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Matière 

: Philosophie

Date : 7 mars 11

Titre: Le Mythe

 mythologie romaine

2e série de mythe : platonicien :


Platon est le philosophe qui a produit le plus de mythe. -> Allégorie de la Caverne. Alors
que Platon n’a que mépris pour le mythe, il s’agit pour lui des contes de « bonne
femme ». Il y a une raison pédagogique. Quand on ne comprend pas la raison, on utilise
une image, une histoire. C’est une raison ontologique : c’est que le sensible ne peut pas
être dit par un discours personnel mais adéquat, le discours mythique. Et il y a une
raison axiologique : c’est que le sensible vaut moins que l’intelligible -> le mythe vaut
moins que la raison. Le Mythe est un Pis-Aller.
A l’inverse, il y a une formule de la Métaphysique d’Aristote : « Le philosophe est l’ami
des mythes ». Aristote ne produit pourtant aucun mythe, ce sont des traités. (paradoxe)

3e série de mythe : bibliques :


Toutes les religions partent tous de la Bible. Ce sont donc tous les mythes de la naissance
de la religion ; de son passé jusqu’à la fin du monde.

4e série de mythe : des sociétés sans écritures ou sans histoires :


étude de l’histoire de peuple ; zuni d’Amérique du Sud…

5e série de mythe : les mythes modernes :


Ils sont très proches de l’idéologie ou de l’utopie -> représentation vagues, multiples des
grandes images. « Les Mythologies » de Roland Barthe (1956). Le mythe du grand soir, le
mythe de la grève générale, de la révolution. Ce sont des images, des représentations
collectives.

 Où trouver l’unité des mythes ?


 dans l’histoire ?
 dans l’homme ?
 dans la méthode ?
I) Qu’est-ce qu’un mythe ?

Mutos en grec est la parole.


Les mythes sont des récits traditionnels (tradere en latin : transmettre). Le mythe n’est
pas la création d’un individu mais il relève d’une tradition collective culturelle, le plus
souvent orale. C’est pour ça, que souvent le discours mythique est prépondérant dans les
sociétés sans écriture ou quand la culture orale est prédominante (en Egypte et en Grèce
Antique). On est à l’articulation entre le mythique et le rationnel. Dans les sociétés où
l’écriture s’est imposé, le mythe à changé de fonction et de statut. On est passé du mythe
à la philosophie mais aussi au roman… Néanmoins, le mythe s’il est un récit traditionnel
à une vocation totalisante. Il ne porte pas sur des détails mais sur une totalité de
l’existence humaine. Le mythe fournit un sens global sur l’existence humaine. Le mythe
d’Œdipe engage le sens de l’existence humaine et parce qu’il engage le sens de cette
existence, la plupart des mythes rejoignent les questions d’ordre métaphysique : les
mythes sont soit d’origines soit par la faim soit sur une vision totalisante du monde.
Dans nos sociétés modernes à l’inverse des sociétés traditionnelles, cette totalité n’existe
plus parce que coexiste la croyance et la rationalité. Croyance dans la religion, dans
l’astrologie. Notre vision du monde est incohérente, elle est morcelée, on croit en
l’efficacité technique et au progrès scientifique tout en versant dans le cô té irrationnel le
plus délirant.

II) Comment expliquer le mythe ?

Le mythe est-il ou a-t-il une raison ?


Rejet de la pensée mythique, c’est le fait d’une mentalité sauvage, primitive, infantile.
Le mythe relevé du sacré, ce n’est pas le religieux. C’est ce que l’on admire.
3e interprétation de Sigmund Freud : mythe Œdipe transformé en complexe. Mais il y a
aussi à l’inverse le Complexe d’Electre.
Ces interprétations n’ont jamais essayé de trouver une quelconque logique ho mythe. Le
premier a avoir trouvé cette entreprise est Leviestrauss.

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