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1- Introduction.
2- Les principaux défauts de soudures :
1) Les inclusions gazeuses.
4) Défauts de pénétration.
6) Retassures de cratère.
7) Fissurations.
1) - Facteurs métallurgiques.
2) - Essai mécaniques.
5- Conclusion :
1- Introduction:
La majeure partie des discontinuités se produise dans les joints ou
dans la ZAT, les soudures comportent des porosités, des inclusions,
scories d’impuretés ou des fissures. Parmi ces trois défauts, les
fissures sont de loin les plus déterminantes. S’il y’ a des limites
acceptables pour les inclusions et les porosités, les fissures restent
inadmissibles. Pour les propos de ce paragraphe, la Fissure se distingue
d’un autre défaut comme la cassure ; Les soudures casent à cause des
contraintes, mauvaise conception du joint, ou fatigue, la fissure en
cause ici est due à la solidification, le refroidissement les tensions dues au
retrait du joint.
4) Défauts de pénétration:
6) Retassures de cratère:
7) Fissurations:
3- Les fissures:
et fig. (8).
· Fissure à la racine
· Fissure au raccordement
2) Fissures de la ZAT:
3- Fissure au raccordement
5- Fissure à la racine
T:[3]
soudures en T en X (coupe).[3]
Fig.(13) - fissure par arrachement lamellaire dans le metal de base
Sur:
· La qualité du métal.
· La qualification du soudeur.
· Les déformations.
· Le maintien en température.
Les principaux essais utilisés sont les essais de texture, les essais
mécaniques, les essais de corrosion, les essais macro et micrographiques.
1) Essais de texture:
2) Essais mécaniques:
· Circuit VILLARD
· Circuit GRAETZ
· Circuit GREINACHER
· Irradiation directionnelle
Le radioélément est placé dans une capsule scellée placée sur une
porte source et dans un conteneur appelé projecteur de
gammagraphie ou gammagraphie. L'utilisation de ce type de matériel est
très réglementé, exige des compétences en radioprotection et la
détention de source radiographie est strictement surveillée.
2) Le matériel de contrôle :
· Le fer
· L'aluminium
· Le cuivre
· Le titane
· Le fer
· L'aluminium
· Le cuivre
· Le titane
N : nombre de coups.
A : coefficient de proportionnalité.
ν: coiéfficient de poisson.
ρ: masse volumique.
C S =0.9.CT
Ce type d’ondes est très sensible aux défauts quelque soit leur
orientation.
h= e-d
a. Contrôle en ½ bond :
Alors que : I j = Im + mj = l + h tg α
t=
1C
( )
2 d+h2+S2
; Eqn. (2.18)
t=
2C
2 e2+S2
; Eqn.(2.19)
t=
pi C
d= × C2t2-4S2
; Eqn. (2.20)
21
· La longueur de la fissure :
h= × C2t2-4S2 -d
2 ; Eqn.(2.21)
; Eqn. (2.22)
pi
t ; E-4S qn.
(2.23)
2t = 1
0C
t -2 2S2+e2
2t = pi ; Eqn.
(2.24)
0C
h : Longueur de la fissure.
e : Epaisseur du matériau.
[36][37]
C×TOF ; Eqn. (2.25)
h=
2×cosa
La plus part des fissures résultent des tensions qui naissent lors du
refroidissement du joint. Si les dilatations sont bloquées, les tensions
produisent des contraintes résiduelles qui sont à l’origine des fissures. Il y
alors deux forces opposées; Les efforts induites par le retrait du
métal, et la rigidité du métal de base, les tensions dues au retraits
augmentent quand le volume du métal rétrécissant augmente, les
soudures larges et profondes augmentent les forces de retrait, les
tensions induites par ces efforts accroissent le rapport entre la force
du métal déposé et le métal de base. Cela n’exclus pas le concours
d’autres facteurs tel que :
· Joint trop fortement bridé. (bride: moyen pour retenir les pièces
lors du retrait du métal).
Des précautions énormes doivent être entreprises pour parer aux causes
des fissures, il est essentiel d’accorder une attention particulière à la
séquence de soudage, préchauffage, températures, d’inter passes,
traitement post-soudage, conception du joint.