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LES CHARS DE DEFENSE ANTIAERIENNE 1945 1939 y Par Laurent Tirone TIAERIENNE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE Malgré la puissance des armes dont dispose I ifanterie, le principal adversaire d'un char demeure un autre char. Si cette notion n‘est pas totalement comprise par certains belligérants de la Seconde Guerre mondiale, comme les Etats-Unis, elle demeure une constante q régit les batailles. Néanmoins, le char de combat doit affronter un adversaire qui, s'il n’est pas le plus efficace, représente une géne considérable. Ainsi, l’aviation d’assaut, outre son réle d’appui en faveur des divisions mécanisées, se révéle étre une source de nuisance considérable pour I'adversaire. Armés de canons, de roquettes ou de bombes, les avions sément la terreur dans les rangs de ceux qui doivent subir leurs attaques. Face a cette menace, et lorsque la chasse amie n’est pas ou plus disponible, les différents protagonistes développent des systémes de défense contre les avions (DCA). Go nr Gest Ty Protéger une unité mécanisée de laviation d’assaut adverse est une opération plus complexe qu'il n'y parait. Au début de la Deuxiéme Guerre mondiale, les armées des protagonistes sont équipées de canons: de faibles calibres, généralement de 20mm. Tractées. par des camions ou des véhicules légers, ces ermes ites antiaériennes sont mises en batterie aumoment ‘ou es avions ennemis tentent de lancer une attaque. Los servants doivent alors dételer leurs pices, les ‘mettre en position de tir et, enfin, ouvrirle feu... si les cibles potentielles sont encore [8 ou sills n'ont pas eux.mémes subi les foudres des assallants ! Une autre tactique, plus préventive celle-13, consiste & ‘envoyer ces mémes piéces sur les hauiteurs environ~ antes, afin qu‘elles se déploient avant que aviation adverse ne soit en mesure de porter son attaque. Une fois I'unité mécanisée amie hors du céne de protection des armes antiaériennes (moins de trois metres), ces demiéres démontent, avant de se porter sur une autre hauteur, et ainsi de suite. En cas {de défense statique d'une position, les servants choi- sissent les emplacements les plus adaptés. Le plus ‘souvent, les armes antiaériennes sont positionnées des endroits disposant du champ visuel le plus important. Ces positions préétablies limitent le temps de réponse des canons ; mais en contrepartie, une fois repérées, elles deviennent les cibles 8 détruire en prioité par aviation adverse. Face 4 des assailants ‘venus du ciel, le facteur prépandérant est la rapidité de mise en batterie ou la capacité & changer sens délai de position, une fois la présence des pices dévoliée & I'ennemi. Le tractage des armes antiaé- <4 Son engin camcuté on bate do pai, chet de char un Wibotand obser, en {544 cel do Santa, a {echerche dvenuas avions ‘Gaseaulaaverses. Cone ses pradécessours o Fakpanzor1V ‘Wibeiind ost un vehewo de ‘dense antenna, eutitsant Ie chasse eprouue du Panzer V. [Cangin eet doté une toueto rota, bindée 8 hauteur de 1G mm atowertesurle dessus, ocustant un ponte et soux mn airing S38 20m. aft quadruple afiche ‘une cadence dei de 800 coups at minuto. La dotaon en munitions fs de 3200 pojecios de 2om, undoseret-darehi rionnes se heurte donc & une double dificuté : d'une par, le temps de réponse est trop lent pour mettre fen échec des attaques éciairs et, d’autre part, les véhicules tracteurs doivent étre en mesure de suivre le ythme de progression des engins chenilés. Monter, lune arme antiarienne sur la plate-forme arrére d'un ‘camion réduit le temps de mise en batterie, mais pose deux probleme : les véhicules &roues n‘ont pas la méme mobilté que les chars etl protection offerte ‘au servant, sans compter celle des organes mécani- ques du camion, est faible voire inexistante. Vutiisation de semi-chenillés ne répond que partie Jement & ces problématiques. Face aux balles de ‘mitraileuses ou aux éclats d’obus et de bombes, leur ‘cuirasse est un peu plus efficace, mais leurs perfor ances en toutterrain demeurentinférieures a calles affichées par les chars de combat. En outre, un ‘éronet volant en rase:mottes & 400 km/h demeure lune cible difficile & toucher, 'abattre est une tout ‘autre histoire... En effet, au fur et & mesure que le Confit avance, les avions d’attaque au sol se per {ectionnent et adoptent des « baignoires » bindées, protégeant les plotes, ou des réservoirs auto-obtu- rants. Les armes antiaériannes doivent lors s'engager dans une course & 'armement, nécessitant de di poser de canons de plus gros calibres ou de jumeler, Yoire quadruples, des tubes de plus petits diamétres. Dans tous les cas, une constante apparait : les sys- ‘temes de DCA s‘alourdissent et demandent des véhicules de plus en plus volumineux pour les trans- porter. Toutefois, concernant les atmes de petits calibres, de 20 8 40 mm, le faible recul ne nécessite pas Iutiisation de chassis trop lourds, La montée en puissance deviation pousse certaines ames & moto- riser des tubes antiaériens de 8,8em ou de 90 mm. 80m Fok, a pidoo anaéienne Mt do 90 rm ‘amétcaine et op loud pour pour te deploys rapidement. Dan oto ie tubs est mutable ot “demande Un toms de préparation incompatle ‘avec la rape dun ‘asst aaron En rglo ‘éneralo, os armas oo go calor sont ais ‘mbme chen, car leur ‘oncombrement ma 8 leur bonne integration Les ingéniours sont alors ‘obliges dose rabare sur des ares de lus pots cles tn ‘torso anlaaronne La puissance de ces piéoes nécessite, ‘en revanche, des plates-formes volumi- neuses at suffisamment résistantes pour encaisser les forces de recul. La plate- forme d'un char résout la plupart des problames. Le blindage de la caisse ‘apporte, il est vai, une protection aux fragiles organes mécaniques, etl train de roulement chenillé permet de suivre le rythme de progression des chars de ‘combat « cassiques ». Enfn, les engins disposent de l'architecture nécessaire our mettre en cauvre une plateforme dde combat pivatant sur 360°, Le train de roulement entireent cherilés'im- pose done de lu-méme. Les premiares armes de DCA instalées surles chassis de char conservent, toutefois, leurs affots de campagne, L’équipage a alors besoin d'un certain laps de temps pour '8e mettre en position avant d'ouvrir le feu. En outre, les hommes sont trés vuinérables aux trs plongeants des avi- ons. En effet, ces vehicules spécialioés dans la défense antiaérienne se trans- {orment rapidement en cibes prortaires canons de fore ealras jo sont desines aux fae pour les plotes. La nécessité dune tou: ralle capable dabriter des armes prétes 2 faire feu, et offrant un minimum de protection, commence & se fare sentir. Les ingénieurs sont également confron- {és & une autre difficulté: les servants, souvent nombreux, ont besoin d'espace our pouvoir se mouvoir, mais ils ont ‘aussi besoin d'une protection intégrale. TToutefois, calleci ne doit pas forcement atre épaisse. A cela, il faut ajouter la nécessité de disposer du plus grand secteur vertical, de préférence 90°, ‘pour pouvoir prendre & partie les avions ‘sous tous les angles d‘attaque possibles. Le probleme des hautes cadences de tir, qui générent des gaz et des pous- sires en grandes quanttés, vient encore compliquer la tache. La tourelle doit donc disposer d'un systéme d’aération cefficace, pour queles servants ne soient pas asphyxiés. Toutes ces conditions expliquent les difficultés de mise au point des chars de DCA. Ainsi, les ‘modeles les plus performants, dévelop- pés par les Allemands, car confrontés 8 la supériorté aérienne allée, n’appa- raissent qu’ la fin du conflit, comme le Flakpanzer 1V Kugelblitz, armé de deux canons de Sem Flak 109/38, pla- ccés dans une tourelle fermée. Ce char antiaérien peut méme étre considéré comme un matériel résolument modeme, au sens des engins construits aprés- ‘guerre, Les études faites aprés I'inter- vention de I'aviation o’assaut prouvent ‘que leur impact réel est & relatviser. Les, avions demeurent des plates-formes de tir des plus médiocres, car leur instabité ‘gene considérablement la précision de leur feu. Objectivement, un char n’a que peu & craindre de leurs actions. L’impact ppsychologique est, en revanche, bien ‘éel, au point de paralyser les mouve- ments d'une armée, voire de la forcer ‘a abandonner une offensive. Et que dire des colonnes de ravitailement qu, elles, redoutent a juste ttre apparition dans les cieux des avions ennemis. Une ‘menace aérienne qui ustfiearrivée sur le champ de bataille des chars de défense antiaérienne, So uss FLAKPANZER Au sein de I'Armée allemande, le concept du véhicule de défense antia érienne n'est pas une idée newve puis- ue, deja, lors de la Grande Guerre, les ‘troupes du Kaiser disposaient de canons de 76,2 mm montés sur camions. Les Cibles des BAK, ou Ballon Abwher Kanone, ne sont pas directement les, Avions, mais plus les ballons d’obser- vation d’artillerie. Aprés guerre, le « Diktat » de Versailes mite fortement le développement de ces systémes G'arme. Toutefois, dans le plus grand Secret, cotte interdiction ne freine pas les études dévolues & ce type de maté- Tiel. Ainsi, dés les années 30, les ingé- Nieurs allemands mettent au point la Piéce lourde antiaérienne de 8 Bem et Une arme plus légere, le Flak 30 de 2cm. En 1934, alors que les théories, du « Blitzkrieg » (Guerre éclair) com- ‘mencent a s'imposer au sein de I'état- major allernand, la Flak (Unités de bat- ‘eres antiagriennes) est progressivement détachée de la Heer (Compasante tor- Festre de Armée allemande|, Hitler en Confiant la gestion & la Luftwatfe (Armée de I'air), en juin 1935. Pour Heinz Guderian, aviation est 'une des ‘composantes essentielles de la guerre ‘de mouvement, les apparels d’attaque ‘au sol étant censés ouvrir la voie aux Panzer-Divisionen (Divisions blindées). Naturellement, par réciprocité, la Wehrmacht (Armée allerande) décide de se prémmunic face & aviation adverse ‘en équipant ses unités de pices antia~ riennes. Paradoxalement, bien que les Allemands soient précurseurs dans ce domaine, les limitations industrielles ‘Génent considérablement la motorisation de la Flak et, au début de la guerre, \essentiel de la couverture antiagrienne st assuré par des mitralleuses embar- uées ou bien par des pidces tractées, Des solutions peu satisfaisantes, car le temps de mise en batterie de ces der- niéres est parfois incompatible avec les ‘attaques surprises de aviation ennemie. Enoutre, aussi puissant soit, le 8. 8om demeure une arme lourde et pou ‘manceuvrable, Le verdict simpose donc de luméme : il faut, codte que code, ‘que la Fiak puisse suivra la rythme des chars, tout en réduisant le temps de réponse des piéces antiaériennes. Les engins @ roues étant incapables de se ‘maintenir au niveau des Panzer lorsque le terain se fait citficila et faute de chas- sis tout chenillés disponibles, les Allemands optent pour des conversions ‘sur des semi-chenilés, comme le So. Kz 70 armé d'une piéce de 2cm. Cet engin constitue d’silleurs le gros de la défense antiaérienne des formations blindées de la Wehrmacht, durant les premiéres années du confit. Sile gain en mobil est sensible, par rapport a des camions tracteurs, la protection des Panzer n'est toujours pas assurée dans toutes les conditions. Un début de solution est toutefois trouvé dans les premiers mois do'année 1941. La mise en service en. plus grande quantité de Panzer i et IV permet de récupérer des chassis de blinds obsolétes comme le Panzer I Un Flak 38 de 2cm est alors greffé sur tun Panzer | Ausf. A, préalablement détourellé. Construit en petite série, le Flakpanzer I n'est pas une grande réus- site en soi, mais il montre la voie& sui vre. Si jusqu’a présent la chasse alle ‘mande parvensit 8 assurer la couverture ‘aérienne des Panzer, la guerre l'Est va changer la donne. Dominatrice dans un ‘premier tomps face & aviation soviet- ‘ave, la Luftwaffe marque progressive ment le pas. La multiplication des fronts (frique, Russie et défense du Reich face aux quadimoteurs ais) due les moyens de la Jagdwatfe qui peut de moins en ‘moins offrr son ombrelle protectrice aux Panzer Divisionen, de surcroit sur des laps de temps de plus en plus courts. (Ces demieres doivent des lors s'eppuyer sur les semi-chenilés, armés de tubes de Flak. Mais méme ces véhicules ppéchent par leur mobilité, toujours int re 2 celle des chars de combat. 'un poids de 25 tonnes, le FlatpanzorIV Ostia hss de Panzer WV. ‘Sa touralle hexagonal fbete un canon de 3 7em Flak 43 entique & cell Fakpanzor WV Mobetwagen. Maia Fabeence eo protecton dos sovanss est Eipenure a calle doce damier mai shove, haute de mates, ruta sa ceeréton Drchives Corkins Call Anderson Le Flakpancer 307) dust (Sake 140) ‘eprend le chess Sharir Pase 30. ‘Gun canon de 2am Flak $0 intat suria pare arte. Cate lees manque de pussance fe feu pour parent is pbs de avons Faseaul acverses. Soutfoe, 11 exempiaes teront assembles, Sunt peu coteuse. Brats resorts © tert Cnc Tas & Tks Magazine 2009 Fraxpanzer IV Ostwino 1939 (p LES CHARS DE DEFENSE ANTIAERIENNE 1945 © Pert Canc Ts & Tas Magie 207 Fiaxpanzer IV MGBELWAGEN (enh 8] € tert Cane / Tc & Tans Magaie 2007 ao Y ALA) En outre, les Flak 30 ou 38 de 2om se révélent désormais insuffisants pour venir & bout de la « mort noire » (voir encadré). Construits autour d'une « baignoire » blindée, les avions d’assaut soviétiques lliouchine Il-2, plus connus sous le nom de Sturmovik, sont difficiles & abattre. Ainsi, les avions d’attaque au sol soviétiques peuvent attaquer pratiquement en toute impunité les unités blindées allemandes, et surtout leurs colonnes de ‘avitaillement bien plus vulnérables. Malgré I'ur- gence de la situation, les projets de Flakpanzer trainent en longueur et la troupe ne dispose d’aucun matériel véritablement performant. En février 1943, le retour au premier plan d'Heinz Guderian permet aux Flakpanzer de devenir prio ritaires, afin de faire face a la situation sur \Ostfront. La puissance de l'aviation allie en Afrique du Nord a aussi marqué les esprits, et i devient plus qu’urgent de trouver un palliatif aux difficultés de la Luftwaffe, qui n'est presque plus en mesure d’assurer une couverture aérienne efficace. Plus que jamais, les Panzer-Divisionen ont besoin de véhicules chenillés capables de déployer une ombrelle antiaérienne. Les projets de Flakvierling de 2cm sur chassis de Panzer IV se transformant en arlésienne, une commande de 180 blindés reprenant la plate-forme du Panzer 38(t) est lancée. Désigné Flakpanzer 140, "engin enfin la mobilité nécessaire pour suivee le rythme des chars, mais son canon Flak 38 manque tou- jours de puissance pour abattre, 8 coup sor, les avions d’attaque au sol ennemis. La lenteur de sa mise au point est aussi problématique ; les. premiers exemplaires ne parviennent a la troupe ‘Que début 1944. Heureusement pour les soldats allemands, un autre engin est enfin sur le point d'etre finalisé : le Mabelwagen. Armé d’un Flak 43 de 3,7em, ce véhicule basé sur un chassis de Panzer IV a la puissance de fou nécessaire pour tengager les « Jabos », malgré une cadence de tir Un peu faible, Sa mobilité est jugée satisfaisante, ‘mais la protection offerte aux servants n‘est pas Supérieure a celle d’un Sd.Kfz, 10/4. Considérent que les solutions proposées ne répondent que Partiellement & la menace aérienne aliée et sovie- tique, Guderian édicte, début 1944, un cahier des charges pour un véhicule chenillé doté d'une tourelle blindée, pivotant sur 360° et emportant Angas pose devant un Mébelwagen apturbntact Le lekpanzer tstanmé dun canon de 2.7em Fak ‘#.Cotube de 69 calbre eo dee projecles dun poids do 1.248 flograrme, als cadenco 0 150 ‘oupe pat minute a ure cstance pratque de 2000 métes. La pece st serie par sichormes, en omptant le pte. On note que la Dlate-forme est en postion do route ‘Archives of the Medan Conic. ROOST Dun pois de 28 tonnes, lo Flakpanzer iV Méswagen reprend To-ensie un Panzer IV. 'engn ‘mosuro 5,02 m de ong, 298 m de argo ot afeho une hauteur de 2,73. Grice a es monsuratons Senstlement sms ay vehicle de base, le char de DCA slemand atin oe 38 kk en pom st pout ‘areaure 200 km avec les plans drchives Caahtre Colt Anderson au moins deux canons. L’accent est mis sur la mobilité, qui doit tre égale & celle des chars, et sur la puissance de feu. La pice monotube de 2cm ayant montré ses limites, Guderian demande ue es futurs engins de DCA muttiplient le nombre de tubes ou voient leur calibre augmenter. Une telle tache est hors de portée de l'industrie alle mande, qui combat a la fois sur le front de l'in- novation et de la production. La solution la plus rapide passe dés lors par une construction en « interne » de Flokpanzer. Commandée par le Leutnant Graf von Sehert-Thoss, la Panzer Ersatz Abteilung 15 étant désignée comme mattre d' cou: wre. De ses atelies sortent les blindés antiaériens les plus réussis du conflt. Les ingénieurs et mili- taires allemands greffent ainsi sur une tourelle ouverte le chassis d’un Panzer /V. Appelé Witbelwind, cet engin est armé d'un Flakvierling 38 de 2cm. La haute cadence de tir de I'affit quadruple permet de saturer d'obus l’espace aérien, Néanmoins, face aux Sturmovik, les obus de 2cm manquent encore de puissance d’arrét ricochant sur la baignoire blindée qui protage le pilote ou infligeant des dommages trop légers & la superstructure. Les Allemands mettent alors ‘au point 'Ostwind, armé d'un Flak 43 de 3,7em, également sur chassis de Panzer IV. Cette fois, la puissance des obus de 3, 7cm suffit a détruire tn II-2, mais la faible cadence de tir de la piece limite ses performances. En effet, les difficultés, cadrer un apparell volant impose de saturer espace d’obus afin d’avoir une chance de le ‘toucher. Dans certaines situations, oi la prise de visée doit étre tras rapide, les 150 coups par ‘minute permis par le 3, 7em sont insuffisants. En utre, les recharges de huit projectiles imposent ‘aux servants une manutention effrénéo. Bien que construits 8 pou d’exemplaires, 122 pour le Wirbelwind, les véhicules de défense antiagrienne allemand ont tout de méme un impact non nés| ‘geable sur l'activité des chasseurs-bombardiers alliés, confrontés des murailles de feu. Pour ‘compenser le manque de matériel adapté, la troupe doit d'ailleurs « bricoler » des engins anti ‘aériens, comme des Flakvierling 38 de 2cm mon- 16s sur des chassis de T-34. Le cOté psychologi- que d'une telle défense joue aussi a plein. Leur action peut ainsi refroidir les « ardours » des pilo tes alliés ou, au moins, géner leur prise de visée, Tea ce Patan Ragan. Add x

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