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La nouvelle baisse des retraites, déjà réduites de 40 % en moyenne, 14e baisse depuis 2010, ainsi qu’une libéralisation plus poussée des licenciements, ou même l’imposition des bas salaires, sont notamment au menu des « discussions » actuelles de la troïka.
L’expérience de défaite (ou de trahison -ce qui revient au même) de SYRIZA et l’intensification de l’attaque, y compris la transformation du pays en garde-frontières européen contre des flux de réfugiés, radicalisent des réponses à tout cela, de façon encore moléculaire mais cumulative. Et dans les deux sens d’ailleurs : anticapitalistes mais aussi nationalistes…
La nouvelle baisse des retraites, déjà réduites de 40 % en moyenne, 14e baisse depuis 2010, ainsi qu’une libéralisation plus poussée des licenciements, ou même l’imposition des bas salaires, sont notamment au menu des « discussions » actuelles de la troïka.
L’expérience de défaite (ou de trahison -ce qui revient au même) de SYRIZA et l’intensification de l’attaque, y compris la transformation du pays en garde-frontières européen contre des flux de réfugiés, radicalisent des réponses à tout cela, de façon encore moléculaire mais cumulative. Et dans les deux sens d’ailleurs : anticapitalistes mais aussi nationalistes…
La nouvelle baisse des retraites, déjà réduites de 40 % en moyenne, 14e baisse depuis 2010, ainsi qu’une libéralisation plus poussée des licenciements, ou même l’imposition des bas salaires, sont notamment au menu des « discussions » actuelles de la troïka.
L’expérience de défaite (ou de trahison -ce qui revient au même) de SYRIZA et l’intensification de l’attaque, y compris la transformation du pays en garde-frontières européen contre des flux de réfugiés, radicalisent des réponses à tout cela, de façon encore moléculaire mais cumulative. Et dans les deux sens d’ailleurs : anticapitalistes mais aussi nationalistes…
Lundi 27 mars 2017, mise jour Lundi 27 mars 2017, 10:56
Grce : le carcan europen toujours plus resserr La nouvelle baisse des retraites, dj rduites de 40 % en moyenne, 14e baisse depuis 2010, ainsi quune libralisation plus pousse des licenciements, ou mme limposition des bas salaires, sont notamment au menu des discussions actuelles de la troka. Comme le relve le rapport rcent de linstitut de recherche INE, avec la destruction de presque tout lappareil de dpenses sociales (notamment des diffrentes allocations), les retraites sont le seul lment qui continue jouer un rle dabsorption relative de la violence capitaliste. Cela correspond dailleurs lexprience des plusieurs familles ouvrires qui nont aucun revenu sauf la petite retraite des grands-parents. Casser ce dernier lment social renforcerait encore plus lefficacit des diffrents programmes europens d activation des chmeurs, dont la principale raison dtre cest de casser toutes les rgles minimales dun travail dcent. De mme, la discussion sur une refonte des lois sur le travail (comme lintroduction ventuelle du lock-out) ne vise pas tellement une nouvelle vague de licenciements, puisque ceux-ci ont dj montr leur efficacit redoutable : le niveau du chmage (officiellement 22,6%) a t stabilis autour de 30 % (29,6 % selon lINE, au dernier trimestre 2016) -en y comptant les cercles grandissants des dcourags (2,18%) et des ceux qui sont forcs des horaires et salaires rduits (5,4%), mais sans y inclure le 9,7 % du travail partiel (souvent galement forc) ou mme le 10 % de la force de travail (surtout jeunes diplms) qui a dj migr, ni bien sr la baisse terrible de la population active de 7,8 points depuis 2008 ( 53% en 2016) ! Il sagit plutt de renforcer le caractre marchand et individuel de la force de travail en supprimant ce qui reste des rgles collectives et en codifiant le rapport de force gagn par le capital. Dans le mme sens vont dailleurs les toolkits (boites outils) de lOCDE, notamment sur le systme ducatif (introduction des systmes de concurrence et dvaluation gnralise au sein du processus ducatif), et aussi, dans un autre registre, la gestion des dettes prives individuelles (qui ont explos grce la troka), notamment avec extension des saisies des maisons, dont la logique est de transformer la petite proprit en vrai capital. la pointe de ces transformations europennes, la socit grecque les subit en outre sous un mode thtral des marchandages interminables entre gouvernement(s), think tanks spcialiss (FMI, OCDE, ..) et instances europennes, qui en dplacent chaque fois la responsabilit, sauf sur un point prcis, lUE comme machine de guerre collective et sans apparence de lgitimit. Lexprience de dfaite (ou de trahison -ce qui revient au mme) de SYRIZA et lintensification de lattaque, y compris la transformation du pays en garde-frontires europen contre des flux de rfugis, radicalisent des rponses tout cela, de faon encore molculaire mais cumulative. Et dans les deux sens dailleurs : anticapitalistes mais aussi nationalistes DAthnes, Tassos Anastassiadis 19/3/2017 https://npa2009.org/arguments/international/grece-le-carcan-europeen-toujours-plus-resserre http://www.lcr-lagauche.org/grece-%e2%80%82le-carcan-europeen-toujours-plus-resserre/