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L’approche

néo-
institutionnell
e
 Néo-institutionnalisme décrit la théorie, sociale qui se concentre sur
l'élaboration d'un point de vue sociologique des institutions, de la façon
dont ils interagissent et la manière dont elles affectent la société.
 Il fournit une façon de voir les institutions en dehors des points de vue
traditionnel de l'économie en expliquant pourquoi de nombreuses
entreprises afin de finir par avoir la même structure organisationnelle
( isomorphisme), même si elles ont évolué de différentes façons, et
comment les institutions façonnent le comportement des membres
individuels.

Histoire
 Dans les années 1980 , le «néo-institutionnalisme», a vu une attention reconstituée à l'étude
des institutions comme une lentille pour la visualisation dans un certain nombre de
disciplines, notamment l'économie, la sociologie, relations internationales et sciences
politiques.
 En économie, le néo-institutionnalisme est le plus étroitement associé à l'Université
Washington à St. Louis, Missouri, où Douglass North , qui a remporté un prix Nobel en
1993 pour son travail dans l'institutionnalisme nouvelle enseigne actuellement.
Introduction à la néo-
institutionnalisme
 Le nouveau institutionnalisme reconnaît que les institutions fonctionnent dans un
environnement constitué d'autres institutions, a appelé l'environnement
institutionnel. Chaque institution est influencée par l'environnement en général.
 Dans ce contexte, le principal objectif des organisations est de survivre. Pour ce
faire, ils ont besoin pour faire plus que de réussir économiquement, ils ont
besoin pour établir la légitimité dans le monde des institutions.
 Une grande partie de la recherche dans les offres Nouvel Institutionnalisme avec
l'influence envahissante des institutions sur le comportement humain à travers
des règles, normes, et d'autres cadres.


 Les théories précédentes a jugé que les institutions peuvent influencer
les individus à agir dans l'une des deux façons: ils peuvent causer
des individus au sein des institutions de maximiser les avantages
similaire à la théorie du choix rationnel ou d'agir par devoir ou une
prise de conscience de ce que l'on est "censé" faire. Une
contribution importante du néo-institutionnalisme a été d'ajouter un
cognitive influence type.
 Cette perspective ajoute que, au lieu d'agir en vertu des règles ou
fondé sur l'obligation, les individus agissent en raison de
conceptions.

Approche sociologique néo -
institutionnelle

 La perspective néo-institutionnaliste met en évidence le


caractère cognitif et circulaire de la relation entre
 -Pensée (en insistant sur les connotations pré-catégorielles),
 -Action (en soulignant les caractéristiques routinières,
répétitives, pré-stratégiques, mais aussi réfléchies)
 -Réalité (comme donnée par les acteurs mais en même
temps modifiable).


 le néo-institutionnalisme sociologique consiste à :


  Affranchir les sciences sociales d’une vision rationaliste et utilitariste de
la réalité sociale et économique, en construisant un terrain de réflexion
commun et interdisciplinaire
L’approche économique
 L’approche économiqueconsidère que l’institution peut influencer la
performance économique.
 North (1990) explique dans son livre que l’existence des institutions
peut réduire l’incertitude en structurant la vie quotidienne, et peut
baisser aussi les«coûts de transactions» pendant les processus des
échanges et de la production, donc joue un rôle important sur la
performance économique.
Les concepts
fondamentaux
 Légitimité
La notion de légitimité suppose l’existence de normes symboliques partagées permettant aux

membres d’une société d’interagir de façon coopérative (Laufer et Burlaud, 1997). C’est la
légitimité qui définit les normes de l’acceptable ou de l’inacceptable, du conforme et du non-
conforme, du convenable et de l’inconvenant des actions humaines.
Le concept de la légitimité est central pour les approches institutionnelles, il y a beaucoup

d'auteurs (Elsbach, 1994 ; Oliver, 1991 ; Suchman, 1995) qui ont traité cette notion. La
légitimité est acquise en se conformant aux normes, aux croyances et aux règles de leur
système d’appartenance. Autrement dit, la légitimité est une conformité aux valeurs et aux
constructions sociales (Oliver, 1991 :148-149). Et Suchman (1995) a identifié une typologie
détaillée en trois catégories de la légitimité : respectivement les légitimités pragmatique,
morale et cognitive. Ces trois catégories englobent des types variés de légitimité.

 Isomorphisme
 Nous pouvons distinguer trois types de pressions institutionnelles sous
lesquelles les institutions se diffusent selon la TNI. Ce phénomène
d'homogénéisation donc dit isomorphisme. Ils sont de nature coercitive,
normative et mimétique (Scott, 1995).
 Les pressions coercitives sont de nature légale ou politique, et
correspondent aux lois et réglementations qui régulent le pays dans
lequel évolue l’organisation. Un tel système formel de régulation est
nécessaire lorsque les interactions humaines se multiplient et que les
acteurs ne partagent plus les mêmes valeurs et cadres cognitifs.

 Les normes professionnelles qui forgent les philosophies
professionnelles, constituent un cadre cognitif contraignant. Cette
pression normative met en évidence des normes qui devraient non
pas contraindre le comportement des acteurs, mais l’orienter dans
ses prises de décisions (Bensedrine et Demil, 1998).
 Enfin, quant à la contrainte mimétique, les entreprises subissent des
pressions concurrentielles qui les amènent à vouloir copier les
modes de fonctionnement de leurs adversaires les plus rentables et
performants.

L'évolution récente du
courant
 Depuis les années 1990, les travaux s'intéressent de plus en plus au
changement institutionnel et à l'évolution institutionnelle ou co-
évolution des institutions et des acteurs. Oliver (1991) a retenu une
typologie des réponses stratégiques vis-à-vis des processus
institutionnels, ce sont les stratégies de acquiescence
(consentement), compromise, avoid (évitement), defiance (défi) et
manipulation. Ces stratégies représentent un niveau d’active
croissant pour résister aux demandes et attentes institutionnelles
données.

 Le processus de changement institutionnel n'est pas porté par un seul
acteur, mais par un ensemble d'acteurs aux intérêts divergents
(Lawrence et Suddaby, 2006). Plusieurs types des stratégies
peuvent être déployées de la part de l'entrepreneur institutionnel
pour initier des changements institutionnels. Maguire et al.(2004)
soulignent le rôle des stratégies discursives pour le processus de
l'institutionnalisation pour un champ émergent, celui de traitement
SIDA au Canada. Hwang et Powell (2005) ont identifié trois
processus différents qui peuvent conduire à des changements
institutionnels : l'élargissement de juridiction professionnelle ; la
création des standards ; définition de règle et création des
institutions.

 Un des changements institutionnels particulier est la
désinstitutionnalisation. Le phénomène de désinstitutionnalisation
est défini par Scott (2001), comme le processus par lequel les
institutions affaiblissent et disparaissent. Oliver (1992) a identifié
trois sources qui mènent les organisations aux processus de
désinstitutionnalisation. Ce sont les facteurs fonctionnels, politiques
et sociaux.

 Les pressions fonctionnelles désignent les problèmes perçus en termes
de performance et utilité.
 Le deuxième facteur est politique, qui est le résultat du changement
d'intérêts et la distribution du pouvoir.
 La dernière pression de désinstitutionalisation est sociale.
 Les organisations sont sous l’influence de la divergence entre les
différents groupes sociaux au niveau de conviction et pratique, et
les changements de réglementation ou attentes sociales

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