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(C.S.C. FERRIEROIS)
Didier :
Je m’appelle Didier Rousseau
Je suis né le 22 Février 1969
Je mesure 1,88m pour 81kg
VO2 max: 66 en date du 15 Janvier 2010.
Je vis maritalement et nous avons un fils de 13 ans.
Je travaille depuis une vingtaine d’année en qualité de second de rayon dans un
hypermarché de Louvroil.
Photosports : Didier, peux tu nous expliquer comment t’est venu cette vocation de
coureur cycliste ?
Didier : Je suis issu d’une famille de coureurs. Déjà mon père Félicien courait avec
Jean-Marie Leblanc, Pierre Malhaise, Van Meneen, à son époque, mon frère
Philippe de cinq ans mon aîné courait déjà à Hautmont. Cela semblait normal que je
prenne le vélo aussi.
Photosports : Peux tu nous parler de tes débuts dans le cyclisme ?
Didier : J’ai commencé à l’E.C. Feignies en 1984 en tant que cadet, je me souviens
qu’à cette époque je faisais du vélo sans grande prétention et un peu n’importe
comment. Je n’avais pas vraiment d’objectifs précis ni de vrai but à atteindre. J’étais
dans la tradition cycliste, mon frère aîné courait à l’U.V. Hautmontoise depuis 1979
et mon père y courait aussi en senior 3 puis en 2 dans les années 1955/65
C’est à cette époque (1985/1986) que j’ai connu Marc Servais qui m’a fait connaître
le cardio-fréquencemètre et apprit à m’en servir.
Photosports : Peux- tu nous faire un historique des clubs par lesquels tu es passé
depuis tes débuts ?
Didier :
1984 à 1985 : E.C. Feignies en tant que cadet
1986 : pas de compétition
1987 : U.V. Hautmontoise en Junior 2 (c’est à partir de là que je commence à
obtenir des résultats).
1988 : R.O. Courmelloise (Aisne) S3
Octobre 1989 : Service militaire en Alsace.
1990 : Retour R.O. Courmelloise en S3
1991 à 1992 : C.H.O.C Hirson en S2
Juin 1992 à 1994 : break Vélo pour raisons familiales et professionnelles
1995 à 1999 : V.C. Bavay en catégorie 3 puis 2 en 1998 puis retour en 3 en 1999.
2000 à 2005 : C.S.C. Ferrièrois en S3
2006 : U.V. Fourmies en S3
2007 à 2010: Nicolas Berquin reprend le Club de Ferrière, je reviens à Ferrière en
qualité de vice-président et de coureur bien sûr. J’y suis encore en ce moment.
Didier : Oui j’ai participé à plusieurs épreuves de l’autre coté de la frontière car je
n’avais pas trop apprécié ma montée en S2 en cours d’année. Le comité invoquant
une « supériorité manifeste » sans tenir compte de mon âge et surtout n’ayant que
huit classements à mon actif, j’ai eu aussi l’impression d’être dans leur
« colimateur ». Je reste persuadé que certaines règles sont à revoir à ce sujet.
Didier : Une chute à Feignies en 1999. Déjà avant le départ une crevaison, je change
de roue, mais elle devait être mal réglée ce qui a causé un blocage de ma chaîne
entre deux pignons lors d’une attaque. Transport à l’hôpital avec perte de
connaissance, visage hyper gonflé, méconnaissable.. L’horreur !
Didier : Je m’y sens bien, je participe à toutes les décisions qui s’y prennent et
j’aime bien y transmettre mon savoir et mon expérience aux nouveaux jeunes
arrivants, même si ils ne sont pas toujours a l’écoute……