à 0,2 millimètres1. Les
matériaux se déposent lorsque l'oued atteint les régions basses et plates de son cours inférieur. On assiste alors à un
exhaussement général du lit, dont les berges finissent par dominer la plaine, et à son allongement par un delta qui
avance progressivement sur la mer. L'instabilité, résultant de ce que l'oued coule entre sesberges, conduit à des
changements de lit fréquents (cinq connus à ce jour) et à une difficulté croissante pour l'écoulement des eaux dans
une zone de plus en plus plate. Erâce à ce phénomène, la vallée de la Medjerda est l'une des terres les plus fertiles
de Tunisie et représente le douzième de ses ressources hydriques. C'est pourquoi l'oued est équipé de
plusieursbarrages hydroélectriques. La Medjerda est par ailleurs une voie d'eau cruciale pour l'irrigation et joue donc
un rôle important pour l'agriculture régionale.
Histoire [modifier]
Ce rôle stratégique a poussé à la fondation des villes de Chemtou et Ftique, mais aussi dans une moindre
mesure Carthage etTunis à proximité de la partie avale de l'oued. En effet, la proximité du fleuve a été recherchée
depuis l'Antiquité. Ce dernier est connu des Romains sous le nom de Ö. C'est près de
son golfe que Régulus, selon Pline l'Ancien2, aurait tué un serpentde 200 pieds de long.
Évolution de l'embouchure jusqu'en 1885
Le golfe d'Gtique, dans lequel l'oued se jetait, est formé durant la période postglaciaire, il y a environ 6000 ans. Au fil
du temps, les dépôts d'alluvions comblent progressivement la partie nord du golfe. La mer s'en retire progressivement
à partir duMoyen Âge. La partie sud du golfe est quant à elle comblée plus récemment. Cette succession
d'événements a été déduite de documents anciens et de traces archéologiques. De plus, des observations aériennes
et satellites ont été utilisées afin d'analyser l'évolution du paysage durant les 3000 dernières années.
La lagune de Hhar El Melh est le dernier vestige de ce qui était le golfe d'Gtique.
Le pont-barrage d'El Batan, construit au XVIe siècle, permettait d'utiliser l'eau pour irriguer les terres agricoles et pour
actionner les moulins à foulon de la ville1. À la suite des crues de février 1937 qui causent d'importants dégâts de
toute nature, il est créé un Office de la mise en valeur de la vallée de la Medjerda chargé de la lutte contre
lesinondations, l'assainissement et le drainage, la défense et la restauration des sols, du réseau d'irrigation et de
l'expérimentation agricole (station de Sidi Thabet). La dérivation par le Henchir Tobbias, qui divise le débit de la
Medjerda à partir de 1939 et réduit son cours de quinze kilomètres, devient son lit actuel dès 1973.
Aménagements [modifier]

Pont-barrage d'El Batan


La Medjerda est équipée de deux barrages : celui de Sidi Salem (barrage le plus grand du pays) et celui d'E l
Aroussia.
Ce dernier, qui est de type rivière à trois pertuis, dispose d'une centrale hydroélectrique et d'une prise d'eau destinée
à l'irrigation de 50 000hectares. Sa réalisation s'est échelonnée entre 1952 et 1957.
Références [modifier]
1. I a, b, c, d, e, f, g et h '  [pdf] Ameur Oueslati, Faouzia Charfi et Fadhel Baccar, h       
    , projet WADI, cinquième rencontre internationale, Tunis, 6-9 décembre 2006 [archive]
2. J Pline l'Ancien,   , Livre VIII, 14
Bibliographie [modifier]
M Kacques Lascou, M Le nom de l'Oued Medjerda dans l'Antiquité romaine N, | 
, no 17, 1981, pp.
231-240
M Roland Paskoff, O Le delta de la Medjerda (Tunisie) depuis l'AntiquitéP, š , no 133-34, 1994, pp. 15-
29

ekerra
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La " (en arabe: Ω΍ϭ ) est une rivière qui traverse la ville centre de Sidi Bel Abbes, en Algérie. Il s'agit d'un nom
local de l'ancien fleuve Sig.
Le Sig au cours d'environ 240 km prend sa source dans les hauts plateaux au sud des monts du Daya ou Daïa. Le
fleuve autrefois rempli en toute saison coule vers le nord et rejoint :
M El Hacaïba soit l'ancienne Magenta,
M Moulay Slissen,
M Sidi Ali Benyoub soit l'ancienne Chanzy renommée pour ses sources thermales,
M Sidi Khaled,
M Sidi Lhassen,
M Sidi Bel-Abbès où il porte le nom de Mekerra,
M Wad Sig soit l'ancienne Saint-Denis-du-Sig où un lac de barrage de quatre kilomètres de long apportait la
prospérité.
Le fleuve se perd dans les marais de la Macta avant de rejoindre la mer dans la région d'Arzew ou Arzeu.
Liens externes [modifier]
M '  Bassin de la Mekerra sur www.vitaminedz.com
M '  L'Oued de la Mekerra sur www.mekerra.fr

Oued Abiod
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Oued Abiod près du Ghoufi.

 



Longueur 56 km
2
Bassin 00 km

Bassin collecteur Vallée de l'Oued Abiod,Ghoufi

Débit moyen ? (Chélia)

Régime PluvioRnival montagnard

  

Source Chélia,Aurès

· Localisation Aurès,

· Altitude 2 000 m

Embouchure Sahara

· Localisation Biskra / Tolga, Algérie

· Altitude 200 m

 


Principaux affluents

· Rive gauche Oued Anza

· Rive droite Oued Chennaoura2

Pays traversés Algérie

Principales villes Batna,Arris

c  , ±  | en Chaoui est un cours d'eau qui traverse le massif de l'A urès selon un axe nord-
est/sud-ouest, au nord-est de l'Algérie et qui prend sa source près du Mont Chélia ( ) à environ 2000 mètres
selon le recoupement de différentes données.3,4,5
Èéologie [modifier]
La vallée de cet oued est une dépression synclinale soulevée auPléistocène, où l'oued s'est enfoncé au fur et à
mesure du soulèvement.
Èéographie [modifier]
    [modifier]
Le cours d'eau prend naissance au sein d'une végétation méditerranéenne (cèdres, chênes verts), la pluviosité étant
encore suffisante.6
#    [modifier]
L'oued s'enfonce alors dans les gorges de Tighanimine, longues de 3 km. Il est alors bordé d'une ancienne voie
romaine construite en 145 avant QC par un détachement syrien de la 4e Légion, comme l'atteste une inscription
gravée sur le rocher.
L'oued passe par le village de Èhoufi, célèbre pour ses "balcons".
A la sortie des gorges, le paysage de la vallée devient franchement désertique.
     [modifier]
Plus au sud, l'oued passe par Baniane puis par les oasis de M'Chounèche, Biskra, puis l'eau se perd dans les sables
duSahara.
Références et liens externes [modifier]
1. R http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rga_0035-1121_1941_num_29_4_4332 [archive]
2. R http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1900_num_9_43_6180 [archive]
3. R http://aures-images.over-blog.com/ [archive]
4. R http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1900_num_9_43_6180
S [archive]
5. R http://books.google.fr/books?id=ko4u9 - S
aRuEC&pg=PA60&lpg=PA60&dq=longueur+oued+abiod&source=bl&ots=ÈaW5N33 3L&sig=4mÈ1bPT00YDFV8Hw6D9
V04vÈMYg&hl=fr&ei=ONvTSs6LEcP14Aaqx_3MDA&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CAgU6AEwADg
K#v=onepage&q=longueur%20oued%20abiod&f=false[archive]
6. R http://georges-chevaux.net/Library/texte026.swf [archive]
M Collectif, Dictionnaire illustré des merveilles naturelles du monde, Reader's Digest, 1982, p 25/26

Oued Daoura
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Atlas. Prenant naissance au Maroc, au sud-ouest de la ville de Taouz, ses eaux se perdent dans le Sahara algérien.

Oued Èuir
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Sahara jusqu'à Iglila ou il se fusionne avec Oued Zouzfana pour former Oued Saoura.

Oued Kiss
c  est une rivière située sur la frontière entre le Maroc et l'Algérie.

Oued Saoura
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saharien ou la pluviosité étant encore suffisante, Sa provenance est les montagnes des Ksour entre Figuig et Beni
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Cascade de l'Oued-el-Roumel
L' '(  , aussi (  ou (  , est le plus important cours d'eau de Constantine en Algérie. Il prend
sa source dans les monts de Ferdjoua (Mila), puis pénètre sur les plateaux de Constantine, ou sa vallée décrit une
série de sinuosités. Il se resserre ensuite très sensiblement au nord de Aïn Smara où il forme alors une boucle
presque fermée et s'infiltre entre les tables calcaires du Djebel El Hadja et du plateau de Ain El Bey en conservant
une direction générale sud-ouest/nord-est.
Le Rhumel coule ensuite vers la cité Boussof au voisinage immédiat des ravins. Son lit dessine encore plusieurs
courbes, puis devient très étroit au lieu-dit W les arcades romaines X. Le bas Rhumel franchit les chaînes numidiques
dans des gorges profondes puis va se jeter dans la mer à l'ouest du golfe de Yijel.
Son principal affluent est l'oued-Boumerzoug qui prend sa source dans la région de Aïn M'lila dont les eaux sont
largement utilisées pour l'irrigation, et l'important groupement thermal deAin Fesguia situé vers la tête de la vallée. Il
a été capté et alimente en eau potable la ville de Constantine, bâtie au confluent de Boumerzoug et du Rhumel.

Sebaou
  1, dit aussi en arabe c  (ou c ')*) est la principale rivière (fleuve) de
la Kabylie de Djurdjura (ou l'actuelle Wilaya de Tizi Ouzou en Kabylie, Algérie), qui se jette dans la Méditerranée près
de la ville de Dellys (Tadellest) ville côtière de Kabylie, rattachée à la wilaya de Boumerdes. Sebaou c'est aussi
l'appellation donnée à la vallée traversée par cette rivière qui va deBoubhir jusqu'à Dellys.

Asif Asbaw

Asif n Sebaou vu depuis Taslent, intersection des routes de Bouzeguène et Azazga-Michelet


Èéographie [modifier]
Le Sebaou est le réceptacle des eaux du versant nord du Yerjer (Djurdjura) et de l'Akefadu (Akfadou). Toutes les
rivières en amont, ainsi que tous les ruisseaux, s'y jettent inlassablement.Sebaou c'est aussi la partie en aval de
l'Asif Messouya, son plus grand affluent qui prend naissance sur les hauteurs de Iferhounene.
Affluents [modifier]
Les cours d'eau qui se jettent dans le Sebaou :
M Asif Messuya
M Asif Bu YedÕaÕen
M Asif Zserdun
M Tasift Tkanna
M Tasift Tajjelt
M Tasift At Xlili
M Tasif n At Bu R‘a...
Notes et références [modifier]
1. [ Adolphe Hanoteau & Aristide Letourneux, La Kabylie et les coutumes kabyles, 3 voll., Paris, Impr. nationale, 1872-1873
(2 ed. A. Challamel, 1893), 2e éd. (sic) rev. et augm. Paris, Bouchene,2003 (ISBN 2-912946-43-3)

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Longueur 500 km
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Bassin 9 200 km

Bassin collecteur Soummam


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Débit moyen 30 m €p

  

Embouchure La Mer Méditerranée

· Localisation Béjaia

· Altitude m

 


Principaux affluents

Tikseridene, Ighzer Amokrane,Ighzer


· Rive gauche
Ouchekroune,

· Rive droite Amassine, Amizour

Pays traversés Algérie

Bouira (sous le nom de


Principales villes Sahel),Sétif (sous le nom de bouR
sellam),Akbou, Béjaia

La  , est un fleuve du nord de l'Algérie né de la confluence de l'oued Sahel et de l'oued Bou-Sellam
à Akbou et se jette àBéjaia.
Sémiologie [modifier]
L¶origine et la signification du nom de ce fleuve viendrait de l¶appellation kabyle t acif assemmam u, qui signifie
t fleuve acide u
Èéographie [modifier]

Embouchure de la Soummam à Béjaia


Lorsqu¶on se met à contempler l¶embouchure de la Soummam sur le pont qui ouvre la route nationale n° 9, à Béjaia, il
est certainement difficile d¶imaginer que les eaux qui rejoignent la mer en ce lieu, ont pour premières origines les
monts de Aïn Oulmane, au sud de Sétif, le mont Dirah, au sud de Bouira, et l¶extrême ouest du Djurdjura. Il se trouve
en effet que la géographie physique de la région positionne les sources les plus méridionales de la Soummam aux
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Soummam et l¶ . À la sortie de Bougaâ, le Ö   est traversé par la RN 74 (joignant Takariets à Sétif) 
la région de Beni Ourtilane d¶où il prend une
puis, il aborde „ „ direction franche vers l¶ouest.
Il continue sur , , et c¶est près du village de    qu¶il reçoit un autre affluent sur sa rive
gauche,  
. Ce dernier prend naissance dans la région de Sidi M¶Barek (wilaya de Bordj Bou Arreridj),
passe dans les bas-fonds de Bordj Zemmoura en recevant les apports venus du versant sud de Hammam Èuergour.
 
continue à tracer ses méandres abrupts vers Èuenzet qu¶il laisse sur sa droite et pique vers la localité d¶El
Maïn située sur la rive gauche du cours d¶eau.
À la sortie d¶El Maïn, ce cours d¶eau voit son destin se mêler à celui de Ö  , puis, cinq kilomètres après, à
celui de la Soummam.1
   /  [modifier]
Ses principaux affluents sont d¶Ouest en Est :
… en rive gauche : Oued Tikseridene, Oued Béni-Mellikeuch dit Asif †gentur, Oued Allaghen, dit Asif Lec, Oued
Illoula, Oued Tifrit, Ighzer Tisyar, Ighzer Amokrane, Ighzer Maâkel, Oued Roumila, Ighzer Ouchekroune et Oued Èhir
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‰‡ en rive droite : c Ö ' , c  ", c , , c  , c    et c 
.
M Excepté peut être l¶Oued Bou-Sellam qui est le principal affluent, tous les autres cours sont à régime intermittent.
Ce réseau hydrographique se superpose facilement aux zones de faiblesse représentées par deux réseaux de failles,
SW-NE correspondant à la direction de l¶Oued Soummam et NW-SE correspondant à ses principaux affluents.
Environnement [modifier]

Poissons morts sur la Soummam probablement une pollution aux pesticides suite à des pluies importantes
L¶oued Soummam se meurt et son fragile écosystème est en péril. Les indices de pollution sont tels qu¶il ne s¶agit plus
de chercher aujourd¶hui à préserver sa faune et sa flore, réduites du reste à leur plus simple expression, mais à éviter
à la santé publique des épidémies dévastatrices.
Et pour cause, la multitude de forages desquels s¶alimente la population des communes riveraines est menacée de
pollution car le risque de contamination des nappes phréatiques est, selon un hydraulicien, très élevé. Près d¶une
quinzaine de communes riveraines, d¶Akbou à Béjaïa, en passant par Ouzellaguen, Sidi Aïch et El Kseur pour ne citer
que les plus importantes, y rejettent leurs eaux usées, les margines de leurs huileries pendant les périodes d¶olivaison
ainsi que leurs ordures ménagères et industrielles. Les rejets finaux d¶assainissement et les décharges d¶ordures
ménagères et industrielles se comptent par dizaines. Š Les travaux d¶aménagement d¶une décharge intercommunale
contrôlée à Èueldamane, dans la commune d¶Akbou, dotée d¶une enveloppe financière de 80 millions de dinars, et
devant recevoir les détritus de cinq municipalités environnantes, ont été bloqués par des propriétaires terriens.
L¶extraction effrénée de sable réduit, d¶autre part, de manière importante, la capacité du lit de l¶oued à filtrer les eaux
de ruissellement. Les responsables des bureaux communaux d¶hygiène sont sur le qui-vive, notamment pendant la
saison estivale, et veillent en permanence à la javellisation de l¶eau destinée à la consommationafin de prévenir les
maladies à transmission hydrique.

Canards au milieu de poissons morts sur la Soummam probablement une pollution aux pesticides suite à des pluies importantes
Au réchauffement climatique ayant réduit ce fleuve en un ruisseau en été, s¶ajoute la perte de l¶apport en eau de l¶un
de ses plus importants affluents, l¶oued Boussellam en l¶occurrence, retenu par le barrage de Tichi-Haf. Š Seule une
vanne écologique coule en permanence. Les forages existants seront affectés toutefois à l¶agriculture dès que le
transfert des eaux du barrage sera effectif. Les sept réservoirs qui seront implantés dans le couloir Akbou-Béjaïa
seront pleins 18 heures sur 24 et régleront l¶AEP des communes bénéficiaires ‹, affirmera une source proche du
projet. Œne lueur d¶espoir donc pour l¶économie en général et l¶agriculture en particulier de cette partie de la Vallée de
la Soummam puisque l¶irrigation des cultures maraîchères par les eauxde l¶oued Soummam est interdite ces
dernières années à cause justement de leur taux élevé de pollution. Sur les 65 unités industrielles que compte la
commune d¶Akbou, seule Cotitex est dotée d¶une station d¶épuration (STEP) opérationnelle.
Plus loin, en aval, Š d¶autres unités industrielles d¶envergure, à l¶image d¶Alfaditex Remila et Cevital, ont des stations
d¶épuration performantes. Signalons aussi la réhabilitation de celle de Béjaïa ainsi que l¶affectation de 200 millions de
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