Sunteți pe pagina 1din 8

Le 3 décembre 2010

WSPA – Traitement sans cruauté des animaux


Cruauté envers les animaux
La majorité des Canadiens soutiennent un des objectifs principaux du mouvement de protection des
animaux, soit de minimiser et d'éliminer éventuellement toutes les formes de cruauté et de
souffrance envers les animaux (88 %). Les femmes continuent d'être plus en faveur de la protection
des animaux, puisqu'elles ont plus tendance que les hommes à soutenir cet objectif (91 % plutôt que
84 %). Les gens qui ont plus tendance à voter pour le Parti conservateur (78 %) sont moins en faveur
du mouvement pour la protection des animaux comparativement aux gens qui votent pour le Parti
libéral (89 %), le NDP (95 %), le BQ (97 %) ou le Parti Vert (89 %). Les gens qui n'ont jamais chassé ou
pêché ou l’ont fait rarement dans la dernière année ont plus tendance que les autres qui ont chassé
ou pêché souvent ou parfois à être en faveur du mouvement (91 % plutôt que 74 %).

Presque tous les Canadiens (95 %) sont d'accord que la douleur et la souffrance des animaux
devraient être contrôlées le plus possible, même dans les cas où les animaux sont élevés pour être
abattus, et 93 % appuieraient des lois visant à s'assurer que tous les animaux de ferme soient au
moins capables de s'allonger, de se tourner, d'étirer leurs membres et/ou leurs ailes. Les femmes
sont plus nombreuses à soutenir cette loi (95 % plutôt que 90 %). Les gens qui ont tendance à voter
pour le BQ (99 %) ont plus tendance que les autres qui voteraient pour le Parti libéral (94 %) ou le
Parti conservateur (93 %) à être d'accord que la douleur et la souffrance des animaux devraient être
contrôlées le plus possible. Alors que la majorité des voteurs du Parti conservateur serait prêts à
soutenir les lois visant à s'assurer que tous les animaux de ferme ont assez de place pour s'allonger,
se tourner, étirer leurs membres et/ou leurs ailes (87 %), ils auraient le moins tendance à donner leur
soutien par rapport aux voteurs du Parti libéral (94 %), du NDP (98 %), du BQ (96 %) et du Parti Vert
(95 %).

Les Canadiens appuieraient les modifications suggérées par les sociétés protectrices des animaux au
Canada et d'autres groupes de protection des animaux, dans le but d’améliorer les lois fédérales
canadiennes contre la cruauté envers les animaux. La majorité des Canadiens serait prêts à soutenir
personnellement les modifications visant à : reconnaître que les animaux sont des êtres sensibles
(87 %); avoir des lois contre les combats de coqs qui seraient aussi sérieuses que celles contre les
combats de chiens (87 %); créer de nouvelles infractions qui interdiraient d'empoisonner, de blesser
ou de tuer un chien policier ou un cheval policier (85 %); rendre plus sérieux le crime de tuer un
animal de façon brutale et vicieuse (84 %). Un peu plus des trois-quarts (78 %) appuieraient
d'éliminer une échappatoire qui fait que les propriétaires d'animaux ne sont pas poursuivis lorsqu'ils
négligent leurs animaux, à moins que l'on puisse prouver qu'il y s’agissait de négligence

Page 1 of 8
intentionnelle. Près des trois-quarts (73 %) des Canadiens soutiendraient personnellement que l’on
admette que les animaux sont plus que des objets, en enlevant les crimes cruels contre les animaux
de la section du Code criminel du Canada portant sur les crimes contre la propriété, et plusieurs
soutiendraient d'éliminer l’échappatoire où les gens qui maltraitent les animaux ne sont pas
poursuivis en justice lorsqu'ils expliquent que l'animal est mort rapidement (72 %).

Sur le plan régional, les gens vivant en Colombie-Britannique (83 %) et en Alberta (82 %) ont plus
tendance que les gens des autres régions à soutenir la proposition d'éliminer l’échappatoire où les
gens qui maltraitent les animaux ne sont pas poursuivis en justice lorsqu'ils expliquent que l'animal
est mort rapidement.

Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à soutenir certaines de ces modifications, y
compris : de rendre plus sérieux le crime de tuer un animal de façon brutale et vicieuse (89 % plutôt
que 79 %); d’interdir d'empoisonner, de blesser ou de tuer un chien policier ou un cheval policier
(88 % plutôt que 82 %); et d'éliminer l’échappatoire où les gens qui maltraitent les animaux ne sont
pas poursuivis en justice lorsqu'ils expliquent que l'animal est mort rapidement (77 % p. rap. à 68 %).

Support for amendments

Make laws against cockf ighting as strong as those


87% 1% 11% 1%
against dog f ighting

Recognize that animals are sentient 87% 1% 11% 2%

New of f ence making it illegal to “poison, injure or kill” a


85% 1% 12% 2%
police dog or horse

New of f ence making it a more serious crime to “brutally


84% 1% 13% 2%
and viciously kill” animals

Removing a loophole allowing animal owners to


escape prosecution f or neglecting their animals unless 78% 1% 18% 4%
it can be proven the neglect was "wilf ul" in intent
Recognize that animals are more than “property” by
removing animal cruelty crimes f rom the Crimes 73% 1% 18% 8%
Against Property section of Canada’s Criminal Code

Removing a loophole allowing animal abusers to


72% 1% 24% 2%
escape prosecution by arguing the animal died quickly

0% 20% 40% 60% 80% 100%

Support Indif f erent Oppose Don't know/ref used

Le soutien de ces modifications varie en fonction de l'intention de vote :


 Avoir des lois contre les combats de coqs qui seraient aussi sérieuses que celles contre les
combats de chiens : BQ (94 %) par rapport au Parti conservateur (86 %).

Page 2 of 8
 Reconnaître que les animaux sont des êtres sensibles : NDP (90 %), BQ (91 %), Parti Vert
(91 %) par rapport au Parti conservateur (81 %).
 Créer un nouveau délit qui rendrait plus sérieux le crime de tuer un animal de façon brutale
et vicieuse : Parti libéral (86 %), NDP (88 %), BQ (88 %), Parti Vert (87 %) par rapport au Parti
conservateur (75 %).
 Éliminer une échappatoire qui fait que les propriétaires d'animaux ne sont pas poursuivis
lorsqu'ils négligent leurs animaux, à moins que l'on puisse prouver qu'il y s’agissait de
négligence intentionnelle : Parti Vert (84 %) par rapport au Parti conservateur (72 %).
 Admettre que les animaux sont plus que des objets, en enlevant les crimes cruels contre les
animaux de la section du Code criminel du Canada portant sur les crimes contre la propriété :
NDP (81 %) et Parti Vert (78 %) par rapport au Parti conservateur (66 %).

Les gens qui ont rarement ou jamais chassé ou pêché au cours de la dernière année ont plus
tendance que ceux qui ont chassé ou pêché souvent/parfois au cours de la dernière année à soutenir
certaines de ces modifications, y compris d’avoir des lois contre les combats de coqs qui seraient
aussi sérieuses que celles contre les combats de chiens (89 % plutôt que 79 %); de créer un nouveau
délit qui rendrait plus sérieux le crime de tuer un animal de façon brutale et vicieuse (87 % plutôt que
72 %); d’admettre que les animaux sont plus que des objets, en enlevant les crimes cruels contre les
animaux de la section du Code criminel du Canada portant sur les crimes contre la propriété (75 %
plutôt que 64 %); et d'éliminer l’échappatoire où les gens qui maltraitent les animaux ne sont pas
poursuivis en justice lorsqu'ils expliquent que l'animal est mort rapidement (75 % plutôt que 62 %).

Avant de se renseigner sur les lois existantes sur la cruauté contre les animaux, la moitié des
Canadiens (49 %) ont indiqué qu'ils pensaient que les lois contre la cruauté envers les animaux au
Canada n'étaient pas assez sérieuses, et environ le tiers (36 %) pense que les lois contre la cruauté
envers les animaux sont suffisantes. Les femmes ont plus tendance à penser que ces lois ne sont pas
suffisantes (56 %), alors que les hommes ont plus tendance à penser qu'elles sont suffisantes (42 %).
Les gens qui voteraient pour le NDP (60 %) ou le Parti Vert (65 %) aux prochaines élections ont plus
tendance que ceux qui voteraient pour le Parti libéral (44 %), le Parti conservateur (39 %) ou le BQ
(39 %) à croire que nos lois actuelles contre la cruauté envers les animaux ne sont pas suffisantes;
cependant, les gens qui auraient tendance à voter pour le Parti libéral (45 %), le Parti conservateur
(47 %) ou le BQ (55 %) ont plus tendance à croire que les lois existantes sont suffisantes. Les autres
qui pensent que les lois existantes contre la cruauté envers les animaux ne sont pas suffisantes
comprennent : ceux qui vivent dans les villes (52 %), ceux qui considèrent que la protection des
animaux est une de leurs trois préoccupations principales (63 %), ceux qui pensent que le bien-être et
la protection des animaux élevés pour la nourriture sont importants (51 %), ceux qui soutiennent la
Déclaration universelle pour la protection des animaux (52 %), ceux qui achètent souvent ou parfois

Page 3 of 8
des œufs de poules élevées au sol (55 %), et ceux qui n'ont jamais chassé ou pêché ou le font
rarement (52 %).

Les Canadiens trouvent que le bien-être et la protection des animaux sont importants dans plusieurs
situations :
 Espèces en voie de disparition (97 %);
 Animaux de compagnie (94 %);
 Animaux sauvages (94 %);
 Animaux dans les zoos et aquariums (91 %);
 Animaux élevés pour la nourriture (90 %);
 Animaux de laboratoire (86 %);
 Animaux de cirques et de rodéos (85 %); et,
 Chevaux et chiens utilisés pour la course (83 %).

Nous remarquons certaines tendances précises concernant l'importance du bien-être et de la


protection des animaux. Les hommes et les femmes ont également tendance à voir l'importance de
protéger les espèces en voie de disparition, les animaux de compagnie, les animaux sauvages et les
animaux dans les zoos et aquariums, mais les femmes ont plus tendances que les hommes à penser
qu'il est important de protéger les animaux élevés pour la nourriture (93 % plutôt que 86 %), les
animaux de laboratoire (91 % plutôt que 81 %), les animaux de cirques et rodéos (88 % plutôt que
82 %), ainsi que les chevaux et chiens qui prennent part aux courses (86 % plutôt que 80 %). Aussi,
ceux qui soutiennent la Déclaration universelle sur la protection des animaux ont beaucoup plus
tendance à voir l'importance du bien-être et de la protection des animaux dans la plupart de ces
situations, y compris les animaux de compagnie (95 % plutôt que 82 %), les animaux sauvages (95 %
plutôt que 81 %), les animaux dans les zoos et aquariums (92 % plutôt que 79 %), les animaux élevés
pour la nourriture (92 % plutôt que 61 %), les animaux de laboratoire (88 % plutôt que 61 %), et les
animaux de cirques et rodéos (86 % plutôt que 71 %).

Presque tous les Canadiens trouvent que le gouvernement canadien devrait soutenir la Déclaration
universelle pour la protection des animaux aux Nations-Unies (91 %). Les femmes ont plus tendance
que les hommes à appuyer cette suggestion (95 % plutôt que 88 %). Alors que la plupart des gens qui
votent pour le Parti conservateur soutiendraient la Déclaration universelle pour la protection des
animaux aux Nations-Unies (84 %), ils auraient le moins tendance à le faire (plutôt que les gens qui
votent pour le Parti libéral (92 %), le NDP (97%), le BQ (97%), et le Parti Vert (96 %)). De plus, ceux qui
ont rarement/jamais chassé ou pêché au cours de la dernière année, ont plus tendance à soutenir
cette Déclaration universelle (93 % plutôt que 83 %).

Page 4 of 8
Responsabilité des entreprises et responsabilité sociale
Les salaires équitables (53 %), les conditions de travail des employés (42 %), et la protection des
animaux (41 %) sont les trois préoccupations les plus importantes pour les Canadiens en ce qui
concerne les responsabilités sociales des entreprises dans le secteur de l'alimentation et des
restaurants. Les femmes ont plus tendance que les hommes à dire que la protection des animaux est
une de leurs 3 priorités principales (46 % plutôt que 36 %). Le bien-être des animaux est aussi
important pour les jeunes d'aujourd'hui – les deux tiers (67 %) des jeunes de 18 à 24 ans disent que la
protection des animaux fait partie de leurs 3 préoccupations principales. Le revenu est un autre
facteur – les gens dont le revenu est de 40 000 $ ou moins (50 %) en voient aussi l'importance. Les
gens qui appuient le Parti Vert (53 %) ont aussi plus tendance à inclure le bien-être des animaux dans
leurs 3 préoccupations principales (plutôt que ceux qui votent pour le Parti libéral à 35 %, le Parti
conservateur à 36 %, le NDP à 44 % et le BQ à 34 %). Les autres groupes de gens qui ont plus
tendance à considérer la protection des animaux comme une des 3 préoccupations importantes
comprennent : les gens qui pensent que le bien-être et la protection des animaux élevés pour
l'alimentation sont importants (43 %), ceux qui appuierait la Déclaration universelle (44 %), et ceux
qui consomment souvent ou parfois des substituts de viande ou de lait (45 %).

La plupart des Canadiens pense qu'il est important que l’on offre de la viande d’animaux et des œufs
de poule qui ne sont pas élevés dans des cages à leur épicerie ou supermarché local (84 %), et la
moitié (49 %) indique que c'est très important. Ceux qui voteraient pour le Parti libéral (84 %), le NDP
(91 %), ou le Parti Vert (90 %) ont plus tendance que ceux qui voteraient pour le Parti conservateur
(75 %) à croire qu'il est important d'être capable d'acheter de la viande d’animaux et des œufs de
poule qui ne sont pas élevés dans des cages à l'épicerie ou un supermarché local.

La plupart des Canadiens appuierait les efforts visant à adopter, au Canada, des normes d'emballage
semblables à celles qu'on trouve dans l'Union européenne, qui ferait qu'il serait obligatoire que tous
les œufs soient étiquetés en fonction de la méthode de production (89 %). Les femmes auraient plus
tendance que les hommes à soutenir ces normes (91 % plutôt que 87 %). Les Canadiens qui pêchent
ou chassent rarement/jamais ont plus tendance que ceux qui chassent ou pêchent au moins à
l'occasion à soutenir l’adoption de ces normes d'étiquetage par le Canada (91 % plutôt que 82 %). Les
gens qui voteraient pour le Parti libéral (92 %), le BQ (95 %) ou le Parti Vert (96 %) ont plus tendance
que ceux qui voteraient pour le Parti conservateur (82 %) à soutenir ces normes d'étiquetage.

Dans le but de mieux assurer le traitement non cruel des animaux, la plupart des Canadiens pensent
que les épiceries devraient avoir des œufs et du porc venant d’animaux qui ne sont pas élevés dans
des cages (84 %). Les générations plus jeunes – les gens de 18 à 34 ans – ont plus tendance que les
générations plus vielles à être d'accord (93 % plutôt que 81 %). Les gens qui chassent ou pêchent
rarement/jamais au cours de la dernière année ont plus tendance que ceux qui ont chassé ou pêché

Page 5 of 8
au moins à l'occasion d'être d'accord (86 % plutôt que 76 %). Ceux qui ont tendance à voter pour le
Parti conservateur ont moins tendance à penser que les épiceries devraient avoir des œufs et du porc
venant d’animaux qui ne sont pas élevés dans des cages (71 %) par rapport aux gens qui votent pour
le au Parti libéral (87 %), le NDP (89 %), le BQ (92%), et le Parti Vert (91 %).

Un moins grand nombre de Canadiens trouve que les épiceries devraient avoir seulement des œufs et
du porc venant d’animaux qui ne sont pas élevés dans des cages pour mieux assurer le traitement
non cruel des animaux (68 %). Cependant, les femmes ont plus tendance que les hommes à être
d'accord (73 % plutôt que 63 %). Fait intéressant, les gens dont le revenu familial est moins de
40 000 $ ont plus tendance que ceux dont le revenu est supérieur à 100 000 $ à être d'accord (72 %
plutôt que 62 %). Les gens qui pêchent ou chassent rarement/jamais continuent à avoir plus
tendance à être d'accord (71 % plutôt que 56 %). Encore une fois, les gens qui appuient le Parti
conservateur ont moins tendance à soutenir cette initiative (52 %) par rapport au Parti libéral (64 %),
au NDP (75 %), au BQ (80 %) et au Parti Vert (84 %).

Près des trois quarts (72 %) des Canadiens sont d'accord que les restaurants devraient utiliser
seulement des œufs et du porc venant d’animaux qui ne sont pas élevés dans des cages pour mieux
assurer le traitement non cruel des animaux. À l'échelle régionale, les gens du Manitoba et de la
Saskatchewan ont moins tendance à être d'accord (54 %). Les femmes ont plus tendance que les
hommes à être d'accord (78 % plutôt que 66 %). Les Canadiens qui chassent ou pêchent
rarement/jamais ont plus tendance à être d'accord (74 % plutôt que 63 %). Les gens appuyant le Parti
conservateur sont ceux qui soutiennent le moins cette initiative, à 54 % alors que le Parti libéral
(70 %), le NDP (82 %), le BQ (80 %) et le Parti Vert (84 %) l’appuient plus.

To better ensure the humane treatment of animals…


Agree
Grocery stores should stock more
38% 46% 11% 3%2% 84%
cage-f ree eggs and cage-f ree pork

Restaurants should only use cage-


29% 43% 20% 5% 3% 72%
f ree eggs and cage-f ree pork

Grocery stores should sell only cage-


26% 42% 23% 6% 2% 68%
f ree eggs and cage-f ree pork

0% 20% 40% 60% 80% 100%

Strongly agree Agree Disagree Strongly disagree Don't know/ref used

Les Canadiens utilisent différentes méthodes pour aider à améliorer le bien-être des animaux. Au
cours de la dernière année, près de la moitié (45 %) des Canadiens ont au moins acheté à l'occasion
des œufs de poules élevées au sol, en liberté, sans cage, des œufs certifiés par la SPCA ou certifiés
organiques, et plus spécifiquement 26 % l'avaient fait souvent et 20 % à l'occasion. À l'échelle

Page 6 of 8
régionale, les gens de la Colombie-Britannique avaient beaucoup plus tendance à acheter ce type
d'œufs au moins à l'occasion dans la dernière année (59 %). Comme on pourrait s'y attendre, ceux
dont le revenu familial est de 60 000 $ ou plus ont plus tendance que ceux dont le revenu est de
moins de 60 000 $ à acheter ce genre d'œufs au moins à l'occasion (55 % plutôt que 38 %). Ceux qui
ont consommé un substitut de viande ou du lait au moins à l'occasion dans la dernière année ont
aussi plus tendance à avoir acheté ces types d'œufs dans la dernière année (54 % plutôt que 33 %).

Au cours de la dernière année, plus de la moitié (55 %) des Canadiens ont consommé un substitut de
viande ou du lait au moins à l'occasion, plus précisément 34 % l'ont fait souvent et 21 % parfois. Sur le
plan régional, les Québécois ont plus tendance à avoir consommé un substitut de viande ou du lait
souvent pendant la dernière année (48 %), alors que les Albertains ont plus tendance à avoir
consommé un substitut de viande ou du lait rarement (30 %), et les gens du Manitoba et de la
Saskatchewan ont plus tendance à n'avoir jamais consommé de substitut de viande ou du lait au
cours de la dernière année (47 %). Les femmes ont plus tendance que les hommes à avoir consommé
parfois un substitut de viande ou du lait (58 % plutôt que 51 %). Les autres groupes qui ont plus
tendance à avoir consommé un substitut de viande ou du lait au cours de la dernière année
comprennent les gens vivant en ville (59 %), ceux pour qui la protection des animaux est une des trois
préoccupations importantes (60 %), ceux qui soutiendraient la Déclaration universelle (56 %), et ceux
qui ont acheté des œufs de poules élevées au sol au moins parfois (66 %).

In the past year, I have personally… Of ten/


Sometimes

Watched wildlif e 57% 28% 9% 6% 85%

Consumed a meat substitute or a


34% 21% 14% 29% 2% 55%
dairy substitute
Purchased f ree run, f ree
range, cage f ree, SPCA certif ied 26% 20% 15% 36% 3% 45%
or certif ied organic eggs

Donated to an animal group 17% 24% 16% 42% 41%

Visited a zoo or aquarium 7% 22% 26% 45% 28%

Gone hunting or f ishing 11% 9% 12% 68% 20%

Volunteered f or an animal group 5% 8% 10% 77% 13%

Gone to a circus with animals 1% 5% 15% 79% 6%

0% 20% 40% 60% 80% 100%

Of ten Sometimes Rarely Never Don't know/ref used

Au cours de la dernière année, 20 % des Canadiens ont chassé ou pêché souvent ou parfois. Les gens
du Manitoba et de la Saskatchewan ont plus tendance que le reste du Canada à avoir chassé ou

Page 7 of 8
pêché au moins à l'occasion (32 %). Les hommes on plus tendance que les femmes à avoir chassé ou
pêché au cours de la dernière année (28 % plutôt que 12 %). Les gens vivant dans les régions rurales
(28 %) et ceux qui n’appuient pas la Déclaration universelle (37 %) ont plus tendance à avoir chassé
ou pêché au moins à l'occasion au cours de la dernière année. Les gens qui voteraient pour le Parti
Conservateur (29 %) ont plus tendance à avoir chassé ou pêché au moins à l'occasion dans la dernière
année par rapport au Parti libéral (17 %), au NDP (17 %) et au Parti Vert (12 %).

Si leur décision d'acheter des œufs de poules sans cage faisait qu'on traiterait de façon moins cruelle
les animaux de ferme, près du tiers (72 %) des Canadiens seraient prêts à payer un peu plus (environ
20 cents) par œuf. Sur le plan régional, les gens du Manitoba et de la Saskatchewan ont moins
tendance à être prêts à le faire (58 %). Les femmes (77 %) ont plus tendance que les hommes (66 %) à
vouloir payer un peu plus pour les œufs. Les gens qui chassent ou pêchent rarement/jamais ont plus
tendance que ceux qui chassent ou pêchent plus fréquemment à payer un peu plus pour les œufs
(75 % plutôt que 59 %). Les gens qui voteraient pour le Parti conservateur ont moins tendance à
vouloir payer un peu plus pour les œufs (58 %) que ceux qui appuient le Parti libéral (73 %), le NDP
(80 %), le BQ (73%), et le Parti Vert (89 %).

Information sur le questionnaire


La WSPA a demandé à la firme Harris/Decima de faire un sondage au téléphone entre le 26 octobre
et le 7 novembre 2010. Un total de 1 007 Canadiens ont répondu. La marge d'erreurs pour ce type
d'enquête est de +/-3,1 %, 19 fois sur 20.

Page 8 of 8

S-ar putea să vă placă și