Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
Face à la sécheresse et à la
pénurie
Introduction
Vidéo d’introduction : « un combat
politique »
http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/L-eau-en-danger/2460298,Cm
Cette vidéo issue d’un
documentaire sur l’eau
d’ARTE résume les
causes, les conséquences et Mark Parnell : député
les solutions pour lutter écologique de South
contre la sécheresse. Ce Australia
politicien fait un constat
très intéressant sur l’eau en
l’Australie que ce soit dans
les campagnes ou dans les
villes. Il donne son avis en
essayant de rester le plus
I- les causes
- La première erreur remonte aux temps de la colonisation de
l’Australie par les européens.
Les colons coupèrent les arbres qui absorber l’eau de pluie.
Bouleversant alors l’écosystème australien.
- l’Australie est un pays aride, où les sols sont très riches en sel
(plusieurs milliards de tonne). Donc inadapté pour une
agriculture intensive. De plus le fleuve Murray le plus grand
d’Australie a un débit inexistant, il est maintenu artificiellement
par des barrages car ses affluent son à sec. Or son eau est pompée
par 60 000 agriculteurs qui pompent sans compter et qui cultivent
du riz ou du coton très gourmant en eau sur des terres arides.
les australiens ont beaucoup
d’eau au nord grâce au climat
tropical, mais vivent au sud dans
les villes sèches qui puisent trop
d’eau dans les rivières.
- les agriculteurs ont des quotas imposés par l’Etat de plus en plus
sévère pour limiter la consommation excessive.
- en contrepartie l’Etat donne du soutient psychologique aux
agriculteurs et essaye de racheter leur quotas en leur trouvant un
- abandon d’une agriculture cultivatrice au profit de l’élevage.
- augmentation du prix de l’eau.
- changement radical du mode de vie des australiens : restriction de
l’eau et interdiction d’utiliser un système d’arrosage automatique ou
d’arroser certains jours de la semaine.
- écovillages (6 en Australie) où les habitants consomment peu et
réutilise l’eau.
Mais deux grandes solutions s’opposent :
Les usines de dessalement ou la réutilisation des eaux usées.
L’Australie mise
beaucoup sur les usines
de dessalement pour
résoudre leur problème
d’eau. Les usines sont
couteuses, mais les
grandes villes profitent
de leur croissance pour
construire leur usine
(Perth a la plus grande
usine de dessalement à
osmose inverse de
l’hémisphère sud). Les
usines de dessalement
sont très énergivores,
mais les villes
australiennes
s’engagent à construire
avec l’usine des fermes
A cette solution très couteuse, beaucoup d’écologistes
s’y opposent préférant limiter la demande en eau
comme pour les agriculteurs plutôt que d’augmenter
l’offre. La première solution serait d’abord de recycler
l’eau qui l’est très peu, pour le prix d’une usine de
dessalement, les foyers de la ville de Sidney pourraient
être équipés de réservoirs pour récupérer l’eau de pluie,
et donc plus besoin d’une usine de dessalement qui
augmenterait l’offre et donc le gaspillage. Mais la
culture australienne n’est pas habituer à la réutilisation
des eaux usées, donc seuls les agriculteurs profitent de
ce système, et parfois l’eau traité est rejeté en amont de
la rivière pour âtre retraité en aval.
IV- Conclusion
L’Australie n’a pas encore trouvé de solutions à long terme.
Étant un pays des plus pollueurs au monde et n’ayant pas signé
les accords de Kyoto. Les écologistes étaient discrédités mais
avec le trou dans la couche d’ozone, l’Australie est de moins en
moins protéger face aux rayons du soleil et est directement
touché par leur comportement (effet pervers d’agrégation), les
australien sont aujourd’hui l’un des pays les plus écologistes. A
l’image de l’actuel du ministre de l’écologie Peter Garett, ancien
leader du groupe de rock « midnight oil » qui défendait déjà
l’écologie avant la grande sécheresse.
http://www.youtube.com/watch?v=bDkwUlaJhs0
I- http://oeil-sur-la-planete.france2.fr/51412833-fr.php (à partir de 1H21) ou
http://info.francetelevisions.fr/video-info/index-fr.php?id-video=000029028_CAPP_Australielepaysdelacha
http://www.guardian.co.uk/world/2006/nov/08/australia.drought
http://www.suez-environnement.fr/fr/activites/l-eau/nos-metiers/dessalem
Le site de Suez, l’entreprise qui a
construit l’usine de Perth, est donc
fiable, on est assuré d’avoir les
bons chiffres et les informations
suffisantes. On apprend aussi que
Suez a gagné un nouveau contrat
pour une nouvelle usine en
Australie dans le Victoria.
Le seul inconvénient c’est que Suez
expose ses usines de dessalement
pour se faire de la pub, et donc on
ne peut pas savoir si le dessalement
des eaux de mer est la meilleure
aborde un sujet intéressant, celui
des coûts économiques des
solutions préconisées en
Australie pour combler la
pénurie d’eau. De plus il est très
objectif car il ne défend pas une
solution plutôt qu’une autre. Il
décrit la situation et expose des
résultats chiffrés de l’usine de
Perth qui sert d’exemple pour
l’article.
Le seul défaut c’est qu’il est
vieux (2007), mais quand on le
compare avec des articles
récents on voit que le débat
entre usines de dessalement et
recyclage de l’eau persiste
toujours. Et qu’au final la
politique n’a pas beaucoup
évoluer car aucune des deux
poussières »
http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/L-eau-en-danger/2460298,C