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La contribution la plus bénéfique pour les traitements de l'hyperthermie oncologique sera

basée sur le renforcement de l'efficacité des autres modalités de traitement (radiothérapie,


chimiothérapie, radiochimiothérapie, la thérapie génique, la thérapie immunitaire, etc).
L'utilisation de l'hyperthermie comme un agent modificateur de dose-réponse est en particulier
l'augmentation du ratio thérapeutique, c'est à dire une efficacité accrue, sans toxicité.

L’Hyperthermie et son utilisation en Oncologie


(Fait partie des traitements utilisés en Europe)
Description de l'hyperthermie

En oncologie, la génération d'une température plus élevée à une tumeur impliqués région du corps est
appelé hyperthermie. Il existe une variété de gammes de température allant de 39 à 40 ° C à des
températures aussi élevées que 80 - 90 ° C, et par conséquent un certain nombre de techniques pour
inciter ces températures dans des conditions bien contrôlées.

La température est un paramètre très conservée et important dans tous les systèmes vivants. En
mammifères, notamment chez l'homme, une gamme étroite de 37,0 à 37,5 ° C est tenté d'être
maintenue par le règlement. Dans cette gamme, les processus complexes cellulaires et
physiologiques travaillent plus efficacement. Dans des conditions de stress, par exemple maladies
infectieuses, la fièvre est une réaction de l'organisme afin de mieux traiter avec les attaques
extérieures.

Durant le passé le long des millénaires, les médecins ont à maintes reprises tenté d'utiliser les
élévations de température artificiels pour le traitement de divers types de maladies, par exemple par
induction de la fièvre. Également pour les maladies tumorales, dans des cas anecdotiques un effet
bénéfique n'a été trouvé. En raison de la complexité des interactions, les tentatives étaient souvent
trop vague pour être réellement efficace.

Comme la recherche en biologie moléculaire est en croissance constante, nous reconnaissons qu'un
grand nombre de processus intracellulaires exister avec une température spécifique des
comportements dépendants. On a trouvé diverses interactions dans le laboratoire qui ont un grand
potentiel pour être utile dans le traitement du cancer.

Parmi ces mécanismes, il existe des preuves de


- Amélioration des effets anti-tumorale de divers médicaments (également cytostatiques) et
rayonnement (généralement dans le 40 - 43 ° C)
- Induction des processus immunologiques (39 - 41 ° C, gamme de fièvre)
- Induction de l'expression génique et la synthèse des protéines (40 - 42 ° C)
- Influencer le microenvironnement tumoral d'une manière qui rend la tumeur plus accessibles pour
certaines thérapies

Bien sûr, il ya toujours un effet cytotoxique de la chaleur par elle-même, généralement à des
températures élevées (plus de 43 ° C). Cet effet est principalement exploité dans thermoablative
interventions.

Toutefois, la contribution la plus bénéfique pour les traitements de l'hyperthermie oncologique


sera basée sur le renforcement de l'efficacité des autres modalités de traitement
(radiothérapie, chimiothérapie, radiochimiothérapie, la thérapie génique, la thérapie
immunitaire, etc).

L'utilisation de l'hyperthermie comme un agent modificateur de dose-réponse est en particulier


l'augmentation du ratio thérapeutique, c'est à dire une efficacité accrue, sans toxicité.

Source : ESHO | Homepage


Les nouveaux développements de l'hyperthermie en cancérologie

Résumé / Abstract

Il est maintenant démontré qu'une hyperthermie modérée entre 40 et 45 °C permet de potentialiser les effets de
la radiothérapie en augmentant le taux de contrôle tumoral local. Les progrès technologiques récents permettent
de traiter des tumeurs profondes par des ondes électromagnétiques en utilisant des IRM ouvertes pour mesurer
la température.

En Allemagne et en Hollande, l'hyperthermie est un standard pour le traitement des cancers du col utérin et de
certains sarcomes. De nombreux essais cliniques européens sont en cours et un programme européen
d'excellence, Eurotherm, est proposé. L'utilisation de liposomes thermosensibles comme vecteurs d'agents
chimiothérapiques ou de thérapie génique sont en évaluation aux États-Unis. En France, ces techniques ne sont
pas appliquées.

Les seules évaluations dans ce domaine se limitent à l'hyperthermie superficielle par micro-ondes, à l'ablathermie
par radiofréquences ou par ultrasons focalisés, ainsi qu'à l'hyperthermie localisée par circulation intrapéritonéale
ou par circulation extracorporelle au niveau des membres. Il nous semble important d'envisager une évaluation
clinique des nouvelles techniques d'hyperthermie profonde par focalisation d'ondes électromagnétiques, sur
quelques sites cliniques français.
Revue / Journal Title
Cancer radiothérapie ISSN 1278-3218
Source / Source
Congrès
Congrès national de la Société française de radiothérapie oncologique No14, Paris , FRANCE (05/11/2003)
2003, vol. 7, SUP1 (167 p.) (11 ref.), pp. 55s-57s

Source : Les nouveaux développements de l'hyperthermie en cancérologie = New developments in oncologic


hyperthermia

Hyperthermie

Élévation locale ou générale de la température du corps, au-dessus du chiffre normal de 37-37,5°


Celsius (on parle de fièvre* quand elle traduit une maladie), l’hyperthermie a été depuis longtemps
proposée pour traiter les cancers. Ce chauffage était un moyen d’atrophier le sein droit des
Amazones*. Le papyrus médical égyptien Edwin*-Smith, vieux de près de quatre mille ans, rapporte
une tentative de traitement d’un cancer du sein* à l’aide d’une « tige chauffée ». Hippocrate* en fait
état dans ses aphorismes et, à sa suite, plusieurs médecins proposeront de « cautériser » certaines
tumeurs superficielles, mais il faut attendre le XIXe siècle pour que l’hyperthermie trouve réellement une
place dans le traitement des cancers, après Bichat pour qui « il est vrai que la fièvre soit un instrument
de guérison » et partisan de la « pyrétothérapie ».

À ce moment, des médecins observent des cas de régression, voire quelques guérisons*
d’authentiques cancers à la suite de grands états fébriles occasionnés par des infections*. On cherche
alors à créer des fièvres* artificielles, principalement à l’aide de toxines, dont la plus utilisée fut celle
de l’Américain Coley*. Des résultats inconstants et décevants, quelques accidents, l’arrivée en 1895
des rayons* X, qui allaient se révéler une arme majeure, plongent dans l’oubli ces techniques
d’hyperthermie généralisée.
Dans les années 1960-1970, à la lumière de solides études scientifiques, l’hyperthermie
anticancéreuse renaît de ses cendres.

Les chercheurs démontrent qu’une élévation thermique de 6 à 8° C au dessus de 37° C, maintenue


plusieurs heures, est toxique pour les cellules* de mammifères et donc pour les cellules tumorales.
Les cellules à pH bas, celles en phase de synthèse (S) du cycle* cellulaire ou celles vivant en milieu
appauvri paraissent plus sensibles à cette action toxique ; or ce sont les cellules les plus difficiles à
détruire par les rayonnements* ionisants. Les modes d’action respectifs de l’hyperthermie et de la
radiothérapie se révèlent donc complémentaires, tandis que des études en laboratoire montrent que
l’hyperthermie augmente l’efficacité de la radiothérapie*. Ce même effet potentialisateur s’observe
quand l’hyperthermie accompagne certains médicaments* de chimiothérapie*.

Les bases théoriques de l’hyperthermie en cancérologie sont donc prometteuses et les premiers
essais cliniques commencent dans les années 1970. Grâce à divers appareils, utilisant les micro-
ondes, les radiofréquences* ou les ultrasons, on parvient à chauffer de façon satisfaisante des
tumeurs superficielles et à améliorer les résultats de la radiothérapie associée, par exemple pour les
récidives locales de cancer du sein*. L’hyperthermie interstitielle, qui chauffe les tumeurs à l’aide de
sondes implantées et s’associe à la curiethérapie*, est aussi efficace; mais cette technique est limitée
par l’impossibilité d’implanter sondes ou antennes dans bien des tumeurs malignes. Les tumeurs
profondes, dans le thorax* ou l’abdomen*, échappent aux possibilités de l’hyperthermie, car aucune
technique ne permet à l’heure actuelle d’élever spécifiquement, de manière suffisante et homogène,
leur température. Cela limite l’impact global de l’hyperthermie en cancérologie.
Jean-Marc COSSET

SOURCE : HYPERTHERMIE

www.sfc.asso.fr . La Société Française du Cancer est régie par la loi de 1901. Créée en 1906, elle est
reconnue d’utilité publique depuis 1908.

LES INFRAROUGES LOINTAINS ET LA SANTE

Les infrarouges lointains : C’est quoi exactement ?

La lumière du soleil se compose de différentes longueurs d'onde qui sont combinées pour produire
"la lumière du jour" c’est ce que l’on voit chaque matin. La lumière infrarouge se situe dans les
longueurs d'onde inférieure du spectre. Elle n'est pas visible à l’œil humain, mais c’est ce qui
produit la chaleur que nous ressentons durant les belles journées ensoleillées. Les rayons
infrarouges varient dans leurs longueurs d'onde et sont classés par catégories comme suit : rayons
courts, rayons moyens et rayons lointains.

La longueur d’onde du rayonnement infrarouge lointain est celle qui préside à toute croissance et à
tout développement de vie dans la nature. Elle correspond à celle émise majoritairement par le
corps humain.
Ils ont l'habileté de pénétrer profondément dans des tissus du corps humain. Une fois pénétrés
dans les tissus de l’organisme, ceux-ci activent les molécules qui causent la résonance des
particules, augmentant ainsi la chaleur.

Les médecins allemands ont utilisé et développé indépendamment une forme de thérapie
d’infrarouge pour tout le corps depuis plus de 80 ans. Des chercheurs chinois et japonais depuis
plus de 25 ans ont rapporté plusieurs découvertes provocatrices après avoir complété des
recherches poussées sur les traitements à l’infrarouge. Au Japon, il existe une société d’infrarouge
composée de médecins et physiothérapeutes impliqués dans la recherche sur l’infrarouge.
La NASA (Agence nationale d’aéronautique et de l’espace) a ouvert la voie à la recherche moderne
sur l’usage de l’infrarouge et cette recherche a permis la création et le développement de produits
qui ont un effet surprenant sur la santé et le bien-être des gens.

Les rayons infrarouges et la santé :

Il a été démontré que des produits thérapeutiques pénètrent à travers les couches de la peau pour
atteindre les tissus en profondeur. Ils stimulent les micro-vibrations qui amorcent alors une
réaction thermique qui élève la température des tissus. Le corps réagit à ce phénomène en dilatant
les vaisseaux sanguins pour améliorer la circulation à tous les niveaux, ce qui revitalise les tissus et
contribue à leur réparation et leur régénération.

Cette source précieuse d'énergie peut aider votre corps à éliminer les toxines qui s'y
trouvent bloquées. L’énergie IRL augmente la chaleur du corps et ainsi brise les agglomérations
importantes de molécules d’eau en plus petits regroupements. Ainsi les toxines qui étaient
bloquées sont libérées. L’énergie infrarouge pénètre les tissus du corps jusqu’à une profondeur
d’environ 4 cm. Son énergie correspond à la propre énergie radiante du corps de sorte que près de
93% des ondes infrarouges qui atteignent la peau sont absorbées par les tissus. En ôtant les
résidus toxiques du corps, le fonctionnement les cellules augmente et s’améliore, ce qui améliore la
santé le bien-être général.

Diagramme démontrant que la chaleur causée par l’infrarouge lointain crée une résonance qui
sépare les molécules libérant ainsi les toxines emmagasinées dans le corps.

- Force et santé améliorées


- Réparation accélérée des cellules du corps
- Circulation sanguine améliorée
- Réduction du stress et de la fatigue musculaire
- Adoucissement de la douleur et raideurs articulaires (sans effets secondaires toxiques)
- Soulagement des spasmes musculaires
- Soulagement de la douleur en brisant le cercle vicieux spasme/douleur
- Augmentation de la circulation périphérique
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