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1) L’originalité du DP.
A) La déf° du DP.
2 critères existent.
2° Le critère non-pertinent : le
comportement.
1° La fonction expressive.
2° La fonction dissuasive.
3° La fonction punitive.
1° La régulation de la vengeance.
B) Le DP de l’ancien régime.
C) Le DP après 1789.
1° La loi.
2° Le rglt.
2° La Conv°EDH.
1° Le ctrl de la loi.
2° Le contrôle du règlement.
2 types :
la prescription de l’action publique : au bout
d’un certain délai, après la commission d’infraction,
il n’est plus possible de poursuivre l’auteur de
l’infraction. L’action publique s’éteint par
prescription. La ? se pose de savoir quel est le tps de
la répression. Pour les crimes, c’est 10 ans ; en
matière délictuelle, c’est 3 ans ; et pour les
contraventions, c’est 1 an. Législateur : continue
d’affirmer qu’en principe elles sont d’application
immédiate mais ce qui va tempérer, lorsque les
prescriptions ne sont pas acquises, les lois relatives
à la prescription de l’action publique et à la
prescription des peines sont applicables
immédiatement sauf quand elles auraient pour
résultat d’aggraver la situation de l’intéressé.
Principe abandonné par loi Perbène II du 9/03/2004 :
idée, si on a une loi qui augmente le délai de
prescription pour une infraction particulière, cette loi
sera plus grave, ça revient à faire une loi plus
sévère. Par conséquent, le législateur avait établit
cette distinction. Art 72-3 Loi Perbéne II a abrogé
cette situation.
Le principe est clair (art 113-2 Code pénal) qui pose deux
alinéas sur le principe de territorialité. C’est le fait de dire que
la loi pénale français est applicable aux infractions commises
sur le territoire de la République et un 2e alinéa qui dispose qui
l’infraction est réputée commise sur le territoire de la
République dès lors qu’un de ces faits constitutifs a eu lieu sur
son territoire. Le principe est simple. Toute infraction commise
en France doit être punie au regard de la loi pénale française.
On ne raisonne pas du tout de la nationalité des victimes ou des
coupables.
La France peut reconnaître des mariages polygamiques si
les mariages se sont faits à l’étranger puis viennent en France.
1 ) Le principe de personnalité.
2 ) Principe de réalité.
B ) La structure du comportement
infractionnel : infraction simple et complexe.
A ) L’infraction matérielle.
B ) L’infraction formelle.
II ) La tentative.
1 ) Le domaine de la tentative.
2° La définition du commencement
d’exécution.
a) La conception objective et
subjective.
b) La conception mixte de la
Jurisprudence.
III ) La complicité.
Elles st posées par l’art 121-7 Code pénal. Cet art exige
que l’on se rende complice d’un fait punissable puis que la
participation du complice revête des formes particulières et que
cette participation soit intentionnelle.
Deux choses :
Lorsqu’on lit l’art 121-7, il y a deux alinéas qui incriminent 2
formes d complicité différente. La 1ère est la complicité par
a) Exclusion de la répression.
2ex :
- Faits de l’infraction prescrite. Si le fait principal ne
peut plus être poursuivi, on ne peut pas poursuivre le
complice.
- L’amnistie qui est un mécanisme par lequel une loi
va enlever de façon rétroactive le caractère délictueux
d’un fait. C’est l’amnistie réelle (concerne la nature de
l’infraction et non pas la pers de son auteur).
b) Le champ de la répression.
B ) L’acte de complicité.
a) Un fait positif.
a) L’aide et l’assistance.
b) L’instigation.
i) La provocation.
3 ) La répression de la complicité.
a) La représentation exacte de la
réalité juridique et factuelle.
3 ) La ? de la preuve du dol.
A ) La causalité directe.
B ) La causalité indirecte.
i) La nature de l’obligation
violée.
3 ) Le domaine justificatif.
1 ) L’ordre de la loi.
II ) la légitime défense.
L’idée est l’art 122-7 qui dit que n’est pas pénalement
responsable la personne qui face à un danger qui la menace
elle même autrui ou un bien accomplit un acte nécessaire à la
sauvegarde de la personne ou du bien sauf si il y a
disproportion entre les moyens employés et la gravité de la
menace.
C’est un fait justificatif qui a été consacré par le législateur
dans le nouveau code pénal mais reconnu préalablement par la
jurisprudence. Ce fait justificatif traduit la nécessité de
commettre une infraction pour sauvegarder un autre intérêt.
Exemple pour rouler en voiture on voit un enfant qui
court et l’on franchis une ligne blanche pour préserver la vie de
l’enfant. On commet l’infraction pour sauver la vie de l’enfant. Il
faut faire attention a ne pas confondre la contrainte avec l’état
de nécessité.
L’acte est ici commis de façon volontaire et donc il ne faut
pas commettre la situation avec la personne qui est contraint
extérieurement a franchir une ligne continue (bourrasque de
vent).
L’hypothèse de la femme qui vole un pain dans une
boulangerie car elle a faim et veut nourrir sa famille et son
enfant ; ici il y a atteinte a la propriété pour sauver la vie de la
personne
Le radeau de la méduse : cela s’inspire de l’histoire
des personne qui s’entre mange car il n’y avait rien a manger.
Les survivant ont agit en état de nécessité.
A ) Le danger.
B ) L’acte justifié.
CHAPITRE 1 : LA MINORITE.
CHAPITRE 3 : LA CONTRAINTE.
Celle ci est prévue par l’art 122-2 Code pénal, dispose que
n’est pas pénalement responsable la personne qui a agit sous
l’empire d’une force ou d’une contrainte à laquelle elle n’a pu
résister.
1 ) L’irrésistibilité.
A ) Le principe.
2 ) L’imprévisibilité.