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L’avenir de la documentation.

Des enseignements issus d’études de cas dans des centres de


ressources américains – Synthèse
Julien Cammas
Institute for Policy Studies, International Fellows Program, Johns
Hopkins University
Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de la Région Ile-de-
France

Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un partenariat entre la Johns Hopkins


University de Baltimore et l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de la
Région Ile-de-France. Il s’est concrétisé par une étude de 3 mois, de Mars à
Mai 2007, sur les pratiques des documentalistes dans des centres de
ressources aux Etats-Unis

Problématique
D’après une étude de l’INSEE1, un français sur quatre utilise
quotidiennement Internet. C’est la première source d’information des
français pour les besoins pratiques ( bricolage, aide aux devoirs …) et un
foyer sur quatre est équipé d’une connexion.
Le gouvernement français encourage le développement d’Internet en
équipant les espaces publics de l’Internet sans fil (WIFI), ou encore en
diffusant des informations civiques et des rapports publics téléchargeables
gratuitement sur Internet. Récemment, le gouvernement a décidé de
stopper l’édition papier du Journal Officiel pour ne proposer uniquement
que sa version numérique, accompagné des services qu’offrent
traditionnellement ce type de site Internet : classement thématique des
documents, recherche dans le texte intégral, mise en exergue des derniers
documents publiés … Cet exemple illustre les évolutions récentes que le
développement d’Internet induit sur le monde de l’information
documentation : l’utilisateur peut maintenant disposer instantanément des
textes intégraux chez lui et sans avoir recours à un intermédiaire.
Ainsi, le premier objectif de cette étude est de dresser le bilan actuel de
l’offre d’Internet en terme de gestion de contenu.
Le second objectif est de mesurer quel est l’impact de ce
développement technologique sur le monde des bibliothèques : sur la
fréquentation des bibliothèques ? sur le travail des documentalistes et
bibliothécaires ?
Le dernier objectif est de tenter d’avoir une vision prospective sur
l’avenir des bibliothèques et des centres de ressources, en s’inspirant des
pratiques de documentalistes américains.

Ce travail est également l’occasion d’apporter à l'IAURIF des idées


novatrices pour accompagner le projet de la médiathèque et peut-être,
participer au développement du réseau Urbamet vers les USA.

1
Internet au quotidien : un Français sur quatre.- Insee Première, n°1076, Mai 2006.
www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/IP1076.pdf

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Méthodologie
En premier lieu, je me suis fixé comme objectif d’étudier les pratique des
documentalistes américains, afin d’en extraire de nouvelles idées. Mais je
me suis vite aperçu que le développement des technologies Web pour tous
transformait considérablement la manière dont le public utilise les
bibliothèques.
Cette étude s’appuie sur plusieurs outils :
- des entretiens effectués de Mars à Mai 2007 auprès de 8
documentalistes américains travaillant dans des bibliothèques
universitaires, publiques ou privées. Les questions posées sont
« fermées », mais les entretiens ont toujours débuté par une
discussion ouverte.
- une enquête réalisée en janvier 2007 auprès de 19 documentalistes
du réseau de la FNAU. Cette enquête nous donne un aperçu concret
de l’utilisation d’Internet par les documentalistes en France
- des visites dans des grandes bibliothèques publiques américaines,
pour analyser les infrastructures
- des lectures, permettant de cerner le contexte général de l’étude et
de proposer des données pour la mesure de l’impact d’Internet sur
le monde des bibliothèques
- des recherches sur le Web et de l’autoformation sur les nouveaux
outils du Web 2.0

Les sciences de l’information à l’heure d’Internet


Initié par le gouvernement américain en 1962, Internet connaît un
développement exponentiel depuis les années 2000. En 2003, on comptait
plus de 600 millions d’internautes dans le monde, soit 3 fois plus qu’en
1999. le réseau a connu récemment une évolution technologique majeure
qui donne maintenant la possibilité à l’utilisateur de publier des
informations sur Internet : le Web 2.0. Le consommateur d’information
devient producteur, grâce à des outils simples et gratuit de publication de
contenu sur le web : blogs, wikis, serveurs, personnalisation de pages Web

De nombreuses sociétés profitent de l’engouement des utilisateurs pour la
production d’information pour proposer à l’internaute des solutions
techniques sur le Web de recherche, de gestion et de diffusion de
documents, à l’instar des bibliothèques et des centres de ressources.
Amazon.com, numéro un mondial de la vente en ligne de livres, propose à
l’utilisateur de nombreux services de personnalisation de la recherche
d’ouvrage par la « longue-traîne », un service qui s’appuie sur des avis de
consommateurs. Librarything est basé sur le principe de « Web social », et
propose aux internautes amateurs de livres de constituer leur propre base
de donnée bibliographique et d’interagir avec celle des autres lecteurs.
Scribd.com est un serveur qui propose de publier, de gérer, d’organiser et
de diffuser de façon très simple n’importe quel document au format
numérique.
Ainsi, plusieurs conclusions sont à extraire de l’analyse des nouveaux
services gratuits du Web 2.0 :

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 la possibilité donnée à l’utilisateur de publier librement du contenu
sur Internet aboutit à un développement exponentiel d’informations
en temps réel
 l’engouement des internautes pour ce type de services montre qu’ils
correspondent aux attentes des utilisateurs
 ces outils permettent à l’utilisateur d’avoir un rapport direct avec le
document et limite les intermédiaires pour la recherche,
l’organisation, la diffusion et le partage du document primaire
 les bibliothèques ont perdu le monopole du savoir

L’impact d’Internet sur la fréquentation des bibliothèques


Ces évolutions technologiques amènent-elles le public à bouder les
bibliothèques ? Il semblerait que non. Le CREDOC2 affirme que la
fréquentation des bibliothèques publiques a plus que doublé entre 1989 et
2007. Cependant, diverses sources s’accordent à dire que le
développement des pratiques d’Internet a des incidences sur l’utilisation
des bibliothèques. En effet, l’utilisateur semble surtout attiré par le
service de consultation gratuite d’Internet dans les bibliothèques
publiques et par l’emprunt de supports numériques (CD, DVD …). Ainsi, le
livre n’est plus un support suffisamment attractif pour les bibliothèques.
L’évolution de la fréquentation des bibliothèques serait conditionnée par :
 L’accès à l’emprunt de nouveaux médias (DVD, CD, magasines) ;
 De nouveau services : expositions, débats … ;
 L’accès libre à Internet ;
 La visibilité et la qualité de services de la médiathèque sur Internet

Internet et les documentalistes


La profusion d’informations publiées sur Internet devrait permettre
d’assurer l’avenir des documentalistes. Cependant, les moteurs de
recherches et les technologies permettent à l’utilisateur d’être plus
autonome dans la recherche d’information. Le documentaliste va donc
sûrement devoir être plus performant dans l’utilisation des technologies et
le métier risque de devenir plus technique. D’après une enquête réalisée
par IDP pour le magazine Archimag en 20063, on devrait donc assister à un
fractionnement du métier en plusieurs spécialités dans les grandes
structures (web manager, knowledge manager, veilleur ...) et à une
demande de polyvalence des documentalistes dans les PME et les
administrations locales.
Ces scénarios montrent que l’avenir des sciences de l’information ne
pourra être que numérique. Ainsi, on pourrait résumer les mutations des
sciences de l’information à l’avenir par le syllogisme suivant : « la
documentation est la science du document. Or le document à l’avenir sera
numérique. Donc l’avenir de la documentation sera le numérique. »
2
La fréquentation des bibliothèques publiques a doublé depuis 1989.- Consommation et Modes de
vie, n°193, Mai 2006 : www.credoc.fr/pdf/4p/193.pdf
3
Les nouveaux horizons de l’infodoc. Etude prospective sur l'évolution des différentes fonctions de
l'information-documentation.- Archimag, 2006 .- Communiqué de presse :
http://www.forumdelageide.com/fileadmin/Forum_2006/Espace_Presse_actu_EXPOSANTS/CP_horizon
s_infodoc_forum_geide.pdf

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Un aperçu des pratiques documentaires en France
L’analyse de l’enquête réalisée auprès de 19 documentalistes du réseau
de la FNAU fait ressortir que :
 Internet est utilisé pour la recherche d’information essentiellement.
La fonction de traitement de l’information n’est pas exploitée. La
communication est assurée par e-mail
 Les nouvelles technologies sont un moyen pour les documentalistes
d’optimiser leur travail
 Mais les NTIC doivent s’améliorer pour optimiser le temps de
recherche et de traitement de l’information
 Les documentalistes ont conscience de l’évolution du métier :
volonté de repositionnement du documentaliste dans l’entreprise,
demande de formation aux NTIC

Les services des bibliothèques américaines


Les centres de ressources professionnels visités sont les suivants :
- Merriam Library, American Planning Association – Chicago
- Le centre de ressources de l’Urban Land Institute – Washington
- Le centre de ressources de l’Urban Institute - Washington
Les bibliothèques publiques et universitaires sont les suivantes :
- Geisel Library, Technology Service – University of California – San
Diego
- Graham Resource Center – Illinois Institute for Technology
- New York Public Library
- Sheridan Library – Johns Hopkins University – Baltimore
- Young Research Library, Maps and GIS Department – University of
California – Los Angeles

La fréquentation des centres de ressources privés semblent stagner, mais


les bibliothèques américaines n’ont pas enregistré de baisse significative
de la fréquentation. L’American Library Association semble attribuer ce
phénomène en grande partie au libre accès à Internet. Cependant,
d’autres facteurs peuvent être identifiés :
- L’accessibilité des bibliothèques : les bibliothèques publiques des
grandes villes visitées se trouvent toutes dans le centre-ville. Elles
sont dans des quartiers bien desservis en transports en commun et
proches d’autres services ;
- Le prestige des locaux : les bibliothèques sont souvent dans de
vastes bâtiments historiques facilement identifiables et connus par
les habitants ;
- L’équipement : elles offrent une qualité d’équipement souvent
remarquable. Le mobilier est en nombre suffisant et confortable, les
accès à Internet par postes informatique dédiés ou par la WIFI sont
nombreux et certaines collections sont accessibles sans
intermédiaire ;
- Des services pour le citoyen : les bibliothèques américaines ont su
s’adapter aux demandes des utilisateurs. Elles offrent au visiteurs la
possibilité de se connecter à Internet gratuitement, de découvrir des

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expositions, des manifestations, d’assister à des colloques, de voir
des films, de suivre des cours de recherche d’information …
- La disponibilité des documentalistes : les documentalistes sont
facilement accessibles et donnent des cours de recherche
d’information

Cependant, le recours au documentaliste est moins fréquent, et les


questions sont plus techniques : comment rechercher sur la base de
données, comment accéder à Internet ? L’utilisateur est plus autonome.

Le constat est donc similaire aux Etats-Unis et en Europe : le livre n’attire


plus le public dans les bibliothèques, mais ce sont les services annexes qui
garantissent la fréquentation : l’accès à Internet, à l’emprunt de supports
multimédias, les expositions, les manifestations … Les américains
développent donc ce type de services, car ils correspondent aux besoins
des utilisateurs. Les bibliothèques publiques sont équipées de salles de
spectacles, de salles de cours, de salons isolés pour la lecture …
L’aménagement de l’espace a son importance. Les bibliothèques
deviennent des lieux de socialisation, des « espaces civiques sacrés ».

Sur Internet, la bibliothèque publique remplit pleinement son rôle de


centralisation et de diffusion du savoir. Elle optimise l’utilisation de l’outil
Internet pour remplir ses objectifs.
- Le catalogue de la bibliothèque est en ligne et interconnecté à
d’autres catalogues pour offrir du contenu enrichi.
- Les ressources pertinentes payantes ou gratuites sur Internet sont
organisées et mises à disposition
- Des politiques de numérisation du savoir permettent aux
bibliothèques de proposer de plus en plus de documents en texte
intégral issus de leurs fonds sur le site Web des bibliothèques
- Tous les nouveaux modes de communications sont exploités pour
recueillir les impressions des utilisateurs : blogs, wikis, fils RSS,
podcasts, longue-traîne, jeux en ligne … Il semble que ce soit un
moyen de le fidéliser l’utilisateur et de mieux cerner ses besoins afin
de faire évoluer les services de la bibliothèque et de faire vivre le
catalogue.

Le site Internet des bibliothèques n’est donc plus seulement une vitrine
qui présente les services dont peut disposer l’utilisateur dans
l’établissement. Les sites Internet des bibliothèques permettent
maintenant à l’utilisateur d’élargir son champs de recherche en proposant
l’accès direct au document. La puissance des moteurs de recherches et
l’accès à une multitude de sources permettent à l’utilisateur d’acquérir
plus d’autonomie et de faire ressortir de l’information qui était
difficilement accessible auparavant .
Internet est donc devenu l’outil privilégié des bibliothèques pour :
 Présenter les services de la bibliothèque
 Promouvoir les activités de la bibliothèque : les projets en
cours, l’actualité …

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 Rechercher des informations bibliographiques ou des
documents dans le catalogue de plusieurs bibliothèques et
dans des bases de données payantes
 Centraliser et organiser l’information numérique disponible sur
Internet
 Mutualiser le traitement de l’information
 Interagir avec l’utilisateur : recueillir ses impressions, ses
idées, ses recommandations
 Diffuser des documents du fonds en donnant accès à des
collections numériques

Les pratiques des documentalistes américains


Les documentalistes américains disposent de puissants outils de recherche
sur Internet. Pour une recherche, ils vont en premier lieu sur leur base de
données interne puis se rendent sur des bases externes auxquels les
centres de ressources souscrivent. D’après eux, ils peuvent trouver la
majorité des informations sur Internet. Ils recherchent de plus en plus le
texte intégral en format numérique. Pour cela, certains utilisent des outils
de signalement de nouveau contenu, comme les fils RSS.
La nature des documents acquis par les bibliothèques a changé. Les
utilisateurs demandent de plus en plus du format numérique : banques de
données en texte intégral, données statistiques, supports multimédias, e-
books …
Les tâches de traitement documentaires sont limitées. Les
documentalistes ne font pas de résumé et d’indexation, et le catalogage
est automatisé à partir d’un catalogue bibliographique partagé par des
milliers de bibliothèques dans le monde : Worldcat, de l’OCLC. Pour cela,
toutes les bibliothèques visitées disposent d’un logiciel de traitement
documentaire qui permet le transfert de données entre les bases. Les
bibliothèques mutualisent donc leur travail et développent des réseaux
nationaux qui permettent d’élargir l’offre de services aux utilisateurs.
La communication avec les utilisateurs se fait beaucoup par e-mail, et le
Web est utilisé par les plus gros centres de ressources. Les petits centres
de documentation sont souvent écartés des projets de communication de
leur entreprise sur le Web.

Les pratiques des documentalistes américains sont donc très orientées


vers l’information numérique :
 Les bibliothèques acquièrent de plus en plus de documents
numériques, et numérisent des documents
 Les tâches de catalogage sont mutualisées entre plusieurs
bibliothèques, et simplifiées
 Les recherches bibliographiques sont décentralisées : elles sont
directement assurées par l’utilisateur, depuis son domicile. Le
documentaliste reste le référent du « où chercher », mais a perdu sa
légitimité du « comment chercher »
 Les utilisateurs demandent de plus en plus de l’information
numérique intégrale

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 Le traitement de l’information numérique est la principale tâche du
documentaliste : il organise les accès à l’information pour simplifier
et orienter les recherches des utilisateurs
 Internet est un outil pertinent pour le documentaliste pour
rechercher l’information, l’organiser, la sélectionner et la diffuser

L’avenir vu par les documentalistes américains


Les bibliothécaires et les documentalistes semblent confrontés aux
problèmes de budget. Cela pourrait constituer un frein pour le
développement futur des centres de ressources, notamment à cause de la
demande croissante d’achat de banques de données externes.
Les documentalistes ont conscience de l’évolution de leur métier et de la
spécialisation vers des tâches plus techniques. Cependant, ils considèrent
que les nouvelles technologies sont une bonne chose pour leur métier,
même si elles doivent encore évoluer pour mieux correspondre à leurs
besoins. Ils expriment une forte attente par rapport aux moteurs de
recherches qu’ils ne jugent pas suffisamment performants. Ils
souhaiteraient pouvoir interroger plusieurs banques de données à travers
une interface unique. Comme les documentalistes français, ils souhaitent
être formés aux nouvelles technologies.

Les enseignements
 Les nouvelles technologies donnent une légitimité aux
documentalistes pour être les principaux acteurs de projets
innovants. Ils participent à des projets de développement de plate-
formes de documents numériques, notamment avec des partenaires
privés ;
 Le paysage du contenu numérique sur Internet tend de plus en plus
vers une navigation simplifiée entre les sources d’information. A
l’avenir, les catalogues des bibliothèques seront tous
interconnectés et seront intégrés dans une offre globale
d’information sur Internet ;
 Le travail en réseau est la force première des bibliothèques
américaines. Le travail en réseau est un moyen d’offrir des services
plus performants à l’utilisateur et d’optimiser le travail
documentaire. Internet est l’outil privilégié du travail en réseau.
C’est pourquoi les bibliothèques américaines misent sur Internet
pour leur émancipation ;
 Les documentalistes utilisent Internet à tous les niveaux de
la chaîne documentaire. En Europe, plusieurs phénomènes
laissent présager un avenir similaire, très orienté vers l’information
numérique. Les documentalistes et les bibliothèques devront
s’adapter à ces changements ;
 Le rôle du documentaliste a changé. Les tâches de traitement
documentaire classiques sont automatisées et la recherche
basique est déléguée à l’utilisateur.
 La relation avec l’utilisateur a changée. Pour faire face à la demande
d’autonomie des utilisateurs, le documentaliste est disponible,
accessible et au service du lecteur dans les bibliothèques. Mais

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c’est maintenant sur Internet que les relations
documentaliste-lecteur sont les plus abouties. Le
documentaliste peut donc utiliser les technologies pour mettre en
place un nouveau type de relation réciproque avec l’Internaute-
lecteur. L’utilisateur devient acteur de sa bibliothèque.
 Le documentaliste va devoir acquérir des compétences plus
techniques, il va diriger des équipes pour gérer des projets de
développement. Il devra également s’occuper de tâches plus
administratives, mais devra sans doute faire preuve
d’inventivité et d’esprit d’initiatives pour faire face aux profondes
mutations du monde de l’information-documentation.

Remerciements
Sandra Newman, Marsha Schachtel, Institute for Policy Studies, Johns
Hopkins University, Baltimore MD

Lynn Stuart, Jim Gillispie et David Reynolds – Sheridan Library, Johns


Hopkins University, Baltimore MD
Mary Logan – Baltimore Metropolitan Council, Baltimore MD
Matt Cook – Illinois Institute for Technology, Chicago IL
Shannon Paul – American Planning Association, Chicago IL
David Deckelbaum – University of California, Los Angeles CA
Denise Hibay et Robert Armitage – New York Public Library
Luc Declerck - University of California, San Diego CA
Joan Campbell et Rick Davis– Urban Land Institute, Washington DC
Nancy Minter – Urban Institute, Washington DC

Les documentalistes du club-doc FNAU

L’IAURIF

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