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Pompe centrifuge

Pompe centrifuge utilisée en vinification.

Une pompe centrifuge est une machine rotative qui pompe un liquide en le forçant au travers d’une
roue à aube ou d'une hélice appelée impulseur (souvent nommée improprement turbine). C’est le
type de pompe industrielle le plus commun. Par l’effet de la rotation de l’impulseur, le fluide pompé
est aspiré axialement dans la pompe, puis accéléré radialement, et enfin refoulé tangentiellement.

Sommaire
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 1Histoire
 2Nomenclature
 3Principe de fonctionnement
 4La machine parfaite - théorie d’Euler
 5Analyse dimensionnelle - similitudes
o 5.1Lois de similitude
o 5.2Nombre de tours spécifique
 6Avantages et contraintes
o 6.1Cavitation - NPSH
o 6.2Équilibrage de l'arbre - BEP - Poussée axiale
o 6.3Poussée radiale
 7Domaine d’utilisation
 8Notes et références
 9Voir aussi
o 9.1Articles connexes

Histoire[modifier | modifier le code]


L’idée même de la pompe centrifuge est difficile à dater. On a pu créditer Denis Papin d'en avoir
fabriqué une des premières au XVIIe siècle1, mais des machines similaires bien plus anciennes ont
été décrites. En 1735, M. Le Demour invente une pompe basée sur ce principe pour être utilisée
dans les jardins du roi.
Cependant ces inventions demeurent sans lendemain, et il faut attendre la seconde moitié
du XIXe siècle pour voir apparaître ce type de machine autrement que par des prototypes.
La seconde moitié du XIXe siècle voit le démarrage de l'utilisation des pompes centrifuges (Angleterre
- Allemagne). Plusieurs modèles sont présentés à la grande exposition universelle de Londres en
1851. Cependant l'utilisation des pompes alternatives restera la règle dans l'industrie du XIXe siècle.
L'essor de la machine centrifuge accompagne celui de l'utilisation des moteurs électriques auxquels
elle est particulièrement adaptée, puisqu'elle ne requiert aucune pièce intermédiaire de
transformation du mouvement: La pompe centrifuge est un enfant du XXe siècle. En France, par
exemple, la société d'Auguste Rateau, fondée en 1903 fabrique une pompe centrifuge où l'eau
descendant du premier barrage de la Girotte est forcée au travers d’une roue à aube actionnée par
l'usine électrique sous le barrage dont la rotation l'aspire axialement dans la pompe, puis l'accélère
radialement et la refoule 500 mètres plus haut dans le barrage.[pas clair] Dès 1902, la maison Sulzer
Frères avait donné, à la suite d'un appel d'offres, une solution pratique dans l'installation
d'accumulation de Ruppoldingen en Suisse, qui forme un établissement complémentaire des usines
électriques situées au fil de l'Aar, dans le Canton d'Argovie2. La pompe rejetait de l'eau la nuit dans
un bassin situé 325 mètres en amont, pour produire 850 kW supplémentaire le jour3. La même
technique est utilisée dans l'usine suisse de Porrenlruy en 19104. Au Barrage de la Girotte une
pompe d'Auguste Rateau vient compléter celle de Sulzer Frères installée en 1921 ou 1922. En
1925, l'installation de pompage-turbinage de Belleville, juste sous le lac, la première en France,
permet d'afficher une puissance de 20 MW en période de pointe, en remontant dans le lac, 520
mètres plus haut, 450 litres par seconde5.

Nomenclature[modifier | modifier le code]

Pompe centrifuge

On appelle « corps de pompe » l’enveloppe extérieure de la machine. C’est la partie fixe de la


machine ou stator.
Le corps est constitué principalement de la « tubulure d’aspiration », de la « volute », et de la
« tubulure de refoulement ». La partie mobile ou rotor est formée de l’impulseur (roue à aubes),
monté sur un arbre .
Le rotor est actionné par une machine d’entraînement qui est le plus souvent un moteur
électrique ou thermique mais peut être également une turbine.
vue de principe en coupe : 1a; 3; 5 : corps de pompe - 1b; diffuseur - 2; impulseur - 4; garniture mécanique - 6;
arbre

Comme l’arbre traverse le plus souvent la volute, il est nécessaire de réaliser à cet endroit un
dispositif assurant l’étanchéité globale. Ceci est effectué à l’aide de deux types principaux
d’accessoires : un presse-étoupe ou une garniture mécanique.
On appelle aubes les lamelles grossièrement radiales qui, à l’intérieur de l’impulseur, canalisent le
fluide de l’intérieur vers l’extérieur de la volute.
On appelle « flasques » les parois de l’impulseur qui enserrent les aubes. (Les roues à deux
flasques dites aussi impulseur fermé sont les plus fréquentes. Il existe également des roues sans
flasque, et des roues à une seule flasque (impulseur ouvert ou semi-ouvert)).

Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code]


Une pompe centrifuge accélère le fluide qui la traverse en lui communiquant un mouvement de
rotation, donc une certaine puissance hydraulique.
Cette énergie hydraulique peut être vue comme la somme d’une énergie cinétique déterminée par le
mouvement liquide dans le tube et d’une énergie potentielle stockée soit sous la forme d’un
accroissement de pression soit sous celle d'une augmentation de hauteur (théorème de Bernoulli).
La puissance hydraulique fournie par la pompe est donnée par la relation :
Phydraulique = ρ g Q h

Courbe caractéristique

Dans laquelle :

 Phydraulique est exprimée en watts


 ρ est la masse volumique du liquide (kg/m3)
 g est l’accélération de pesanteur soit 9,81 m/s2
 Q est le débit volumique du liquide exprimé en m3/s
 h est la hauteur manométrique de la pompe exprimée en mètres de
colonne d'eau
La hauteur manométrique est la hauteur d’une colonne de liquide qui déterminerait une pression
statique égale à la pression de refoulement.
Le terme Q h est souvent appelé charge hydraulique.
La puissance mécanique à fournir à la machine est bien évidemment toujours supérieure à la
puissance hydraulique fournie au liquide et on appelle rendement de la pompe le coefficient η de
proportionnalité qui lie ces deux paramètres.
On appelle puissance à l’arbre la puissance mécanique requise pour faire fonctionner la pompe. On
a donc la relation :
Phydraulique = η Pà l’arbre

Point de fonctionnement

Le rendement varie en fonction du point de fonctionnement, et dépend également de la machine.


Pour les machines usuelles, les catalogues de constructeurs indiquent qu'il se situe le plus souvent
entre 70 % et 90 %.
Une pompe centrifuge ne délivre ni une quantité de liquide fixée, ni une pression déterminée : le
point de fonctionnement est déterminé par la résistance du circuit connecté à la pompe.
Elle augmente simultanément ces deux paramètres, en sorte que le débit obtenu dépend de la
pression selon une certaine relation qui définit dans un graphique débit – pression une courbe qu’on
appelle « courbe caractéristique de la pompe ».

Faisceaux typiques de courbes représentatives du fonctionnement d'une même machine équipée d'impulseurs
de diamètres différents

Cette courbe caractéristique est le plus souvent décroissante : la pression diminue quand le débit
augmente, et affecte une forme grossièrement parabolique6.
En fonction des caractéristiques du circuit hydraulique de refoulement, les propriétés du liquide
pompé vont varier tout en restant toujours situées sur cette courbe.
La pression obtenue lorsque la pompe fonctionne à débit nul est la pression maximale à laquelle le
circuit aval puisse être soumis et constitue un paramètre de dimensionnement très important pour
toute l’installation aval.
La courbe caractéristique d'une pompe dépend, pour un corps de pompe donné, de la dimension du
diamètre extérieur de la roue. Les fournisseurs proposent en général des abaques définis dans le
plan (Q, h), qui présentent les diverses courbes obtenues pour des diamètres variables de
l'impulseur, ainsi que le rendement de la machine en ces points, et, parfois la puissance à l'arbre
(voir schéma type ci-contre).

La machine parfaite - théorie d’Euler[modifier | modifier le code]


La théorie simplifiée du fonctionnement des pompes centrifuges est due à Leonhard Euler.

Schéma des vitesses dans l'impulseur

Pour la comprendre, il faut se représenter le bilan énergétique entre une particule de fluide à l’entrée
de la roue, et cette même particule à la sortie. Dans la mesure où toute l’énergie du mouvement de
rotation de l’impulseur est transférée au liquide, le couple appliqué sur les aubes sera égal au
produit du débit du liquide par la variation de sa quantité de mouvement entre son entrée et sa sortie
de la roue.
Si donc la vitesse du liquide fait à l’entrée de l’impulseur un angle α1 avec la tangente à la roue, et à
la sortie un angle α2, si on note par ailleurs V1 et V2 les modules des vitesses d’entrée et de sortie,
on aura pour le couple : C = ρ Q (r2V2 cos α2 – r1V1 cos α1)
Le gain en puissance hydraulique sera alors : W hydraulique = Cω, où ω est la vitesse angulaire de
rotation de l’impulseur.

courbe caractéristique - droite d'Euler - droite théorique.


vert: pertes par frottements.
rouge: pertes par chocs. La courbe de la pompe centrifuge réelle présente un rendement optimum là où elle
approche le mieux la droite théorique. Le calcul théorique d'Euler correspondrait à une roue présentant une
infinité d'aubes. Pour une roue réelle, la droite de rendement 1 est donc située en dessous de celle d'Euler.

On obtient donc la valeur théorique de la puissance (rendement égal à 1) sous la forme :


En appliquant par ailleurs le théorème de Bernoulli à la veine de fluide on trouve la hauteur
manométrique h :

D’un autre côté, à condition de supposer un écoulement plan parfait, la quantité r2V2cosα2 – r1V1 cos
α1 est proportionnelle au débit de liquide passant dans l’impulseur, le coefficient étant égal à
l’épaisseur de la veine fluide. Il en résulte que la théorie d’Euler prévoit des « droites » pour courbes
caractéristiques7.

Analyse dimensionnelle - similitudes[modifier | modifier le code]


Lois de similitude[modifier | modifier le code]
Une théorie de la pompe centrifuge du fluide parfait est vouée à l’échec, car le frottement du fluide
sur la roue participe à l’impulsion communiquée au fluide. On obtient des conclusions plus proches
de la réalité en utilisant les lois de similitude.
Cette analyse aux dimensions s’effectue entre les paramètres ω (vitesse de rotation), D (diamètre
de l'impulseur), Q (débit volumique) ρ (densité du liquide) et h (hauteur manométrique).
On note donc les lois suivantes :

 Débit : Q # ω D3
 Hauteur : gh # ω2 D2
 Puissance : P # ρD5 ω3
Ces lois permettent de prédire avec une précision raisonnable l'effet d'un changement de densité de
liquide ou de la modification d'une vitesse de rotation sur une machine de géométrie donnée. On voit
en particulier que la puissance est fort sensible à une modification de vitesse. Les coefficients qu'on
peut en déduire pour les variables débit, hauteur, et puissance d'une machine donnée sont appelés
coefficients de Rateau.
Nombre de tours spécifique[modifier | modifier le code]
En éliminant D entre les deux premières équations, on trouve une relation ne faisant pas intervenir
directement les caractéristiques géométriques de la machine : n.Q1/2 # (gh)3/4.
Le coefficient de proportionnalité entre ces grandeurs est homogène à une vitesse angulaire et on
l'appelle « nombre de tours spécifique » ou « vitesse spécifique » de la machine. On a par
conséquent :

Au lieu d'utiliser la vitesse spécifique, les constructeurs de machines ont souvent recours au nombre
de Brauer, dans lequel la constante d'accélération terrestre g a été supprimée, et qui s'exprime donc
par:

Ces nombres sont homogènes respectivement à des tours par minute, et à des m·s−3. Mais ils ne
font intervenir que des caractéristiques hydrauliques (Q et h) et permettent donc de classer les
machines centrifuges selon une typologie à un seul paramètre (voir plus bas)8,9.
Avantages et contraintes[modifier | modifier le code]
Les pompes centrifuges forment des dispositifs robustes. À caractéristiques égales, elles présentent
souvent un meilleur rendement, et un fonctionnement plus régulier, sont plus fiables et moins
bruyantes que les machines alternatives. Elles sont davantage compatibles avec l'utilisation de
fluides chargés de particules solides. Mais elles ne sont pas auto-amorçantes. Enfin, leur plus
grande simplicité mécanique a tendance à les rendre meilleur marché.
C'est pourquoi ce type de machine est très largement utilisé, notamment dans l'adduction d'eau, le
transport d'hydrocarbures, l'industrie chimique, etc.
Cependant, comme toutes les machines, elles font l'objet de problèmes qui doivent être bien revus
avant d'avoir recours à leur utilisation.
Cavitation - NPSH[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Cavitation.
Lors du pompage, le liquide situé à l'intérieur d'une pompe centrifuge ne possède pas une pression
uniforme. Il s'y trouve notamment des zones présentant des dépressions plus ou moins accentuées.

Usure par cavitation d'un « impulseur » de pompe centrifuge

Lorsque le liquide pompé est suffisamment proche de son point d'ébullition, il peut se produire que la
pression en ces points tombe en deçà de sa tension de vapeur, de sorte qu'il se forme dans la
pompe des bulles de vapeur. Lorsque ces bulles parviennent dans des zones où la pression
remonte, elles implosent soudainement. L'implosion est accompagnée de bruit et, dans le cas où
elle se produit au voisinage d'une paroi, elle est susceptible d'y occasionner des dégâts mécaniques
en provoquant des microperforations du métal. Lorsque ce phénomène se produit d'une manière
suffisamment généralisée dans la masse du fluide, on dit que la pompe « cavite ».
La cavitation est l'ennemi numéro un de la pompe centrifuge. C'est un phénomène bruyant, qui peut
détruire une machine en quelques minutes.
Pour y remédier, il faut qu'une pression suffisante soit toujours assurée à l'aspiration de la pompe.
Seul le constructeur de la machine est à même de déterminer par des tests le caractère suffisant ou
non de la hauteur manométrique à l'aspiration. Cette caractéristique essentielle de la machine
s'appelle son NPSH (de l'anglais Net Positive Suction Head). On l'appelle « NPSH requis » de la
pompe, qui doit toujours être inférieur au « NPSH disponible » de l'installation, qui dépend de la
géométrie du circuit, du fluide, du réservoir en amont, etc. Pour une pompe donnée, le NPSH requis
augmente avec le débit. Les constructeurs de machines donnent les courbes de NPSH requis en
complément des courbes caractéristiques dont il a été fait mention plus haut.
Équilibrage de l'arbre - BEP - Poussée axiale[modifier | modifier le code]
Les efforts exercés sur l'arbre d'une machine centrifuge doivent être suffisamment symétriques pour
ne pas trop solliciter les paliers. Des forces asymétriques sont cause de vibrations, et provoquent
l'usure accélérée de la machine.
Les constructeurs veillent à assurer l'équilibrage de l'arbre au point nominal de fonctionnement à
l'aide de deux dispositions principales : les inducteurs et les trous d'équilibrage. L'ajout de
masselottes sur les roues est également utilisé.
Cependant, ces dispositions ne sont en théorie valables que lorsque les vitesses en sortie de roue
et sur la volute sont identiques, c'est-à-dire au point de rendement maximal de la machine. Ce point
est souvent désigné par son sigle anglo-saxon de BEP (Best Efficiency Point). En pratique, elles
restent valable sur une plage de fonctionnement plus ou moins réduite.
Lorsqu'on s'éloigne trop du BEP la symétrie axiale des efforts hydrauliques se détériore toujours
plus ou moins, en même temps que le rendement se dégrade. Il importe donc de bien spécifier la
plage de fonctionnement sur laquelle on souhaite faire opérer la machine, afin de permettre au
constructeur de proposer les dispositions constructives adaptées.
Il faut également noter que la roue exerce un effort axial sur l'arbre, et que cet effort, minimal au
point de meilleur rendement, peut devenir nettement plus grand aux points de débit minimal et
maximal (jusqu'à 5 ou 6 fois) : les paliers de l'arbre doivent donc être munis d'une butée capable de
supporter l'effort maximal.
Une pompe centrifuge ne doit jamais fonctionner de façon prolongée à débit nul, car elle va
s'échauffer rapidement jusqu'à la destruction. C'est le cas par exemple dans un circulateur de
chauffage central si toutes les vannes des radiateurs sont fermées. Une règle donnée en première
approche par plusieurs constructeurs est que le débit minimal permanent ne doit pas être inférieur
au dixième du débit de meilleur rendement.
Poussée radiale[modifier | modifier le code]
Cette poussée, perpendiculaire à l’axe, résulte d’une mauvaise répartition de la pression autour de
la roue dans la volute. Elle entraîne un fléchissement de l’arbre et le soumet à une flexion rotative.
La poussée radiale Fr d'une roue est communément calculée par la formule empirique de Stepanoff :

Avec :

 Fr : Poussée radiale (N)


 b : Largeur de sortie de roue (m)
 D : Diamètre de sortie de roue (m)
 H : Hauteur manométrique de la pompe au débit de calcul (m)
 k : Coefficient empirique tiré d'abaques, ou calculé à partir de la
formule suivante :

Avec :

 Q : Débit de calcul (m3/s)


 QBEP : Débit au rendement maximum (m3/s)

Domaine d’utilisation[modifier | modifier le code]


Le domaine d’utilisation des machines centrifuges est extrêmement vaste et couvre les extrêmes
suivants :

 Débits : de 0,001 à 60 m3/s


 Hauteurs de 1 à 5 000 m
 Vitesses de rotation de 200 à 30 000 tr/min
D'une manière générale, le nombre de tours spécifique peut servir qualitativement à distinguer des
différentes conceptions de pompes, sachant que seul son fabricant, à la suite d'essais de type et
même des essais effectués sur l'appareil particulier, est en mesure de confirmer les performances
particulières de telle ou telle machine.
Un nombre de tours spécifique élevé est caractéristique d'un fort débit sous faible hauteur, alors
qu'un nombre spécifique faible définit un faible débit sous forte hauteur.
Dans l'ordre des nombres caractéristiques croissants, on trouve successivement:

 Les machines multi-étagées, sur lesquelles plusieurs impulseurs


sont montés en série sur le même arbre.
 Les machines radiales à impulseur fermé
 Les machines radiales à impulseur semi-ouvert
 Les machines mixtes (intermédiaires entre radiales et axiales)
 Les machines axiales
Le tableau ci-après fournit un quelques indications chiffrées en ordres de grandeurs (nombre de
Brauer avec h et Q respectivement en mètres - et kg/m3)

NB (nombre de Brauer) Type d'impulseur Forme impulseur hauteur maximum rendement

7–30 pompe radiale 800 m (jusqu'à 1 200 m) 40–88 %

50 pompe radiale 400 m 70–92 %

100 Pompe radiale 60 m 60–88 %


35 Pompe mixte 100 m 70 - 90 %

160 Pompe mixte 20 75–90 %

160–400 Pompe axiale 2–15 m 70–88 %

Notes et références[modifier | modifier le code]


1. ↑ voir liste d'inventions françaises 1689
2. ↑ L'Éclairage électrique - volume 44 - page 338 (1905)
3. ↑ Histoire de l'énergie hydraulique : moulins, pompes, roues et turbines de
l'Antiquité au XXéme siècle [archive], page 179, par Pierre-Louis Viollet,
Presse des ponts, 2005
4. ↑ Jules Blondin, dans La Revue électrique - Volume 10 (1908)
5. ↑ Histoire de l'énergie hydraulique : moulins, pompes, roues et turbines de
l'Antiquité au XXéme siècle [archive], page 182, par Pierre-Louis Viollet,
Presse des ponts, 2005
6. ↑ Le circuit de refoulement présente également une certaine courbe
caractéristique dans le plan Q-h. Mais certains constructeurs proposent
des courbes Q - H dites "en cloche". Cette caractéristique est dans les cas
simples fréquents assimilable à une parabole dont la hauteur à débit nul
correspond au différentiel de hauteur géométrique que définit le circuit, et
dont l’allure dépend de la perte de charge du liquide, perte qui est
grossièrement proportionnelle au carré du débit dans les écoulements
turbulents au travers de tubes. L’intersection des deux courbes définit le
point de fonctionnement du système complet pompe + tuyauterie (amont +
aval).
7. ↑ On voit que pour maximiser l’énergie hydraulique il faut se débrouiller
pour que le design maximise α2 et minimise α1. Autrement dit, dans l’idéal,
le liquide doit entrer avec une vitesse absolue normale à la roue et en
sortir avec une vitesse tangentielle. Dans l’équation de l’énergie, le terme
Q ρ ω r1V1 cos α1 contributif de l’entrée dans l’impulseur est en général
assez faible, puisque rayon d’entrée et vitesse d’entrée sont toujours
limités. Néanmoins, la valeur de l’angle d’attaque dépend du design de la
machine. En général, sa valeur est très proche de 90°, en sorte qu’on peut
négliger le terme complet. Dans le cas où tel n’est pas le cas et où l’angle
d’attaque de la roue est significatif, on qualifie de prérotation le défaut de
la machine.
8. ↑ Attention, la vitesse spécifique dépend du système d'unités utilisé: C'est
que la formule ci-dessus est celle utilisée dans le monde Anglo-Saxon
(avec Q en gallons/minute et h en pieds). Les résultats identiques
exprimés dans les deux systèmes diffèrent donc entre eux d'un coefficient
multiplicatif puisque le nombre de tours spécifique n'est pas sans
dimension physique. (le temps exprimé en secondes ne possède pas les
mêmes relations numériques avec les unités des deux systèmes).
9. ↑ Attention encore, le nombre de Brauer est souvent appelé nombre de
tours spécifique par abus de langage, alors qu'il diffère d'un facteur 5 du
précédent.

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Articles connexes[modifier | modifier le code]

 Turbine Francis
 Pompe oléohydraulique
 Pompe à pistons axiaux
 Hydraulicien
 Pompe hydraulique
 Hydromécanique
 Hydraulique
 Pompe pneumatique à membrane
 machine hydraulique
 pompe

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