« Le mot “secret” en lui-méme est répugnant dans une
société libre et ouverte; et nous sommes, en tant que peuple, de
{facon inhérente et historiquement opposés aux sociétés secrétes,
‘aux serments secrets et aux procédures secrétes. Nous avons
décidé, ily a longtemps, que le danger d’une dissimulation
excessive et injustifiée de faits pertinents dépassait de loin les
dangers qui sont évoqués pour le justifier. [...] Car nous devons
faire face, partout dans le monde, i une conspiration
‘monolichique et impitoyable quis'appuie d’abord sur des moyens
cachés pour étendre sa sphere @’influence, sur Vinfiltration an
liew de Vinvasion, sur la subversion au lieu d’élections, sur
Pintimidation au lieu d'un choix libre, sur des guérillas de nuit
«su lieu armées le jour. C'est un systeme qui a engagé de vastes
ressowrces huemaines et matérielles dans la construction d’nme
machine étroitement soudée et hautement efficace qui combine
des opérations milisaires, diplomatiques, de renseignements,
économiques, scientifiques et politiques. Ses plans sont cachés,
non publiés. Ses erreurs sont enterrées, pas mises a la ume par
1a presse. Ses détracteurs sont réduits au silence, pas célébrés,
Aucune dépense n'est remise en question, aucune rumeur ne
Sebruite, aucun secret n'est révélé [...] Hest de notre obligation
informer et alerter les citoyens américains, détre certain qu'ils
ossédene tous les faits dont ils ont besoin, et les comprennent
ComPLor MONDIAL CONTRE LA SANTE
7bien, tout axcant que les périls, les prospectives, les buts de notre
Programme et les choix auxqnels nous devons faire face. Aucun
président ne devrait craindre Vinspection publique de son
programme. Car de cette inspection décowle la comprébension;
et de cette compréhension vient le soutien on Popposition. Les
deux sont nécessaives. Je ne demande pas aux journaux de
soutenir Padministration, je vous demande votre aide dans cette
ache gigantesque qui est celle dinformer et alercer le penple
américain, Car j'ai wne confiance totale dans la réaction et le
dévouement de nos concitoyens chaque fois qu’ils sont
completement informés.
Crest an début du xvr siecle que Francis Bacon attire
attention sur trois inventions récentes qui déja transformaient
le monde: le compas, la pondre a canon et la presse écrite
Maintenant, les liens entre les nations, forgés d’abord par le
compas, ont fait de nous tous des citoyens du monde, les espoirs
et les menaces de l'un devenant les espoirs et les menaces de
nous tous, Dans ces efforts d’Un monde pour vivre ensemble,
Vévolution de la pondve a canon jusqu’a sa dernizre limite
verti Phumanité des tervibles conséquences d’un échec. C'est
donc vers la presse écrite, Venregistreur des actes de Vhomme,
le gardien de sa conscience, le messager de ses nowvelles, que
nous cherchons force et assistance, confiants qu'avec votre aide,
Phomme sera ce pourquoi il est né: libre et indépendant. » |
(Président John F, Kennepy)
Tes notes sont reportées enfin d'ouveage.
AVANT-PROPOS
FICTIONS ET REALITES
L: simple idée que le bien commun, dans des domaines
aussi différents que la santé, l'agriculture, la nourriture,
environnement, la liberté d’expression, puisse étre détourné
et capté au profit exclusif d’une poignée d'arrivistes sans
me, complétement indifférents au sort du genre humain
et de son avenir, est difficilement imaginable pour un esprit
sain et « informé » du xx siécle.
On a tous été nourris au biberon de la démocratie et
‘meme si les mensonges et la corruption de certains de ceux
qui gouvernent nous sont réguligrement révélés, on croit
toujours, depuis, que c’est ensemble des citoyens qui
détient le pouvoir souverain et exprime sa volonté par le
vote... Liberté, Egalité, Fratemité... The Land of the Free...
Et, selon ses convictions, qu'un gouvernement de droite
‘ou de gauche, ¢a change tout ! On stigmatise les pays aux
pouvoirs totalitaires et l'on se rengorge devant la chance
que I’on a de vivre dans nos pays évolues.
COMPLOT MONDIAL CONTRE LA SANTEOU SE SITUE LE VERITABLE PouvoIR ?
La grande presse en parle si peu et se montre, bizar-
rement, si peu curicuse a leur égard que le grand public
ignore tout de lexistence de ces sociétés « discrétes », des
réunions et des véritables desseins de ces quelques puissants
qui se retrouvent réguligrement pour déterminer l'avenir
du monde et assurer leur contréle sar les rouages essentiels
des organismes nationaux.
Le schéma est toujours le méme: officiellement, ce sont,
des think tanks regroupant I’élite de la planéte: leaders
politiques de premier plan, PDG de multinationales, spécia~
listes en diplomatie, finances, sciences et méme médias
influents, mais la régle est toujours la méme aussi: rien ne
doit filtrer de ce qui se dit, il est interdit d’enregistrer, de
prendre des notes ou des photos ct de faire des déclarations
la presse.
Le CER (Council on Foreign Relations), le Bilderberg,
Group et la Trilatérale sont celles qu’on ne peut pas ignorer,
cependant il en existe plusieurs autres qui fonctionnent de
la méme fagon |
‘Toutes ces organisations ne sont pas concurrentes, mais
étroitement liges et complémentaires. Elles forment un
ensemble dont la cohésion est assurée par l’appartenance
simultanée de certaines personnalités 4 deux ou trois de
ces sociétés. Par exemple, daprés quelques indiscrétions:
Georges Bush (CFR, Trilatérale); Zbigniew Brzezinski
(CFR, Trilatérale, Bilderberg) ; Henry Kissinger (CFR,
Trilatérale, Bilderberg); Robert McNamara (CFR, Trila-
térale, Bilderberg); Giovanni Agnelli (Trilatérale,
Bilderberg); baron Edmond de Rothschild (Trilatérale,
Bilderberg); Thierry de Montbrial, président de lInstitut
francais des relations internationales (Trilatérale, Bilderberg).
Peter Sutherland (président de la Trilatérale et au comité
ComPLoT MONDIAL CONTRE LA sanTe
de direction du Bilderberg)... Ces personnes clés peuvent
étre considérées comme les Maitres du Monde.
~ Le CFR, (COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS)
Tlest animé par David Rockefeller, n'est ouvert qu’aux
Américains et serait lorgane de controle de politique
intérieure et extérieure du gouvernement américain, y
compris aujourd'hui, sous le gouvernement Obama, dont
‘onavance que Tom Vilsack & I’ Agriculture, Ken Salazar a
Pintérieur, Robert Gates & la Défense, Timothy Geithner
au Trésor... en seraient membres.
Généreusement subventionné par les fondations: Ford
~ Carnegie ~ Rockefeller, ainsi quc les trusts d’ importance
internationale, le CFR exerce une influence prédominante
sur le gouvernement des Etats-Unis, sur le Congrés et sur
les deux principaux partis politiques: le démocrate et le
républicain
Jusqu’a présent, tous les directeurs de la CLA, nombre
de secrétaires au Département d’Etat, & la Défense, au Trésor
et aux postes clés de ces ministéres (Madeleine Albright,
Dick Chesney, Warren Christopher, Robert McNamara,
Henry Paulson, Colin Powell, Condoleezza Rice...), de
Présidents des plus grandes banques (Alan Greenspan et
Paul volker, Réserve fédérale, Paul Wolfowitz et James D.
Wolfensohn, Robert Zoellick, Banque mondiale...) ont fait
saat i CFR, de méme que la plupart des présidents depuis
an Roosevelt, dont Jimmy carter, Bill Clinton et...
ceerge H. W. Bush, ainsi que les militaires les plus hauts
Bloonebe, { autees personnalités comme Michael R.
mbere (actuel maire de New York City), Hillary
Clinton, John McC: é
Angeline oh icCain, Henry Kissinger et méme
Le
rere FR est financé par deux cents multinationales et
Aucune dotation du gouvernement américain, mais
Le Nouver oRoRE MONDIAL