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Concours

d’histoires de vie.
Dont le premier prix :1000€

organisé par l’association


IMNLP-P édition.
http://www.imnlp-p.org
Programmation Neuro-Linguistique

Existerions-nous sans nos


croyances ?

Ne serions-nous d’abord ce que


nous croyons et en quoi nous
croyons ?

Nos croyances dirigent, dessinent et


sculptent notre parcours de vie mais
notre vie n’est-elle pas une
succession d’histoires ?
Dans cet espace, nous vous proposons
certaines de ces histoires de vie et nous
vous invitons à participer à cette
compilation.

En attendant nous vous invitons à vous


laisser toucher par chacune de ces
histoires. Ecoutez les mots dans votre
cœur aussi bien que dans votre tête.
Savourez chaque histoire. Demandez-
vous ce que chacune éveille en vous ?
Certaines vont vous faire rire, d’autres
vont vous émouvoir .

Essayez de les saisir et de les


comprendre au-delà des mots car ces
histoires peuvent être des métaphores.
Prenez votre temps pour comprendre leur
essence.
Ces histoires sont là pour vous
inspirer et vous motiver.
Vous êtres invité à revenir plus souvent
sur cet espace :
http://www.imnlp-p.org
:
et de participer à cette collection
d’histoires de vie, en nous soumettant
d’autres histoires ; la vôtre ou une autre
qui vous a touchés ou émus.

Si une histoire vous émeut, partagez-la


avec d’autres personnes, si une histoire
vous fait penser à quelqu’un que vous
connaissez, appelez-le et racontez-lui.

De notre côté, nous espérons que vous


aurez autant de plaisir à lire ce livre que
nous en avons eu à l’écrire.

Partagez avec nous. Nous aimerions


connaître vos réactions aux histoires,
faites-nous savoir celles que vous
préférez and comment elles vous ont
touchés.

Nous vous invitons à nous soumettre les


histoires que vous aimeriez voir publier
sur cet espace.

Peut-être seront-elles sélectionnées pour


faire partie de la version papier et du
concours organisé par la maison d’édition
de l’association imnlp-p.org.

De nombreux prix sont prévus dont le


premier est de : 1000 euros plus sept
copies du livre.

Il était une fois un aigle … (histoire


extraite de L’Heure ? C’est maintenant ! Axel
Bourgais)

Il était une fois un paysan, qui un jour,


décida d’aller chercher des herbes
médicinales dans la montagne. Pendant
sa cueillette, il remarqua un œuf, posé
entre deux pierres. Il le ramassa et de
retour à la ferme, il le déposa sous une
poule qui couvait des œufs dans son
poulailler. Quelques semaines se
passèrent et les œufs éclorent.
Il y eut une bonne douzaine de petits
poussins tout jaunes et tout mignons et,
parmi eux, il y en avait un qui était plutôt
chétif et plutôt gris. Il est vrai qu’il avait
quelques difficultés à faire comme les
autres : gratter le sol pour trouver des
petits vers, chanter comme un poulet…
Quelque temps plus tard le paysan
s’aperçut que c’était plutôt un aigle mais
ni les oiseaux du poulailler, ni ses frères
poulets, ni même lui ne le savaient. Alors
il passa toute sa vie à gratter le sol, à
chanter comme un poulet et à battre des
ailes sans pouvoir voler.
Vers la fin de sa vie, alors qu’il chauffait
ses vieux os au soleil, il aperçut un aigle
qui volait dans le ciel. Il le regarda les
yeux plein d’admiration : cet oiseau
majestueux, avec ses ailes déployées et
qui semblait planer dans les airs. Il était
ébahi de voir un si bel oiseau et il se prit à
rêver de pouvoir lui ressembler.
Un de ses copains du poulailler venait de
le rejoindre et lui dit : « Qu’est-ce que tu
fais ? Je t’ai cherché partout ! » Il lui dit :
« Regarde, regarde, cet oiseau magni-
fique ! ».
« Allez viens ne reste pas ici, c’est un
aigle et il vaut mieux ne pas se faire
remarquer. » dit son ami. « Viens , allons
nous-en chercher des vers. »
Illustration de Claudie Woehrlé

L’Extra-terrestre. (histoire extraite de


L’Heure ? C’est maintenant ! Axel Bourgais)

Il était une fois un humain qui avait invité


un gentil extra-terrestre qui n’avait jamais
visité la Terre. Une fois arrivé sur la Terre
l’extra-terrestre est reçu par son hôte
humain et celui-ci le dirige vers une
voiture, ouvre la portière et lui demande
de s’installer dans le véhicule. L’extra-
terrestre n’ayant jamais vu de voiture
demande à l’humain : « C’est quoi cette
chose ? » L’humain répond : « C’est un
véhicule qui va nous servir pour aller chez
moi. »L’extra-terrestre s’installe comme
suggéré puis son hôte entreprend de
conduire la voiture.
Au cours du trajet l’extra-terrestre
demande :
« C’est un véhicule que vous, les
humains, fabriquez ? ». Son hôte lui
répond : « Oui, oui. »
Au cours du trajet l’extra-terrestre voit des
immeubles, des gens qui s’appliquent à
construire des maisons, d’autres en train
de nettoyer la chaussée pendant que
d’autres réparent les trottoirs. Une fois
arrivés devant la maison l’extra- terrestre
demande si tout cela aussi est fabriqué
par les humains. « Oui, oui », répond
l’hôte.
En rentrant à la maison l’extra-terrestre
est reçu par l´épouse de son hôte et il
remarque que
celle-ci est physiquement différente mais il
se retient de poser des questions, regarde
les meubles et le décor dans le salon de
la maison et demande :
« C’est vous qui fabriquez tout cela ? »
Son hôte répond : « Oui, oui, c’est nous
les humains qui fabriquons tout cela.»
« Alors comment faites-vous pour faire
tout cela et qu’est-ce que vous êtes en
train de fabriquer en ce moment ? »
L’hôte, réalisant que l’extra-terrestre ne
comprend pas, rectifie : « Enfin, ce n’est
pas moi qui ai fabriqué tout cela. Ce sont
d’autres humains qui l’ont fait pour moi.»
« Et vous, qu’est-ce que vous avez fait
pour eux ? »
« Je les ai payés avec de l’argent.»
« C’est quoi l’argent ? »
« Oh, l’argent, c’est un concept », répond
l’hôte.
« Un concept, que voulez-vous dire ? »
« Eh bien, euh…c’est une représentation
abstraite, mais ce qui compte, pour nous,
les humains, c’est que nous y croyons et
ça nous suffit. »
« Si j’ai bien compris, vous, les humains,
vous croyez en des choses abstraites,
mais comment les autres savent-ils
fabriquer tout cela et pas vous ? »
« Non, non, voyez-vous, nous, les
humains, nous sommes tous différents.
Les uns sont bons à faire une chose
pendant que d’autres savent faire autre
chose, alors nous profitons du savoir des
uns et des autres. »
« Ah, je comprends » dit l’extra-terrestre
« et vous, qu’est-ce vous leur apportez ? »
« Moi, je suis médecin », répond l’hôte.
« Et qu’est-ce que vous leur donnez en
tant que médecin ? »
« Je leur conseille des médicaments une
fois que je sais ce qui ne va pas bien avec
eux.»
« Pourquoi ? Il y a des humains qui ont
des choses qui ne vont pas bien avec
eux ? »
« Ça dépend, mais il y en a qui font des
choses dures ou qui ont un travail dur ou
dangereux. »
« C’est quoi dur, dangereux ? »
« Dur, euh…….je ne sais pas comment
expliquer, disons, c’est difficile, c’est le
contraire de facile. »
« Je comprends, c’est quelque chose que
vous n’arrivez pas à expliquer. Et c’est
quoi dangereux ? »
« Dangereux, c’est quelque chose qui
peut détruire notre corps ou notre façon
de réfléchir et de penser… »
« Alors pourquoi les autres humains
acceptent-ils de faire ce qui peut détruire
leurs corps et leur façon de réfléchir, est-
ce que vous les obligez à le faire ? »
« Non, non, personne n’oblige personne à
faire quoi que ce soit. »
« Alors pourquoi acceptent-ils de faire ce
qu’ils font ? »
« Oh, ce sont eux qui pensent qu’ils ne
peuvent pas faire autrement. »
L’extra-terrestre continue : « En venant ici,
j’ai vu des gens balayer, construire et
d’autres réparer le trottoir, c’est ce que
vous appelez dur ?
« Oui, en quelque sorte. »
« Et vous ne voudriez pas faire ça parce
que c’est dur ? »
« On peut dire ça comme ça, mais comme
je vous ai expliqué, nous sommes
différents et c’est ce qui fait notre richesse
», répond finalement l’hôte, puis,
inconsciemment, il prend la
télécommande de la télévision et
l’allume.
C’est l’heure des nouvelles et le
journaliste annonce et montre des images
de guerre. En voyant cela l’extra-terrestre
demande : « Que font-ils ces humains, ils
ont l’air de faire des choses dures et
dangereuses ! » Et l’hôte répond : « Ça,
c’est la guerre, ils se battent parce qu’ils
ne sont pas d’accord.»
« Pourquoi ne sont-ils pas d’accord ? »
« Ils ne sont pas d’accord parce que
chacun pense différemment.»
« Qu’est-ce ça veut dire différemment ? »
demande l’extra-terrestre.
« Différemment, c’est comme différent »,
répond le médecin.
« Je croyais que différent était un
avantage pour vous, les humains ! »
« Oui, oui, du fait que nous sommes
différents, nous pensons différemment et
chacun pense que l’autre a tort »
« Et c’est pour cela que vous vous
battez ? »
« Oui, on peut dire ça comme ça. »
« Alors, pourquoi n’arrêtez-vous pas de
penser tout simplement ? »

L’épicier. (histoire extraite de L’Heure ? C’est


maintenant ! Axel Bourgais)

Un vieil épicier dans un quartier pauvre de


la ville avait laissé un testament à son fils :
« Ne dors que dans des draps en soie, ne
mange que du caviar et du foie gras, ne
bois que du champagne et, entre les
repas, ne mange que des petits fours et
du chocolat raffiné. »
Après le décès de son père, le fils trouva
le document et partit demander à un ami
de son père de le lui expliquer.
L’ami de son père lui répondit: « Ton père
est en train de te dire dans son testament
que l’information est entre les lignes, que
si tu travailles dur et que tu restes ouvert
le plus longtemps possible, en t’allongeant
n’importe où tu auras l’impression que tu
es dans des draps en soie, si tu pousses
la faim à ses limites, tout ce que tu
mangeras te semblera et t’apportera
autant de plaisir que du caviar et du foie
gras, si ta soif est telle, l’eau du robinet te
paraîtra du champagne de première
qualité ! »

Le partage de l’héritage. (histoire


extraite de L’Heure ? C’est maintenant ! Axel
Bourgais)

Ce vieil arabe traversait une partie du


Sahara sur son chameau. Il avait soif
quand il rencontra un gamin aux abords
d’un campement et il lui demanda s’il
pouvait lui offrir à boire. Le gamin courut
vers une tente et revint avec une gourde
pleine d’eau fraîche qu’il tendit au vieil
homme. Ce dernier en avala d’un trait le
contenu et après coup seulement réalisa
qu’il avait oublié de remercier l’enfant.
Pour se racheter, il dit au gamin : « Pour
te remercier tu peux me demander tout ce
que tu veux ! »
L’enfant sans hésitation lui dit « Vous êtes
sûr ? Tout ce que je veux ? »
« Oui, oui », lui répondit le vieillard, « tu
viens de me sauver la vie ! »
Sur ce, le gamin lui demande de
descendre de son chameau et de venir
sous la tente. Intrigué et quelque peu
inquiet, le vieillard s’exécute et le suit
sous la tente.
Une fois sous la tente, il trouve deux
autres enfants, le plus grand le reçoit et lui
dit :
« Voyez-vous notre père vient de mourir
et il nous a laissé 17 chameaux à nous
partager. Nous sommes trois frères, moi,
mon cadet et le petit frère celui-là. Selon
son testament je dois garder la moitié des
chameaux, mon frère cadet en reçoit le
tiers et le dernier le neuvième. Mais nous
avons 17 chameaux et nous ne pouvons
pas diviser selon la volonté de notre père
sans en couper un pour le mettre en
morceaux car le nombre est impair. (Eh
bien, oui !!! 17 divisés par deux, ça fait 8
chameaux plus la moitié d’un !!!)
Le vieux bonhomme réfléchit un instant et
répond: « Ah, je vois que vous avez un
problème !
Je viens de proposer à votre frère de lui
donner ce qu’il voulait. Est-ce que vous
voulez que je vous aide à régler ce
problème ?»
Ravis, les frères s’exclament « Mais
comment ? »
« Et bien je vais vous donner mon
chameau » et il continue « comme ça
vous aurez 18 chameaux ! »
« Toi l’aîné, tu as droit à la moitié, ce qui
fera 9, toi son cadet tu en auras le tiers
c’est à dire 6, et toi mon ami », en
s’adressant au plus petit, « tu as droit au
neuvième et par conséquent tu auras
deux chameaux. »
Mais s’exclama le petit : «9 + 6 + 2 ça ne
fait que
17 ! »
Et le vieux de répondre avec un sourire
« et bien maintenant que mon chameau
ne vous sert plus à rien, je peux le
récupérer pour continuer mon chemin ».

L’Homme à bicyclette. (histoire extraite


de L’Heure ? C’est maintenant ! Axel Bourgais)

Un ancien gardien de port, à la retraite,


rencontre un jour une personne qu’il
connaissait quand il était responsable de
la sécurité du port et lui dit « Tiens, je te
connais toi, tu travaillais au port. Mais au
fait qu’est-ce que tu faisais comme
travail ? » L’autre le regarde d’un air
amusé, ricane et lui dit. « Oui, oui, je te
reconnais, tu me contrôlais tous les soirs
en sortant et tu avais l’air de me
soupçonner de quelque chose. »
L’ex-gardien répond : « Oui, tu as raison,
quelque chose en moi me disait que tu
n’étais pas très clair, mais je ne savais
pas ce que c’était ! » L’autre ricane encore
et répond « Et pourtant tu me fouillais tous
les jours et tu ne trouvais rien ! » L’autre
répond « C’est vrai je ne trouvais rien
mais mon instinct me disait qu’il y avait
quand même quelque chose. Alors
maintenant que tu sais que je suis à la
retraite, tu peux peut-être me dire ? » Et
l’autre lui dit : « Tu me fouillais parce que
tu pensais que je volais des choses ? »
« Oui » avoua l’ex-gardien.
« Je ne volais pas des choses, je sortais à
vélo.» « Oui, je sais, tu étais toujours à
vélo ! »
L’histoire continue et dit que le bonhomme
en fait volait un vélo par jour dans
l’enceinte du port et sortait avec.
Croyez-vous qu’une telle histoire puisse
être vraie ?

Un père, son fils et leur âne.


(Axel Bourgais)

Je vais vous raconter l’ histoire d’un père


qui voulait donner une leçon à son fils.
L’histoire se passe dans un pays d’Afrique
où le moyen de transport le plus utilisé est
l’âne. Ce monsieur a demandé à son fils
de l’accompagner au marché qui se
trouvait à une dizaine de kms du village
pour vendre les légumes et les fruits de
leur production.
Ils ont vendu toute leur marchandise au
marché et ont pris le chemin du retour.
Le père a alors demandé à son fils de
monter sur le dos de l’âne.
Pendant qu’ils traversaient les villages, ils
ont entendu les gens dire « Oh regarde, il
est sur le dos de l’âne et il laisse son
pauvre père marcher derrière ! »
Le fils, se sentant mal à l’aise, descend de
l’âne et propose à son père de monter sur
l’âne pour continuer le voyage. Et là
d’autres villageois s’exclament « Oh
regarde, il voyage sur le dos de l’âne et
laisse son pauvre fils marcher derrière ! »
Alors le père descend de l’âne et ils
décident de continuer le voyage à pied
quand ils entendent d’autres villageois
dire « Oh regarde, les imbéciles, ils
voyagent à pied alors qu’ils ont un âne ! »
Sur ce ils décident de monter tous les
deux sur l’âne pour continuer le voyage.
Et là, ils entendent, en dépassant des
villageois « Oh regarde, les salauds, ils
sont tous les deux sur ce pauvre animal! »
La morale de cette histoire est bien sûr
qu’on ne peut pas plaire à tout le monde.

L’union fait la force. (Sara Elghoul)

C’est l’histoire d’un homme qui veut


donner un exemple à ses enfants sur
l’avantage de l’union.
Il ramasse des bâtons et appelle ses
enfants et leur demande de prendre
chacun un bâton et de le casser. Chacun
des enfants réussit à casser le bâton
facilement.
Puis le père ramasse ensuite plusieurs
bâtons et en fait une gerbe. Il demande
alors à ses enfants de casser la gerbe.
L’aîné essaie et n’y arrive pas et les
autres non plus. Ils essaient l’un après
l’autre mais en vain. C’est donc ainsi que
les enfant apprennent que lorsqu’il
s’unissent ils sont plus forts.
.

Apprends à écrire tes blessures


dans le sable et à graver tes joies
dans la pierre. (Sara Elghoul)

C’est l’histoire de deux amis qui


marchaient dans le désert. A un moment
ils se disputèrent et l’un des deux donna
une gifle à l’autre. Ce dernier, tout
endolori mais sans rien dire, écrivit dans
le sable : « Aujourd’hui, mon meilleur ami
m’a donné une gifle »
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent
un oasis dans lequel ils décidèrent de se
baigner. Mais celui qui avait été giflé
manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une
pierre : « Aujourd’hui, mon meilleur ami
m’a sauvé la vie »
Celui qui avait donné la gifle et avait
sauvé son ami lui demanda : « Quand je
t’ai giflé, tu as écris sur le sable et
maintenant que je t’ai sauvé de la noyade,
tu as écris sur une pierre : Pourquoi ? »
L’autre répondit : « Quand quelqu’un nous
blesse nous devons l’écrire sur le sable où
les vents du pardon peuvent l’effacer,
mais quand quelqu’un fait quelque chose
de bien pour nous, nous devons le graver
dans la pierre où aucun vent ne peut
l’effacer »

Le désir. (Extrait de : Le Bonheur,


comment ? Claudie Woehrlé)
Un étudiant Zen demanda à son maître
quand il pourrait atteindre la sérénité
suprême. Son maître lui répondit . “Quand
ton désir sera le plus fort, tu l’atteindras”.
L’étudiant frustré et qui avait passé des
années à suivre les enseignements de
son maître pensait que son désir était
assez fort. Son maître, sentant sa
frustration, l’amena au bord d’un étang
pour lui donner une leçon sur le désir.
Ils entrèrent dans l’eau et quand celle-ci
fut au niveau de leur taille, le maître
demanda à l’élève de s’agenouiller dans
l’eau. Il l’aida même en lui poussant les
épaules et en lui maintenant la tête sous
l’eau.
Après quelques minutes l’élève
commença à avoir du mal à respirer et
voulut sortir sa tête de l’eau. Son maître fit
tout pour le maintenir de force sous l’eau.

Le maître et l’élève luttèrent et finalement


l’élève put sortir sa tête de l’eau un
instant et reprendre son souffle. Plein de
rage, il cria à son maître “Vous êtes en
train d’essayer de me tuer !”. Le maître
répondit “quand ton désir d’atteindre la
sérénité sera aussi fort que ton désir de
respirer, tu seras arrivé”.

Peut-être la vôtre ici. …


http://www.imnlp-p.org

( vous pouvez taper le texte de


l’histoire que vous voudriez publier
en cliquant ICI.
Vous pouvez aussi le copier depuis
votre application de traitement de
texte et le coller dans l’espace prévu,
puiscliquer sur le bouton envoyer).
Il faut prévoir 24 heures pour que
nous puissions traiter votre
publication.

Merci pour votre participation et à


bientôt.

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