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Réalisé par
TAOUFIK SAYADI
Le dipôle RC ; Le dipôle RL
Dipôle Condensateur Bobine
Symbole, grandeur C
Caractéristique et unité
Capacité C (F)
UAB q
Expression de la tension
UAB= C UAB=-e +rI
K1
2
C
Schéma du circuit
L
E
R
E
D
Réponse à un Charge du condensateur Courant traversant le circuit
Echelon de tension (phénomène transitoire) (phénomène transitoire)
Charge Décharge Etablissement Disparition
Equations dq q E dq q di R E di R
+ = + =0 + i= + i =0
Différentielles dt RC R dt RC dt L L dt L
du g R ER du g R
du C u C E + ug = + ug = 0
+ = dt L L dt L
dt RC RC
du C u C
+ =0
dt RC
1 E
i+
RC ∫ idt = R
Constantes de temps τ =RC τ =L/R
Les solutions −
t
−
t
−
t
−
t
τ τ τ τ
q(t)=q0(1- e ) q(t)=q0 e i(t)=I0(1- e ) i(t)=I0 e
−
t
−
t
−
t E −
t r
τ τ τ τ
uC (t)=E(1- e ) uC(t)=E e uL(t)=E e +r R (1- e ) uL(t)=E( R -1)
t t t
− − −
τ τ
i(t)=I0 e i(t)=-I0 e e τ
UAB
E Continuité de la tension
Représentations 0,63E
Charge
0,37E
graphiques Décharge
t(s) UAB
Discontinuité de la
E tension
t(s)
-E
t(s)
-I0
Etablissement Disparition
du courant du courant
Oscillations Libres amortis
Le circuit (R, L,C ) en régime libre :
- Equation différentielle :
uC + uB + uRo = 0
q di uB
⇒ + r.i + L +R0.i = 0 L,r
C dt uuC Ro
q d 2q c
⇒ + R.i + L dt 2 = 0 avec R = R0 + r
C Ro
Influence de l’amortissement ( Ro + r )
-R.i
Energie électrique
Energie magnétique
Energie totale
Oscillations Libres non amortis
Equation différentielle
uC + uL = 0
q d i
C
+L dt
= 0
d 2q 1 c uC uL L
2 + q =0
dt L.C
1 d 2q
Avec ω 02 = devient dt 2
+ ω 02 q = 0
L.C
C’est une équation différentielle qui admet comme solution q = Qm.sin ( ω 0 t + ϕ )
Donc , q(t) est une fonction sinusoïdale de période propre T0 = 2π L.C .
Conservation de l’énergie totale d’un oscillateur LC :
dq
q = Qm.sin ( ω 0 t + ϕ ) et i= = ω 0 .Qm.cos ( ω 0 t + ϕ )
dt
1 q 2 1 Qm2
EC = . = . .sin2( ω 0 t + ϕ ) ( énergie électrique )
2 C 2 C
1 1 1 Q2
EL = L.i2 = L. ω 02 . q 2m .cos2 ( ω 0 t + ϕ ) = . m .cos2( ω 0 t + ϕ ) ( énergie magnétique )
2 2 2 C
2
1 Qm
E = Ee + EL = . = constante ( énergie totale ou électromagnétique )
2 C
1 Qm2 1 1
L I m2 = 2
E= . = C U cm
2 C 2 2
Remarque : L’énergie électrique et l’énergie magnétique sont des fonctions périodiques de pulsation
T0
ω = 2ω0 , donc de période T =
2
Autre méthode pour la détermination de l’équation différentielle :
1 q2 1 1 Qm2 1
E = EC + EL = . + L.i2 = . = L. I m2 = constante
2 C 2 2 C 2
dE 1 q dq 1 di dq di d 2 q q d 2q
=0⇒ .2. + .2.L.i. = 0 ( avec i = et = dt 2 ) ⇒ i.( + L. dt 2 ) = 0
dt 2 C dt 2 dt dt dt C
d 2q
dt 2
+ ω 02 q = 0
Evolution des énergies électrique et magnétique
Ee ;EL
q(t) ; i(t)
(j)
t(m
t(ms)
Oscillations électriques forcées
∫ idt= U
di 1
Ri + L + m sin(
dt C
Cetteωéquation
t) différentielle admet comme solution i = Im sin( ω t + ϕi )
1 1 1
1er cas : L ω< ⇒ ω< ω0 2ème cas : L ω > ⇒ ω > ω0 3ème cas : L ω =
Cω Cω Cω
⇒ ω= ω0
circuit capacitif circuit inductif circuit résistif
u(t) est en retard de phase par u(t) est en avance de phase par u(t) et i(t) sont en phase
rapport à i(t) rapport à i(t) Résonance d’intensité
um tg R0 + r
cos φ i =
Im = 1 2 Z
( R 0 + r ) 2 + (Lω - ) cos φ i : appelé facteur de puissance
Cω
φ i
Um 1 2
Par définition, le rapport noté Z = = ( R 0 + r ) 2 + (Lω - ) est appelé impédance électrique du
Im Cω
circuit ( R,L,C ) et s’exprime en Ohms ( Ω ) I
Raisonance d'intensité :
Im est max
ω = ω0 N = N0
Lω -
1 =0
Cω
Um
Im =
R0 + r
Z=R N
Conséquence de la résonance : La surtension
Par définition , le facteur de surtension ou facteur de qualité noté Q est donné par la formule :
1 Lω0 1
Q= = = R +r
( R 0 + r )ω0 R0 +r 0
L
C
UC
Q= max
soit ( sans unité )
Um
Puissance moyenne :
U m I m cos(φu - φi )
P = UIcos(ϕ u -φi) = = ( R0 +r )I2 =
2
(UR:0tension
+ r ) I 2m efficace délivrée par le générateur ( V )
Um : tension
2 maximale délivrée par le générateur ( V ) P est alors exprimée en watts ( W )
Im : intensité maximale du courant ( A )
cosϕ : facteur de puissance
d2x k k
dt 2
+ ω 02 x = 0 avec ω 02 = ⇒ ω0 =
m m
C’est une équation différentielle qui admet comme solution x = xm.sin ( ω 0 t + ϕ )
2π m
Donc , le m.v.t. est rectiligne sinusoïdal de période propre T0 To = ω = 2π
0 k
Conservation de l’énergie mécanique
1 E
EC = m.v2 Energie cinétique
2
1
Ep = k.x2 Energie potentielle élastique EC
2
l’énergie mécanique est proportionnelle au carré de l’amplitude . pour un
oscillateur libre non amorti , l'amplitude est constante , l’énergie mécanique Ep
1
se conserve. E= k .xm2 = constante
2 x
Ep EC
Les variations des énergies cinétique
et potentielle élastique en fonction du temps sont
T0
périodiques de pulsation ω = 2ω0 , donc de période T’ = t(
2
T0 ms
Autre méthode pour la détermination de l’équation différentielle : 2
1 1 1 1
E = Ep + EC = k.x2 + m.v2 = k.xm2 = m.vm2 = constante
2 2 2 2
dE 1 dx 1 dv dx dx dv d2x
=0⇒ .2.k.x + .2.m.v. = 0 ( avec v = dt et = dt 2
)
dt 2 dt 2 dt dt dt
d2x d2x
⇒ v.( k.x + m. dt 2
)=0⇒ dt 2
+ ω 02 x = 0
Oscillations libres amorties
Equation différentielle :
dx d2x
kx + h + m dt 2 = 0
dt
Résonance d’élongation : Xm
Influence de la fréquence de l’excitateur et de l’amortissement
X2m
sur l’amplitude des oscillations h1
Xm est d’autant plus petite que l’amortissement h
est plus important
∀h la fréquence Nr à la résonance est toujours inférieur à No
( fréquence propre )
L’écart entre ces deux fréquences ( NR et No ) est d’autant
X1m
plus important que hest grande
h2 h2
h2
ω 2R = 2
ω0 - 2m 2
N 2R = N 02 -
8π 2m 2
N
No
N1
N2
Résonance de vitesse F
A la résonance de vitesse ω = ω 0 ⇒ ϕF = φV vm = m NR = N0
h
Résonance de charge
Um Rω N 2R = N 02 -
Qm = 1 2 tgϕq = 1 R2
R 2 ω 2 + (Lω 2 - ) Lω 2 -
C C 8π 2 L2
Les ondes progressives
Propagation d’un ébranlement
Principe de propagation :
yM(t) = yO( t - θ ) , pour t ≥ θ
Remarque
x1 λ x1
Pour déterminer θ1 en fonction de T : on a : x1 = V θ1 λ= V T ⇒ = T ⇒ θ1 = T
θ1 T λ
yo
t
θ1
YM1
Stroboscope
Diffraction de la lumière
Figure-4-
a L λ D
θ= = ; L = 2λ
2D a a
La Réflexion
Dans le cas de l’onde plane : L’onde réfléchie par une λ
surface plane est une onde plane et : i
l’angle d’incidence i = angle de réflexion i’ i'
(loi de Descartes relatives à la réflexion)
le phénomène se produit sans changement de longueur d’onde : λ = λ’
λ
La Réfraction
Dans le cas de l’onde plane ; l’onde réfractée par
une surface de séparation de deux milieux change i2
de direction et la longueur d’onde λ varie
sin i1 sin i2
(loi de Descartes relatives à la réfraction) =
V1 V2 i1
Dispersion
Spectre atomique
• L’énergie d’un atome est quantifiée (l’atome ne peut exister que dans des niveaux d’énergie bien
définis)
• L’atome dans son niveau d’énergie le plus bas est dit dans son état fondamental (état le plus
stable). Les niveaux d’énergie supérieurs correspondent à des états excités.
• Le passage d’un atome d’un état de niveau d’énergie à un autre est dit : transition.
Le passage d’un atome d’un niveau d’énergie En à un niveau d’énergie supérieur Ep est
nécessairement provoquée par l’absorption d’un photon d’énergie hν
Le passage d’un atome d’un niveau d’énergie Ep à un niveau d’énergie inférieur En est
nécessairement accompagné d’émission d’un photon d’énergie hν
Les spectres d’émission ou d’absorption constituent les cartes d’identités des atomes.
Réactions nucléaires
a- Equivalence masse-énergie
Relation d’Einstein ΔE= Δm c2
Energie de liaison:
C’est l’énergie qu’il faut fournir à un noyau pour séparer ses différents nucléons . Elle est donnée par :
El = { Z. mp + ( A - Z ). mn - m ( ZA X ) } . c2
Défaut de masse : ∆m = Z. mp + ( A - Z ). mn - m ( ZA X )
Si ∆m en kg et c = 3 .108 m.s-1 alors El en joules
Si ∆m en Mev / c2 alors El en Mev
Energie de liaison par nucléon:
El
E= en Mev / nucléons
A
Plus l’énergie par nucléon ( E )est grand plus le noyau est stable
Réactions nucléaires spontanées:
Radioactivité : C’est l’émission spontanée de rayonnement par les noyaux radioactifs
Les noyaux radioactifs :radio éléments
Lois de conservation :
Lors de toute désintégration nucléaire , il y’a ;
- Conservation du nombre total de charges Z .
- Conservation du nombre total de masses A .
- Conservation de l’énergie .
Equations des réactions nucléaires spontanées :
a) La radioactivité α :
A A-4
Z X Y + 24 He
Z -2
A A 0
ZX Z +1 Y + -1 e
Mécanisme : 01 n 1 0
1 P + -1 e émission
La radioactivité β concerne les noyaux qui possèdent trop de neutrons ( N > Z)
-
c) La radioactivité β + :
A
A
ZX Z -1 Y + 10 e
1
Mécanisme : 11P 0n +
0
1 e
émission
La radioactivité β concerne les noyaux qui possèdent trop
+ n de protons ( Z> N)
d) La désexcitation γ :
La désexcitation γ accompagne souvent les radioactivités α et β - . Le noyau fils Y peut être formé dans
un état excité ( instable ) et se relaxer en émettant un photon γ .
Le retour à l’état fondamental du noyau excité Y* se traduit par l’équation bilan :
A * A 0
ZY ZY + 0γ
état excité état fondamental
(instable) (stable)
γ : n’est pas chargée , c’est un rayonnement électromagnétique de longueur d’onde de l’ordre de 10 - 12m
+ 01 n
A A1 A2
Z X Z1
X1 + Z2
X2
+k 01 n
La fusion :
C’est une réaction nucléaire au cours de laquelle deux noyaux légers fusionnent pour donner
un noyau plus lourd et éventuellement émission d’une autre particule .
- Energie solaire
- Bombe d’hydrogène
Sayadi .Taoufik Matériels de chimie
Bec bunsen
Support élévateur Becher
Tube à essai
PH - 3.00
mètr
e Entonnoir
Fiole jaugée
pH-métre
Burette graduée + Pissette d’eau
support élévateur
Pro pipette
Pipette graduée
Pipette jaugée Pipette à deux traits de
jaugées
Cinétique chimique
Rappel
Soit la réaction chimique d’équation : a A + b B cC + dD
Avec a, b, c, et d sont des coefficients stœchiométriques
n A nB n A nC nD
• Si 〉 ou ( ) initial 〉 = le réactif A est en excès
a b a c d
n A nB nB nC nD
• Si
〈 ou ( )initial 〉 =
b c d
le réactifs B est en excès
ab
Définitions
- Avancement d’une réaction :
L’avancement x d’une réaction est une grandeur qui permet de suivre l’évolution des quantités de
matière présentes à chaque instant dans un système chimique. Il s’exprime en mol
- Tableau d’avancement d’une réaction chimique :
aA + bB cC + dD
Etat du système Avancement Quantité de matière
Initial 0 no(A) no(B) 0 0
n0 ( A) − n( A) n ( B ) − n( B) n (C ) n( D )
x = = 0 = =
a b c d
Vitesse moyenne d’une réaction:
- La vitesse moyenne d’une réaction entre deux instants t1 et t2 notée Vmoy ( t1, t2 ) est définies
∆x x (t1 ) − x (t 2 )
par : Vmoy ( t1, t2 ) = = mol.s-1
∆t t 2 − t1
Remarque : Vitesse volumique moyenne d’une réaction
1
VV moy ( t1, t2 ) = Vmoy ( t1, t2 ) mol.L.s-1
V
Vitesse instantanée d’une réaction :
V(t) = tlim Vmoy ( t1, t2 )
2 →t1
dx
V(t) = ( mol.L-1.s-1 )
dt
Remarque : Vitesse volumique instantanée d’une réaction
1
VV ( t ) = V( t ) ( mol.L.s-1 )
V
x
1 dx d ( ) dy
= ( )= V = avec y est l’avancement volumique
V dt dt
dt
1 d [ A] 1 d [ B] 1 d [C ] 1 d [ D]
VV ( t ) = - = - = =
a dt b dt c dt d dt
Loi de modération :
La pression , la concentration d'un constituant et la température sont des variables pouvant
perturber un système en équilibre chimique sont appelés facteurs d’équilibre.
Enoncé :
Toute modification d'un facteur d'équilibre sur un système entraîne son évolution vers un nouvel
état d'équilibre qui s'effectue dans le sens qui s'oppose aux causes qui lui ont données naissance de
façon à modérer les effets.
Coséquences
- Si une perturbation tend , à température constante , à augmenter ( à diminuer ) la pression
d’un système initialement en équilibre dynamique , ce système se déplace dans le sens de la
réaction qui tend à diminuer
( augmenter ) la pression : c’est-à-dire qui diminue ng ( qui augmente ng ). ng : le nombre total de
moles gazeux
- Si une perturbation tend , sous pression constante , à élever ( abaisser ) la température
d’un système ferrmé initialement en équilibre dynamique , ce système évolue dans le sens de la
réaction qui tend à abaisser
( augmenter ) la température : le sens de la transformation endothermique ( exothermique ).
- Si une perturbation tend , à température constante , à augmenter ( diminuer ) une molarité
dans un système ouvert initialement en équilibre dynamique , le système évolue en se déplaçant
dans le sens de la réaction qui tend à diminuer ( augmenter ) cette molarité .
Les acides et les bases
Ka =
[ A - ] .[ H 3O + ]
[ AH ] ( Ka ne dépend que de la température ) .
pH = pKe + log Cb
soit Cb = 10pH – pKe .
- pH d’une solution aqueuse d’une monobase faible :
Pour une solution d’une monobase faible dont la concentration initiale est Cb , on a :
1
pH = ( pKa + pKe + log
2 soit Cb = 102pH – pKa – pKe .
Cb)
Comparaison de la force des acides et celle des bases :
- Selon la valeur de Ka ( Kb ) ; pKa ( pKb )
Un acide est d’autant plus fort que la valeur de sa constante d’acidité Ka est grande et que la
valeur
de son pKa est faibl²e .
Plus un acide est fort plus sa base conjuguée est faible .
- Une base est d’autant plus forte que la valeur de sa constante de basicité Kb est grande et que
la valeur de son pKb est faible .
Plus une base est forte , plus son acide conjugué est faible .
comparer à C .
Si [OH-] < C ( τf < 1 ) ⇒ La base est faible ; Si [OH-] = C ( τf = 1 ) ⇒ La base est forte .
Effet d’une dilution sur le pH d’une solution :
- La dilution d'une solution acide entraîne l'augmentation de son pH
- La dilution d'une solution de base entraîne la diminution de son pH
Les réactions acide - base
Dosage d’un acide fort par une base forte Dosage d’une base forte par un acide fort
〈
PH initial >7
PH initial 7 Equation de la réaction
H3O + + OH – 2H2O
Equation de la réaction -La réaction du dosage est totale
H3O + + OH – 2H2O K=1/([ H3O +][ O H -]) =(1/Ke)>>>1
- La réaction du dosage est totale
K=1/([ H3O +][ O H -]) =(1/Ke )>>>1 - La courbe possède un seul point d’inflexion
- A l’équivalence
- La courbe possède un seul point d’inflexion PHE=7 (solution neutre)
nA = nB
- A l’équivalence
PHE = 7 (solution neutre) CBVB= CAVA éq
nA = nB
CAVA= CBVB éq
Acide fort
Base forte
Base forte
Acide fort
PH 9.00
-
PH 3.00
-
pH pH
0 0
0 vb 0 va
III Dosage d’un acide faible par une base forte IV Dosage d’une base faible par un acide fort
〈
PH initial >7
Equation de la réaction
PH initial 7 B + H3O + BH ++ H2O
Equation de la réaction *La réaction du dosage est totale
AH + OH – H2O+ A- K=[BH +]/([ B][ H3O +]) = (1/Ka)>>>1
*La réaction du dosage est totale *La courbe possède deux points d’inflexions
K=[A- ]/([ AH][ O H -]) = (Ka/Ke )>>>1 A l’équivalence
*La courbe possède deux points d’inflexions PHE <7(solution acide)
A l’équivalence PHE = ½(pKa - ℓogC’).
PHE >7(solution basique) C’ étant la concentration de l’acide BH + et
PHE = ½(pKa + pKe + ℓogC’). Ka sa constante d’acidité
C’ étant la concentration de la base A- et CBVB= CAVA éq
Ka la constante d’acidité de son acide conjugué Remarque
AH. Au demi point d’équivalente : VA=(VAE/2)
CAVA= CBVB éq PH=pKa
Remarque La solution obtenue est dite solution tampon
Au demi point d’équivalente : VB=(VBE/2)
PH=pKa
La solution obtenue est dite solution tampon Acide fort
Base forte
Base faible
Acide PH 9.00
-
faible
PH 3.00
pH - pH
pKa
0 0 VaE
0 vb 0 va
Les piles
- Schéma de la pile
V
Lorsque la pile est usée ( ne débite plus de courant ) , on atteint l’équilibre dynamique :
0,06 0,06 n.E° KnE =
∏ = K et E = 0 ; d’où : 0 = E° - log K⇒ log K = E° ⇒ log K = 0,06 soit °
n n 10 0 , 06
- Rôle du pont salin
- Assure la neutralité électrique des deux solutions
- Assure la fermeture du circuit
- Remarques :
- Au lieu d’utiliser un pont salin , on pourrait séparer les deux solutions en utilisant une paroi
poreuse
- La réaction redox spontanée ne se produit que lorsqu’on relie les deux électrodes par un
conducteur ohmique
Pile permettant de mesurer le potentiel normal d’électrode d'un coupleM2+ /M [ E°( M2+ / M )]
V
fil de platine
pont salin Métal M
H2 (g)
= 1 atm
Plaque de
platiné
solution d’acide [H+] = solution contenant M2+
1M ( 1M)
Potentiel rédox d’un couple Ox / Red
Définition : Le potentiel rédox d’un couple Ox / red noté EoOx / Red est la f.e.m de la pile constitué
par l’électrode normale à hydrogène ( E N H ) placé à gauche et la fonction des concentration π =
1