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Lecture analytique n° 1 Le Dormeur du Val

Arthur Rimbaud

1er Quatrain : description du lieu


Vision belle du lieu (emploi des éléments de la nature) malgré l’intervention des haillons et
du trou.

Nature Couleurs
Trou de verdure Verdure
Rivière D’argent
Herbes Luire
Soleil Son : chante
Montagne 1 matière : mousse
Val
 Picturalisation : mise en tableau, permet de situer l’endroit, se le représenter

Termes positifs : chante, montagne fière, mousse de rayons

2ème Quatrain : description du soldat


Soldat : bagarre, mort (risques du métier) ≠ dormeur
« soldat jeune, bouche ouverte, tête nue » = rythme ternaire
→ repos, pas au travail, a posé les armes
« cresson » : se situe à fleur d’eau voire dans l’eau.
« bleu » : cresson vert mais dans l’eau = bleu
V6 : marque détente à priori (ex : frais, baignant, bleu) mais la position du soldat indique qu’il y a un
problème.
Termes poétiques : La nature, l’herbe forment son lit définitif = de mort.
« la nue » : le ciel « Pâle » ≠ « vert »
« l’onde » : l’eau  aggravation au fur et à mesure de la situation du soldat.
« la mie » : l’amoureuse « pleuvoir » : concerne la pluie
« lumière pleut » : oxymore
A une syllabe près « pleure » : la lumière pleure  la nature pleure ce
soldat (paronyme)

1er Tercet :
Les éléments du corps présents dans le txt = éléments inhabituels ds la description d’un perso.
 L’auteur présente un corps morcelé

« glaïeul »= glaive (étymologie) → présence discrète d’une arme meurtrière.

Insistance sur sommeil par refus de dire « mort »


« dort », «mort » = paronymes

Passage de « dormeur » à « enfant malade » : insistance sur jeunesse, sur la maladie.


« sourirait » : en paix
« Nature, berce le chaudement » : personnification de la nature → mère Nature
« il a froid » : le cadavre se raidit = aggravation de son état
2ème Tercet :
V12 : seul vers négatif
« sa narine » : synecdoque (= une partie pr le tout)
« poitrine tranquille » = importance du rejet
= poitrine ne bouge pas →aucun souffle

Tous les éléments du corps = métaphore de ts les soldats.

« Il a 2 trous rouges au côté droit » = pointe


 anormal sur le corps humain

Sonnet à priori parlant d’un jeune soldat se reposant mais au fur et à


mesure du txt, des éléments inquiétants, des parties du corps éclatés ns
apprennent la † de ce jeune soldat qui est la métaphore de ts les jeunes
hommes morts à la guerre.
Lecture analytique n° 2 Le Mal
Arthur Rimbaud

Quand on lit chaque début de strophe (les enjambements), on retrouve le sens du poème.

Grammaire : Vocabulaire :
1er Q : subordonnée de temps
2ème Q : subordonnée de temps Hosanna : chants religieux
1er T : « Il est un Dieu »→ prop. Principale Damassées : tissus épais, très riches
« qui rit…d’or » : relative
« qui dans… s’endors » : relative
ème
2 T : « Et… » : indépendante

Sens du poème ou Noyau :


Un Dieu ds son Eglise qui s’endort quand on lui chante des louanges et se réveille quand on lui donne
de l’argent, tandis que les hommes se font tuer sur les champs de bataille.

« Tandis que les crachats rouges de la mitraille »  allitération en R


Sons durs en [K] et en [T] = imitation des armes.

« Crachats » = péjoratif
Ou métaphore des balles qui sortent des armes (cause) et résultat de l’arrivée de la balle
dans le corps humain (conséquence)

Champ Lexical de la couleur :


Rouge → gardé que pour les blessures
Ecarlate couleur des
Vert uniformes
Bleu

V2 : « sifflent tout le jour » = tout le temps, bataille acharnée.


« L’infini du ciel bleu » ≠ rouge du sang
→ contraste, marque l’époque de la guerre franco prussienne
→ Indifférence de la nature vis-à-vis du carnage se déroulant.

Ecarlate : français = les 2 camps sont rassemblés ds la †


Vert : prussiens pas de ≠ entre les soldats.

Une incise : adj (=antéposé), S + V + C.

« bataillons en masse »
« cent milliers d’hommes » Quantité d’individus, hyperbole, marque l’horreur
« un tas fumant »
« pauvres morts » compassion de Rimbaud
« près du Roi qui les raille » → Roi se moque du destin de ses hommes.
Dénonciation de Rimbaud !
V7 et 8 : personnification de la nature. « Nature » : allégorie de la nature.

C.L. de la nature : été, herbe, joie…

« saintement » : la nature est bcp + respectable que Dieu car elle a fait les hommes.

V1 à 6 : guerre
V7 à 8 : passage religion

Les 2 tercets : dénonciation de la religion.

« un Dieu » = article indéfini = péjoratif

« Dieu qui rit » → « roi qui raille » = Dieu + gouvernants se moquent des hommes.
Action anormale

Rythme ternaire : nappes damassées des autels, encens, calices d’or


 Objets à l’intérieur des églises
 Objets riches (fournis par croyants) mais Dieu s’en moque
Eglise où il y a une messe :
 Il s’endort
 Les gens prient = il s’en moque
→ Anticlérical (= contre la morale religieuse)

Dieu se réveille qd les femmes (qui ont perdu leur enfant ou leur mari à la Guerre) donnent
de l’argent (offrandes) pour le salut de leur âme alors qu’elles sont pauvres (vieux bonnet noir)
Pauvreté des soldats avec « vieux bonnet noir », « gros sou lié à leur mouchoir ».
Lecture analytique n° 3 Ma bohème (Fantaisie)
Arthur Rimbaud

22ème poème du cahier de Douai connu (le dernier).

Son quotidien → 1er mot « je »


« je m’en allais »
(s’éloigne  fugue) anaphore = déplacement
« j’allais »

Vêtements :
er
1 Q : paletot (veste pour homme) → poches crevées = mauvais état.
Eidon = idéal : (idéal de Platon) état primaire, montrant plus la forme d’un objet.
 mauvais état

2ème Q : culotte (= pantalon) en haillons → misérable

Résidence :
« Grande Ourse » = dors à la belle étoile comme ds auberge → heureux d’ê en contact avec la nature

La marche : v1, v3
J’allais, la course, les routes.

Jeune, fugueur, pauvre, marcheur MS heureux.

La Nature → crépusculaire (ombre)


V3 : ciel v7 : Grande Ourse v8 : étoile au ciel v9 : routes
v10 : « soir de septembre » + « rosée » v12 : ombres

 Présence de l’extérieur qui tend vers le crépusculaire qui n’a rien d’inquiétant.
La Nature est nourricière pour Rimbaud.

Quotidien + Nature = créateur d’inspiration, de poésie.


Féal : subordonné, soumis
Muse (déesse) → Egérie (terrestre)
Les muses représentent les arts :
Art poétique (muse= Erato, instrument de musique : lyre)
Dessin Gravure Art lyrique
Danse Art rhétorique Art déclamatoire

V3 : « Muse… ton féal » = sous les ordres de la Muse → en pleine inspiration.

V7 : « rimes »
V12 : « rimant » relatif à la poésie
V14 : « pied » = syllabe
« Petit Poucet » :
Jeune
A la manière du petit Poucet, il compose.

2ème T : les souliers et les élastiques (lacets) sont par humour comparé à une lyre dont il tire les vers.

Rimbaud est l’opposé d’Erato


Garçon, jeune, mal habillé, femme, belle, bien habillée
Pauvre

MS sur Terre, c’est lui le Poète !

Les Sensations :

1er Q : « Oh ! là ! là !.... j’ai rêvées » sensations d’un ado de 16 ans qui imagine des
2ème Q : « Mes étoiles…. Un doux frou-frou » relations, un entourage féminin magique.

1er T : « gouttes de rosée… vin de vigueur » → il se veut adulte pour boire comme il le sent.

A chaque fin de strophe, il y a référence aux femmes, à l’alcool, à l’envie d’être adulte
 Fantasmes d’adolescent.

2ème T : dédié à la poésie.

Poème de registre lyrique où Rimbaud se met en scène comme un jeune


fugueur, misérable, libre, habité par les sensations propres à son âge
mais dont le choix essentiel est de créer de la poésie
Lecture analytique n° 4 Au Cabaret-Vert
Arthur Rimbaud

6 rejets/enjambements/contre-rejet
Ponctuation forte : 5 phrases – tirets – point d’exclamation « ! »
Txt narratif avec intervention auteur, mis en forme poétique mais faisant primer l’oral sur
l’écrit.

Termes triviaux (non particulièrement poétique) :

1er Q :
V1 : « bottines » v2 : « Charleroi » v3 et 4 : « tartines de beurre et du jambon »

2ème Q :
V8 : « tétons énormes »

1er T :
V10 et 11 : « tartine de beurre, du jambon tiède »

2ème T :
V12, 13 : « gousse d’ail » v13 : « chope immense » et « mousse »

Le titre : « Cabaret-Vert, (cinq heures du soir) »

 Présence importante d’éléments du quotidien non poétiques mais pourtant mis en poésie et
donnant l’effet réaliste au poème.

Précision des lieux et temps Au Cabaret-Vert :


Le titre (= auberge verte)
Heure (titre)
Situation précise (fugue entre Charleville → Charleroi (100 km))
→réf à Ma Bohème : bottes en mauvais état
Lieu d’arrivée : Charleroi

 Précisions géographiques + autobiographiques (« Je », « me ») sur la situation de l’auteur.

A partir du v3 « - » ça se déroule à l’intérieur du Cabaret-Vert.

Description du cabaret :
V6 et 7 : « sujet très naïf de la tapisserie »
Toile de Jouy : lieu populaire lieu chaleureux, lumineux, coloré
V5 : « table verte »  vision +
V11 : « plat colorié »
V14 : « soleil » → lumineux
Couleurs :
Rose et blanc
Dorait printanières, fraiches et multiples,
Vert voire riche.
Colorié

Profusion de la nature :
Anaphore de « jambon »
Tiède = à moitié froid
Anaphore
→ Marque la qualité du jambon (« gousse d’ail »)
→ Prêt à être mangé (« tiède »)

Personne simple, plat simple, endroit simple


Qui lui semble exceptionnel, appétissant et qui le ravit.

La Serveuse :
Jugement + de la jeune fille :
V8 : « tétons énormes », « yeux vifs » v9 : non farouche v10 : rieuse = bon caractère
→ regarde d’abord tétons avant yeux
→ montre sensualité (16 ans)
 Serveuse avenante (= accueillante)

→ « adorable » (digne d’être adoré)


→ « j’allongeai les jambes »

Rimbaud en situation de détente, de bonheur, de joie d’être comme un


adulte alors qu’il est en fugue mais loin de sa mère, loin de Charleville.
Document complémentaire n°1 La Maline
Rimbaud

Nourriture : Serveuse :
Salle à manger brune (= auberge) C’est une enfant (14 ans)
Bonne odeur (fruits) o Peau fraiche
→ Lieu où il se sent heureux, à l’aise o Velours de pêche
Epaté = étalé o Lèvre enfantine
Présence de nourriture (= bouffée, Belge, degré de sensualité
plat belge) o Fichu moitié défait
o Gestuel (doigt se promenant)
Habitante de Maline = milieu populaire
≠ maligne
o Malinement coiffée : mode de
Maline ou cheveux qui volent un
peu.
o « pris « une » froid » : belge

Suite de Cabaret-Vert, hommage à la serveuse


Document complémentaire n°2 Mignonne, allons voir si la rose
Ronsard

Carpe Diem : profite du jour


→ philosophie de certains auteurs à la Renaissance remettant en ?: la religion, la position de homme
sur terre

Ode : louange à qq’1.

Voca :
V4 : soirée pour « vesprée »
V14 : âge fleurone = fleur de l’âge

Ode à la louange de Cassandre où Ronsard conseille à la jeune femme de profiter de sa


jeunesse qui ne sera qu’éphémère.
Il utilise une comparaison entre une rose et Cassandre et ramène la durée de la vie à une
journée.
Document complémentaire n°3 Derniers vers
Ronsard

Le baroque (mouvement du 16ème à la 1ère moitié du 17ème)

Sonnet régulier avec alexandrins

1er Quatrain :
C. L. de la † et de la décomposition (« décharné », « dénervé »,…)
→ Humour : « trait de la † » comme flèche de Cupidon = inratable.

2ème Quatrain :
Déçu de ne pas être guéri
« mon œil est étoupé » → s’imagine déjà cadavre, embaumé.

1er Tercet :
Ses amis le pleurent et il imagine ses amis lui donner la dernière bise

2ème Tercet :
« préparer la place » = pointe
→ vie après la † où il va attendre ses amis
Document complémentaire n°4 La cravate et la montre
Appolinaire

Calligramme = même forme que ce qu’il dit

Cravate + montre = homme porte tjrs ça = réussite sociale


Montre = tps = vie.

« comme l’on s’amuse bien » = enfance

1. Mon cœur = amour


2. Les yeux = séduction
3. Couple donne un enfant
4. Agla
5. La main : 5 doigts de la main
6. Tircis : pleine maturité
7. La semaine = 7 jours
8. Infini = ∞ redressé 8
9. Muses : elles sont 9
→ « aux portes de ton corps » : 9 orifices chez une femme
10. Inconnu = x = 10 (vieillesse)
11. Dantesque : Dante (l’Enfer) →écrit en endécasyllabe (11 syllabes)
12. Heures

« Il est – 5 et tout sera fini » = mort dans 5 minutes.

Cravate : symbole bourgeoisie


→ conseille de faire éclater les carcans de la vie pr profiter de cette dernière
→cravate de chanvre (= corde de pendu)
 Condamnation à mort.

à ne pas vouloir se suicider ou à ne pas faire de choses pouvant le faire pendre.

Profiter de la vie tout en ayant conscience que la vie passe


vite = conseil de vie

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