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Atrium - Psychologie de l'intersubjectivité : Série de Questions/Réponses http://www.yrub.com/psycho/psyidqr.

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Bienvenue dans la section Psychologie des sites ATRIUM. Composée de travaux divers concernant
l'historique de la discipline, les méthodologies, la psychologie sociale ou la question de
l'intersubjectivité, la psychologie de l'enfant et la psychopédagogie, des biographies d'auteurs
célèbres... nous ferons une place grandissante à la pédagogie dans cette section.

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Sommaire >>> Psychologie sociale

Série de Questions/Réponses

1. Donner les deux sens de l’identité ?

- identité interrogation : semblable à l’autre ? → identification.

- identité unicité : mon identité → me rend unique.

Ce sont deux sens opposés mais inséparables → équilibre nécessaire entre ce qui rend semblable et ce qui
rend unique (Lipiansky).

2. Donner trois postulats sur l’identité.

1. L'identité n'est pas donnée une fois pour toute

2. L'identité n'est pas une réalité à découvrir

3. L'identité d'un individu n'est pas une somme de caractéristiques extérieures

3. Décrivez ce que sont l’identité sociale et l’identité personnelle. Quelles articulations entre elles ?

Identité sociale = identité selon rôles et positions sociales

Identité personnelle = attribut par rapport à soi-même (Tap → socialisation de soi, personnalisation de soi =
la personne essaie de se réaliser elle-même).

4. Approches auto-descriptive et hétéro-descriptive, définir.

Approche autodescriptive : la réponse donnée par le sujet lui-même à la question Qui suis-je ? (ou qui est le
groupe ?)

Approche hétérodescriptive : la réponse apportée par les autres à la question Qui est cet individu ?

5. Quels sont les travaux de Serrar ?

Exemple de catégorie de référents identitaires (Rabbat, Maroc). Ados se représentent plus par ce qu’ils font
que par ce qu’ils sont. Revendication identitaire accrue chez fille (face au masculin)

6. Comment s’articule la théorie de James ?

James : Self matériel = identité visible / Self spirituel = identité vue de l'intérieur / Self social = dignité des
rôles attribués par la société.

7. Donner l’ensemble des stades d’Erikson.

1er stade = Confiance vs méfiance : mot-clé = besoins primaires (par exemple absorber/incorporer).
Fonctions psychiques se greffent sur ces besoins. Paradis perdu = sevrage → perte de sécurité → trouble

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(plus digne de recevoir ? = trouble). Laing → paradis perdu connu par tous, revient dans la vie (peut
d’ailleurs provoquer envie de détruire → cercle vicieux car nouvelle dévalorisation). Sadisme oral → prendre
à autrui en lui nuisant. Equilibre → accord avec le milieu = besoins du bébés comblés par la maman. Il faut
donc un équilibre entre confiance et méfiance.

2eme stade = autonomie vs honte et doute : effet psychique du stade anal : enfant peut retenir ou relâcher à
volonté (=nouvelle potentialité physique). SA propre volonté. Sentiment de puissance → source d’autonomie.
Mis en rapport avec Spitz pour qui vers 2 ans l’enfant apprend à dire non et découvre l’effet magique de
cette parole.

3eme stade = Initiative vs culpabilité : vient seulement après sentiment d’autonomie : question type : que
dois-je faire de ma volonté ? Que dois-je devenir ? = vers 3 ans. Nouvelles potentialités = développement
moteur continue (déjà là au stade 2) ; maîtrise accrue du langage ; imagination permet de prendre en compte
plusieurs possibilités pour une situation ; interagit avec les autres. Erikson parle de « pénétrer » →
pénétration de l’espace = sentiment d’initiative. Nouvelles vulnérabilités = culpabilité → fantasme oedipien =
identification au parent haï permet atténuer violence de cette haine. Fantasme de l’enfant préféré =
sentiment de jalousie. Fantasme de la toute-puissance = contre-coup est peur de perte de pouvoir
(castration). L’enfant apprend à composer avec le milieu. Bon usage de la crise de ce stade = mettre des
limites (sublimation de la culpabilité comme mécanisme de défense). Mauvais usage = logique de tout ou
rien → risque d’auto-castration, hyper activité…Trouver un équilibre entre initiative et culpabilité.

4eme stade = Industrie vs infériorité : entrée de l’enfant à l’école = vie sociale élargie (latence chez Freud).
Enfant montre capable faire et en reçoit de la reconnaissance → « étape industrie ». Si problème à
développer cette étape = sentiment infériorité. 5 sources du sentiment infériorité :

- pas débarrassés conflits intérieurs (peur de la responsabilité)

- infériorité par comparaison aux parents

- famille a mal préparé à l’école (image négative)

- syndrome de tarzan : milieu change = problème

- critères de reconnaissance imposés par l’extérieur (peau, situation sociale…)

Etape selon laquelle « je suis ce que j’ai la possibilité de faire ».→ confiance en soi, autonomie. Ces étapes
préparent l’individu à ce qu’il va rencontrer à l’adolescence. La crise de l’ado amène deux mécanismes :
construction de l’identité sociale et tourisme identitaire. Erikson original car pour lui la quête de l’identité est
le point principal de l’adolescence. Moment difficile car tension entre passé et avenir = abandon d’une
manière d’être pour une autre. Tâches rendant possible la gestion de cette période :

- Développement intellectuel et mental → permet intégrer multiplicité des rôles selon situation.

- Développement social → miroir valorisant renforçant sentiment d’unicité.

Moratoire = adolescence est un délai avant de devoir assumer des responsabilités. Congélateur des attentes
et des choix. Sert aussi à intégrer les éléments identitaires des stades précédents. Permet revire conflit
enfance et de les analyser. Non-confiance dans le temps = besoin de confiance dans le temps pour passer
du désir au projet. Dilemme de 1er étape : passer du désir au projet. Dilemme de 2eme étape : s’engager
dans une voie autonome ou être écrase par sentiment de honte/doute.

5eme stade = Identité vs diffusion de rôle : Remise en question des identités de l’enfance. Importance du
regard des autres. Recherche d’un nouveau sentiment d’identité et de continuité. Danger = diffusion de rôle.

6eme stade = Intimité vs isolement : Possibilité de s’abandonner sans crainte de perte d’identité. Eviter ces
expériences peut mener à un sentiment d’isolement.

7eme stade = générativité vs stagnation : Intérêt pour la génération suivante et son éducation, si cela n’a pas
lieu il y a régression vers un besoin accru d’intimité ponctué de répulsion. Capacités à l’expansion
individuelle, intérêt pour la génération suivante → détourner l’intérêt de soi pour le tourner vers l’autre. Si
cette générativité n’est pas accomplie l’individu a un sentiment de stagnation.

8eme stade = Intégrité personnelle vs désespoir : Recueillir le fruit des 7 étapes précédentes. Acceptation de
sa vie, de son passé, « patrimoine de son âme ». Désespoir = peur de la mort, temps trop court pour
recommencer.

8. Qu’est-ce que la notion de stade implique.

Implique que les processus ont un but, une direction, des points d’arrivée → c’est l’intégration de l’identité

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(pouvoir toujours répondre à Qui suis-je ?). Pourquoi passage par stade ? Car il y a des crises.
Indispensables pour évoluer. Assumer de nouvelles potentialités = moments de vulnérabilité car assumer
nouvelles responsabilités et sortir de son confort. Il y a des attentes de la société (selon âge par exemple).
Identité = ensemble d’étapes. L’identité serait-elle alors une somme de sentiments sur soi-même ? Crise =
confrontation dont ressortent les sentiments d’identités.

10. Qu’est-ce que l’éléphant invisible ? Lipiansky, Goffman et Winicott qu’en disent-ils ?

Deux pôle : ma vraie identité / ce que les autres savent de moi. Entre il y a l’éléphant invisible = beaucoup
d’aspects de nous dont on est pas conscient. On peut souhaiter ne pas voir ce vrai self (pour se conformer
par exemple). Identité publique vs identité intime : travaux de Lipiansky. Identité publique = mise en scène de
nous-même (concept emprunté à Goffman). Identité intime = essentiellement caractère affectif et émotionnel
→ surgit dans identité publique : rougissement, transpiration… Winicott : développement pas vu comme
pulsion conflit/défense mais comme intégration des sentiments, de l’existence. Il y a aliénation du vrai self,
nécessité d’avoir un faux self → pour Laing l’enfant doué est celui qui a compris cela rapidement.

11. Que dit la théorie de Harter ?

Estime de soi vient de deux évaluations : enfant → différence entre ce qu’il aimerait être et ce qu’il pense
être et soutien des autres (aiment le sujet tel quel ou ont d’autres attentes).

Estime de soi n’est pas qqch de stable, baisse à l’ado et varie le reste de la vie.

On devient soi-même en intégrant les modèles qui nous entourent ; s’il y en a une pluralité = plus facile de se
trouver, mais dans société normative est plus facile à vivre (connaît son rôle).

12. Donner 6 modalités d’identification.

- Id. de dépendance = nourrisson, relation amoureuse…

- Id. à l’agresseur = toute-puissance comme rejet de l’autre.

- Id. de maîtrise = souhait d’acquérir les compétences de l’autre.

- Id. spéculaire = accentuation ressemblances avec l’autre

- Id. catégorielle = identité par le « nous »

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