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exemple de réponse spontanée: NON, communiquer ce n'est pas
° info@philagora.net nécessairement dialoguer, car, d'évidence, il y a une possibilité de
communiquer par des techniques qui permettent de s'adresser à une
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masse, ce qui rend le dialogue impossible.
Mais, vous connaissez la loi de composition d'une dissertation:
penser c'est à dire instaurer un dialogue, penser "en commun avec
d'autres" (Kant, Qu'est-ce que s'orienter dans la pensée?): pour cela,
dégager le problème, la question fondamentale qui permet de
comprendre pourquoi on a posé une question dont la réponse "semble"
évidente: chercher la solution du problème qui permet de construire la
troisième partie du devoir dans laquelle, comme un juge qui a pesé le
pour et le contre des thèses adverses, il est possible de réconcilier les
deux "opposants" (première partie et deuxième partie), de les mettre
d'accord en les dépassant et conservant ce qui dans leur thèse est
incontestable. En fait, il s'agit d'instaure un dialogue avec soi-même
devant les autres, en particulier devant le correcteur!

Cela exige que l'on prenne son temps pour comprendre le sujet en
scrutant tous ses éléments qui sont comme autant de panneaux
indicateurs vers le problème. Comprendre qu'un effort de définition
s'impose car c'est la source des idées qui vous permettront de donner
un contenu au devoir.
-
Il n'y a donc pas lieu de choisir entre le plan dialectique (trois parties
d'un dialogue avec soi-même) et le plan analytique (détermination des
concepts) puisque la forme et le contenu du devoir doivent suivre le
mouvement naturel de la pensée (plan dialectique en trois parties)
tout en analysant progressivement les concepts. Essayons de le réaliser
pour vous aider à mieux comprendre. (Prendre ensemble dans un effort
de conceptualisation).

Deux verbes d'action: communiquer/dialoguer sont


proposés: en chacune des actions un individu ou un
er/er sujet s'engage comme auteur de l'action: émetteur
ou récepteur dans communiquer, tantôt émetteur,
tantôt récepteur dans dialoguer. (nous y reviendrons
un peu plus bas)

Être désigne ici l'essence, une caractéristique


essentielle telle que, si vous répondez OUI au sujet,
est-ce sa disparition entraîne la disparition de l'action = ce
ne serait plus communiquer que de ne pas
dialoguer..

Voici X et Y: les deux concepts dont la


comparaison permet d'aborder la construction du
plan en trois partie: rapprochement - distinction
communiquer/ - précision de leur rapport grâce à la solution du
dialoguer problème qui a été dégagé dans l'introduction. On
comprend que ce plan dialectique exige une analyse
de plus en plus fine et précise qui permet à la
comparaison d'aller jusqu'à son terme.

Selon l'étymologie c'est l'action de mettre en


commun; mais cette mise en commun peut avoir
plusieurs "sens":
d'individu à individu,
d'un individu à un groupe,
d'un groupe à un individu ou même
de groupes à groupes.
Cette mise en commun peut se réaliser selon divers
moyens:
des signaux, comme la danse des abeilles,
l'utilisation personnelle de signes linguistiques
propres à un code commun à un émetteur et un
récepteur (langue - parole).
Le terme X (dialoguer) nous oblige, dans le
développement, à restreindre communiquer au
langage humain, même si on peut parler à quelqu'un
comme à un chien, en donnant un ordre à un
"esclave" sans qu'il y ait de réplique possible, même
si ce n'est pas à un chien que nous parlons.
Communiquer c'est transmettre une information d'un
émetteur à un récepteur. On peut poser que si
l'information est effectivement transmise (=
comprise par le récepteur) l'action de communiquer
est accomplie. Dans toute action de communiquer il
y a donc une intention de l'émetteur et une
réalisation qui exige la compréhension du récepteur.
Si l'émetteur n'a pas été compris, il n'a pas
communiqué au sens plein du terme.

==D'où le problème que pose toute action de


communiquer: par quel indicateur l'émetteur peut-il
savoir qu'il a communiqué, qu'il a été compris? Ou,
communiquer comment peut-il s'assurer que le récepteur a été
attentif, qu'il n'a pas imaginé à partir de deux ou
trois termes (voir le texte de Nietzsche) en fonction
de sa propre subjectivité ou de ses préjugés: qu'il
n'a pas été trompé par la polysémie (fait qu'un
terme a plusieurs sens): ou encore que les
réactions propres à chacun n'ont pas transformé le
contenu de son message, selon ce qu'on peut
appeler l'univers subjectif d'autrui (son
caractère...).

En effet, dans l'action de communiquer, le sujet


n'est sûr que de son intention et de la formulation
de son message: il a fait de son mieux. Mais
communiquer exige ce qui ne dépend pas de lui:
l'écoute et la compréhension. Il semble que nous
soyons nécessairement orientés vers un dialogue
dans lequel le récepteur deviendra émetteur et
grâce auquel l'émetteur pourra s'assurer de la
compréhension du récepteur, par exemple en
écoutant le récepteur reformuler ce qu'il a entendu,
ce qui permet le plus souvent à l'émetteur de juger
de la pleine réalisation de l'action: communiquer: s'il
n'a pas été compris l'émetteur explicitera tel ou tel
élément du message.
Faisons jaillir le problème: c'est à dire la difficulté,
la question de la question posée, ce pourquoi le
sujet est donné: si communiquer c'est avant tout
émettre un message qui doit être transmis, cela
semble impliquer nécessairement le dialogue. Mais
communiquer à une masse semble exclure le
dialogue. D'où la question, communiquer est-ce
nécessairement dialoguer?

C'est d'abord un échange dans lequel le récepteur


devient émetteur pendant que l'émetteur devient
récepteur, ce qui permet d'assurer l'acte de
communiquer. Le dialogue s'accomplit donc à deux,
il exige la prise en considération, le respect de
l'autre, de son univers subjectif, une attention aux
paroles prononcées par chacun des interlocuteurs.
Cette attention est soutenue par le désir de se
faire comprendre et de comprendre ce qui renvoie à
la pensée et qui permet aux paroles prononcées
dialoguer
d'être adéquates à ce qui a été dit et cohérentes.

Le dialogue dans lequel deux consciences


communiquent est source d'un enrichissement
mutuel car dans cet exercice de la pensée, les
idées s'élaborent en commun, selon l'heureuse
formule d'Aimé Forest "L’intention du dialogue nous
paraît être celle d’une genèse réciproque. C’est
dans le dialogue que les idées se forment plus
encore qu’elles ne se communiquent."

C'est cet adverbe qui fait le problème: en effet, si


on vous avait demandé, communiquer est-ce
parfois dialoguer?, la réponse, OUI, serait
immédiate.
nécessairement
Est nécessaire, ce qui ne peut pas ne pas être: ici,
communiquer implique-t-il l'action de dialoguer?
Pour poser l'un faut-il poser l'autre (dialoguer), sous
peine de ne plus avoir l'un (communiquer).

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