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Section 2 : les difficultés de la pratique de la RSE dans les

entreprises Marocaines.
Une entreprise ayant une politique de la RSE tient compte non
seulement de sarentabilité mais aussi de l’ensemble de ses
partenaires économiques et sociaux de ce fait être socialement
responsable signifie non seulement satisfaire pleinement aux
obligations juridique applicables, mais aussi aller au delà et
investir dans le capital humain et l’environnement .
Parmi les partenaires qui constituent l’axes forts de l’existence
même de l’entreprise il y a les salariés , les fournisseurs et les
actionnaires qui est intérieur dans l’entreprise ( sous section 1) ,
puis les clients , ONG et riverains et générations futures qui sont
placer a l’extérieur de l’entreprise ( sous section 2).
Les parties tant intérieures qu’extérieurs ne trouvent pas de
véritables applications de la RSE dans les entreprises marocaines.

Sous section 1 : les difficultés internes.


Paragraphe 1 : vis-à-vis des salariés.
Les collaborateurs de l’entreprise sont sa première source de richesse, ils garantissent non
seulement la production d’un service, mais également, placés dans des conditions
favorables. La RSE au cœur de l’entreprise c’est être attentifs aux personnes , développer
les compétence de chacun améliore les conditions de travail ( et la sécurité, favoriser le
dialogue social .Et la modernité des rapport sociaux se fonde sur un réel échange ,
quotidien entre les collaborateurs , et régulier avec les représentants du personnel et les
syndicats , au niveau de l’établissement , de la filiale et du groupe , mais est ce qu’il est
simple d’appliquée cette règle dans les entreprises marocaines ?
Dire que les managers se montrent disponibles, suscitent l’avis de chaque collaborateur,
l’écoutent …relève du Bon sens ! Mais il est plus difficile de le faire au quotidien.
Il faut encouragés à développer le dialogue , l’autonomie et la responsabilisation qui sont
considérés comme des facteurs de développement personnel pour les collaborateurs , les
ouvriers les agents de maîtrise ou les managers et de performance collective . La
consécration de la RSE ne se limite pas aux salariés mais aussi aux fournisseurs.
Paragraphe 2 : vis-à-vis des fournisseurs.
La RSE comme notion s’étend à l’environnement économique et social de l’entreprise ses
fournisseurs producteurs de matière première sont indépendants et entretiennent avec lui
des rapports réguliers et structurés. Il s’agit d’établir un nouveau type de contrat avec ses
fournisseurs en établissant des relations à long terme. L’idée n’est plus d’obtenir le
meilleur prix, en écrasant les marges de ses fournisseurs et en changeant régulièrement,
mais de bénéficier de produit ou de services de qualité constante, dans un bénéfice
mutuel pour les deux parties. une entreprises engagée dans une politique socialement
responsable sélectionnera ses fournisseurs selon des critères sociaux et
environnementaux. Mais qu’en est-il des propres sous traitants de ces fournisseurs ?
Comment aller vérifier leurs méthodes de travail puisqu’ils restent apriori, inconnus de
l’entreprise cliente ? La sous traitante et ses multiples niveaux est au cœur de la RSE .
Mais qu’il est place des actionnaires dans la RSE ?
Paragraphe 3 : vis-à-vis des actionnaires.
La voix des actionnaires ne cesse de s’affirmer, celle des investisseurs institutionnels
comme des petits porteurs détenteurs d’une partie du capital de l’entreprise, ces
actionnaires qu’il que soit leurs poids, exercent de plus en plus leurs droit de regard sur la
politique menée par l’entreprise y compris dans ses aspects sociaux et environnementaux,
ils utilisent pour cela entre autres, les assemblées générales.
En plus de ces difficultés interne , il y a d’autres qui sont placées au niveau extérieur de
l’entreprise.
Sous section 2 : les difficultés externes.
Paragraphe 1 : vis-à-vis des clients.
Prendre en compte les attentes des clients par un éventail de mesures visant à améliorer le
service au consommateur via les procédures qualité social qu’est liée au processus de
production d’un produit ou d’un service , c’est une prise en considération des conditions
sociales des personnes qu’ont contribuée à la production de ce produit , la qualité sociale
se différencie de la qualité technique par le fait qu’elle n’est pas détectable sur le produit
final , on ne peut pas la mesurer par une analyse du produit , la gestion de la qualité
sociale par une entreprise l’oblige à déterminer les paramètres sociaux qu’elle doit
surveiller et décryptage des filières économiques de production en amont de l’entreprise .
C’est pour cela qu’elle doit mettre en place un système de management spécifique pour la
qualité sociale » .
C’est-à-dire une organisation et des processus spécifiques pour suivre ses paramètres
.mettre aussi des numéros verts et les services d’information client, les enquêtes de
satisfaction.
Et répondre aussi à de nouvelle attentes sur les qualités sociales et environnementales des
produits de ce fait les entreprises ont un intérêt moral et pratique à être civiques , faire
une démarche qualité qu’est basé sur trois axes :
• améliorer la qualité de service et de la relation client.
• améliorer en permanence le bien-être et la qualité de l’environnement de travail des
employés.
• Favoriser la promotion de la femme .
La RSE au niveau extrême de l’entreprise ne se limite pas à la partie client mais détient
aussi des riverains et générations futures.
Paragraphe 2 : vis-à-vis des riverains et générations futures.
A- Les riverains
Il s’agit de tous ceux qui vivent autour des unîtes de production et peuvent directement
ou indirectement .bénéficier ou subir les impacts de cette activité économique comme
l’environnement qu’il fait le respecter par la limite de l’impact des emballages l’impact
des emballages sur l’environnement peut être limite de deux façons :
-Par la récupération et la valorisation des matériaux, cette dernière passe par la voie
énergétique ou par l’intermédiaire du recyclage.
-par la réduction a la source des emballages c’est-à-dire la réduction du poids des
matériaux par unité de produit
La vie et la développement des collectives locales dépendent toujours largement des
retombées économiques générées par les entreprises en termes d’emploi .mais aussi de
taxes professionnelles de vie des associations de maintien des services publics et des
commerces.
Dans les pays en développement la contribution de l’entreprise relève parfais de nations
de services public ( santé, équipement….) mais dans les pays en voie de développement
comme le notre ce principe souffre de plusieurs obstacles qui sont lier au nombre des
sociétés qui est très limité .
Très limites au niveau financier et au niveau matériel ainsi que ce lui de l’état qu’est le
véritable responsable de cette négligence des riverains particulièrement est de
l’application de la RSE en général et qui se manifeste par l’absence de la présentation aux
petites entreprises de l’aide financier ainsi que le coup très élevé des impôts sur les
société (I.S)
B- Les génération futures.
Le développement durable doit tenir compte des générations à venir qui n’ont par
définition pas de porte parole.
De façon plus concrète il consiste aussi à réintroduire dans une économie et une société
occidentale au rythme du court terme , les notion de moyen et long terme mais quel type
de rapport existe-t-il entre les ONG et RSE ?
Paragraphe 3 : vis-à-vis des ONG
Certains organismes non gouvernementaux réglementent des information sur les
méthodes de gestion des entreprises et en dénoncent, si nécessaire les irrespects. Leur
mission consiste aussi à élaborer et publier des chartes. Voire a mener des audits
sollicités par les entreprises elles mêmes ou à mettre en place différentes formes .de
partenariats avec elles.
De façon générale, en entend par ONG toute organisation d’intérêt public qui ne relève ni
de l’état ni d’une institution internationale parce que toute entreprise a besoin de
s’inscrire harmonieusement dans son environnement a fin de contribuer au
développement local en mettant leurs compétences au service des ONG et des association
qui ont des considérations humanitaires.
Cette définition ne regroupe pas un ensemble homogène au contraire une grande diversité
docteurs pour développer une typologie approfondie des ONG et des engagements
culturels réaliser en partenaire d’association marocaines impliquées dans la sauve garde
du patrimoine culturel et dans l’organisation des colloques scientifiques et culturels.
Ainsi que la promotion de manifestations culturelles d’envergure telles que celles menées
par la BMCE-Bank dans les divers festivals réalisés par cette dernières par exemple le
festival des musiques sacrées de Fès, d’Essaouira et d’Asilah, ainsi que l’organisation de
nombreuses conférences et de forums internationaux contribuant a faire connaître aux
investisseurs étrangers et a l’opinion publique nationale et internationale les potentialités
de l’économie marocaine , ainsi que la multiplication des associations ayants pour objet :
La solidarité, sociale, la défense de l’environnement, le droit des consommateurs
l’hygiène, la santé…..etc.
Titre I: « la théorie de la responsabilité sociale de l’entreprise . »
Du point de vue théorique, la notion de « responsabilité sociale
de l’entreprise » permet a celle-ci d’équilibrer, ou d’intégrer ses
impératifs économiques, environnementaux et sociaux. Tout en
répondant aux attentes des intervenants, de façon générale qui
constitue habituellement une des principales caractéristiques de
concept, puisque les temps change tout comme les attentes du
publique à l’égard des entreprises car auparavant sont rôle était
centré sur l’essors de l’économie et de la rentabilité, afin d’avoir
plus de bénéfice, Hors, il se trouve que l’évolution nous amène de
plus en plus à associer la croissance économique, mieux être
environnementale et social. En effet la responsabilité sociale est
acceptée comme étant applicable aux entreprises quelque soit
l’endroit ou elles opèrent à savoir dans l’économie nationale ou
mondiale. Vue l’absence des normes régissant celle-ci au niveau
national ou international est ce que cette politique de
responsabilité social pourra être bien menée par les entreprises
marocaines ? puisque sa pratique supposes au delà de ce que
prescrit la loi. Et qu’elle revêt une signification différente d’une
entreprise à l’autre ? dès lors , l’étude de ce présent titre sera
basé en chapitre I su les repères et les références de la
responsabilité sociale et en second chapitre II la difficulté de la
pratique de cette responsabilité sociale de l’entreprise par les
entreprises marocaines , résultantes des démarches volontaires.

Chapitre I : Les repères et références de la RSE.

La notion de RSE est liée à l’application aux entreprises du


concept du développement durable qui repose sur certains piliers
: économique social et environnemental, qui signifie qu’elle doit
aussi être plus attentive aux préoccupations de ses parties
prenantes. Vue la pression qu’exerce la société civile ainsi que la
monté de nouvelles attentes dans l’opinion qui pèsent sur elle ,
mais comment évaluer la politique de RSE d’une entreprise ?
Compte tenu l’absence d’une grille universelle. En effet il existe
plusieurs indicateurs et organismes spécialisés dans ce domaine
et que les acteurs s’efforcent d’élaborer des règles communes,
qui permettront, a terme de comparer au moins les entreprises
d’un même secteur. C’est ainsi que ce chapitre sera divisé en
(section I) les repères de la RSE et en (section II) les référentiels
de la RSE.
Section I : les repères de la RSE.
Si les évolutions actuelles de la société poussent les entreprises a
s’engager dans des démarches, de la RSE celle si en retirent aussi
des bénéfice tangibles , ceux-ci s’observent de plusieurs
manières beaucoup de questions se sont posées sur ce que les
entreprises trouvent comme avantages direct dans une prise en
compte du développement durable .(Sous section I) .Or l’étude
menée sur l’impact du développement durable dans la stratégie
des grandes entreprises s’est appuyé sur deux critères à savoir la
pression imposée à l’entreprise par ses parties prenantes et
l’attitudes de l’entreprise qui peut choisir d’anticiper et identifier
les axes les plus porteurs dans le développement durable (sous
section II).
Sous section I : les bénéfices de la RSE.
Les bénéfices qu’une entreprise peut tirer en pratiquant une
politique de RSE s’observent soit par la réduction des risques pris
par elle soit par les nouvelles opportunités qu’elle peut tirer de
ces approches et selon une étude ses bénéfices se subdivisent
entre une amélioration de l’efficacité et réduction des coûts
réponses aux attentes des clients, développement de nouvelles
activités, mobilisation du personnel, et amélioration des relations
avec les investisseurs.
• l’amélioration de l’efficacité est l’axe le plus reconnu
notamment en revisitant les acquis des démarches qualité est à
l’origine de gains de productivité et de réduction des coûts. A cet
effet certains procèdes constituant autant d’investissements,
souvent immatériels, dont les impacts à moyen et à long terme
peuvent être importants les exemples ne manques pas sur ce
plan a savoir la plus influctif est la chasse au gaspillage engagés
pour des raisons écologiques de lutte contre la surconsommation
ressources, elle a un impact économique positif immédiat.
• L’axe des clients consiste soit à retourner le risque d’image en
avantages concurrentiel , en répondant aux attentes des parties
prenantes Lafarge cimentier « exemplaire » soit a orienter son
offre vers des segments de clientèles sensibles au
développement durable ou encore à créer des produits
correspondant a de nouvelles attentes.
• Des actions nouvelles ou orientés peuvent naître du
développement durable. Il s’agit de se positionner sur des
marchés porteurs, notamment dans l’environnement, mais aussi
de réorienter le portefeuille stratégique ce qui peut aller jusqu’a
renoncer a des actions ou zones d’implantation, trop risqués au
regard de la responsabilité sociétale.
• La mobilisation du personnel et de parties prenantes externes,
autour de valeurs partagées, de projets stratégiques et d’une
plus grandes en ouverture sur l’extérieur, permet de réduire le
risque social et de créer une dynamique de progrès.
• Enfin sur l’axe de la valorisation boursière, on pense biensur
d’abord aux dispositifs pour limiter les facteurs de risque les plus
marquants. Mais les démarches de gouvernance, l’établissement
de nouvelles relations avec les investisseurs et la mise en valeur
d’actifs immatériels peuvent se conjuguer pour confronter la
valorisation du titre. Ces démarches ne portent leurs fruits qu’a
moyen ou long terme, jusqu’aujourd’hui, seules une minorité de
grandes entreprises ont su construire une vraie différenciation
stratégique sue ce plan.
Pour les autres, l’exigence de responsabilité vis-à-vis de la
société apparaît comme des contraintes qui accroissent le degré
de complexité du management des grands groupes. Pourtant des
propriétés cibles selon l’environnement propre à chaque
entreprise, sot en mesure d’ouvrir des opportunités intéressantes
à condition d’être construits avec cohérence, en programmant les
coûts de ces investissements en visant un horizon plus large que
celui de la communication sur le développement durable.
Sous section II : les stratégies de la RSE.
La pression imposée à l’entreprise par des ONG ; l’opinion
publique, les législations a venir celle-ci plus au moins marquée
par les secteurs d’activité de l’entreprise qui peut aussi évoluer
face aux contraintes réglementaires et aux revendications des
parties prenantes a partir du quel on peut déterminer six
catégories de positionnement des entreprises .
• les stratégies soumises à une pression forte, ces entreprises
font du développement durable une opportunité intégrée dans la
stratégie globale de l’entreprise exemple de ce cas l’Afarge
Maroc.
• Les gages face à une pression externe modérée l’adéquation du
développement durable avec leurs valeurs leur permet de
construire une politique globale de responsabilité sociale de
l’entreprise inscrite dans leur stratégie.
Les concernées , en réaction aux pressions de l’environnement ,
le développement durable est vu d’abord à travers les
opportunités de marché qu’il offre , autour de grandes priorités
exemple danone.
• Les proactivités de l’anticipation des attentes des clients
orientent une partie de l’activité autour d’un positionnement du
développement durable.
• Les cibles idéales, d’une pression très forte les conduit à réagir
par des programmes d’actions cherchant à éviter les risques de
mise en cause.
• Les entrants face à une pression encore limitée ces entreprises
ont mis en œuvre des démarches d’adaptation aux nouvelles
normes implicites de responsabilité sociale et environnementale.
Ainsi pour que la responsabilité sociale devienne un axe
stratégique de l’entreprise, le processus est progressif.
Première étape ; faire un diagnostique social et environnemental.
Second étape : définir des orientations et fixer des objectifs
d’amélioration et le cas échant, s’engager dans des démarches
volontaires collectives.
Troisième étape : mettre en œuvre des programmes d’action pour
modifier ses pratiques et construire les dispositifs de Reporting
qui permettent d’en rendre compte en s’appuyant sur ses parties
prenantes.
Pour établir des diagnosties ou atteindre des objectifs les
entreprises peuvent recourir a leurs parties prenantes
concrètement cela peut conduire a monter des partenariats avec
des ONG spécialistes des questions environnementales ou
sociales.
En fait la responsabilité sociale et environnementale de
l’entreprise s’étend a l’ensemble de ses activités, pour chaque
grand domaine il existe une grille de critères qu’on peut
rassembler en six grandes familles : environnement, ressources
humaines, gouvernement d’entreprise, pratiques commerciales,
impact local et citoyenneté. Les entreprises concernées se sont
elle qui ont engagé de vraies démarche de responsabilité sociale
et environnementale ayant un impact sur les pratiques et les
processus aussi bien dans le domaine des ressources humaines
que dans celui des pratiques commerciales ou de la production
sont assez rares . Il s’agit en général de grandes entreprises
cotées qui ont de forts impacts environnementaux, ou qui gèrent
des marques grand public. Par exemple à l’échelle internationale,
les entreprises les plus engagées sont réunies dans des
associations qui travaillent sur ces questions.

Section II : les référentiels de la RSE

Pour évaluer la politique de responsabilité sociale d’une


entreprise il existe certains indicateurs , vue l’absence d’un
indicateur universel , il est envisageable de parvenir a un
consensus international sur les indicateurs environnementaux ,
cela semble difficile pour les critères sociaux , le global reporting
initiative est une initiative international a laquelle participent des
entreprises des ONG , des cabinets de consultants , des
universités qui s’efforce donner une structure d’indicateurs de
performance selon une hiérarchie par catégorie, aspect et
indicateur a cela s’ajoute d’autre indicateur tel que l’agence de
notation sociale et environnemental

Sous section I : le principe de reporting de la GRI.


Le global reporting initiative a été crée en 1997 par l’association
américaine coalition for environementaly responsable économies,
elle a été jusqu’en 2002

un projet sous l’égard


du PNEU, et elle est aujourd’hui une organisation indépendante,
elle est ouverte a toutes les organisations et à tous particuliers
ayant un intérêt dans le reporting de la responsabilité sociale de
l’entreprise.
Le processus de consultation qui a amené la GRI a animer des
ateliers de travail regroupant plusieurs milliers de participant a
abouti en 2002 à un document regroupant des lignes directrices
en matière de reporting de la responsabilité sociale. ce document
est appelé à être amélioré régulièrement par un processus
continu de réflexion , mais les 11 principes qu’il a dégagés ne
devraient pas être remis en cause et ont été classés en quelque
catégories .
- Transparence : publication d’une méthodologie détaillée ainsi
que des postulats pris lors de la rédaction du rapport.
- Exhaustroité : l’ensemble des informations susceptibles
d’éclairer les lecteurs du rapport sur les impacts sociaux,
économiques et environnementaux de l’organisation doit être
précisé, avec mention explicitée de leur périmètre et des dates
auxquelles ils s’appliquent.
- Pertinence : ce principe signifie qu’une guide dans le choix des
informations publiées, celles-ci devant être significatives.
- Contexte : l’organisation doit replacer ses propres performances
au sein du contexte et des contraintes sociales, économiques et
environnementales pesant sur elle, afin de mettre en perspective
les données qu’elle fournit.
- Précision : l’exactitude des données fournies doit permettre aux
parties prenantes de faire confiance au rapport.
- Neutralité : les rapports devraient éviter toute subjectivité et
les efforts nécessaires doivent avoir été entrepris afin de
présenter la performance de l’organisation de manière équilibrée.
- Comptabilité : l’organisation doit maintenir une homogenèse au
fil de ses rapports quant au périmètre des données fournies, et
préciser tout changement.
- Clarté : l’organisation doit être consciente du niveau de
connaissance de chacune de ses parties prenantes et présenter
une information compréhensible par le plus grand nombre, tout
en maintenant un niveau de détail approprié.
- Régularité : les rapports doivent être produits de manières
régulières et a une fréquence appropriée à la nature des données
traitées.
Sous section II : les contenu des rapports de la GRI .
Dans ce présent rapport, les indicateurs sont regroupés en
fonction des trois axes de la définition conventionnelle du
développement durable ; économique, environnemental et social.
Dans l’édition 2002 des lignes directrices, la hiérarchie adoptée
est la suivante :
En plus du travail fournit par le global reporting initiative des
agences de notations sociale et environnementale, évaluent
notamment la politique de responsabilité sociale et
environnementale des entreprises. Elles ont été crée a la fin des
années 90 et au début des années 2000, les agences travaillent a
partir d’analyses des documents publics, de questionnaires
spécifiques, et de rencontres avec des responsables
d’entreprises.
Chaqu’une a sa propre méthodologie ce qui ne signifie pas le
travail de réponse des entreprises et la comparaisons entre leurs
différentes notes.

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