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L¶informatique est la science du traitement rationnel de l¶information, notamment par


machine automatique ; la machine automatique la plus connue reste l¶ordinateur.
Les ordinateurs sont capables de traiter les informations très rapidement et en grande quantité.
Toutefois, cette capacité de traitement, la vitesse à laquelle ils se feront et la fiabilité des
résultats obtenus, ne peuvent être optimisés que si l¶on passe au préalable par une préparation
minutieuse des divers travaux à effectuer. Cette préparation se traduit bien en amont de
l¶élaboration des programmes par l¶étude des informations que nécessitent ces traitements.
L¶objet de l¶analyse informatique est donc de mettre en évidence les informations nécessaires
aux divers traitements permettant d¶obtenir les résultats recherchés. Seulement cette mise en
œuvre des informations doit respecter une certaine méthodologie développée à travers
certaines méthodes d¶analyse à savoir
-? la méthode RACINES et la méthode MERISE (Méthodes françaises)
-? les méthodes ¢¢ ¢¢ 
  
 

Afin de faire preuve de concision, nous axerons notre travail sur les méthodes françaises ainsi
qu¶il suit : dans un premier paragraphe nous présenterons la méthode RACINES et dans un
second paragraphe nous présenterons la méthode MERISE.

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1-? |éfinition et présentation

La méthode RACINES est une méthode informatique destinée à étudier la stratégie du
système d'information. RACINES est un acronyme de tionalisation des hoix
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.
Elle a pour but de définir des priorités d'informatisation par domaine dans le cadre d'un
fonctionnement global futur, en tenant compte des budgets et des calendriers. L'étude
correspondante est appelée un 
Elle a été conçue en 1976 par le ministère de l'industrie qui a publié en 1988 un guide
RACINES qui la formalise. La méthode a surtout été utilisée dans un contexte
d'administrations publiques, en France. Souvent les projets importants de refonte de systèmes
d'information étaient menés avec la double Méthode RACINES et MERISE.

2-? Schémas directeurs

Le schéma directeur est un outil :


-? A visée diagnostique, permettant la formulation d¶une situation
-? |e prévision, présentation la stratégie d¶accompagnement d¶une politique générale de
l¶entreprise,
-? |e décision par la mise en place de plans d¶actions,
-? |¶argumentation budgétaire, servant de support à la présentation du budget annuel,
-? |e suivi, permettant de vérifier que les objectifs visés sont non atteints.

On distingue les schémas directeurs Stratégiques (horizon 5-10 ans) et les schémas directeurs
opérationnels (3-5 ans).

a-? Les schémas directeurs stratégiques


Il définit la politique générale de l¶entreprise et tient compte des évolutions technologiques
pour consolider un système d¶information commun à des organismes différents ou des
domaines d¶activité distincts.
Les schémas directeurs stratégiques ont une portée prospective, sur l'activité et les principes
d'organisation à mettre en place, les grands choix informatiques, les décisions générales et les
priorités à fixer. Aujourd'hui, l'évolution ultra-rapide des technologies et de l'environnement
rend cette réflexion presque impossible à mener sur des périodes aussi longues.

b-? Les schémas directeurs opérationnels


Il a pour objectif de faire évoluer de concert la politique d¶ensemble d¶un organisme et les
méthodes de traitement et de communication de son système d¶information.
Les schémas directeurs opérationnels précisent les précédents, et notamment insistent
davantage sur les priorités entre les projets, la façon de les traiter, les budgets et les
calendriers. Ils ont tendance aussi à disparaître au profit d'une réflexion limitée à l'horizon de
l'exercice budgétaire.
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1-? |éfinition et historique

a-? |éfinition
X o est une méthode française d'analyse, de conception et de gestion de projet
informatique. Elle a été très utilisée dans les années 1970 et 1980 pour l'informatisation
massive des organisations. Cette méthode reste adaptée pour la gestion des projets internes
aux organisations, se limitant à un domaine précis. Elle est en revanche moins adaptée aux
projets transverses aux organisations, qui gèrent le plus souvent des informations à caractère
sociétal (environnemental et social) avec des parties prenantes, c'est-à-dire là où se situent les
plus grands enjeux du XXIe siècle.

b-? ÿistorique
Issue de l'analyse systémique, la méthode est le résultat des travaux menés par ÿubert
Tardieu dans les années 1970 et qui s'inséraient dans le cadre d'une réflexion internationale,
autour notamment du modèle relationnel d'Edgar Frank Codd. Elle est devenue un projet
opérationnel au début des années 1980 à la demande du ministère de l'industrie, et a surtout
été utilisée en France, par les SSII de ses membres fondateurs (Sema-Metra, ainsi que par la
CGI Informatique) et principalement pour les projets d'envergure, notamment des grandes
administrations publiques ou privées.

2 - Positionnement de la méthode

La méthode Merise est une méthode d'analyse, de conception et de réalisation de systèmes


d'informations informatisés.
En amont, elle se situait dans le prolongement naturel d'un schéma directeur, souvent conduit
suivant la méthode RACINES, très présente notamment dans le secteur public.
Les projets Merise étaient généralement des projets de grande ampleur de refonte d'un
existant complexe, dans un environnement grand système. La méthode a aussi connu des
tentatives d'adaptation avec les SGB| relationnels, les différentes interfaces homme-machine
IÿM, l'Orienté objet, le développement micro, les outils CASE, la rétro-ingénierie... mais qui
n'ont pas connu le même succès.
La méthode est essentiellement française. Elle a des équivalents à l'étranger en ce qui
concerne les modèles de données (avec des différences, par exemple les cardinalités ne sont
pas aussi détaillées dans les modèles anglo-saxons). En revanche la modélisation des
traitements est beaucoup plus complexe que dans les méthodes anglo-saxonnes.

Sa mise en œuvre peut paraître lourde. On consacre beaucoup de temps à concevoir et à pré-
documenter avant de commencer à coder, ce qui pouvait sembler nécessaire à une époque où
les moyens informatiques n'étaient pas aussi diffusés qu'aujourd'hui. Cela dit, elle évite
l'écueil inverse du développement micro, qui souffre du manque de documentation, et où les
erreurs sont finalement très coûteuses à réparer a posteriori.

Même si les échanges et la consultation entre concepteurs et utilisateurs sont formellement


organisés, on a aussi reproché à Merise d'utiliser un formalisme jugé complexe (surtout pour
les modèles de données), qu'il faut d'abord apprendre à manier, mais qui constitue ensuite un
véritable langage commun, puissant et rigoureux pour qui le maîtrise.

L'articulation très codifiée et bien balisée des différentes étapes, avec un descriptif très précis
des résultats attendus est ce qui reste aujourd'hui de mieux connu et de plus utilisé.


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Au terme de notre travail on se rend compte que les méthodes d¶analyse participe à
l¶amélioration du traitement des informations et sont des techniques évolutives qui rentre en
compétition avec deux courants de développement à savoir le courant Francophone qui à fait
l¶objet de notre présentation et le courant anglo-saxon.

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