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La théorie de l'électromagnétisme de Maxwell implique une description de phénomènes relative à un milieu donné, milieu que l'on a longtemps appelé "éther". Si aujourd'hui ce concept semble avoir été écarté du discours scientifique, il semble qu'une nouvelle façon de considérer le vide en soit une sorte de réminiscence, puisque c'est dans sa structure même que pourraient prendre naissance les diverses manifestations de l'univers.
La théorie de l'électromagnétisme de Maxwell implique une description de phénomènes relative à un milieu donné, milieu que l'on a longtemps appelé "éther". Si aujourd'hui ce concept semble avoir été écarté du discours scientifique, il semble qu'une nouvelle façon de considérer le vide en soit une sorte de réminiscence, puisque c'est dans sa structure même que pourraient prendre naissance les diverses manifestations de l'univers.
La théorie de l'électromagnétisme de Maxwell implique une description de phénomènes relative à un milieu donné, milieu que l'on a longtemps appelé "éther". Si aujourd'hui ce concept semble avoir été écarté du discours scientifique, il semble qu'une nouvelle façon de considérer le vide en soit une sorte de réminiscence, puisque c'est dans sa structure même que pourraient prendre naissance les diverses manifestations de l'univers.
la source rside le verbe (Jean 1,1 traduction libre)
Vers 1865, Maxwell dcrivait le corpus des lois de
llectromagntisme de lpoque sous la forme dun compendium unifi. Au cur de ses travaux rsidait une quation qui portait atteinte aux lois de la mcanique standard en affirmant que la vitesse de la lumire ne dpend que du milieu dans lequel elle volue et non de celle de sa source, comme le veut la rgle classique de composition des vitesses. Lide tait que la vitesse de la lumire sexprime en fonction de deux constantes (0 et 0) caractristiques du vide, ide qui allait tre le socle dune rvolution sans prcdent de la mcanique : la Relativit.
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Similitudes troublantes : calculs de
la vitesse de la lumire dans le vide et de celle du son dans un fluide
James Clerk Maxwell
Ce que Maxwell envisageait l avec la lumire
ressemblait fort ce que lon connaissait dj pour le son : la vitesse de propagation de londe sonore dpend en effet des caractristiques du substrat. Par exemple, la vitesse du son est de lordre de 340 mtres par seconde dans lair mais peut atteindre 1480 m/s dans leau et mme 5900 m/s dans lacier, la vitesse croissant avec la raideur du matriau.
Mais l o les choses commencent se compliquer, cest lorsque lon essaie
de dcrire les caractristiques du medium dans lequel voluerait la lumire pour permettre la clrit que lon connat, soit prs de trois cent millions de mtres par seconde. Comment un matriau aussi compact pourrait-il sembler vide ? Et comment envisager de sy dplacer ? Le coup de grce port cette faon de voir viendra par ironie de deux de ses partisans, Michelson et Morley, qui par une exprience aujourdhui clbre voulurent prouver lexistence de ce milieu luminifre1 connu comme lther. Il sagissait de mettre en vidence un mouvement relatif de la Terre par rapport cet ther, ou de faon plus prosaque, de mesurer le vent thrique quil aurait d engendrer. Or mme les mesures les plus prcises ce jour confirment que s'il y a un mouvement relatif entre la Terre et l'ther luminifre, il doit tre (trs) petit , daprs les deux chercheurs. Cest ainsi que fut abandonn le concept dther en tant que milieu physique dans lequel se manifeste la lumire Mais ce que lon ne pouvait imaginer cette poque, ctait que la Terre, via toutes les molcules qui la composent, ne se dplaaient pas travers cette substance incroyablement
Littralement, qui porte la lumire
la source rside le verbe (Jean 1,1 traduction libre)
dense, mais quen fait de mouvement dans lther, elle sy dplace, linstar de la lumire, comme une vibration. Comment cela se peut-il ? Nous percevons la matire sous forme datomes et de molcules au sein desquels information, force, chaleur et nergie se transmettent par vibration sonore , cest dire par interactions atomiques directes, de proche en proche. De mme, dans sa vision fractale de lunivers, Nassim Haramein dcrit le vide comme constitu de minuscules entits, de la taille de la longueur de Planck2. Dans ce milieu extrmement dense, les ondes lectromagntiques ou mme gravitationnelles3, se propagent leur tour, de proche en proche, la vitesse de la lumire. Mais lorsque des vibrations sont engendres par une contraction de cette structure, au point datteindre une densit quasi infinie, alors apparat un point autour duquel les ondes senroulent localement, donnant naissance la matire, la masse et limmobilit qui est le moteur du temps. Cette structure tant la base de tout ce que lon connat actuellement, il devient clair, si lon peut dire, que tout nest que Lumire , au sens de vibration universelle, ou mme Parole , compte-tenu de lanalogie susmentionne avec le son. Une question reste alors en suspens : Et au-del ? . Y-a-t-il quelque chose de plus fin que la structure du vide ? Probablement. De quoi est-ce constitu ? Mystre. Toutefois, en filant lanalogie, rien ne nous dfend de penser que le medium au-del du mur de Planck soit lui aussi une structure anime de vibrations encore plus nergtiques et, trs probablement, permettant une vitesse bien suprieure celle de la lumire, causant ainsi les phnomnes dintrication quantique, par exemple, mais aussi lomniprsence de linformation dans lunivers. Une telle structuration fractale nest pas non plus sans nous voquer la description sotrique des diffrents niveaux de subtilit de la cration, en commenant par la matire physique, anime par une structure nergtique ou thrique plus fine et qui se ramifie ellemme en une substance astrale , traitdunion superluminique de tous les vastes et lointains objets stellaires, et ctera, en passant par les Sept Sphres concentriques qui structurent le Tout et dont les mouvements contraires actionnent le moteur gigantesque qui fait sa rotation perptuelle. Ainsi, quand Science et Tradition sclairent, la comprhension se fait jour
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Voir larticle : Tout ou rien
Au sujet de la vitesse des ondes gravitationnelles, voir larticle de Michel Alberganti