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Cérémonial – Partie II : la messe lue

P a rt ie I I :
L a M esse L u e

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Cérémonial – Partie II : la messe lue

A . G é n é ra lit é s

C'est au début de ce millénaire que les messes privées commencèrent à se multiplier,


aidées en cela par la concentration de tous les textes du Saint Sacrifice en un seul livre : le
Missel Romain.

La messe lue est donc une simplification des messes solennelles connues dès l'origine
du christianisme : les chants disparaissent, les ministres sacrés ou inférieurs se font rares, une
petite chapelle latérale suffit. Mais la valeur du sacrifice est égale : l'immolation non
sanglante de Jésus-Christ se réalise par l'intermédiaire du prêtre humain lors de la
transsubstantiation du pain et du vin en Corps et Sang du Divin Maître.

Avec les messes lues, le Saint Sacrifice se renouvelle plus souvent, les grâces coulent
plus nombreuses sur l'humanité.

La messe lue peut être classée en deux types, semblables quant au service liturgique :

 la messe basse, où le célébrant et son enfant de chœur parlent à voix basse ;


 la messe dialoguée, à voix haute, entre le célébrant et les fidèles.

La messe basse n'est guère usitée actuellement que pour les messes privées dans les
couvents et les monastères.

La messe dialoguée, invention du siècle dernier, permet une participation plus réelle des
fidèles et a donc remplacé la messe basse pour toute cérémonie publique (en France).

1. Attitudes des fidèles

À la messe basse, les fidèles sont continuellement à genoux sauf pendant les évangiles
où ils se tiennent debout. Cette règle vaut aussi pour les clercs présents dans les stalles du
chœur.

Normalement, ils ne doivent rien répondre au célébrant, l'enfant de chœur s'en


chargeant.

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Cérémonial – Partie II : la messe lue

À la messe dialoguée, il n'en est pas de même. Plusieurs schémas sont possibles, aucune
loi positive ferme n'ayant été énoncée. Il faut alors s'efforcer de suivre la coutume locale en
usage. À titre d'indication, un canevas est donné ci-dessous.

Pour les dialogues, les fidèles peuvent dire toutes les réponses faites par le servant.

Les attitudes des fidèles pourront être :

o À l’entrée du prêtre : debout ;


o prières au bas de l'autel : à genoux ;
o de l'Introït à la collecte : debout ;
o pour l'Épître, le Graduel, l'Alléluia ou le trait : assis ;
o de l'Évangile à l'Oremus de l'offertoire : debout ; (sauf pendant l'Homélie :
assis) ;
o depuis l’Offertoire (juste après l’Oremus) jusqu'au Per omnia sæcula de la
Secrète : assis ;
o à la Préface et au Sanctus : debout ;
o au Canon, jusqu'au Per omnia sæcula : à genoux ;
o du Pater à l'Agnus dei : debout ;
o pour la Communion : à genoux ;
o au Dominus Vobiscum de la Postcommunion : debout ;
o à la Bénédiction finale : à genoux ;
o au Dernier Évangile : debout ;
o sortie du prêtre : debout.

Il importe surtout qu'il y ait unité et harmonie dans la récitation des prières. Si cela est
impossible, mieux vaut laisser au seul servant de messe le soin de répondre.

N. B. : En temps de pénitence. Il y a obligation pour le chœur de se mettre à genoux,


pendant les oraisons avant l’épître, depuis le Sanctus jusqu’à Pax Domini inclusivement, et
pendant les postcommunions : aux Messes fériales de l’Avent, du Carême, des Quatre-Temps,
des vigiles jeûnées (de fait ou de droit) (On excepte : la vigile de Noël, le Samedi Saint, la
vigile et les Quatre-Temps de la Pentecôte), et aux Messes de Requiem. A une messe
conventuelle basse, on se tient comme à la Messe chantée.

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Cérémonial – Partie II : la messe lue

2. Objets à préparer

Le servant de messe doit s'assurer que tous les objets du culte sont préparés :

 L’autel y placer :

o un conopée de la couleur du jour recouvre le tabernacle ;


o les canons sont dressés ;
o le porte missel est du côté épître avec le missel fermé, la tranche vers la croix ;
o les deux cierges des extrémités sont allumés (commencer par celui de l'épître).

 La crédence, y placer :

o les burettes remplies avec le vin et l'eau ;


o le manuterge plié les recouvrant ;
o la cupule pour le lavabo portant les burettes ;
o le plateau de communion retourné, face sur la nappe ;
o le carton des prières après la messe (ou un missel des fidèles) ;
o la clochette ;
o un ciboire à consacrer s'il le faut ;

B . L a m e s s e lu e à d e u x s e rv a n t s 1

1. Règles générales

Les deux servants doivent bien s’accorder dans la manière de répondre, dans les saluts,
les signes de croix, et autres cérémonies qui leur sont communes. Ils marchent côte à côte, le
plus souvent possible. Le premier est à droite, le second à gauche.

Pour passer l’un devant l’autre, le second précède toujours le premier.

Chaque fois qu’ils doivent passer devant le milieu de l’autel, ils font la génuflexion,
même si le Saint-Sacrement n’est pas dans le tabernacle. Si l’acolyte peut se déplacer sans
passer par le milieu de l’autel, il est inutile de venir faire la génuflexion.

1
En italique les changements à apporter lorsqu’il n’y a qu’un seul servant.

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Cérémonial – Partie II : la messe lue
Après une génuflexion au milieu de l’autel :

o s’ils vont dans la même direction : ils se retournent vers l’intérieur, l’un vers
l’autre.
o s’ils vont dans une direction opposée : ils se tournent simplement dans leurs
directions respectives.

 Ils sont généralement à genoux sur le plus bas degré (première marche) s’il y en a
plusieurs, ou sur le sol (in plano), s’il n’y a qu’un seul degré.
 Quand une des deux mains est occupée, ils posent l’autre étendue au-dessous de la
poitrine. Lorsqu’ils doivent agir d’une seule main, ils se servent de la main droite.
 Ils font les mêmes inclinations2 et les mêmes signes de croix que le prêtre, quand le
prêtre parle à voix intelligible pour les servants.
 Mêmes remarques pour la Messe basse avec un seul acolyte3.
 Pendant la Messe, se placer toujours du côté opposé au missel.
 En général : suivre ce qui est dit pour le 1° acolyte.

Aux Messes privées, l’acolyte a pour fonction de répondre au prêtre, mais il ne récite
pas avec le célébrant le Gloria, le Credo, le Sanctus et l’Agnus.

2. La messe

A) À la sacristie :

Le 1° acolyte aide le prêtre à revêtir les ornements, il se place à sa gauche et baise le


manipule et l’étole avant de les lui présenter.

Lorsqu’il est temps de partir, les acolytes saluent la croix et précèdent le prêtre à
l’autel.

En entrant dans l’église, ils prennent de l’eau bénite et le 1° en présente au prêtre (le 2°
se signe tout seul). Ils soulèvent le bas de l’aube, s’il y a des marches à monter.

2
Les inclinations se font :
- à genoux, un degré moindre que le célébrant : les inclinations profondes deviennent moyennes, les minimae font exception
et ne disparaissent pas ( c’est le cas pour les mots : Jesus, Orémus, etc).
- debout, au même degré que le célébrant.
3
En italique : les changements à apporter lorsqu’il n’y a qu’un seul servant.

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B) Prières au bas de l’autel :

1. En arrivant à l’autel, les deux acolytes font ensemble la génuflexion pendant que le
prêtre fait la révérence convenable, puis ils aident le prêtre à monter les marches en levant le
devant de l’aube, et s’agenouillent in plano.

1. En arrivant au pied des marches, faire la génuflexion à gauche du célébrant en


soulevant légèrement le bas de l’aube, puis se mettre à genoux in plano.

2. Au Misereatur du prêtre, les acolytes se tournent vers lui et inclinent la tête ; quand le
prêtre a répondu Amen, ils se tournent vers l’autel et s’inclinent médiocrement pour réciter
le Confiteor. Ils se tournent vers le célébrant aux mots : Et tibi pater et Et te pater ; ils se
redressent à l’Indulgentiam.

3. À la fin des prières au bas de l’autel, ils aident le prêtre à monter et vont
s’agenouiller à leur place : en face des canons de l’autel, sans faire de génuflexion au milieu.

C) De l’Introït à la fin du Credo :

4. Les Acolytes se signent avec le prêtre pour l’Introït.

5. S’il y a un Alleluia, ou un Trait, à la fin du Graduel, sinon au début du dernier


couplet de la Séquence, le 1° acolyte se lève et va attendre près du missel au bas du
marchepied. Au moment où le prêtre quitte le missel, il monte sur le marchepied, et, tourné
vers le livre, il le prend à deux mains avec le pupitre, se tourne sur sa gauche, descend les
degrés directement vers le milieu de l’autel, se retourne vers la croix, fait la génuflexion et
monte directement au coin de l’Evangile.

Il met alors le missel sur l’autel au coin de l’Evangile, et le place obliquement, de


manière que le dos du livre soit tourné vers le coin de l’autel. Il s’écarte à gauche, et se tient
sur le degré au-dessous du marchepied, pour répondre au commencement de l’Evangile. Au
moment où le prêtre dit Initium ou Sequentia, etc., il fait comme lui, avec le pouce de la main
droite, un signe de croix sur le front, la bouche et la poitrine, et répond, en joignant les mains :
Gloria tibi Domine. Il s’incline au mot Jesus. Puis il descend au bas des degrés en passant
devant le 2° acolyte qui se recule pour le laisser passer, fait la génuflexion au milieu, et se
rend au côté de l’Epître.

Ils se tiennent debout tourné vers le prêtre. Si celui-ci fait la génuflexion pendant
l’Evangile, les acolytes la font également. Ils répondent Laus tibi Christe à la fin.

5. Se placer devant le canon côté Epître, tourné vers le prêtre.

6. Après le Laus tibi Christe, les acolytes s’agenouillent à leur place (Ils restent à
genoux pendant le Credo).

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Cérémonial – Partie II : la messe lue
D) De l’offertoire à l’Orate Fratres :

7. À l’Oremus, les acolytes se lèvent et font la génuflexion au milieu. Le 2° acolyte


monte à droite du prêtre pour plier le voile du calice (plié en trois de sorte que la doublure
n’apparaisse pas, et que la croix soit au-dessus). Il le pose au fond de l’autel, du côté Epître.

7. Monter directement à l’autel, sans faire de génuflexion pour plier le voile du calice.

8. Le 1° acolyte a pris les deux burettes et donne la burette de l’eau au 2°. Ils attendent
le prêtre in plano. Lorsque le prêtre met la patène sous le corporal, à la fin du Suscipe sancte
Pater, les acolytes montent sur le degré en dessous du marchepied4 (dans le prolongement de
la table d’autel). Lorsque le prêtre arrive, ils le saluent et baisent les burettes (sur le
ventricule). Le 1° acolyte présente la burette du vin (sans baiser la main du prêtre), le 2° celle
de l’eau pour la faire bénir. Quand le prêtre rend la burette de l’eau au 2° acolyte, ils baisent
leurs burettes, saluent le prêtre et vont préparer le Lavabo à la crédence.

8. Lorsque le prêtre arrive, faire une inclination, baiser la burette du vin (tenue dans la
main droite) et la lui présenter, sans lui baiser la main. Pendant que le prêtre verse le vin
dans le calice, faire passer la burette de l’eau dans la main droite et la baiser ; puis recevoir
de la main gauche la burette du vin, présenter celle de l’eau au prêtre et baiser la burette du
vin. Recevoir ensuite de la main gauche la burette de l’eau, la baiser, faire une inclination
au prêtre et retourner par la droite à la crédence préparer le Lavabo.

9. Le 1° acolyte tient les deux coins supérieurs du manuterge entre les pouces et les
index, le 2° tient la burette de l’eau de la main droite et le bassin de la main gauche.

Lorsque le prêtre bénit les Oblats au Veni, sanctificator, ils se placent dans le
prolongement du marchepied de telle sorte que le prêtre se lave les mains hors de l’autel et le
saluent. Le 2° acolyte verse l’eau sur les doigts du célébrant sans les toucher, ni déplacer la
burette. Au signe du prêtre, il arrête de verser ; le 1° acolyte présente alors le manuterge.
Puis, ils saluent et vont poser le tout à la crédence.

9. L’acolyte tient le bassin dans la main gauche et la burette d’eau dans la main droite,
le manuterge déplié sur le bras gauche.

10. Le 1° acolyte prend la clochette, puis les deux acolytes viennent face au milieu de
l’autel, font la génuflexion et se mettent à genoux à leur place. Le 1° acolyte entonne
Suscipiat Dominus quand le prêtre a dit l’Orate fratres et s’est entièrement retourné vers
l’autel.

10. Après le Lavabo, retourner se placer au côté Epître, sans aller faire la génuflexion
au milieu de l’autel, et se mettre à genoux.

4
Suivant la configuration des lieux ils pourront monter sur le marchepied pour que le prêtre n’ait pas à quitter l’autel.

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Cérémonial – Partie II : la messe lue
E) De la préface à la fin du Canon :

11. Au Sanctus, le 1° acolyte sonne trois coups.

12. À l’Hanc igitur, il sonne un coup, lorsque le célébrant étend les mains sur les
oblats ; lorsque le célébrant joint les mains, les acolytes se lèvent et, sans faire de
génuflexion, montent directement s’agenouiller sur le marchepied, de chaque côté derrière
le prêtre. Ils soulèvent le bas de la chasuble (du plat de la main) uniquement pendant les
élévations, sans trop la remonter (on ne doit pas apercevoir la doublure).

Le 1° acolyte sonne un coup à chaque génuflexion du prêtre et trois pendant les deux
élévations.

Après la dernière élévation du prêtre, les acolytes se lèvent, descendent les marches et,
après génuflexion, retournent à leur place.

13. À la petite élévation Omnis honor et gloria, le 1° acolyte sonne un coup.

F) Communion :

14. Aux Domine non sum dignus du prêtre, le 1° acolyte sonne une fois au premier,
deux fois au deuxième et trois fois au dernier.

15. Après la communion à la sainte Hostie, quand le prêtre découvre le calice, le 1°


acolyte se lève lors de la génuflexion du prêtre, va sans faire de génuflexion rapporter la
clochette à la crédence et y prend le (ou les) plateau (x) de communion.

Quand le prêtre a communié au précieux Sang, le 1° acolyte entonne le Confiteor


pendant lequel ils s’inclinent médiocrement.

Après l’Indulgentiam, les acolytes se redressent, se lèvent, font la génuflexion au


milieu de l’autel et s’agenouillent sur le marchepied pour communier.

Les acolytes tiennent les plateaux pour la communion.

Après la dernière communion, le prêtre reprend le plateau et monte à l’autel.


L’acolyte lui tient le bas de l’aube pour monter les marches et va directement s’agenouiller à
sa place (pour relever le bas de l’aube, l’acolyte se tient à la droite du prêtre et reste debout, il
ne doit donc pas s’agenouiller pendant ce mouvement)

15. Communier un peu décalé côté Evangile.

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Cérémonial – Partie II : la messe lue

16. À la fermeture du tabernacle (ou quand le prêtre a consommé les dernières hosties),
les acolytes, après la génuflexion, vont à la crédence pour les ablutions. Le 1° acolyte prend
la burette du vin, le 2° celle de l’eau. Ils attendent in plano, près de l’autel. Quand le prêtre
incline le calice, le 1° acolyte vient au milieu de l’autel verser le vin dans le calice. Puis, il
va se placer sur le degré en dessous du marchepied5 dans le prolongement de la table d’autel
où le 2° acolyte vient le rejoindre.

Lorsque le prêtre s’approche d’eux, ils font une inclination de tête et le 1° acolyte verse
alors le vin sur ses doigts et le 2° l’eau. Après révérence, ils posent les burettes à la crédence.

16. Dès que le tabernacle est fermé (ou que le célébrant a fini de communier au
précieux Sang, s’il n’y a pas de communion) aller chercher les burettes à la crédence.
Attendre au bas des marches côté Epître.

Se rendre au milieu de l’autel, dès que le célébrant incline le calice et y verser du vin.
Puis se rendre de nouveau côté Epître sur le degré en dessous du marchepied, pour les
ablutions de vin et d’eau. Ne pas oublier de saluer le prêtre avant et après les ablutions.
Reporter les burettes à la crédence.

17. Ils vont ensuite faire la génuflexion au milieu de l’autel ; le 1° acolyte passe devant
le 2° et monte directement prendre le missel, le 2° acolyte prend le voile du calice (plié) par
dessous. Ils descendent au milieu faire la génuflexion. Puis le 1° acolyte monte directement
devant le 2° et va poser le missel côté Epître6 (placé comme pour l’Introït). Le 2° acolyte
monte à gauche, pose le voile, présente au prêtre la bourse ouverte, le voile déplié, puis, la
bourse fermée.

Pendant ce temps, le 1° acolyte, après avoir posé le missel, prend le (ou les) plateau (x)
de communion (les ciboires, s’il y en a) et les dépose sur la crédence. Il prend le carton des
prières léonines et attend le 2° à la crédence.

Ils reprennent leur place en faisant le tour du marchepied et s’agenouillent, sans faire
de génuflexion au milieu de l’autel.

17. Génuflexion au centre de l’autel, puis aller chercher le missel. Le rapporter côté
Epître. Attendre pour présenter au prêtre le voile du calice7. Puis, faire la génuflexion au
milieu de l’autel8 et se placer face au canon, côté Evangile.

5
Suivant la configuration des lieux ils pourront monter sur le marchepied pour que le prêtre n’ait pas à quitter l’autel.
6
Il ne doit ni chercher, ni indiquer l’antienne de communion.
7
En pratique, s’il y a le temps, apporter le voile du calice du côté Evangile.
8
Sauf si l’on est déjà côté Evangile.

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G) Fin de la messe :

18. Après la bénédiction, ils se lèvent et se tournent vers le prêtre, répondent Et cum
spiritu tuo et Gloria tibi Domine.

18. Après avoir répondu Gloria tibi Domine, aller chercher le carton des prières
léonines, puis revenir se placer côté Epître tourné vers le prêtre sans faire de génuflexion.

19. Pour les prières léonines, ils se mettent à genoux près du prêtre, comme au début
de la Messe, à un ou deux degrés inférieurs à celui du prêtre. À la fin des prières le 1°
acolyte reçoit le carton et le pose, puis les deux acolytes se lèvent9.

20. Après la génuflexion avec le prêtre, ils retournent à la sacristie.

H) À la sacristie :

21. Les acolytes saluent la croix puis le prêtre. Si le prêtre donne sa bénédiction, ils se
mettent à genoux. Le 1° acolyte aide le prêtre à quitter les ornements (il se met à sa droite).

3. Particularités de la messe de Requiem

 ne pas se signer à l’Introït ;


 ne se lever pour déplacer le missel que vers la fin de la séquence, si le prêtre la lit ;
 ne pas baiser les burettes ;
 ne pas se frapper la poitrine à l’Agnus Dei et répondre Dona eis requiem ;
 répondre Amen à Requiescant in pace ;
 Il n’y a pas de bénédiction finale.

9
Si le prêtre a laissé le calice sur l’autel, ils soulèvent le bas de l’aube avant de se relever.

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