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Sciences Physiques 2008/2009

REsume de cours POUR LES ELEVES


DU BAC

Réalisé par
TAOUFIK SAYADI
Le dipôle RC ; Le dipôle RL
Dipôle Condensateur Bobine

Symbole, grandeur C
Caractéristique et unité

Capacité C (F)

Grandeur algébrique Intensité du courant f.é.m d’auto induction


dq di
i= e=-
dt dt
Représentation de la C
Tension UAB

UAB q
Expression de la tension
UAB= C UAB=-e +rI

Energie Potentielle électrique Magnétique


1 1 q2 1 2
Ee= CU2= EL= Li
2 2 C 2
Particularité Réservoir permanent Réservoir temporaire
d’énergie : l’énergie Ee reste d’énergie : l’énergie EL ne reste
stocker même hors circuit pas stocker en absence de courant
Dipôle Circuit (R, C) Circuit (R, L)

K1

2
C
Schéma du circuit

L
E
R
E

D
Réponse à un Charge du condensateur Courant traversant le circuit
Echelon de tension (phénomène transitoire) (phénomène transitoire)
Charge Décharge Etablissement Disparition
Equations dq q E dq q di R E di R
+ = + =0 + i= + i =0
Différentielles dt RC R dt RC dt L L dt L
du g R ER du g R
du C u C E + ug = + ug = 0
+ = dt L L dt L
dt RC RC
du C u C
+ =0
dt RC
1 E
i+
RC ∫ idt = R
Constantes de temps τ =RC τ =L/R
Les solutions −
t

t

t

t
τ τ τ τ
q(t)=q0(1- e ) q(t)=q0 e i(t)=I0(1- e ) i(t)=I0 e

t

t

t E −
t r
τ τ τ τ
uC (t)=E(1- e ) uC(t)=E e uL(t)=E e +r R (1- e ) uL(t)=E( R -1)
t t t
− − −
τ τ
i(t)=I0 e i(t)=-I0 e e τ

UAB
E Continuité de la tension

Représentations 0,63E
Charge
0,37E
graphiques Décharge

t(s) UAB
Discontinuité de la
E tension
t(s)

-E

i i(A) Continuité de courant


Discontinuité du
I0 I0
courant
0,63I0
t(s) 0,37I0

t(s)
-I0
Etablissement Disparition
du courant du courant
Oscillations Libres amortis
Le circuit (R, L,C ) en régime libre :
- Equation différentielle :

uC + uB + uRo = 0
q di uB
⇒ + r.i + L +R0.i = 0 L,r
C dt uuC Ro
q d 2q c
⇒ + R.i + L dt 2 = 0 avec R = R0 + r
C Ro
Influence de l’amortissement ( Ro + r )

Régime pseudopériodique Régime apériodique


Le régime critique correspond au retour le plus rapide à la position d’équilibre .

L’énergie totale et sa non conservation :


EC = Energie électrique
EL = Energie magnétique
E = EC + EL
1 q2 1
E= + Li2
2 C 2
dE 1 q 1 d 2q q d 2q
= 2. i + 2. L.i dt 2
= i.( + L dt 2 ) = -R.i2 < 0 ⇒ E fonction décroissante du temps .
dt 2 C 2 C

-R.i

Energie électrique

Energie magnétique

Energie totale
Oscillations Libres non amortis
Equation différentielle

uC + uL = 0
q d i
C
+L dt
= 0
d 2q 1 c uC uL L
2 + q =0
dt L.C
1 d 2q
Avec ω 02 = devient dt 2
+ ω 02 q = 0
L.C
C’est une équation différentielle qui admet comme solution q = Qm.sin ( ω 0 t + ϕ )
Donc , q(t) est une fonction sinusoïdale de période propre T0 = 2π L.C .
Conservation de l’énergie totale d’un oscillateur LC :
dq
q = Qm.sin ( ω 0 t + ϕ ) et i= = ω 0 .Qm.cos ( ω 0 t + ϕ )
dt
1 q 2 1 Qm2
EC = . = . .sin2( ω 0 t + ϕ ) ( énergie électrique )
2 C 2 C
1 1 1 Q2
EL = L.i2 = L. ω 02 . q 2m .cos2 ( ω 0 t + ϕ ) = . m .cos2( ω 0 t + ϕ ) ( énergie magnétique )
2 2 2 C
2
1 Qm
E = Ee + EL = . = constante ( énergie totale ou électromagnétique )
2 C
1 Qm2 1 1
L I m2 = 2
E= . = C U cm
2 C 2 2
Remarque : L’énergie électrique et l’énergie magnétique sont des fonctions périodiques de pulsation
T0
ω = 2ω0 , donc de période T =
2
Autre méthode pour la détermination de l’équation différentielle :
1 q2 1 1 Qm2 1
E = EC + EL = . + L.i2 = . = L. I m2 = constante
2 C 2 2 C 2
dE 1 q dq 1 di dq di d 2 q q d 2q
=0⇒ .2. + .2.L.i. = 0 ( avec i = et = dt 2 ) ⇒ i.( + L. dt 2 ) = 0
dt 2 C dt 2 dt dt dt C
d 2q
dt 2
+ ω 02 q = 0
Evolution des énergies électrique et magnétique
Ee ;EL
q(t) ; i(t)
(j)

t(m

t(ms)
Oscillations électriques forcées

Equation différentielle régissant les variations de q(t) : ∼ A


2
q dq d q
+R + L dt 2 = Umsin( ω
C dt
i
t)
Cette équation différentielle admet comme solution : i
q = qmsin( ωt + ϕ ) L,r
Avec ωpulsation du générateur ( excitateur ) Ro c
A partir de La construction de Fresnel :

Equation différentielle régissant les variations de i(t) :

∫ idt= U
di 1
Ri + L + m sin(
dt C
Cetteωéquation
t) différentielle admet comme solution i = Im sin( ω t + ϕi )
1 1 1
1er cas : L ω< ⇒ ω< ω0 2ème cas : L ω > ⇒ ω > ω0 3ème cas : L ω =
Cω Cω Cω
⇒ ω= ω0
circuit capacitif circuit inductif circuit résistif
u(t) est en retard de phase par u(t) est en avance de phase par u(t) et i(t) sont en phase
rapport à i(t) rapport à i(t) Résonance d’intensité

um tg R0 + r
cos φ i =
Im = 1 2 Z
( R 0 + r ) 2 + (Lω - ) cos φ i : appelé facteur de puissance

φ i
Um 1 2
Par définition, le rapport noté Z = = ( R 0 + r ) 2 + (Lω - ) est appelé impédance électrique du
Im Cω
circuit ( R,L,C ) et s’exprime en Ohms ( Ω ) I
Raisonance d'intensité :
Im est max
ω = ω0 N = N0

Lω -
1 =0

Um
Im =
R0 + r

Z=R N
Conséquence de la résonance : La surtension
Par définition , le facteur de surtension ou facteur de qualité noté Q est donné par la formule :
1 Lω0 1
Q= = = R +r
( R 0 + r )ω0 R0 +r 0

L
C
UC
Q= max
soit ( sans unité )
Um

Puissance moyenne :
U m I m cos(φu - φi )
P = UIcos(ϕ u -φi) = = ( R0 +r )I2 =
2
(UR:0tension
+ r ) I 2m efficace délivrée par le générateur ( V )
Um : tension
2 maximale délivrée par le générateur ( V ) P est alors exprimée en watts ( W )
Im : intensité maximale du courant ( A )
cosϕ : facteur de puissance

Oscillations libres d’un pendule élastique


Equation différentielle

d2x k k
dt 2
+ ω 02 x = 0 avec ω 02 = ⇒ ω0 =
m m
C’est une équation différentielle qui admet comme solution x = xm.sin ( ω 0 t + ϕ )
2π m
Donc , le m.v.t. est rectiligne sinusoïdal de période propre T0 To = ω = 2π
0 k
Conservation de l’énergie mécanique
1 E
EC = m.v2 Energie cinétique
2
1
Ep = k.x2 Energie potentielle élastique EC
2
l’énergie mécanique est proportionnelle au carré de l’amplitude . pour un
oscillateur libre non amorti , l'amplitude est constante , l’énergie mécanique Ep
1
se conserve. E= k .xm2 = constante
2 x

Ep EC
Les variations des énergies cinétique
et potentielle élastique en fonction du temps sont
T0
périodiques de pulsation ω = 2ω0 , donc de période T’ = t(
2
T0 ms
Autre méthode pour la détermination de l’équation différentielle : 2
1 1 1 1
E = Ep + EC = k.x2 + m.v2 = k.xm2 = m.vm2 = constante
2 2 2 2
dE 1 dx 1 dv dx dx dv d2x
=0⇒ .2.k.x + .2.m.v. = 0 ( avec v = dt et = dt 2
)
dt 2 dt 2 dt dt dt
d2x d2x
⇒ v.( k.x + m. dt 2
)=0⇒ dt 2
+ ω 02 x = 0
Oscillations libres amorties
Equation différentielle :
dx d2x
kx + h + m dt 2 = 0
dt

Influence de l’amortissement ( h :coefficient de frottement )

Régime pseudopériodique Régime apériodique

T pseudopériode est légèrement supérieur à la période propre T0 = 2 π


k
m
L’énergie mécanique et sa non conservation :
1 1
E= kx2 + mv2
2 2
dE 1 1 d2x d2x
= 2. k.x.v + 2. m.v dt 2
= v.(kx + m dt 2
) = -h.v2 < 0 ⇒ E fonction décroissante du temps
dt 2 2
Oscillations mécaniques forcées
Equation différentielle :
d2x dx
m 2 kx + h = Fmsin( ωt )
dt dt

Cette équation différentielle admet comme solution : x = xmsin ( ω t + ϕ ) avec ω pulsation du


l'excitateur Fm
Xm = hω
h ω + ( k - mω2 ) 2
2 2
tgϕ= k − mω2

Remarque : ∀ω x(t) est toujours en retard de phase par rapport à F(t)

Résonance d’élongation : Xm
Influence de la fréquence de l’excitateur et de l’amortissement
X2m
sur l’amplitude des oscillations h1
Xm est d’autant plus petite que l’amortissement h
est plus important
∀h la fréquence Nr à la résonance est toujours inférieur à No
( fréquence propre )
L’écart entre ces deux fréquences ( NR et No ) est d’autant
X1m
plus important que hest grande
h2 h2
h2
ω 2R = 2
ω0 - 2m 2
N 2R = N 02 -
8π 2m 2

N
No
N1
N2
Résonance de vitesse F
A la résonance de vitesse ω = ω 0 ⇒ ϕF = φV vm = m NR = N0
h

Résonance de charge
Um Rω N 2R = N 02 -
Qm = 1 2 tgϕq = 1 R2
R 2 ω 2 + (Lω 2 - ) Lω 2 -
C C 8π 2 L2
Les ondes progressives
Propagation d’un ébranlement
Principe de propagation :
yM(t) = yO( t - θ ) , pour t ≥ θ

Propagation d’une onde sinusoïdale entretenue le long d’une corde élastique


x
yM(t) = yO( t - θ ) , pour t ≥ θ avec θ = .
v
2π x
⇒ yM(t,x) = a.sin[ ( t - ) + ϕO ]
T v
2π 2 πx
⇒ yM(t,x) = a.sin( t- + ϕO )
T λ
Sinusoïde des temps d’un point M1 d’abscisse x1
y M (t) = a.sin( 2 π t - 2 πx + ϕO ) pour t ≥ θ1 .
1
T λ
y M (t) = 0
1
pour 0 ≤ t ≤ θ1 .
C’est une fonction sinusoïdale de période T dite période temporelle ( temps mis par tout point de la
corde pour effectuer une oscillation ) .

Remarque
x1 λ x1
Pour déterminer θ1 en fonction de T : on a : x1 = V θ1 λ= V T ⇒ = T ⇒ θ1 = T
θ1 T λ

yo

t
θ1
YM1

Le point M1 refait le même mouvement que le source .


- Sinusoïde des espaces : aspect de la corde à une date t1 : On fixe le temps t = t1 et on étudie
les variations de y en fonction de la variable x ( appelée aussi sinusoïde des espaces ) .
2π 2 πx
On a établi : yM(t,x) = a.sin( t- + ϕO )
T λ
2π 2 πx
Donc , y t (x) = a.sin( t1 - + ϕO )
1
T λ
2 πx 2 π
yt (x) = a.sin( - t1 - ϕO + π ) pour 0 ≤ x ≤ x1 .
⇒ 1
λ T
y t (x) = 0
1
pour x1 ≤ x ≤ ℓ .
C’est une fonction sinusoïdale de période λ dite période spatiale appelée longueur d’onde
( λ : distance parcourue par l’onde au cours d’une période temporelle T )
Remarques :
- Si le front d’onde est un creux φs= π rad Front d’onde
- Si le front d’onde est une crête φs=0rad
- Pour déterminer X1 en fonction de λ
x λ θ1
x1 = V θ1 λ = V T ⇒ 1 = ⇒ x1 = λ
θ1 T T
Propagation d’une onde sinusoïdale entretenue

à la surface d’un liquide :
Suivant une direction quelconque (O, i ) de la surface
nappe d’eau
du liquide , tout ce passe comme le long d’une corde élastique .
Tous les points situés à la même distance r du point source O , O M
ont à tout instant le même état de mouvement . i r
Pour l’aspect de la surface du liquide à une date t1 , 
on représente une coupe transversale de la surface du liquide suivant (O, i ) .

Stroboscope

Ne :fréquence de stroboscope , N :fréquence de l’onde

- Si Ne=N /k immobilité apparente du milieu propagateur

- Si Ne 〈 N/K mouvement ralenti dans le sens contraire

- Si Ne 〉N/K mouvement ralenti dans le sens réel

Interaction onde matière

Diffraction d’une onde mécanique

• Au niveau d’une fente ou d’un Onde diffractée


obstacle de largeur a une onde mécanique subit le phénomène de
diffraction.
• La diffraction se manifeste de façon nette lorsque a est du a est de même de grandeur que λ
• Apres avoir subi le phénomène de diffraction, une onde initialement plane se propage après
franchissement de la fente de la fente (obstacle)suivant plusieurs directions situées de part et
d’autre de la direction incidence sans changement de sa longueur d’onde λ

Diffraction de la lumière

Comme une onde mécanique la lumière subit le phénomène de la diffraction


• La lumière a un aspect ondulatoire
D λ
• La diffraction est appréciable (plus nette) que est important
θ a
L

Figure-4-
a L λ D
θ= = ; L = 2λ
2D a a

La Réflexion
Dans le cas de l’onde plane : L’onde réfléchie par une λ
surface plane est une onde plane et : i
l’angle d’incidence i = angle de réflexion i’ i'
(loi de Descartes relatives à la réflexion)
le phénomène se produit sans changement de longueur d’onde : λ = λ’
λ
La Réfraction
Dans le cas de l’onde plane ; l’onde réfractée par
une surface de séparation de deux milieux change i2
de direction et la longueur d’onde λ varie
sin i1 sin i2
(loi de Descartes relatives à la réfraction) =
V1 V2 i1
Dispersion

• La décomposition d’une lumière polychromatique par un prisme


est due au phénomène de dispersion
• Le phénomène de la dispersion de la lumière est la variation écran
de sa célérité V dans un milieu transparent d’indice
c
de réfraction n en fonction de sa fréquence ν ( n = )
V prisme
• Un milieu est dit dispersif si la célérité V d’une Lumière blanche
onde périodique dépend de sa fréquence.

Spectre atomique
• L’énergie d’un atome est quantifiée (l’atome ne peut exister que dans des niveaux d’énergie bien
définis)
• L’atome dans son niveau d’énergie le plus bas est dit dans son état fondamental (état le plus
stable). Les niveaux d’énergie supérieurs correspondent à des états excités.
• Le passage d’un atome d’un état de niveau d’énergie à un autre est dit : transition.
 Le passage d’un atome d’un niveau d’énergie En à un niveau d’énergie supérieur Ep est
nécessairement provoquée par l’absorption d’un photon d’énergie hν
 Le passage d’un atome d’un niveau d’énergie Ep à un niveau d’énergie inférieur En est
nécessairement accompagné d’émission d’un photon d’énergie hν

Dans les deux cas : l’énergie de l’atome varie ∆E = Ep – En avec p 〉 n

 Les niveaux d’énergie dans l’atome d’hydrogène sont données par :


E
En = - 20 avec E0 = 13,6 eV
n
 Dans un spectre d’émission ou d’absorption , chaque raie représente une transition d’un niveau
Ep à un niveau En produite par l’émission ou l’absorption d’un photon de fréquence ν
telle que :
W = Ep – En = hν avec p 〉 n

 Les spectres d’émission ou d’absorption constituent les cartes d’identités des atomes.

Réactions nucléaires
a- Equivalence masse-énergie
Relation d’Einstein ΔE= Δm c2
Energie de liaison:
C’est l’énergie qu’il faut fournir à un noyau pour séparer ses différents nucléons . Elle est donnée par :
El = { Z. mp + ( A - Z ). mn - m ( ZA X ) } . c2
Défaut de masse : ∆m = Z. mp + ( A - Z ). mn - m ( ZA X )
Si ∆m en kg et c = 3 .108 m.s-1 alors El en joules
Si ∆m en Mev / c2 alors El en Mev
Energie de liaison par nucléon:
El
E= en Mev / nucléons
A
Plus l’énergie par nucléon ( E )est grand plus le noyau est stable
Réactions nucléaires spontanées:
Radioactivité : C’est l’émission spontanée de rayonnement par les noyaux radioactifs
Les noyaux radioactifs :radio éléments
Lois de conservation :
Lors de toute désintégration nucléaire , il y’a ;
- Conservation du nombre total de charges Z .
- Conservation du nombre total de masses A .
- Conservation de l’énergie .
Equations des réactions nucléaires spontanées :
a) La radioactivité α :
A A-4
Z X Y + 24 He
Z -2

La radioactivité α concerne les noyaux lourds( A> 200)


b) La radioactivité β - :

A A 0
ZX Z +1 Y + -1 e

Mécanisme : 01 n 1 0
1 P + -1 e émission
La radioactivité β concerne les noyaux qui possèdent trop de neutrons ( N > Z)
-

c) La radioactivité β + :

A
A
ZX Z -1 Y + 10 e

1
Mécanisme : 11P 0n +
0
1 e
émission
La radioactivité β concerne les noyaux qui possèdent trop
+ n de protons ( Z> N)
d) La désexcitation γ :
La désexcitation γ accompagne souvent les radioactivités α et β - . Le noyau fils Y peut être formé dans
un état excité ( instable ) et se relaxer en émettant un photon γ .
Le retour à l’état fondamental du noyau excité Y* se traduit par l’équation bilan :
A * A 0
ZY ZY + 0γ
état excité état fondamental
(instable) (stable)
γ : n’est pas chargée , c’est un rayonnement électromagnétique de longueur d’onde de l’ordre de 10 - 12m

Loi de décroissance d’une substance radioactive :


Loi de décroissance radioactive :

N = No.e–λt N0 : nombre de noyaux présents à l’instant t = 0 .


N : nombre de noyaux présents à un instant t > 0 ( non désintégrés ).
λ : constante radioactive ( exprimée en (unité de temps)-1 ) .
N(t) décroît au cours du temps
b) Période radioactive ou demi-vie :
C’est la durée T nécessaire pour que le nombre de noyaux initialement présents dans l’échantillon
radioactif diminue de moitié :
1
T=
Donc pour t = T ; N = N 0 ⇒ N 0 =No.e–λT ⇒ = e–λT ⇒ -Log2 = -λ.T soit Log 2
2 2 2
λ
c) Activité d’une source radioactive :
C’est le nombre de désintégrations produites par une sources radioactive pendant une seconde ,
elle est notée A et est exprimée en Becquerel (Bq) .

A = Ao.e–λt A0 = λ.N0 : activité à l’instant t = 0 .


A = λ.N : activité à un instant t > 0

Réactions nucléaires provoquées:


- La fission :
C’est une réaction au cours de laquelle un noyau lourd est bombardé par un neutron 01 n pour
A1 A2
donner deux noyaux mi-lourds Z1
X1 et Z2
X 2 avec libération de k neutrons selon l’équation suivante :

+ 01 n
A A1 A2
Z X Z1
X1 + Z2
X2

+k 01 n
La fusion :
C’est une réaction nucléaire au cours de laquelle deux noyaux légers fusionnent pour donner
un noyau plus lourd et éventuellement émission d’une autre particule .
- Energie solaire
- Bombe d’hydrogène
Sayadi .Taoufik Matériels de chimie

Bec bunsen
Support élévateur Becher

Tube à essai

Verre à pied Erlemmeyer


Eprouvette graduée Ballon à fond rond + chauffe Agitateur magnétique
ballon

PH - 3.00
mètr
e Entonnoir
Fiole jaugée
pH-métre
Burette graduée + Pissette d’eau
support élévateur

Pro pipette

Pipette graduée
Pipette jaugée Pipette à deux traits de
jaugées
Cinétique chimique
Rappel
Soit la réaction chimique d’équation : a A + b B cC + dD
Avec a, b, c, et d sont des coefficients stœchiométriques

n A nB n A nC nD
• Si 〉 ou ( ) initial 〉 = le réactif A est en excès
a b a c d
n A nB nB nC nD
• Si
〈 ou ( )initial 〉 =
b c d
le réactifs B est en excès

ab
Définitions
- Avancement d’une réaction :
L’avancement x d’une réaction est une grandeur qui permet de suivre l’évolution des quantités de
matière présentes à chaque instant dans un système chimique. Il s’exprime en mol
- Tableau d’avancement d’une réaction chimique :

aA + bB cC + dD
Etat du système Avancement Quantité de matière
Initial 0 no(A) no(B) 0 0

Intermédiaire x no(A) – ax no(B) - bx cx dx

Final xf no(A) - axf no(B) - bxf cxf dxf

n0 ( A) − n( A) n ( B ) − n( B) n (C ) n( D )
x = = 0 = =
a b c d
Vitesse moyenne d’une réaction:
- La vitesse moyenne d’une réaction entre deux instants t1 et t2 notée Vmoy ( t1, t2 ) est définies
∆x x (t1 ) − x (t 2 )
par : Vmoy ( t1, t2 ) = = mol.s-1
∆t t 2 − t1
Remarque : Vitesse volumique moyenne d’une réaction
1
VV moy ( t1, t2 ) = Vmoy ( t1, t2 ) mol.L.s-1
V
Vitesse instantanée d’une réaction :
V(t) = tlim Vmoy ( t1, t2 )
2 →t1

dx
V(t) = ( mol.L-1.s-1 )
dt
Remarque : Vitesse volumique instantanée d’une réaction
1
VV ( t ) = V( t ) ( mol.L.s-1 )
V
x
1 dx d ( ) dy
= ( )= V = avec y est l’avancement volumique
V dt dt
dt

1 d [ A] 1 d [ B] 1 d [C ] 1 d [ D]
VV ( t ) = - = - = =
a dt b dt c dt d dt

Notion d’équilibre chimique


- L’avancement maximale d’une réaction chimique notée xm est la valeur de son avancement
final xf si le système chimique où elle se déroule évolue jusqu’à la disparition du réactif
limitant.
- Le taux d’avancement final noté τf d’une réaction chimique :
Avancement final xf
τf = =
Avancement max imal x m
Remarque :
- τf = 1 la réaction est totale
- τf < 1 la réaction est limitée
- Un système chimique est en état d’équilibre si : xf < xm ⇔ τf < 1

Loi d'action de masse


Condition d’évolution spontanée
Loi d’action de masse généralisé:
(1)
Pour l’équation chimique : a A + b B cC+dD
(2)
On associe la fonction des concentrations notée π et définie par :
[ C] ct .[ D] dt
π(t) =
[ A] at .[ B] bt

A l’équilibre dynamique , la fonction π prend une valeur constante notée : K ( ou πéq )


appelée constante d’équilibre qui ne dépend que de la température .
[ C] céq. .[ D] déq.
K = π éq.dyn.=
[ A ] aéq . .[ B] béq.
Conditions d’évolution spontanée :
- Si π < K , la réaction directe (1) est possible spontanément .
- Si π > K , la réaction inverse (2) est possible spontanément .
- Si π = K la composition du système ne varie plus , on dit que le système a atteint un état
chimique .
Estérification - hydrolyse
- L’estérification et l’hydrolyse sont deux transformations chimiques inverse l'une de l’autre se
produisent simultanément et se limitent mutuellement .
schéma : RCOOH + R’OH RCOOR’ + H2O
Estérification Acide Alcool Ester Eau

schéma : RCOOR’ + H2O RCOOH + R’OH


Hydrolyse Ester Eau Acide Alcool

- Caractères de la réaction : lente , limitée et athermique


On associe à chaque réaction la fonction des concentrations notée π et définie par
[ ester ] t .[ eau ] t [ acide ] t .[ alcool ] t
πest (t ) = πhyd.(t) =
[ acide] t .[ alcool ] t [ ester ] t .[ eau ] t
A l’équilibre dynamique , la fonction π prend une valeur constante notée Kest. ( ou πéq.dyn. ) [ Khyd.
( ou πéq.dyn. ) ] appelée constante d’équilibre relative à l'estérification [l’hydrolyse ].
[ ester ] éq. .[ eau ] éq. [ acide] éq. .[ alcool] éq.
Kest. = πéq.. = Khyd. = πéq.. =
[ acide] éq. .[ alcool] éq. [ ester ] éq. .[ eau ] éq.
1
Remarques : Kest. . Khyd. = 1 ⇒ Khyd. = .
K est .
- La constante d’équilibre K ne dépend ni de la température ( réaction athermique ) ni de la
composition initiale du mélange.
Conditions d’évolution spontanée :
- π < K ⇒ la réaction directe est possible spontanément.
- π > K ⇒ la réaction inverse est spontanément.
- π = K Le système est en équilibre chimique.

Loi de modération :
La pression , la concentration d'un constituant et la température sont des variables pouvant
perturber un système en équilibre chimique sont appelés facteurs d’équilibre.
Enoncé :
Toute modification d'un facteur d'équilibre sur un système entraîne son évolution vers un nouvel
état d'équilibre qui s'effectue dans le sens qui s'oppose aux causes qui lui ont données naissance de
façon à modérer les effets.
Coséquences
- Si une perturbation tend , à température constante , à augmenter ( à diminuer ) la pression
d’un système initialement en équilibre dynamique , ce système se déplace dans le sens de la
réaction qui tend à diminuer
( augmenter ) la pression : c’est-à-dire qui diminue ng ( qui augmente ng ). ng : le nombre total de
moles gazeux
- Si une perturbation tend , sous pression constante , à élever ( abaisser ) la température
d’un système ferrmé initialement en équilibre dynamique , ce système évolue dans le sens de la
réaction qui tend à abaisser
( augmenter ) la température : le sens de la transformation endothermique ( exothermique ).
- Si une perturbation tend , à température constante , à augmenter ( diminuer ) une molarité
dans un système ouvert initialement en équilibre dynamique , le système évolue en se déplaçant
dans le sens de la réaction qui tend à diminuer ( augmenter ) cette molarité .
Les acides et les bases

Constante d’acidité Ka et pKa :


Soit la réaction : AH + H2O A- + H3O+ .
Les couples mis en jeu au cours de cette réaction sont : (AH/A-) et (H3O+/ H2O) .
La constante d’équilibre de cette réaction particulière est appelée constante d’acidité et notée Ka .

Ka =
[ A - ] .[ H 3O + ]
[ AH ] ( Ka ne dépend que de la température ) .

pKa = -logKa ⇔ Ka = 10-


On définit : pKa

Constante de basicité Kb et pKb :


Soit la réaction : B + H2O BH+ + OH- .
Cette réaction met en jeu les deux couples (BH+/B) et (H2O/ OH-) .
La constante d’équilibre de cette réaction particulière est appelée constante de basicité et notée
Kb .
Kb =
[ BH + ].[ OH - ] ( Kb ne dépend que de la température ) .
[ B]

On définit, pKb = -logKb ⇔ Kb = 10 -


pKb
Relation entre Ka et Kb pour un couple acide/base :
Ka . Kb = Ke pKa + pKb = pKe pKe = -logKe ⇔ Ke = 10-
pKe

Ke = 10-14 à 25° C pKe = 14 à 25°C .


pH des solutions aqueuses :
La concentration C est comprise entre 10-6 mol.L-1 et 10-1 mol.L-1

- pH d’une solution aqueuse d’un monoacide fort :


Pour une solution d’un monoacide fort dont la concentration initiale est Ca , on a :
pH = - log Ca
soit Ca = 10-pH .
- pH d’une solution aqueuse d’un monoacide faible :
Pour une solution d’un monoacide faible dont la concentration initiale est Ca , on a :
1
pH = ( pKa - log Ca)
2 soit Ca = 10pKa – 2 pH .
- pH d’une solution aqueuse d’une monobase forte :
Pour une solution d’une monobase forte dont la concentration initiale est Cb , on a :

pH = pKe + log Cb
soit Cb = 10pH – pKe .
- pH d’une solution aqueuse d’une monobase faible :
Pour une solution d’une monobase faible dont la concentration initiale est Cb , on a :
1
pH = ( pKa + pKe + log
2 soit Cb = 102pH – pKa – pKe .
Cb)
Comparaison de la force des acides et celle des bases :
- Selon la valeur de Ka ( Kb ) ; pKa ( pKb )
Un acide est d’autant plus fort que la valeur de sa constante d’acidité Ka est grande et que la
valeur
de son pKa est faibl²e .
Plus un acide est fort plus sa base conjuguée est faible .
- Une base est d’autant plus forte que la valeur de sa constante de basicité Kb est grande et que
la valeur de son pKb est faible .
Plus une base est forte , plus son acide conjugué est faible .

- Selon la concentration initiale :


- A pH égaux , l’acide le plus fort est celui qui correspond à la concentration initiale la plus faible .
- A pH égaux , la base la plus forte est celle qui correspond à la concentration initiale la plus
faible .
- Selon la valeur du pH :
A concentrations égales, l’acide le plus fort est celui de la solution dont le pH est le plus faible .
A concentrations égales, la base la plus forte est celle de la solution dont le pH est le plus grand .
Force d’un acide – Force d’une base :
- Cas d’un acide :
Pour connaître la force d’un acide , il suffit de calculer [H3O+] = 10-pH et la comparer à C :
Si [H3O+] < C ( τf < 1 ) ⇒ L’acide est faible ; Si [H3O+] = C ( τf = 1 ) ⇒ L’acide est fort .
- Cas d’une base :
Ke
Pour connaître la force d’une base , il suffit de calculer [H3O+] = 10-pH , puis [OH-] = [H + ] et la
3O

comparer à C .
Si [OH-] < C ( τf < 1 ) ⇒ La base est faible ; Si [OH-] = C ( τf = 1 ) ⇒ La base est forte .
Effet d’une dilution sur le pH d’une solution :
- La dilution d'une solution acide entraîne l'augmentation de son pH
- La dilution d'une solution de base entraîne la diminution de son pH
Les réactions acide - base
Dosage d’un acide fort par une base forte Dosage d’une base forte par un acide fort


PH initial >7
PH initial 7 Equation de la réaction
H3O + + OH – 2H2O
Equation de la réaction -La réaction du dosage est totale
H3O + + OH – 2H2O K=1/([ H3O +][ O H -]) =(1/Ke)>>>1
- La réaction du dosage est totale
K=1/([ H3O +][ O H -]) =(1/Ke )>>>1 - La courbe possède un seul point d’inflexion
- A l’équivalence
- La courbe possède un seul point d’inflexion PHE=7 (solution neutre)
nA = nB
- A l’équivalence
PHE = 7 (solution neutre) CBVB= CAVA éq
nA = nB
CAVA= CBVB éq
Acide fort
Base forte

Base forte
Acide fort
PH 9.00
-
PH 3.00
-

pH pH

0 0
0 vb 0 va
III Dosage d’un acide faible par une base forte IV Dosage d’une base faible par un acide fort


PH initial >7
Equation de la réaction
PH initial 7 B + H3O + BH ++ H2O
Equation de la réaction *La réaction du dosage est totale
AH + OH – H2O+ A- K=[BH +]/([ B][ H3O +]) = (1/Ka)>>>1
*La réaction du dosage est totale *La courbe possède deux points d’inflexions
K=[A- ]/([ AH][ O H -]) = (Ka/Ke )>>>1 A l’équivalence
*La courbe possède deux points d’inflexions PHE <7(solution acide)
A l’équivalence PHE = ½(pKa - ℓogC’).
PHE >7(solution basique) C’ étant la concentration de l’acide BH + et
PHE = ½(pKa + pKe + ℓogC’). Ka sa constante d’acidité
C’ étant la concentration de la base A- et CBVB= CAVA éq
Ka la constante d’acidité de son acide conjugué Remarque
AH. Au demi point d’équivalente : VA=(VAE/2)
CAVA= CBVB éq PH=pKa
Remarque La solution obtenue est dite solution tampon
Au demi point d’équivalente : VB=(VBE/2)
PH=pKa
La solution obtenue est dite solution tampon Acide fort

Base forte

Base faible

Acide PH 9.00
-
faible
PH 3.00
pH - pH

pKa

0 0 VaE
0 vb 0 va
Les piles

- Schéma de la pile
V

lame pont salin lame M2


M1

solution contenant M12+ solution contenant M22+


(C1) (C2)
- Le symbole de cette pile est : M1│ M12+ (C1) ll M22+ (C2) │ M2 .
- L’équation chimique associée s’écrit : M1 + M22+ M12+ + M2 .
La f.e.m. E est définie comme étant la d.d .p. entre la borne de droite et la borne de gauche :
E = Vborne droite - Vborne gauche ( en circuit ouvert )
- Si la borne de droite est le pôle (+) : E > 0 .
• M2 pôle ( + ) M1 pôle ( – ) .
• Les électrons circulent de M1 M2 .
• Le courant circule de M2 M1
• La réaction possible spontanément est la réaction directe .
- Si la borne de droite est le pôle (-) : E < 0 .
• M2 pôle ( - ) . M1 pôle ( + ) .
• Les électrons circulent de M2 M1
• Le courant circule de M1 M2 .
• La réaction possible spontanément est la réaction inverse .
L’expression de E est donnée par la formule de Nernst :
[ M 12+ ] C 1
E= E° - 0,03log = E° - 0,03log
[M 2 ]
2+ C 2

E° : f.e.m. normale ( f.e.m. lorsque ∏ = 1 c.à.d. [M12+] = [M22+] )

Lorsque la pile est usée ( ne débite plus de courant ) , on atteint l’équilibre dynamique :
0,06 0,06 n.E° KnE =
∏ = K et E = 0 ; d’où : 0 = E° - log K⇒ log K = E° ⇒ log K = 0,06 soit °
n n 10 0 , 06
- Rôle du pont salin
- Assure la neutralité électrique des deux solutions
- Assure la fermeture du circuit
- Remarques :
- Au lieu d’utiliser un pont salin , on pourrait séparer les deux solutions en utilisant une paroi
poreuse
- La réaction redox spontanée ne se produit que lorsqu’on relie les deux électrodes par un
conducteur ohmique

Pile permettant de mesurer le potentiel normal d’électrode d'un coupleM2+ /M [ E°( M2+ / M )]

V
fil de platine
pont salin Métal M
H2 (g)
= 1 atm
Plaque de
platiné
solution d’acide [H+] = solution contenant M2+
1M ( 1M)
Potentiel rédox d’un couple Ox / Red
Définition : Le potentiel rédox d’un couple Ox / red noté EoOx / Red est la f.e.m de la pile constitué
par l’électrode normale à hydrogène ( E N H ) placé à gauche et la fonction des concentration π =
1

Comparaison des pouvoirs oxydants ( ou réducteurs ) des couples rédox :


- Plus E°( M2+ / M ) est grand , plus les cations M2+ sont oxydants .
- Plus E°( M2+ / M ) est faible , plus le métal M est réducteur .
- De deux couples rédox M12+ / M1 et M22+ / M2 , celui qui a le potentiel d’électrode
normal le plus grand renferme l’oxydant le plus fort ( donc le réducteur le plus faible )

 Si les concentrations de deux oxydants égales


- Si E0 > 0 la réaction évolue spontanée dans le sens direct
- Si E0 < 0 la réaction évolue spontanée dans le sens inverse

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