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Elle cite aussi les mesures d'exécution adoptées par les Etats à la suite des arrêts de la
Cour sur des litiges de sécurité sociale.
Ces arrêts sont de plus en plus nombreux et se caractérisent par une protection sociale
toujours plus large avec des répercussions importantes au niveau national.
La série « Dossiers sur les droits de I'homme » s'adresse aux spécialistes en droit
européen: des juristes, des chercheurs, et des étudiants en droit. Elle sert également
comme référence pour la mise en oeuvre de la Convention européenne des Droits de
I'Homme dans les pays signataires.
I. Introduction
Dans cette étude, Elisabeth Lambert-Abdelgawad présente une analyse des mesures
individuelles et générales adoptées par les Etats pour se conformer aux arrêts de la Cour
et aux procédures de contrôle du Comité des Ministres, rendues publiques dans des
résolutions (DH) spécifiques.
Celles-ci impliqueront généralement des changements dans la législation ou la
jurisprudence, mais aussi des mesures pratiques comme le recrutement de juges pour
résorber le retard judiciaire, la construction de centres de détention adaptés aux mineurs,
des mesures de formation pour la police.
Il existe une relation complexe entre les droits garantis par la Convention européenne
des Droits de l'Homme et les types d'ingérences et d'exceptions dont ils sont assortis. La
présente étude est consacrée à la jurisprudence qu'a fait naître la confrontation de
l'exercice des droits garantis aux articles 8 à 11 de la Convention et des limites qui y
sont prévues pour protéger soit l'intérêt général de l'Etat et de la société, soit les intérêts
des groupes sociaux ou d'individus distincts.
Par ailleurs, une table des matières détaillée et un index donnent au lecteur différentes
voies d'accès à cet ouvrage, qui devient ainsi un outil indispensable tant pour le
néophyte que pour le spécialiste plus expérimenté de la Convention.
Protocole no 1
Article 1 du Protocole no 1
Article 2 du Protocole no 1 – Droit à l’instruction
Article 3 du Protocole no 1– Droit à des élections
Protocole no 4
Article 1 du Protocole no 4
Article 2 du Protocole no 4
Articles 3 et 4 du Protocole no 4
Protocole no 7
Article 1 du Protocole no 7
Articles 2, 3 et 4 du Protocole no 7
Article 2 du Protocole no 7
Article 3 du Protocole no 7
Article 4 du Protocole no 7
Article 5 du Protocole no 7
L'abolition des châtiments corporels: Un impératif pour les droits de l'enfant en Europe
(2e édition) (2008)
ISBN 978-92-871-6268-7
L'abolition des châtiments corporels - Un impératif pour les droits de I'enfant en Europe
fait la lumière sur la question controversée des châtiments corporels infligés aux
enfants.
L'ouvrage aborde la question sous quatre angles différents: I'obligation, faite par la
législation et les principes relatifs aux droits de I'homme, d'interdire les châtiments
corporels infligés aux enfants, qui est définie par des conventions et accords régionaux
et internationaux; le statut des châtiments corporels dans les pays européens
d'aujourd'hui; les résultats des recherches récentes sur les effets et la prévalence de ces
châtiments, notamment la perception qu'en ont les enfants; et I'abolition des châtiments
corporels, processus qui passe par révolution du droit, des politiques et de I'opinion
publique.
Bien trop de pays acceptent que les châtiments physiques servent à sanctionner les
enfants, si bien qu'il peut être impopulaire pour les responsables politiques et les parents
de contester cette forme de violence très répandue. Cependant, le fait de frapper les
enfants, même légèrement, est une violation des droits fondamentaux de ceux-ci, à
savoir le droit de ne pas faire I'objet d'une peine ou d'un traitement dégradants et le droit
à une égale protection devant la loi.
La protection des minorités nationales est une question fondamentale pour le Conseil de
l’Europe et la Convention-cadre pour la protection des minorités nationales est l’une
des réalisations majeures en ce domaine. L’entrée en vigueur de la Convention-cadre, le
1er février 1998, fut en effet un événement capital, dans la mesure où celle-ci représente
le premier instrument multilatéral juridiquement contraignant consacré à la protection
des minorités nationales en général. Largement reconnue, elle a rapidement vu
s'accroître son nombre de ratifications.
Le but de ce recueil est d’offrir à toutes les personnes intéressées par la protection des
minorités nationales une compilation, facile à consulter, des textes fondamentaux
portant sur la Convention-cadre. Outre la Convention-cadre et son rapport explicatif, ce
recueil comprend des textes ayant trait au mécanisme de suivi en général et au comité
consultatif en particulier. On y trouve aussi l’état des signatures et des ratifications,
ainsi que les déclarations et les réserves formulées.
Point de Droit
Notre sélection
Point de vue - Point de droit : La CIA au-dessus des lois? Détentions secrètes et
transferts illégaux de détenus en Europe (2008)
ISBN 978-92-871-6418-6
Par ailleurs, la Commission européenne pour la démocratie par le droit apporte son
expertise juridique sur les principes généraux du droit international et la responsabilité
des Etats membres du Conseil de l’Europe qui auraient manqué, intentionnellement ou
par négligence, à leurs obligations.
La justice véritable dépend non seulement de l'aptitude des Etats à poursuivre les
auteurs d'un crime mais aussi de leur capacité à rétablir la situation des victimes. Depuis
plus de cinquante ans, le Conseil de l'Europe contribue à la construction d'un espace
juridique commun fondé sur le respect des droits de l'homme, la démocratie et l'Etat de
droit. La lutte contre la criminalité est au coeur de ces efforts.
Depuis les années 1980, le Conseil de l'Europe a intégré dans ses travaux le sort réservé
aux victimes et a produit et mis à jour une série d'instruments juridiques visant à aider
les Etats à répondre aux besoins des victimes.
Cet ouvrage étudie dans quelle mesure des normes communes ont été développées par
les tribunaux dans la mise en œuvre des droits de l’enfant, à la fois du point de vue de la
Cour européenne des droits de l'homme et du point de vue des arrêts des tribunaux
nationaux supérieurs des Etats membres du Conseil de l'Europe. Il présente une analyse
plus approfondie de la Charte sociale du Conseil de l'Europe et des rapports du Comité
pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants.
A travers la grille de lecture d'un système judiciaire développée par la CEPEJ, ce sont
des milliers de données quantitatives et qualitatives qui ont été collectées, traitées et
analysées.
Ce rapport, qui est destiné aux décideurs publics, aux praticiens du droit, aux
chercheurs, ainsi qu’à celles et ceux qui s’intéressent au fonctionnement de la justice en
Europe, offre des tableaux comparatifs et des commentaires pertinents dans des
domaines essentiels tels : les dépenses publiques consacrées au système judiciaire, le
système d’aide judiciaire, l’organisation des juridictions, les personnels judiciaires, les
durées de procédures, les notaires.
Dépêche AFP -Publication d'une vaste étude sur les systèmes judiciaires européens
08/10/2008 - 14:28
Cartes judiciaires redécoupées, budgets en hausse, progression de l'aide judiciaire et
généralisation de l'e-justice caractérisent les systèmes judiciaires européens, selon une
étude du Conseil de l'Europe publiée mercredi à Strasbourg.
Il constate que le budget alloué aux systèmes judiciaires (tribunaux, ministère public et
aide judiciaire) a augmenté en cinq ans.
Il a été en 2006 de 5,8 milliards d'euros au Royaume-Uni et Pays de Galles, de 4,08
milliards en Italie, de 3,54 en Russie et de 3,35 milliards en France.
Par habitant, il a été en 2006 de 106 euros en Allemagne, 99 au Royaume-Uni, 82 en
Belgique, 68 en Espagne et 53 en France, ces pays étant avec la Suisse, Monaco ou le
Luxembourg dans le haut du tableau.
Moins bien dotées, la Grèce alloue 30 euros, la Russie 25 euros, l'Ukraine 9 et la
Turquie 7 euros par habitant.
L'aide judiciaire, "une des clefs d'accès à la justice", a progressé en deux ans de 50%
dans les pays baltes et de 20% dans une dizaine d'autres pays dont la Belgique, le
Portugal ou la Slovaquie.
Cette aide est de 56,2 euros par habitant en Angleterre, de 21,1 aux Pays-Bas et de 16,5
en Suède contre 4,8 pour la France qui se situe devant la Belgique (4,1), l'Espagne (3,8)
ou le Portugal (3,4).
En France, plus de 5,3 millions d'affaires pénales ont été reçues par le ministère public
dont 3,7 ont été classées. Sur les 700.000 portées devant les tribunaux, plus d'un demi-
million se sont terminées par une sanction ou une mesure négociée
Ce livre répond, en partie, à la question de savoir si les pays choisissent une politique
intégrée concernant les substances plutôt qu'une politique unique pour chacune des
substances. La publication cherche également à déterminer la façon dont la société
civile, la pratique et la science influencent la formulation de la politique en matière de
drogues.
1. Synthèse
2. Contexte de l'élaboration de la Stratégie Nationale antidrogue de Chypre
3. République tchèque: politique en matière de drogues et lien avec les politiques en
matière de tabac et d'alcool
4. Historique des mesures et stratégies de prévention de l'alcoolisme et de la
toxicomanie en Estonie
5. Genèse, en France, d'une politique publique des drogues incluant les substances à la
fois licites et illicites
6. Vers une politique sur les substances psychoactives le cas de l'Allemagne
7. Le développement de la politique hongroise de lutte contre la consommation des
drogues et de l'alcool
8. Irlande: évolution des politiques de lutte contre les drogues et liens avec les
politiques de lutte contre l'alcoolisme et le tabagisme, selon le contexte, l'idéologie
politique et les données scientifiques
9. Passage des politiques spécifiques sur l'alcool, le tabac et d'autres drogues à une
politique unique sur les substances psychotropes: le cas du Luxembourg
10. Passage des politiques spécifiques sur l'alcool, le tabac et d'autres drogues à une
politique unique sur les substances psychotropes: le cas des Pays-Bas
11. Norvège: l'alcool et la politique de drogues
12. Politique polonaise de lutte centre l'alcool et les drogues
13. Des politiques individuelles sur la consommation d'alcool, de tabac et d'autres
drogues à une politique unique sur les substances psychoactives au Portugal
14. De politiques isolées en matière d'alcool, de tabac et autres drogues à une politique
globale sur les substances psychoactives: le cas de la Roumanie
15. Politique de la Slovénie en matière de drogues
16. Passer de politiques séparées en matière d'alcool, de tabac et de drogues illicites à
une politique en matière d'addictions: le cas de la Suisse
17 Stratégie de la Turquie
18. Les politiques relatives à l'alcool, au tabac et aux drogues illicites au Royaume-Uni
Le Conseil de l'Europe promeut et défend les droits de l’enfant en élaborant des normes
et des politiques, en veillant au respect de ces normes par les différents pays et en
lançant des actions de sensibilisation. Il aide, en outre, les Etats à concevoir des
stratégies globales de lutte contre toutes les formes de violence à l’égard des enfants. Le
présent ouvrage inventorie les travaux du Conseil de l'Europe dans ce domaine et
permet de mieux comprendre les processus qui ont conduit à ses multiples conventions,
recommandations, décisions, programmes, rapports et publications.
La justice véritable dépend non seulement de l'aptitude des Etats à poursuivre les
auteurs d'un crime mais aussi de leur capacité à rétablir la situation des victimes. Depuis
plus de cinquante ans, le Conseil de l'Europe contribue à la construction d'un espace
juridique commun fondé sur le respect des droits de l'homme, la démocratie et l'Etat de
droit. La lutte contre la criminalité est au coeur de ces efforts.
Depuis les années 1980, le Conseil de l'Europe a intégré dans ses travaux le sort réservé
aux victimes et a produit et mis à jour une série d'instruments juridiques visant à aider
les Etats à répondre aux besoins des victimes.
Préface
Conventions du Conseil de l'Europe
Convention européenne relative au dédommagement des victimes d'infractions
violentes (STE n° 116)
Rapport explicatif
Convention du Conseil de l'Europe pour la Prévention du Terrorisme (STCE n° 196)
Convention du Conseil de l'Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains (STCE
n°197)
Résolutions ministérielles
Résolution n°1 relative aux victimes d'infractions
Résolution n° 2 relatives a la mission sociale du système de justice pénale -justice
réparatrice
Résolution sur la prévention de la violence quotidienne en Europe
Rapport d'expertise
Victimes du terrorisme - Politiques et législations européennes: Tour d'horizon des
systèmes d'assistance aux victimes
Contacts
Institutions et organisations responsables pour les victimes
Quels sont les droits des personnes détenues par les Etats-Unis sur la base de
Guantánamo Bay? Quelle est la légalité de leur détention? Faut-il s'interroger sur un
développement des conventions de Genève et une évolution du droit international ?
Ce livre présente l'ensemble des arguments exposés par l'Assemblée, ainsi que l'étude
de la Commission de Venise, qui apporte son expertise juridique quant à la légalité de la
détention de personnes par les Etats-Unis à Guantánamo Bay et à la nécessité d'un
développement éventuel du droit international.
Partie 1:
La détention de personnes par les Etats-Unis à Guantanamo Bay
Rapports de I'Assemblée parlementaire
I. Droits des personnes détenues par les Etats-Unis en Afghanistan et sur la base de
Guantanamo Bay
Résumé
Texte adopté: Résolution 1340 (2003)
Exposé des motifs
A. Introduction
B. Statut et régime juridique
C. Tribunal militaire
D. Conditions de transfert et de détention
E. Conclusions et recommandations
Partie 2:
La nécessité éventuelle d'un développement des Conventions de Genève
Avis de la Commission européenne pour la démocratie par le droit (Commission de
Venise)
I. Introduction
VI. Droits et protection garantis par les Conventions de Genève et les droits de I'homme
A. Relation entre le droit international humanitaire et les droits de I'homme
B. Droits et protection conférés par le droit international humanitaire
C. Droits et protection conférés par le droit international des droits de I'homme
VII. Conclusion
Cet ouvrage traite des politiques pénales des Etats membres du Conseil de l'Europe et
réunit des exemples de pratiques prometteuses de certains pays qui pourraient en
stimuler d'autres, tout en rappelant que le transfert de telles pratiques doit toujours
prendre en compte les spécificités culturelles et juridiques des systèmes nationaux. Tous
les exemples cités dans le présent volume ont fait la preuve du grand impact que peut
avoir une politique pénale.
Les exemples de “bonnes pratiques” présentés sont ventilés suivant quatre grand
thèmes: la Prévention du crime (Chapitres 1-3), les Médiations et autres sanctions
collectives (Chapitres 4-10), le Système pénitentiaire (Chapitres 11-12) et la Procédure
pénale (Chapitre 13).
La plupart des auteurs sont membres du Conseil scientifique criminologique du Conseil
de l'Europe (CSC). Le CSC a invité les autres à apporter leur contribution au livre en
raison de leur profonde connaissance de la situation spécifique de leur pays.