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document 1 :8 p 34
- comment est définie « l’économie nationale » prise en compte par la comptabilité nationale (fin du 1e §) ?
- quelle évolution de l’économie met en cause la pertinence d’un tel découpage de l’économie ?
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Document 2 :
Fonction économique
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Sociétés ______________
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(non
financières)
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Exemples
Fonctions économiques
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___________________________
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____________________ ___________________________
___________________________
___________________________
Sociétés ______________________ ___________________________
Financières ___________________________
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______________________
_____________________ Exemples
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Fonctions économiques
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__________________________
_____________________
_____________________ __________________________
_ __________________________
__________________________
__________________________
Administra ______________________ __________________________
tions ______________________ __________________________
___________________ __________________________
publiques
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_____________________ Exemples
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_____________________
_____________________
_____________________
_____________________ Exemples
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même terme de _____________________ désigne aussi la valeur des biens et services
obtenus par cette activité.
La production obtenue n’est pas distribuée en nature aux agents économiques, mais
sous forme de flux ___________________ : les ____________________. La
_____________ donne donc naissance à des ________________ pour un montant
équivalent à sa propre valeur.
Les revenus monétaires ne sont pas utiles par eux-mêmes, mais par le fait qu’ils
permettent aux agents économiques de se procurer les biens et services dont ils sont besoin.
Les revenus alimentent donc une ________________________.
A son tour, la dépense des agents économiques apporte des ressources aux
producteurs et ainsi motive la production.
Complétez les schémas successifs en indiquant sur les flèches, les notions de la liste
proposée
MÉNAGES
ENTREPRISES
(hors entreprises
individuelles)
4
b) La prise en compte des Administrations Publiques
ENTREPRISES
MENAGES
ADMINISTRATIONS
PUBLIQUES
ENTREPRISES
MENAGES
SOCIETES
FINANCIERES
5 ADMINISTRATIONS
PUBLIQUES
d) La prise en compte du Reste du Monde
ECONOMIE NATIONALE
MENAGES ENTREPRISES ADMIN PUB. STES FINANCIERES
Document 4 : 11 p 37
- Pourquoi la production d’une entreprise ne représente-t-elle pas la valeur des richesses
qu’elle crée ? Comment calcule-t-on la valeur ajoutée brute ? le PIB ?
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Document 5 :
L’activité étant appréhendée comme la circulation du flux de revenu monétaire, ce n'est donc pas toute
l'activité économique de la nation qui entre dans le PNB (1). mais uniquement celle qui se prête, à un stade ou à
un autre, à un échange marchand. Le système normalisé de Comptabilité nationale définit l'activité de
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production comme une activité socialement organisée destinée à créer des biens et des services habituellement
échangés sur un marché et/ou obtenus à l'aide de facteurs de production s'échangeant sur un marché. La
production de biens et services est généralement évaluée à la valeur que leur confère le marché, c'est-à-dire
leur prix. Les services non marchands, comme ceux fournis par les pouvoirs publics - éducation, réseau routier,
éclairage public, défense nationale - ne peuvent pas être évalués à leur prix puisqu'ils n'en ont pas : ils sont
alors comptabilisés à leur coût de production, sur la base notamment des traitements des fonctionnaires qui
ont assuré la production de ces services. À quelques exceptions près, les biens et services qui ne s'échangent
pas sur un marché et ne sont pas produits par des facteurs de production s'échangeant sur un marché
n'entrent pas dans le PNB. En pratique, cela signifie que tout le travail domestique (celui des femmes au foyer,
des bricoleurs...) et tout le travail bénévole (associations sans but lucratif) échappent à la comptabilité
nationale. Selon Edith Archambault, cette exclusion est compréhensible, dans la mesure où cette production
est mal connue, difficilement mesurable, et surtout du fait qu'elle n'engendre aucun circuit économique
monétaire et ne peut donc pas faire l'objet d'une régulation de la part des pouvoirs publics. En outre, la
majeure partie de l'activité souterraine ou « noire » d'une économie échappe à la Comptabilité nationale bien
qu'elle réponde en principe à ses critères de sélection, faute dêtre déclarée, faute de pouvoir être recensée ou
même évaluée. •
Source :I Cassiers, « Contours et limites de la comptabilité nationale », in Cahiers français n° 286, mai 1998.
- quelles sont les seules activités prises en compte dans le calcul du PIB ?
- en conséquence, quelles activités de production sont ignorées dans le calcul du PIB ?
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- Comment est évaluée la valeur des biens et services produits ? Quel problème cela pose-t-il
pour les services non marchands ?
Document 6 :
Qu'une entreprise ignore dans sa comptabilité les outrages qu'elle fait subir à l'environnement semble logique,
tant que la loi ne lui impose pas des compensations monétaires et tant qu'elle peut raisonner sur base d'un
profit privé. Que les fondateurs de la Comptabilité nationale, dans les années 1940, n'aient pas perçu les enjeux
écologiques de la croissance est également compréhensible. Mais aujourd'hui, la convention qui consiste à
n'amortir (1) que le capital physique produit semble beaucoup plus gênante. Les taux de croissance du produit
national net de nos économies au cours de l'âge d'or (1950-1973) devraient être considérablement revus à la
baisse s'il s'agissait d'amortir le patrimoine naturel mis à mal par le type de croissance économique de l'après-
guerre.
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En regard d'une problématique écologique, les conventions de la Comptabilité nationale posent encore d'autres
problèmes et semblent même dénuées de bon sens : alors que les prélèvements sur la nature (pollution de
l'air et de l'eau, dégradation des sites) n'ont pas pour effet de réduire la valeur de la production
nationale nette, les dépenses « défensives ». celles engagées pour réparer les atteintes à l'environnement
(filtrage des eaux, plantations d'arbres) provoquent quant à elles une augmentation de cette valeur dès
qu'elles passent par un circuit marchand. De manière plus imagée : une dégradation de l'environnement dont on
estimerait le coût pour la société à trois milliards d'euros et que l'on pourrait réparer pour un tiers (le solde
étant par exemple irréparable) moyennant une dépense de un milliard d'euros laisserait comme trace dans les
comptes de la nation une augmentation de la production nette de un milliard alors même que le stock net de
ressources naturelles se serait réduit dans l'opération de deux milliards d'euros. •
Source : I. Cassiers, « Contours et limites de la Comptabilité nationale », in Cahiers français n° 286, mai
- que déduit-on de la production d’une entreprise pour évaluer la richesse qu’elle crée (sa
valeur ajoutée brute et nette) ? de quoi faudrait également tenir compte ? Pourquoi n’est-ce
pas fait ? Expliquez le passage souligné.
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III. Les échanges avec l’extérieur
Document 7 :
La dématérialisation croissante de l'activité économique rend toujours plus difficile la mesure des échanges
internationaux de biens et services. À l'époque où la puissance économique se mesurait en tonnes de charbon et
d'acier, la comptabilisation des échanges était aisée, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Un exemple : Microsoft.
La firme développe ses logiciels à Seattle, dans l'État de Washington, mais la fabrication matérielle des
produits (reproduction des disquettes et CD-Rom, impression des modes d'emploi et conditionnement) destinés
au marché européen est réalisée en Irlande. Peut-on considérer que l'Irlande exporte des logiciels ?
Évidemment non. C'est pourtant ce que recensent les douanes françaises. Cet exemple fournit une bonne
illustration du poids croissant des frais de recherche, développement ou de design dans la valeur des nombreux
produits au détriment des opérations de fabrication ou d'assemblage. Résultat : un produit peut ainsi être «
made in China », mais son achat peut donner lieu à un flux de revenus final bien plus élevé au profit des États-
Unis, sous la forme de rémunération de licences ou de brevets. •
Source :« Qui échange quoi ? », in Alternatives économiques, hors-série n° 32, avril 1997.
- en reprenant l’exemple donné dans le texte, comment sont comptabilisés les achats par la
France, de logiciels Microsoft ? Pourquoi est-ce une comptabilisation discutable ?
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2) Les indicateurs utilisés pour mesurer et analyser les échanges avec l’extérieur
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(2)
NB : pour les calculs nécessitant de prendre en compte le PIB : PIB 2007 = 1 892 200 millions
d’ €
Calcul 2007
Indicateur Formule de calcul Signification du résultat obtenu
( tableau)
______________ ____________ _______________________________
INDICATEURS POUR COMPARER EXPORTATIONS ET IMPORTATIONS
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Indicateur Définition ou formule Valeur ou calcul Signification du résultat obtenu
de calcul avec les données
du tableau
______________ ____________ _______________________________
L’ECONOMIEINDICATEURS DU DEGRE D’OUVERTURE DE
Document 9 :
L’échange international présente trois avantages principaux : il favorise la spécialisation, élargit les marchés et
donne accès aux techniques. Mais ces avantages sont d'une importance inégale. La spécialisation est un
avantage mis en avant depuis Ricardo*. Elle permet à chacun d'utiliser au mieux son travail, en l'affectant aux
productions les plus efficaces du pays. [... ]
L'élargissement des marchés est un avantage très important de l'échange international pour les activités où
existent des économies d'échelle'". Lorsque les coûts de production sont principalement des coûts fixes, comme
l'écriture d'un logiciel ou la réalisation d'un film, tout élargissement de la production permet de réduire les
coûts. La mondialisation du marché des logiciels ou des films permet de les produire de manière plus efficace. À
l'extrême, des biens comme les grands avions ne peuvent voir le jour sans un marché mondial. Cet effet est
d'autant plus important que le marché intérieur est étroit. Il est donc maximal pour un pays faiblement
développé, qui ne peut compter sur un marché intérieur suffisant. D'autre part, pour les feuilletons télévisés
comme pour les automobiles, il est souvent coûteux de développer de nouveaux modèles, qui ne peuvent être
rentabilisés qu'en vendant beaucoup. Le nombre de modèles disponibles est donc limité par la taille du marché.
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Celui-ci s'accroît avec son ouverture. Les entreprises bénéficient alors d'un plus grand choix d'équipements,
mieux adaptés à leurs besoins, et les consommateurs de possibilités élargies.
Tout aussi important est l'échange de facteurs de production. Il permet à un pays d'accéder à ceux qui lui font
défaut, qu'il s'agisse d'un défaut de ressources naturelles, de capitaux ou de connaissances techniques. Il est le
moyen pour tous les pays d'accéder aux techniques développées ailleurs, spécialement dans les pays les plus
avancés. Pour les pays en développement, c'est le moyen d'aller directement aux techniques les plus récentes ou
les plus adaptées. [...] Cet accès aux techniques étrangères est tout aussi vital pour les pays développés : la
France déposant 6 des brevets mondiaux, la croissance française serait réduite à peu de choses si elle devait
utiliser exclusivement des techniques indigènes. •
Source : A. Parienty, « L'échange international est-il bon pour la croissance ? », in Alternatives économiques n°
206, septembre
- quel avantage de l’échange international a été mis en évidence par l’économiste David
Ricardo ?
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_ En 25 ans, entre 1978 et 2008 les exportations de la France ont été multipliées par
______ (soit + _____ %), et ses importations par ________ (soit + _______ %)
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Le tableau
(http://www.statapprendre.education.fr/insee/comext/combien/tendancesouverture.htm
)m ontre que globalement, l’économie française est de plus en plus_____________ sur
l’extérieur, ses échanges extérieurs représentaient environ ______________du PI en
1978, et __________________ en 2008.
_ Les importations de biens agricoles ont aussi fortement augmenté (x ______ entre
1998 et 2008), mais moins fortement que les exportations ( x ________) qui représentent,
en 2008, _____ % du total des exportations.
_ Les exportations de services ont été multipliées par _______ entre 1998 et 2008,
pendant que les importations étaient multipliées par ___________. En 2008, les
exportations de services ne représentaient que ______ % du total des exportations, ce qui
paraît _______ si l’on tient compte du fait que la production de services représente près de
70 % du PIB. Cela n’empêche pas la France d’être le ____________ exportateur mondial de
services. C’est donc que les services s’échangent ______ internationalement que les biens
(agricoles et industriels).
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-Document 12 :
Document 13 : 20 et 21 p 42-43
Près des trois quart des échanges de la France se font avec __________________,
avec, Les Etats-Unis représentent le_______ client de la France. Les échanges avec l’
_______________ sont fortement déficitaires puisqu’ils représentent _____ millions
d’euros d’importations de la France, mais seulement ___ millions d’euros d’ exportations.
A- L’équilibre emplois-ressources :
Document 14 :
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_ Les ressources en biens et services : quelles sont les deux origines possibles des
biens et services utilisables dans l’économie.
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_ L’utilisation des ressources (les emplois) : quels sont les 4 emplois possibles des
ressources en biens et services ? Distinguez les emplois intérieurs des emplois extérieurs.
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RESSOURCES EMPLOIS
En 2008, peut-on dire que la France « a vécu au dessus ou en dessous de ses moyens » ?
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Quelle est l’évolution depuis 2002 ?
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Revenus
Biens et services PIB
________ = __________
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_ Prenons maintenant en compte les échanges avec l’extérieur :
RESSOURCES = EMPLOIS
PIB + _______ = C + I + _________P
Or PIB = R
R + IMP =C + I + EXP
R = C + S, donc
C + S + IMP = C + I + EXP
S + IMP = I + EXP
S - I = _______ - _________
- Complétez le schéma de la page suivante, puis le texte à trous ci-dessous (sans tenir compte
des impôts ) :
Pour connaître la valeur des richesses créées dans l’économie et susceptibles d’être
distribuées sous formes de revenus, il faut déduire de la valeur de la production, la valeur
des biens et services qu’il a fallu utiliser pour produire, les …………………………… On obtient ainsi
la ……………………………………….
Une part de celle-ci sert à ………………………. ceux qui ont contribué à la production en
travaillant (……………………………………………………………..).
Après déduction de cette rémunération , on appelle
EBE(……………………………………………………..), le profit qui reste à l’entreprise. Celui – ci permet de
rémunérer ceux qui ont contribué à la production en apportant du ……………………………….. :
………………… versés aux prêteurs et ……………………………… versés aux actionnaires.
……………………………… représente alors ce qui reste dans l’entreprise pour financer les
………………………………….
Si l‘épargne brute suffit pour financer les investissements, on dit que les entreprises
ont dégagé une…………………….. ……………………….., alors que dans le cas contraire, on dit qu’elles ont
un ……………………………….. : elles devront donc trouver …………… ……………………………………………..
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CONSOMMATIONS
INTERMEDIAIRES
Impôts liés à la
production
Rémunération
des ………..
Impôts sur le
RODUCTION
revenu et le
patrimoine
………………. Revenus de
………………. ……………….
……………….. ………………..
………………..
Intérêts et
………………..
frais
…………………
financiers
Investissements
……………….. (dont FBCF :
……………….. ………………...
………………... ………………..
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