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La déforestation

1. La définition
2. Les causes de la déforestation
3. Les conséquences de la déforestation
4. La situation au monde et la lutte contre la déforestation
5. La situation au Kazakhstan. La lutte contre la déforestation

La déforestation est le phénomène de régression des surfaces couvertes de forêt. C’est un


phénomène puissant, qui touche toutes les forêts tropicales, en particulier en Amazonie, en
Afrique équatoriale et en Asie du Sud-Est. On dit “déforestation” quand la réduction du couvert
forestier a une densité inférieure à 10 % à l’hectare.
On distingue deux types des causes de la déforestation:
1) causes biotiques et abiotiques;
2) causes purement anthropiques.
Les causes de premiere type sont les catastrophes naturelles (les tempêtes, les périodes de
sécheresse), quelles se passent plus souvent à cause des conséquences des rejets humains de gaz
à effet de serre, des éventuels changements climatiques. Ces causes sont abiotique. Parmi les
causes biotic on distingue les maladies et les attaques d'insectes, que aussi se passent très
fréquent.
Les causes anthropiques sont les incendies, l'utilisation agricole des surfaces, la pollution
atmosphérique, l'exploitation des ressources forestières. Il y a des causes des incendies naturelles
(foudre, éruptions volcaniques), mais les causes essentielles des incendies contemporains sont
anthropiques. Afin que faire les surfaces utile pour agriculture les gens brûlent les forêts. La
pollution atmosphérique est provoqué par les activités humaines et ses déchets. La derniere cause
de ce type l’utilisation des arbres comme le combustible. Par conséquant les causes de premiere
et seconde type ont la corrélation.
La disparition des forêts exerce une influence sur les sols, la biodiversité, le cycle de l'eau, le
climat et la vie des populations locales.
L’une des principales conséquences de la destruction massive de la terres forestiers est donc la
dégradation et l’érosion des sols. Un sol non protégé par une couverture végétale est vite érodé,
rongé, usé par la pluie et le vent.
La déforestation cause la destruction d'habitats de milliers d'espèces animales et végétales,
souvent condamnées à disparaître. Elle est aussi un facteur de fragmentation écopaysagère qui
diminue la résilience écologique des forêts.
Les forêts ont une action importante sur le cycle de l'eau, notamment avec
l'évapotranspiration. Les arbres contribuent plus que le reste de la flore au phénomène
d'évapotranspiration et ce qui influence la pluviométrie. Ils crééent une hygrométrie locale
importante en zone tropicale. Leurs racines vont chercher l'eau jusqu'à plusieurs dizaines de
mètres de profondeur, ou de distance.
La déforestation provoque une modification du climat à l'échelle mondiale aussi bien qu'à
l'échelle locale. La forêt absorbe la lumière, là où le sol nu renvoie l'énergie du soleil vers
l'atmosphère. La température ambiante moyenne peut localement augmenter de plus de 10 °C
après une déforestation en zone tropicale. Ce réchauffement local modifie la pression
atmosphérique, qui elle-même influe sur le déplacement des masses d'air et des cellules de
tempêtes. Les cycles pluviométriques sont donc modifiés à l'échelle mondiale, provoquant
sécheresse et inondations anormales. Si les forêts représentent 40% de la quantité de carbone de
la biomasse sur Terre, on comprend que leur dégradation puissent faire doubler le taux de CO2
de l'atmosphère. Bien que les arbres absorbent jusqu'à 20 % de CO2 en plus du fait même de
l'augmentation du taux de CO2 atmosphérique, la déforestaiton rejette 1,1 Gt de carbone chaque
année. L'effet sur le réchauffement climatique est donc considérable.
On peut aussi parler de l’influence de la déforestation sur la mode de vie traditionnel des
populations locales. Disparition de patrimoines culturels liés à la forêt, et souvent la mort des
populations autochtones : au vingtième siècle, au moins 90 tribus dépendantes de la forêt ont
disparu avec leur langue, leur savoir et leur culture.
Selon la FAO, environ 13 millions d’hectares de forêts disparaissent annuellement sur Terre.
C'est l'équivalent de la surface de l'Angleterre qui disparaît annuellement, soit 1 terrain de
football chaque seconde. C'est l'équivalent en surface de 86% de la forêt française qui disparaît
ainsi chaque année.
La déforestation est ancienne en Europe, où les grands défrichements datent de l'Antiquité
(dans les régions méditerranéennes) et du Moyen Âge, mais continuent pour faire place à
certains équipements, autoroute, urbanisation, réservoirs hydro-électriques, aménagements pour
les sports d'hiver, etc. À l'heure actuelle, ce sont surtout les forêts tropicales qui souffrent de ce
phénomène de déforestation, soit pour des raisons de développement économique, comme en
Amazonie, en Asie du sud-est ou en Sibérie, soit par surexploitation des ressources en bois
tropicaux.
En 2006, bien qu’il n’y ait toujours pas de convention internationale sur la Forêt (le principal
échec de Rio), plus de 100 pays avaient institué un programme forestier national, incluant
généralement un volet protection (bien que les programmes portent encore essentiellement sur le
développement de l’exploitation du bois) et parfois un volet conservation (ou restauration) des
sols, de l’eau, de la diversité biologique et d’autres richesses et services environnementaux. Ces
programmes quand ils existent sont peu respectés dans les pays très pauvres ou ceux subissant
des troubles civils ou afflux de réfugiés de pays voisins.
Il resterait en 2006 environ 4 milliards d’hectares plus ou moins boisés sur la planète, soit
environ 30 % des superficies émergées. De 1990 à 2005, 3 % de la forêt a disparu, (- 0,2 % par
an) selon la FAO. De 2000 à 2005, 57 pays ont signalé un accroissement de leur taux de
boisement (mais s’agit souvent de plantations industrielles (eucalyptus, peupliers, résineux,
palmiers à huile) de peu d’intérêt pour la biodiversité). 83 pays ont reconnu que leur forêt
reculait. La perte nette serait de 7,3 millions d’ha/an (soit 20 000 hectares/jour). Les 10 pays les
plus riches en forêts représentent à eux seuls 80 % des forêts primaires de la terre, dont
l’Indonésie, le Mexique, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et le Brésil. Ce sont aussi ceux qui ont
subi la déforestation la plus intense et rapide de 2000 à 2005, en dépit de plantations de forêts
secondaires commerciales. L’Asie de l’Est qui avait perdu la plupart de ses forêt a enregistré le
principal accroissement suite aux centaines de millions d’arbres plantés en Chine (mais ce sont
de jeunes boisements et non des forêts au sens écologique du terme) et ces accroissements ne
compensent pas les taux élevés de déforestation d’autres zones. Globalement la déforestation
s’est encore accélérée en Asie du Sud-Est entre 2000 et 2005. C’est cependant en Afrique et en
Amérique latine/Caraïbes que la forêt recule le plus ; l’Afrique représente encore 16 % de la
superficie boisée totale, mais elle a perdu plus de 9 % de ses forêts entre 1990 et 2005, pendant
que l’Europe et l’Amérique du Nord en important massivement des bois exotiques ont pu
accroître leurs superficies forestières dans le même temps. New Scientist a publié une étude sur
les 50 pays les plus boisés : 22 présentaient en 2006 une nette reforestation. La situation au
Brésil et en Indonésie est préoccupante, tandis que la Chine crée la surprise : depuis 2002, on y a
replanté une surface équivalente à celle de la Californie.
La déforestation est aussi une cause d'apparition et de diffusion de maladies émergentes.
On suggérait en 1998 que près de 10 pour cent des espèces d'arbres connues, soit environ 7
000 espèces, sont menacées d'extinction à court ou moyen terme (essentiellement en zone
tropicale), et pour chaque espèce, c'est une richesse génétique plus grande encore qui est perdue.
L’état des forêts au Kazakhstan inquiéte les savants. Sur la base des chiffres officiels les forêts
occupent près de 4% de territoire kazakhstanais. La dégradation des territoires forestières donc
inflence négativement la situation écologique: ce processus detruit l'habitats de rares espèces
végétales et milliers d'espèces animales.
Les causes principals sont les activités humaines et ses déchets, les incendies et coupage des
arbres. La disparition des forêts dans l’est ainsi sont causé par la production des métals comme le
plomb et le zinc tandis que la cause général de la disparitiondes forêts vestiges (forêt à bande) est
les incendies et coupage des pins. Par example, à partir de 1990 jusqu’à 1999 on compte en
moyenne 1110 incendies chaque année. La plus grande partie de ces incendies (71,5%) a été
causé par les activités humaines.

Outre cela, à partir de 1997 jusqu’à 2000 on a coupé près de 50000 m 3 des pins pour
l’utilisation des arbres comme le combustible ou comme les matières premières.
Par conséquent, la situation écologique est influencé par ces actions fortement. Il y a trois
forêts vestiges (à bande) au monde: au Kazakhstan, en Russie et au Canada; mais seulement la
forêt au Kazakhstan est mis en danger de la disparition. Les habitants des cette forêt donc sont
menacé: des espèces animaux et vegetaux sont privé d’habitat et nourriture. Les forêts au
Kazakhstan sont habitat de 70 espèces quels sont inclut au Livre Rouge.

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