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SNUG

La journée régionale du
Snug dans le sud-est
Les adhérents du
SNUG de la région
E n ouverture de la réuni-
on, le Président du
SNUG, Jean-Baptiste Fedide, a
remercié chacun des partici-
sud-est se sont pants pour sa présence et plus
particulièrement les interve-

retrouvés fin nants que sont MM. Sourdioux,


Leotard, Mouttel, Bibolet.
M. Sourdioux, Chef du service
novembre à des routes, et M. Leotard ont
présenté le service s’occupant
Marseille, pour de la délivrance des autorisa-
tions de transport exceptionnel
rencontrer et plus largement la Direction
interdépartementale des Routes.

notamment des Cette direction dont la zone de


responsabilité géographique ne la 1° catégorie et jusqu’à 70t.
Pour les convois respectant ces
favoritisme n’a lieu, la règle
étant la même pour tout le
recoupe pas le découpage admi-
membres de la DDE nistratif régional (ce qui ne sim- règles de circulation, la consul-
tation du département (qui reste
monde : l’arrêté du 4 mai 2006.
Certains adhérents demandent
plifie pas certaines démarches),
et de l’OPPBTP, a pour mission de gérer, amélio-
rer, entretenir le réseau routier
l’autorité) n’est pas obligatoire.
En revanche pour les
de la même manière pourquoi
en période estivale les lundis

et aborder les (800-900 km) dont elle a la


charge. Ce sont pas moins de
convois plus atypiques, les
départements sont automatique-
suivant les plans Primevere, la
circulation des convois de 2° et
ment consultés. Le problème 3° catégorie est interdite.
difficultés rencon- 2 000 dossiers TE (avis et arrê-
tés) qui sont traités par les 2 soulevé par les levageurs pré-
sents étant le fossé séparant le
trées par les leva-
personnels du service.
L’instruction des dossiers selon délai d’instruction et le préavis OPPBTP: trois
M. Leotard respecte dans la du client. M. Dumas missions
geurs de la région. majorité des cas la durée légale
de 1 mois. Pour ce faire, une
(Manitowoc) propose qu’une
carte routière soit attribuée à la
L’ Organisme Professionnel de
Prévention du Bâtiment et des
réunion annuelle est organisée grue lors de sa réception par la Travaux Publics (OPPBTP) est
avec l’ensemble des acteurs DRIRE, M. Sourdioux répond le conseil de la branche du BTP
portant sur les itinéraires pour que c’est un discours qui peut en matière de prévention, sécurité,
être effectivement
santé et amélioration des condi-
entendu par la DSCR. La
tions de travail. Ses trois mis-
Charge à l’essieu peut être un
sions : conseiller, former et
frein à cette orientation ainsi
que le problème récurrent de la informer. Dans le cadre de la
gestion des ouvrages d’art. M. campagne “0 accident en 2007”
Peaureau (Mediaco) soulève le initiée par M. Aguettant, une
convention a pour but d’aider
les chefs d’entreprises à mettre
en application les exigences
réglementaires liées à la préven-
tion des maladies professionnel-
les et des accidents du travail,
de promouvoir et de
développer un état d’esprit de
prévention auprès de
l’ensemble des acteurs du sec-
teur.Les levageurs présents,
après avoir souligné que leurs
problème de l’équité devant la employés étaient soumis à une
réglementation TE. M. Leotard pression importante sur le chan-
répond que au sein du service tier, demandent à l’OPPBTP si
des Bouches-du-Rhône aucun
le monde...

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existantes soient renforcées. positif dans l’entreprise, mais


- Les clients : Afin de travailler cela reste une démarche de lon-
sur les chantiers, certains docu- gue haleine. La visibilité des
ments afférant à la sécurité doi- résultats suite aux actions enga-
vent être remplis (que ce soit par gées ne sera perceptible que sur
le client lui-même ou le leva- le long terme, de plus leur mise
geur), dans certains cas le client en œuvre n’est pas un processus
au vu des conditions particulières simple. Cela passe par un chan-
de l’environnement augmente gement comportemental à tous
son exigence en matière de sécurité. les échelons de l’entreprise, cela
La sécurité joue un rôle clef et en fait donc un sujet complexe
toujours croissant dans les systè- dans lequel l’exemplarité est
mes de gestion et les fonctions indissociable de la régularité. En
... du bâtiment serait prêt à Création d’indices opérationnelles. C’est un travail effet, le changement de Culture
avoir une responsabilité pénale Au cours de cette réunion régio- collectif qui doit être fait au sein d’entreprise prend du temps et
à l’image de celle existant dans nale la création d’un indice du
le monde du transport entre le levage sur certaines grues géné-
Chargeur et les transporteurs. riques à la profession a été évo-
M. Mouttel estime que c’est une quée. M. Rousseau propose
approche qui peut être envisa- d’approfondir cette piste de tra-
gée par les différents acteurs.
vail, tout en précisant qu’il y a de
Mais que cela au final n’est pas
fortes chances pour que cette
de la compétence de l’OPPBTP.
création soit confiée à un tiers au
Il souligne que l’accueil sur le
chantier est un des chevaux de vu de l’étroitesse du marché (à
bataille de l’OPPBTP. l’image de ce qu’on fait TLF et
M. Bruyere (Ponticelli) estime TL & Associés pour le secteur de
la logistique).
De même, il porte à l’attention de l’entreprise, tant au niveau du consomme beaucoup d’énergie.
des participants que cela nécessi- comportement individuel que de Il faut sans cesse se poser la
tera un audit des Comptes et des la direction. Une nouvelle culture question “qu’est ce que cela
structures ayant accepté de faire d’entreprise axée sur la sécurité signifie pour moi ?” et ce à tous
partie du panel qui devra com- doit être mise en place. Pour ce les niveaux de la structure. C’est
porter un échantillon représenta- faire une prise de recul est néces- en réussissant à intégrer tous les
tif des entreprises du secteur. saire afin de prendre en compte acteurs de l’entreprise par la for-
tous les aspects du problème. Le mation, la motivation, que cette

que face à la pression et si cette


Le Snug met but étant de parvenir à
l’excellence dans ce domaine
démarche aboutira.

dernière devient trop forte pour l’accent sur la tant pour la pérennité de
le grutier car il estime que les
conditions optimum ne sont pas
sécurité l’entreprise que pour l’image Les décisions suivantes ont
Le SNUG est parti d’un constat : qu’en ont les clients.Une poli- donc été prises :
réunies pour exécuter une opé- tique de sécurité et de santé au - Afin d’accélérer l’instruction
ration dans de bonnes condi- il y a aujourd’hui plus de deman-
des de sécurité. Ces demandes travail envisagée au niveau glo- des dossiers au niveau dépar-
tions, l’opérateur doit exercer
peuvent avoir plusieurs origines : bal de l’entreprise permet : temental une carte des itiné-
son droit de retrait et ceci en
- Les salariés : ceux-ci prenant - par un contrôle des coûts, raires départementaux va être
accord avec la démarche sécuri-
té qui est une priorité absolue conscience de la dangerosité de d’augmenter la compétitivité de formalisée en partenariat avec
au sein du groupe Ponticelli. leur tâche peuvent demander à la l’entreprise, le service des routes de la
direction la mise place d’une - par une réduction des accidents, DDE 13.
d’améliorer sa réputation, - La société Foselev s’est por-
Formation véritable politique en ce sens
sous peine d’exercer leur droit de - De réduire les coûts directs et tée volontaire pour être leader
Depuis la fin de l’année 2006, le
retrait. indirects liés à la sécurité, sur ce projet.
SNUG s’est attaché à fournir
- L’administration : Suite à une - D’augmenter la qualité de service, - M. Leotard s’engage à
plusieurs solutions par le biais
inspection, à un accident, la paru- - D’augmenter la production, mener une étude réglementai-
d’exemple de formations en
tion d’un nouveau règlement ou - D’augmenter l’efficacité, re sur la question et reviendra
cours chez AFCE, AFTIFTIM,
autre, cette dernière peut deman- - D’améliorer les conditions de vers le Snug avant la fin de
Norisko. Ces organismes sont
der à ce que les mesures déjà travail des employés l’année.
capables de vous assister lors du
- D’avoir accès à de nouveaux - Afin de finaliser des sup-
recrutement, de trouver les finan-
marchés (clients) ports visuels M. Porporato
cements pour un coût zéro ou
Ainsi une politique de sécurité (MEDIACO), l’OPPBTP, le
presque, et enfin de mettre à
mesurée, maîtrisée est facteur de Bâtiment & le SNUG ont pro-
votre disposition des stagiaires
valeur ajoutée et de compétitivi- grammé une réunion novemb-
correctement formés et aptes
té. 80% des accidents du travail re 2007 dans les locaux de
(après une période d’adaptation
auraient pu être évités si les l’OPPBTP.
en entreprise) à être autonomes.
acteurs avaient anticipé. C’est - La priorité sera donnée à la
Le seul impératif étant que les
juste une question de gestion du rédaction de précis, pratiques
entreprises doivent proposer au
risque. La sécurité est un outil et rationnels.
stagiaire un contrat de travail.
puissant pour le changement

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