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$(dédommagement)
En droit 2 type :
Responsabilité civile qui résulte d’un contrat explicite (s’engage dans un contrat)
La responsabilité civile a pour but la réparation du dommage ou préjudice subi par la
victime. Elle est compensatoire et non répressive. Elle joue uniquement à titre curatif.
VS
La responsabilité pénale à pour but, suivant l’état de la société, soit la punition de
l’auteur d’un acte illégitime constituant une infraction pénale soit au contraire la seule
protection de la société contre la répétition des infractions, selon la théorie les plus
modernes la réhabilitation de l’auteur de l'infraction. Elle est essentiellement répressive
et joue autant à titre préventif que curatif.
Approche du droit civil est de développer des règles générale capable d’anticiper et de
résoudre des cas.
Le code civil prévoit la nécessité d’une faute pour encourir la responsabilité civile.
Distinction :
Entre la responsabilité civile extra contractuel et la responsabilité pénal
o Responsabilité civile extra contractuel: parle de réparation pécuniaire et non
de punition, elle est indépendante de la responsabilité pénale.
(souvent ce sont les assureurs qui payent les dommages, donc on peut poursuivre
sa femme, son père, son frère)
o Responsabilité pénale : à pour but de punir l’auteur d’un acte qui constitue
une infraction pénale, elle est répressive et joue un¸ rôle préventif et curatif
Tout manquement à la responsabilité pénal peut être sujet à une responsabilité civile. Peut
avoir un résultat en responsabilité pénal et avoir un autre en responsabilité civile. Les 2
sont indépendant.
3 critères.
Qu’elles sont les risques pour voir s’il y a eu un manquement à la conduite raisonnable?
2 Types de Faute
Dans les deux cas est de déterminer si la conduite en question à été conforme au modèle
d’une personne raisonnable prudente et diligente.
Lorsque vient le temps d’évaluer, ont se demande ce que une personne raisonnable aurait fait.
Ne se demande pas si cette personne.
Le modèle de la personne raisonnable n’exige pas la perfection totale. Ce sont les risques
prévisibles qui doivent être tenus en considération. Les risques probables pas ceux possible.
Une faute est déraisonnable mais pas l’erreur. Une erreur est une faute simplement si elle est
déraisonnable. L’erreur est humaine mais la faute est déraisonnable.
L’obligation de moyen : prendre des mesures pour éviter des dangers probables. Pour évaluer
la présence de la faute on ne s’attarde pas sur le résultat, mais ce demande si le défendeur à
prit tout les moyens possibles pour empêcher le résultat.
Pour que la faute donne lieu a une compensation pécuniaire il faut qu’elle est causée des
dommages.
Le juge est restreint à sélectionner les faits qui d’après leur cours ordinaire et normal les
choses qui peuvent entraîner les dommages donnés.
Matériel :
Le 11 janvier 2006
On appel la responsabilité civile extra conta car elle est le fruit d’un régime juridique qui
existe indépendamment d’un contrat et qui lie tout le monde. Cette responsabilité ne naît
pas de notre volonté, 1457 est un pacte social ou ont est directement lié.
La responsable civil consiste en l’obligation de réparer le préjudice causé à autrui dés lors
que les trois conditions sont satisfaites par le plaignant, le défendeur est obligé de
réparer. Le but est d’indemniser la victime et non pas de punir.
Il faut regarder les circonstances pour définir si l’action est déraisonnable ou pas.
F+C+D=$
3 types de responsabilités
3) Responsabilité pour fait des biens : propriétaire de certains biens, si immeuble je suis
responsable si elle s’écroule contre quelqu’un.
1457. Toute personne a le devoir de respecter les règles de conduite qui, suivant les
circonstances, les usages ou la loi, s'imposent à elle, de manière à ne pas causer de
préjudice à autrui.
Elle est, lorsqu'elle est douée de raison et qu'elle manque à ce devoir, responsable du
préjudice qu'elle cause par cette faute à autrui et tenue de réparer ce préjudice, qu'il soit
corporel, moral ou matériel.
Elle est aussi tenue, en certains cas, de réparer le préjudice causé à autrui par le fait ou
la faute d'une autre personne ou par le fait des biens qu'elle a sous sa garde.
2) Les usages : il peut y avoir conflit entre les lois et l’usage, parfois se conformer à la
loi n’est pas suffisant pour satisfaire le devoir de 1457. Je peux obéir à la loi et avoir
quand même une conduite déraisonnable. La conduite de tout les jours nous indique
autre chose, parfois on adopte nos comportement par rapport aux circonstances.
Ex : conduite de voiture,
3) La loi : il y a des lois pour tout, loi est une source de conduite raisonnable.
F+C+D=$
F (faute)= manquement au devoir (à une obligation) de 1457 constitue une faute, les
tribunaux apprécieront s’il y a manquement à ce devoir en appliquant le critère de la personne
raisonnable. C’est un critère abstrait pour comparer la conduite du défendeur à un standard.
Que fait cette personne raisonnable, la personne raisonnable se prémunie uniquement contre
les risques considérés prévisibles (le risque est prévisible??) Ont doit uniquement prendre les
moyens pour empêcher le résultat on à pas à garantir les résultats, Seul les risques qui sont
probable sont prévisibles pas les risque possible.
Ex : il est possible qu’il y ait une tempête au mois de juillet, mais il n’est pas probable.
Une personne raisonnable se prémunie aux risques prévisibles.
Chercher la faute reviens donc à comparer la conduite du défendeur à celle d’une personne
normalement prudente et diligente. On ne parle pas d’une personne parfaite, mais à celle doué
une intelligence ordinaire. On compare la conduite du défendeur à celle d’une personne
normalement prudente et diligence et se demande si cette personne aurait pu prévoir et éviter
l’événement qui à causé le dommage. Si le comportement du défendeur et le même de la
personne raisonnable, il n’y a pas de faute. On regarde les moyens si le défendeur à prit les
précautions nécessaires pour empêcher.
C ( lien de causalité)= l’équivalence des conditions, sans cette faute est-ce qu’il y
aurait le dommage? Est-ce que ma faute a causé le dommage? On exige une cause directe et
immédiate. Prend un lien de causalité adéquate entre la faute et le dommage.
Juge en chef Mclachlin : Le mécanisme de contrôle qui permet d’éviter le préjudice illimité en
droit civil réside dans la question de savoir si dans les faits le préjudice (le dommage) est une
conséquence directe, certaine et immédiate de la faute. Il peut y avoir plusieurs causes qui
sont chacune adéquate, mais il peut y avoir des causes trop lointaines pour être retenue, il faut
alors faire un trie.
Pécunier
o Matériel : financier
o Corporel : physique
Non pécunier
o Moral : peine de la perte d’un être cher (en common law, très difficilement
retenu.)
-Jurisprudence
Les faits :
La question en litige : Le commis, M. Bertrand a t-il agit en être raisonnable? (1457) A t-il
commis une faute? On doit comparer sa faute avec une personne raisonnable. A t-il manqué à
son obligation de se prémunir contre les risques prévisibles? Le risque que dans l’espace des
2-3 quelqu’un tombe et se blesse.
On détermine si monsieur Bertrand à commis une faute, il s’est conduit comme une personne
raisonnable dans les mêmes circonstances? Il est prévisible que quelqu’un se blesse si le
magasin est plein de clients que lorsqu’il y a personne et que c’est un moment tranquille. Une
personne raisonnable n’a pas à se prémunir de tous les risques possibles.
Eaton est responsable pour la faute de ses employés? Qu’aurait fait une personne raisonnable
dans les circonstances?
- Les juges ne peuvent même pas se mettre d’accord sur ce qui est raisonnable.
Contribution de l’arrêt ouellette : Est-ce qu’il était probable ou tout simplement possible que le
jeune se fasse mal? Il est possible et non probable.
Il n’y a pas eu de faute, il faut se protéger pour les choses probables et non possible, tout est
évaluer dans les circonstances
Arrêt : La loi n’exige pas qu’un nomme prévoit tout ce qui est possible on doit se prémunir
contre un danger à condition que celui-ci soit assez probable, qu’il entre ainsi dans la catégorie
des éventualités normalement prévisible.
Prévisible (E vs M)
Probable ( O vs C)
disernement 67 à 101
Le 18 janvier 2006
En tant que demandeur a veut avoir une présomption, pour bénéficier de cette présomption de
faute.
Le 23 janvier 2006
Normalement s’il n’y a pas d’enfant il faut toujours commencer par 1457
Une présomption se lève lorsqu’il y une norme élémentaire de prudence qui est violé.
En principe il n’est pas toujours nécessaire que la norme élémentaire de prudence soit
enchâssée dans une lois ou règlement en vigueur à l’époque ou directement applicable au
client.
Faits : enfant qui est tombé du balcon, et le balcon ne satisfaisait pas les norme de prudence à
l’époque.
Le propriétaire disait qu’il ne peut appliquer cette norme car à cette époque il ne s’appliquait
pas à moi il est entré par après.
Le tribunal à dit que s’il énonce une norme élémentaire de prudence, il existe même s’il ne
s’applique pas, on peut s’en servir pour présumer la faute.
Si le règlement ne s’applique pas aux client, il est quant même pertinent et le tribunal peut s’en
servir pour déterminer la faute (car c’est une norme élémentaire de prudence) même si à
l’époque elle n’était pas applicable au client.
Lorsqu’il y a des faits il faut se demander s’il y a une norme élémentaire de prudence qui
indique la conduite appropriée qui existe dans ce cas on peut présumer la faute! Une fois la
faute présumé on passe aux liens de causalité, on peut soit prouver le lien de causalité (la
faute du défendeur doit être directe et immédiate du dommage 1607. Parfois il est possible de
prouver le lien de causalité ( dans le cas ou le type de dommage est ce que la norme
élémentaire de prudence visait à prévenir)
Une fois que la faute est présumé il y a renversement de fardeau, (mais le défendeur peut
toujours s’en sortir en prouvant qu’il a agit raisonnablement)
Distinguer les éléments une fois qu’on à déterminer la faute on y retourne pas il y a eu faute,
donc maintenant monsieur Blais doit démontrer que sa faute n’a pas causé le dommage. J’ai
commis la faute mais ma faute n’était pas la cause directe et immédiate du
dommage. Lorsqu’il y a présomption, Monsieur Blais doit démontrer qu’il n’était pas la cause
directe est immédiate, l’autre n’a plus rien à prouver.
Acceptation de risques
Article 1477
Article 1477 CcQ : parfois la victime est considère comme ayant accepté les risques
a une activité particulière
Exemple : une personne accepte les risques lorsqu’il va à une partie de hockey
Exemple : prendre le metro, et quel qu’un tombe sur moi parce que le metro s’arrête
brusquement, je vais me demander es ce que il y a une faute
La personne qui connaît ou qui présume ou présume les risques normaux inérant a
une activité ou une situation et ne prend pas les moyens disponibles pour empêcher
leur réalisation devra supporter
Quelqu’un qui accepte de faire du bonji, il accepte les risques inérant à cette activité.
Les faits :
2 adolescents se battent (sport année 70), fenêtre, miroir
un se met la main dans la vitre et se blesse
le défendeur avait librement en participant a se sport accepter de se blesser.
Argument de Lager est rejeté : le plaignant avait accepté les risques en questions?
Non pas tous mais en partie. Le principe et l’acceptation des risques NORMAUX
inérant à l’activité, on accepte pas les préjudices causés par la faute d’une tierce
partie. Un coup de poing est accepté car normal, mais les dommages que la
personne à eu ne constitue pas un risques normal a cette activité. L’autre partie
résulte de la faute de l’autre partie
Si le match avait eu lieu dans un gymnase on aurait conclue que Larivière à acceptait les
risque, mais il est déraisonnable d’organisé un match dans cet endroit car il comporte des
risques anormaux, pas des risques inhérents au sport. Les deux jeux ont fait la faute
d’organisé le match dans cet endroit, donc c’est la faute des deux. Les risque inhérent sont
des risques normaux, si change des activités, ce n’est plus des risques normaux, on ne peut
pas accepter des risques anormaux.
Le 25 janvier 2006
Le préjudice est le résultat d’un risque normal associé à une activité ou causé en tout ou en
partie pas une tierce personne?
Arrêt Lager : les deux avaient commis une faute,car on décidé de pratiquer le sport dans un
endroit non convenable.
Beaudouin : lorsqu’un personne s’engage en toute connaissance de cause dans une activité
qui comporte certain danger ou certain risque peut-elle encore se plaindre si elle subit un
préjudice découlant précisément de la réalisation de ceci??
La réponse est non, la question à se poser est si le préjudice découle des risques
normaux ou de la faute d’une tierce partie.
Question : Le risques qui s’est matérialisé est un risque associé au sport ou un risque
anormal? Normal et anormal quelque chose qui arrive malgré si l’on fait tout ce qu’on
a à faire pour l’empêcher.
1457 nous indique qu’on doit se comporter raisonnablement dans les circonstances
mais certaines circonstance exige une prudence rehaussé. Normalement le devoir en
1457 nous oblige de nous comporter en personne raisonnable mais parfois il nous
suffit pas d’être seulement raisonnable, en raison de certaine circonstance on doit
prendre des mesures spécifiques.
Devant ces types de situation le tribunal va être plus exigent car s’attend à ce que la
personne raisonnable prenne plus de mesure pour éliminer le danger. (doit prendre
des mesures plus importantes)
Notion d’attraction
Arrêt Hydro Québec : il est normalement prévisible que quelqu’un grimpe le poteaux d’Hydro
Québec? Non pas vraiment.
Ça prend des précautions normales, une clôture.
Est-il prévisible malgré ces précautions normales que quelqu’un le fasse quand même?
Dans les circonstances ou il y a des enfants qui fréquente les lieux, la clôture n’est pas
suffisante, l’évaluation de la raisonnabilité d’hydro Québec va être plus sévère en raison du
phénomène d’attraction car des enfants fréquente les lieux, Hydro Québec aurait dû prendre
des mesures plus importantes. Ils ont besoin de faire plus dans ce cas.
Si dans les faits ont s’aperçois que ça peut attirer les enfants, cela donne lieu à un devoir
spécifique.
La cour ne l’a pas accueilli car le code en l’espèce ne constitue pas une norme
élémentaire de prudence.
Quel peut être le but au lieux de la prudence? Il y a des arguments pas très
satisfaisant car il semble que c’est une norme élémentaire de prudence mais la
cour ne l’a pas accueillie.
Alors
On passe à la démarche traditionnelle :
ENFANTS :
Si on à pas des faits qui appuie notre raisonnement (raisonnable ou pas), on présume
que oui l’enfant est doué de raison et on continue l’analyse (car le but de l’examen et
de voir le raisonnement)
Dans des situations dangereuses on se demande si des mesures spécifiques ont été
prise
On peut seulement accepter des risques normaux? Si on grimpe un arbre S’électrocuté
est inhérent à cette activité ?
Mais pour les enfants cela est une activité courante mais pas pour les adultes.
On doit toujours essayer d’apporter comme argument l’attraction mais plus le client est
vieux mois cet argument peut être accepté.
Le 1 fevrier 2006
Responsabilité professionnelle
RESPONSABILITÉ MÉDICALE
pas de relation extra contractuel : lorsqu’on est inconscient (la plupart dise qu’il n’y a pas de
relation contractuelle)
les professionnels sont assujettit de conduite raisonnable, le fait d’être professionnel
n’empêche pas d,être enchâssé de la conduite raisonnable de 1457.
Arrêt Roberge contre bolduc (arrêt sur les notaires, mais s’applique sur tout les
professions)
C’est la que Le tribunal a dû déterminer s’il faut utiliser la même cadre normatif pour
déterminer la faute dans le cadre professionnel??? Oui (la responsabilité prof tout
comme la responsabilité personnelle est gouverné par le même principe et l’article
1457)
On va ici comparer la conduite du défendeur professionnel à celle du professionnel
raisonnable (on substitue le mot professionnel par avocat, par médecin, par dentiste)
dans les circonstances.
On doit se demander ce que fait le professionnel ? il suit les normes de la profession, il
s’agit d’une obligation de moyen, ils ont simplement besoin de suivre les mesures
nécessaire qu’un professionnel raisonnable aurait prit dans les circonstances.
Si le professionnel à tout fait ce qu’il avait à faire (comportement que tout professionnel
raisonnable aurait fait)
Arret roberge ce que l’on doit retenir : Un professionnel s’acquittera de son devoir en
suivant les normes de sa profession pourvue qu’il respecte les normes de sa
profession tant que ces pratiques soit jugé raisonnable par le tribunal
LE 06 FEV
Intra : livre fermé avec le code non préjudiciable. Analyse d’un scénario, soulevé les questions
pertinente les questions en litige, x a commis faute, on compare avec celle d’une personne
raisonnable, prévisible??
1457, 1607 et ceux qui portent sur les présomptions : 2846 – 2849
dans les arrêts il est important de retirer l’essentiel, la question en litige est importante et les
ratio (le raisonnement)
le code nous dit tout simplement qu,il faut ce comporter en personne raisonnable le juge a
besoin d’outil pour déterminer la manière de mesure cette raisonnablement.
Ce qui est possible n’est pas prévisible, une personne raisonnable ne peut se prémunir de tous
les dangers, elle ne pourrait pas fonctionner si elle a à faire ça!
Arrêt Boyer contre hydro : le code parle de raisonnable dans les circonstances mais dans
certaine circonstance une personne raisonnable prend des mesures spécifiques dans ce cas
être raisonnable est de faire plus!
Responsabilité médicale
Une personne raisonnable se prémunie des choses prévisibles mais lorsqu’on parle de
profession on a pas besoin de recourir à la prévisibilité qui est large mais ce demande ce qu’un
professionnel raisonnable aurait fait dans les circonstances, on ce réfère aux pratiques, les
normes de la profession, ce n’est plus du cas par cas car on fait partie d’une profession qui à
déjà des règles (doivent être des normes et des règles raisonnable)
- Son argument est d’avoir agit comme un médecin raisonnable car il est rare que les
médecins consultent le rapport en fait de pratique.
- Cette pratique est alors déraisonnable, même si le médecin a suivi une pratique
courante de la profession parfois cette pratique peut être jugée déraisonnable (il est
déraisonnable de ne pas le consulter.)
- Le Dr à une obligation de moyen, donc on fait pas de reproche qu’il n’a pas guérit le
patient. il n’a pas faire le bon choix, pourvue que le choix soit raisonnable, la question
n’est pas de savoir s’il a fait le bon choix ou pas mais un choix raisonnable qui est
reconnue dans la pratique de la profession.
- S’il est un docteur qui ce spécialise dans les urgences il a moins de compétences
en pédiatrie, on le compare à un médecin qui à les mêmes compétences que lui.
- La cour trace la distinction entre l’erreur et la faute, les professionnels ne sont pas
tenu responsable pour les simples erreurs de jugements.
- La question est de savoir si les deux options sont raisonnables, si les deux sont
raisonnable il n’y a pas de faute.
- L’erreur est humaine.
- L’article 1457 nous assujetti tous à un devoir raisonnable, les médecins en raison
de leur profession sont aussi sujet à des obligations ( 4 devoirs) spécifiques (en
manquant à l’une d’elle le médecin est considéré fautif (pourvu que c’est une faute non
une erreur) :
Il est parfois impossible d’obtenir le consentement du patient en raison de son age ou d’une
incapacité. Pour ce qui est du mineur, on distingue entre les soins qui sont requis par l’état de
santé du mineur et ceux qui sont non requis (procédure reliée à l’expérimentation) pour ce qui
est des soins nécessaires aux mineur, le mineur âgé de 14 ans et plus il peut seul consentir au
traitement. Un soin nécessaire n’équivaut pas à des soins d’urgence, mais ce n’est pas une
procédure élective. Si moins de 14 ans c’est le titulaire de l’autorité parentale.
Pour les soins non requis par l’état de santé le mineur de 14 ans et plus peut consentir seul à
moins que les soins en questions présente des risques sérieux pour la santé ou peut avoir des
effets graves permanent, le consentement du mineur n’est alors plus suffisant.
Le 8 février 2006
Problème de lien de causalité
Le médecin à un moyen de s’en sortir en invoquant l’acceptation des risques.
Pour prouver que le patient n’a pas consenti, il y a deux moyens de preuves, il faut que la faute
soit la cause du dommage. Si médecin à omis de divulguer le risque de devenir aveugle. Si le
préjudice est un risque ordinairement associé à la procédure, c’est le fait de ne pas l’avoir dit
qui a causé l’aveuglement? Peut- ont prouver avec certitude que le patient n’aurait pas
accepté la procédure s’il avait su qu’il y avait un risque de 0.01 %?
1) Un test objectif qui compare le patient à une personne raisonnable, si celle-ci avait
renoncé en fonction des risques.
2) Un test subjectif : qu’aurai fait le patient en question s’il avait toute l’information
nécessaire avant la procédure !
Dans la plupart des jurisprudence : on utilise un test subjectif qualifié:on regarde les
particularités du patient : certaine personne on particulièrement peur de certaine chose. Il
serait prêt pour tout mais jamais pour quelque chose en particulier (individuel) .
Puisqu’il est injuste d’imputé au médecin la connaissance de l’état d’esprit complet du patient
(y a t-il un moyen de connaître l’état d’esprit du patient) on intingre un élément objectif au test,
en d’autre terme une certaine rationalité est attribué au patient on parle donc de rationalité
subjectif. En absence de preuve additionnel outre l’affirmation du patient (qu’il n’aurait pas
consentie) le tribunal comparera la décision du patient a celle d’une personne raisonnable
avec ces particularités dans les même circonstances.
Exemple un jeune mannequin et le risque attrait à l’apparence physique, il est subjectif que le
fait est de ce préoccupé de son apparence, c’est un facteur plus important pour quelqu’un
dans certaine circonstance et cela doit être apparent au médecin.
Cook c. Suite
Que fait le médecin raisonnable : suit les pratiques d’un médecin raisonnable.
2) Ce n’est pas une norme énoncée par la profession, mais c’est une
pratique des médecins : ils n’ont pas l’habitude de consulter
3) Donc la cour n’a pas invalidé une norme reliée à cette profession
(une procédure établie par la profession)
Article 1469.
Le 15 février 2006
3 sortes de responsabilité
Personnelle
Pour autrui
1459 : autorité parentale, la responsabilité du fait d’autrui, cette catégorie se nomme du fait
d’autrui : (fait : une personne qui n’est pas doué de raison, cette personne)
cette personne peut rester sans compensation car la personne qui l’a commise n’est pas
douée de raison, alors il y a possibilité de poursuivre les parents ( 1459)
On ne poursuit pas la catégorie cible pour leur propre faute mais pour la faute de quelqu’un
d’autre ou le fait de quelqu’un d’autre on ne peut l’appeler faute mais « fait » car la personne
qui l’a commise n’est pas douée de raison.
Vise spécifiquement les employeurs et les employé ont utilise commettant et préposé car c’est
plus générique, commettant : plus large que employeur et employé plus générale que préposé.
1463. Le commettant est tenu de réparer le préjudice causé par la faute de ses préposés dans
l'exécution de leurs fonctions; il conserve, néanmoins, ses recours contre eux.
L’employeur le commettant sont tenu responsable de la faute de ses préposés dans l’exercice
des ses fonctions. Une présomption est contre l’employeur. Qu’elle sorte de présomption qui
est élevé contre l’employeur : il a une présomption de responsabilité. Une fois que la
présomption se lève le commettant est responsable de la faute.
L’employé est responsable plus aussi, il n’est pas protégé, mais pourquoi notre droit est
strict à l’égard de l’employeur : il bénéficie de la contribution de ses employés, il bénéficie
énormément des employés, c’est pour cela qu’il doit bénéficier d’un fardeau car il a le
bénéfice. On protège alors la victime, on lui donne un recours additionnel.
L’employeur peut pas s’en sortir en invoquant qu’il a agit raisonnablement, on le poursuit
pas.
On se concentre en tant qu’avocat de l’employeur : que ce n’est pas notre employé, il faut
de voir si c’est un préposé ou non, on essaie de démontrer que ce n’est pas un préposé si
la cour rejette cet argument, on peut alors dire que le préposé n’était pas dans l’exécution
de ses fonctions
le lien de préposition, en responsabilité civile n’est pas établie en fonction du cadre
actuelle : Ce n’est pas forcément le contrat qui va être déterminant dans le lien de
préposition en d’autre terme le contrat est important mais pas déterminant car le lien de
préposition peut être implicite.
Les étapes :
1) Faute 1457
2) Préposé contrôle
3) Exercice de la fonction
La jurisprudence nous propose quelque critère pertinent pour établir le lien de préposition.
Le premier est celui du contrôle, que l’employeur à le contrôle sur cet individu, on lui dit
quoi faire? La jurisprudence est porté à donner une interprétation très large.
La supervision : souvent les professionnels ne veulent pas qu’on les considère comme
employé (par exemple médecin, pour une question de prestige)
Notre dame contre l’espérance : deux courant mais celui dominant va dire que les médecin
ne sont pas employé.
Critère additionnel :
Si pas la faute d’employé on oublie 1463 pour cette raison qu’on doit commencer par les
démarches de l’employé. Le contrôle va être le test déterminant.
Cour : Le contrôle est l’élément le plus déterminant, ce qui devra être établie c’est l’autorité
dont est investie le commentant d’imposer une méthode de travail et sont droit de
surveillance et de direction immédiate sur ce préposé (cela revient au contrôle).
La finalité des actions de l’individu ( employé? On ne sait pas si il l’est) fait avancé qui? Il
devient plus important à la troisième étapes.
Le contrat de travail peut être une source parmi les autres, il faut regarder dans les faits ce qui
se passe.
Veut poursuivre l’hopital pour la faute du chirurgien, alors, les medicins sont considéré comme
des professionnel indépendant, pas de lien de préposition.
Le 27 février 2006
Révision examen :
Dissidence de Morin contre Blais, 1607 pour réfuter la présomption : on doit démontrer que le
défendeur démontre que sa faute n’est pas la cause directe et immédiate, qu’on a agit en
personne raisonnable.
Il est important de structurer la réponse. Il est important de suivre la démarche. Les conseils
que l’on offre. On doit soulever tous les arguments, qui a conseillé de la meilleure façon. Quels
seront les arguments contraires, pour être bien préparé. Doit citer tout les article, 1457 et
toujours le plan de départ. Il est essentiel de nommer tous les défendeurs potentiels. On doit
commencer en nommant tous les défendeurs potentiels, souvent cela incluse le demandeur,
on doit structurer la réponse en étape, chaque défendeur son tour avec l’analyse. Il faut voir ce
qui n’est pas écrit, doit se demander qui d’autre je peux poursuivre? On doit savoir appliquer le
droit aux faits. Il peuvent peut-être bénéficier d’une présomption. La vente d’alcool peut être
une norme élémentaire de prudence, on doit alors le prouver. Comme boucher contre
rousseau, présomption de faute. Une faute à été commise? Elles étaient déjà saoules,
Selon les faits on regarde la relation entre le commis et l’employeur, qui a la possibilité de le
mettre à pied, qui l’évalue, qui lui donne des heures, à un contrôle sur lui.
Il faut démontrer qu’il a commis la faute dans l’exercice de ses fonctions. Il était dans l’exercice
de des fonctions lorsqu’il a vendu de l’alcool. Oui ses fonctions sont de vendre des produits à
des clients et c’est justement ce qu'il faisait.
Une fois que tout les étapes sont remplies ont à une présomption de responsabilité. Ce qui
veut dire que l’employeur ne peut pas s’en sortir en disant qu’il n’a pas commis de faute car de
toute façon on lui reproche pas de faute mais c’est son statut d’employeur qui fait qu’on le
poursuit pour la faute de son employé. Il faut démontrer que le dépanneur que la compagnie a
fait une faute pour le poursuivre personnellement en vertu de 1457.
La jurisprudence à interpréter ce que l’on entend par dans l’exercice de ses fonctions.
Bénéfice de l’employeur : est-ce que dans l’exercice de ses fonctions l’employeur tire des
bénéfice du travail de l’employé, même si l’employé abuse de ses fonctions, désobéit au ordre
de l’employeur il peut quand même être considéré dans l’exercice de ses fonctions.
Ex : caissière chez Mcdo, de temps en temps elle vole quelques dollars, elle est dans
l’exercice de ses fonctions : ses activités bénéfice sont employeur? Oui car même si l’on vole,
l’employeur a encore ses profits, même si l’acte n’est pas dans les ordres de son employeur
mais le contraire, elle bénéficie quand même son employeur.
Le critère exercice de ses fonctions est maintenu même si c’est une mauvaise exécution de
ses fonctions.
Les accidents qui se passent au travail sont régis par un régime sans faute la CSST.
Jurisprudence
Le propriétaire de l’hélicoptère poursuit Lee l’employé sous 1457 et poursuit 2 employeurs
potentiels sous 1463, afin de se rendre à 1463 on doit regarder la faute de personnelle. Le
type de dommage que l’on veuille protéger n’est pas les hélices. Si ne bénéficie pas de la
présomption. Cest le décapage de lie qui a détruit l’hélice.
La première condition pour se prévaloir de 1463, l’employé a commis une faute dommageable.
On regarde s’il a commis faute, et si la faute à causé le dommage, donc l’emplpyé est fautif en
vertu de 1457
Il faut démontrer un lien de subordination entre l’employé et la compagnie, pour ville marie
l’interprétation est tellement large, il était quant même un préposé de ville marie elle celle-ci
exerçait un contrôle sur lui.
Lee était dans l’exercice de ses fonctions lorsque le dommage à été fait. Il était entrain de
retourner chez lui. Il ne performait pas ses fonctions, il avait terminé son travail. Afin de se
rendre à son travail il a doit prendre l’hélicoptère. Quelqu’un qui a officiellement terminé son
travail il n’est plus dans l’exercice de ses fonctions, mais la cour va interpréter très largement
de l’exercice de ses fonctions car on peut dire que le fait de se rendre là bénéficier à son
employeur, dans les faits Lee, transportait des échantillons, ce qui indirectement pouvait
bénéficier sont employeur. L’employeur n’a pas embauché Lee pour transporter les
échantillons.
Havre des femmes
Madame Dubé (la victime) se rend à la maison d’hébergement (madame Denis) le Havre
interdisait d’accueillir ses femmes chez elle, Madame Dubé contrairement aux normes l’a
accueillie chez elle, elle lui a donné de l’argent, presque tout l’argent de son divorce, madame
Denis avait besoin d’argent, après un bout de temps, la victime s’est rendu compte, elle a donc
poursuivi madame Denis sous 1457 et l’employeur, et 1463, si poursuit le Havre en vertu de
1457 on doit lui reprocher une faute.
Qu’elle faute lui reproche t-on? L’hébergement, fraude, vol, des normes de son employeur, on
peut trouver des normes élémentaires de prudence. On a un jugement contre l’intervenante.
Il est essentiel de poursuivre toutes les avenues. Madame Denis avait fait faillite, elle n’a pas
d’argent, l’institution à beaucoup plus d’argent. Il faut poursuivre l’employeur qui est le Havre
des femmes en vertu de 1463 car il n’y a aucune faute personnelle reprochée à cette maison
de femmes donc on ne peut pas utiliser 1457.
Le lien de préposition employé/employeur existe. Le havre lui dictait quoi faire, elle l’a fait sans
rien dire.
Est-ce que cette intervenante était dans l’exercice de ses fonctions quand elle à volé l’argent
de la Madame ? Elle était hors du contrôle de son employeur, c’est à travers cette fonction
qu’elle a connu la victime. Le critère clé est le bénéfice, cela bénéficiait à l’employeur? Elle a
amené cette dame chez elle, donc à l’extérieur de ses fonctions, donc l’acte n’était pas dans le
bénéfice même éloigné du Havre. Denis recherchait exclusivement son avantage personnel,
se situant ainsi clairement hors du cadre le plus large de ses fonctions lorsqu’elle commis la
faute dont l’intimé était victime. Elle n’était pas dans l’exercice de ses fonctions car elle ne
bénéficie aucunement son employeur.
Ex de la caissière, même si elle vol, elle recherche quand même le bénéfice de son
employeur.
Les détenteurs de l’autorité parentale : Parfois ce n’est pas les parents qui sont détenteur de
l’autorité parentale.
Article 1459 tout comme 1463 nous permet de poursuivre une catégorie de personne pour la
faut qui a été commis par qqn d’autre sans prouver qu’il a fait une faute.
Pour le 3ieme critère nous prend soit que le mineur à commis une faute qui a causé du
dommage selon 1457, soit que l’enfant n’est pas doué de raison. Si le mineur en question n’est
pas doué de raison, on peut quand même utiliser 1459. une fois que les 3 conditions sont
réunies une présomption de faute est soulever contre les parents mais celle-ci est réfragable.
Les parents peuvent s’en sortir (contrairement a 1463 où on ne peut s’en sortir) en démontrant
qu’ils ont fait leur devoir en tant que parents raisonnables.
Le 1 mars 2006
La responsabilité personnelle 1457, on lui reproche pour une faut qui a lui même commis.
Le régime d’autre général : personnel, doit démontré la faute de la personne qu’on civile
Le deuxième type :
Pour bénéficier de 1463 : ( 3 conditions) doit avoir une faute dommageable du préposé,
exercice de ses fonctions (Dubé contre Denis ,cas exceptionnel normalement l’employeur tire
toujours un bénéfice, cela va être invoqué par l’employeur Dubé c Denis pour ne pas avoir de
responsabilité. Presque tout est considéré dans le cadre de ses fonctions.), Contrôle.
Pour bénéficier 1459 : doit démontrer l’autorité parentale, enfant mineur (il faut être conscient
des enfants de plus de 14 ans, ils ont tellement d’autonomie sous le nouveau code, 1459
s’applique toujours, mais les tribunaux permettent facilement au parent de repousser la
présomption a moins qu’on démontre qu’il n’ont pas bien éduqué leur enfant. Doit démontrer
que la faute dommageable, si dans la présence d’un enfant non doué de raison, même si
échoue à 1457, est-ce qu’on est fait serait une faute s’il était doué de raison? On fait semblant
qu’il est doué de raison pour voir si les parents peuvent être tenus responsable
1457 ont établit la faute, si incapable de démontrer sa faute, un fait peut être équivalent à une
faute si c’est commis par quelqu’un est doué de raison, on fait semblant qu’il est doué de
raison pour les fins se 1459, il y a alors responsabilité des parents ils doivent donc démontrer
une bonne éducation et de surveillance pour repousser la présomption.
Le parent raisonnable doit s’acquitté : d’une bonne éducation et une bonne surveillance, s’il
démontrer cela, ils peuvent repousser le fardeau.
On ne peut pas imposer d’être très exigent envers les parents, normalement il est relativement
pas trop difficile de renverser le fardeau de preuve c’est un fardeau de moyen, le devoir
d’éducation et de surveillance varie selon certain critère comme si on regarde la jurisprudence
Arrêt contre ardis (jeune mineur agé de 21 ans, implique des véhicule, démontre qu’elle critère
sont pertinent pour démontré si les parents on donné une bonne éducation et de surveillance
pour repoussé la présomption), Gin contre siccin (le père à renverser le fardeau de preuve)
Arrêt Ardis :
Le jeune 1457 (on lui reproche une faute, pas avoir conduit raisonnablement)
La faute aux parent personnellement en vertu de 1457, il faut lui reprocher un comportement
déraisonnable, on lui reproche généralement ne pas lui avoir donné une bonne éducation ou
une bonne surveillance, dans examen intra : comme tout autre personne ils peuvent être
poursuit, vous auriez du le surveiller lui dire que l’acool,
1459 est important lorsque l’enfant n’est pas doué de raison, car ont ne peut pas se servir de
1457, on utilise alors 1459.
Les facteurs important pour une bonne éducation et une bonne surveillance varie selon les
circonstances, on évalue les circonstances par rapport à l’age, on ne peut pas comparr un
enfant de 17 et un enfant de 5 ans. Age est un facteur très important pris enx considération par
les tribunaux, le températment de l’enfant est aussi important, boyer contre Hydro québec, les
parent savait que l’enfant avait tendance à grimper, donc cest plus prévisible, mais dans le car
de ardi (l’enfant conduit depuis des années prudemment)
Pour repousser la présomption de faute comme le pere de allain c ardis, le pere n’est pas tenu
de démontrer qu’il y avait une impossibilité complète pour empêcher le dommage, il doit y avoir
une certaine flexibilité, les parents doivent seulement prendre des moyens raisonnables pour
s’assurer que leur enfant ne nuit à autrui.
Si enfant à un tempérament très calme, les parents peuvent dire que leur suirveilleance est en
accord avec cela.
L’élément de l’age doit tout de même entrée en ligne de compte pour voir si le pére doir
bénéficier des chances de l’exonération.
Un bon père de famille (personne raisonnable) doit laisser une certaine liberté à un jeune
homme de cet age (adolescent) pour ce qui est de son age,
La responsabilité du parent existe pour ce qui est des objets dangereux, des activités
dangereuse, elle existe si les parents laissent l’enfant de pratiquer un sport trop dangereux en
soit, ou trop dangereux eu égard à l’éducation à la formation au caractère ou à la maturité de
son enfant. (la natation peut être dangereuse si ne sait pas nager)
Ce qui joue en la faveur des parents est l’age, les tribunaux sont plus généreux au parent dont
les enfants sont proche de l’age de la majorité, on peu utiliser Beaudoin pour monter qu’avec
le nouveau code, on donne plus de liberté pour les 14 ans et plus.
Il me semble que le tribunal bla bla bla… doit voir les arguments des deux côté.
L’expérience est aussi pertinente, arrêt ouellette contre cloutier, il s’agissait de quelque chose
de dangereux mais l’enfant avait de l’expérience dans cela, donc ils ne peuvent
1459 utile lorsque le défendeur mineur n’est pas doué de raison car on echoue à 1457.
Pour les fins unique 1459 de faire semblant qu’il est doué de raison pour la responsabilité des
parents, les parents peuvent être reconnus fautif.
Article 1460 est presque identique a 1459 sauf que le groupe visé n’est pas le détenteur de
l’autorité parentale mais de gardien, de surveillant, la démarche est presque identique.
Ils sont tenus au même règle que ceux détenant l’autorité parentale,
Une somme modique : une somme raisonnable ou pas? Il faut voir les deux côté,
Normalement 1460 ne vise pas les babysiters mais les gardiens professionnels, si pas sure il
faut faire des arguments
Il faut alors démontrer que la personne se voit confié de la garde, ne change rien si le gardien
est mineur.
Les gardiens qui le sont gratutment ou pour une somme modique, on va à 1457 on ne bénificie
pas de 1460 elle s’applique que pour ceux qui sont rémunéré.
Différence entre 1459 et 1460 est l’interprétation de la jurisprudence, (plus généreux au niveau
des parents, mais encore plus au niveau des surveillants car on se voit attribué une partie des
attribues de l’autorité parentale.
1463 : on peut poursuivre le CEGEP car il est employeur du professeur, le professeur 1457 et
aussi 1460 car le prof est la en tant que gardien aussi.
Le professeur à réussi à repousser, qu’il était raisonnable que le prof quitte pour quelques
minutes
Obrian il ne faut pas exagérer le standard de perfection requis du gardien (de l’instituteur),
obligation de moyen, il aura bien accompli son devoir et sera à l’abrie de toute responsabilité
s’il démontre, qu’il a fait ce qu’il était raisonnablement possible de faire, (on fait de son mieux)
s’il a agit comme aurait agit un bon père de famille dans les conditions identique et qu’il a prit
les précaution ordinaire qu’un homme prudent et diligent devait prendre dans les mêmes
circonstances.
1461 : la catégorie qui sont visés sont des gardiens, mais de majeur inapte. le gardien n’est
pas tenu ne réparer le préjudice à moins qu’elle n’est elle-même.
Généreux pour les gardiens de majeur inapte, comprend les individu aussi bien que les
institutions,
Il faut prouver que sa faute personnelle dans sa garde est intentionnelle et lourde,
Un arrêt qui les réunis tous de responsabilité pour fait ou faute d’autrui, laverture contre
belanger..
Laurant 1457 (considéré comme insensé, quelqu’un doué de raison mais le tribunal à
démontré qu’il ne l’était pas)
1460
sous 1457 les parents ce sont retourner contre les parents de lise
Pourquoi pas 1459 : lise à commis aucune faute.
3 régimes de faute :
Personnelle
La responsabilité à 1457, du fait des biens : régime spécialisé qui porte sur les
dommages causés par les biens article 1465-1466-1467
Les animaux 1465 : les animaux sont des biens, les peines sur la cruauté des animaux sont de
de plus en plus sévère.
Si propriétaire d’un animal et que celui-ci cause un dommage, il est inutile de démontrer qu’on
a agit raisonnablement
1466
1. doit démontrer qu’on est propriétaire, ou le gardiens dans un sens plus large (on peut
poursuivre les deux le prop et le gardiens
2. animal a causé le dommage, il faut démontrer que l’animal à causé le dommage
il n’y a pas de moyen de s’en sortir que de minimisé par approportionement ou force majeure.
Selon les faits on regarde la relation entre le commis et l’employeur, qui a la possibilité de le
mettre à pied, qui l’évalue, qui lui donne des heures, à un contrôle sur lui.
Il faut démontrer qu’il a commis la faute dans l’exercice de ses fonctions. Il était dans l’exercice
de des fonctions lorsqu’il a vendu de l’alcool. Oui ses fonctions sont de vendre des produits à
des clients et c’est justement ce qu'il faisait.
Une fois que tout les étapes sont remplies ont à une présomption de responsabilité. Ce qui
veut dire que l’employeur ne peut pas s’en sortir en disant qu’il n’a pas commis de faute car de
toute façon on lui reproche pas de faute mais c’est son statut d’employeur qui fait qu’on le
poursuit pour la faute de son employé. Il faut démontrer que le dépanneur (la compagnie) a
fait une faute pour le poursuivre personnellement en vertu de 1457.
La jurisprudence à interpréter ce que l’on entend par dans l’exercice de ses fonctions.
Bénéfice de l’employeur : est-ce que dans l’exercice de ses fonctions l’employeur tire des
bénéfices du travail de l’employé, même si l’employé abuse de ses fonctions, désobéit aux
ordres de l’employeur il peut quand même être considéré dans l’exercice de ses fonctions.
Ex : caissière chez Mc.do, de temps en temps elle vole quelques dollars, elle est dans
l’exercice de ses fonctions : ses activités bénéfice sont employeur? Oui car même si l’on vole,
l’employeur a encore ses profits, même si l’acte n’est pas dans les ordres de son employeur
mais le contraire, elle bénéficie quand même son employeur.
Le critère exercice de ses fonctions est maintenu même si c’est une mauvaise exécution de
ses fonctions.
Les accidents qui se passent au travail sont régis par un régime sans faute la CSST.
Jurisprudence
TRANS-QUÉBEC HELICOPTERS LTD. C THE HEIRS OF THE ESTATE IF THE LATE
DAVIDLEEp. 598 et 344 du recueille : Pour que le commettant soit responsable de la faute de
son préposé sous 1463, il faut que cette faute ait été commise dans l’exécution de ses
fonctions et cette règle doit être interprétée restrictivement suivant notre jurisprudence, faisant
en effet reposer sur une personne la faute d’un tiers.
o Le type de dommage que l’on veuille protéger n’est pas les hélices. Si ne
bénéficie pas de la présomption. C’est le décapage de Lee qui a détruit l’hélice.
Il faut démontrer un lien de subordination entre l’employé et la compagnie (la ville Marie)
o L’interprétation est tellement large, il était quant même un préposé de ville Marie,
celle-ci exerçait un contrôle sur lui.
Lee était dans l’exercice de ses fonctions lorsque le dommage à été fait? Il était entrain de
retourner chez lui. Il ne performait pas ses fonctions, il avait terminé son travail. Afin de se
rendre à son travail il a doit prendre l’hélicoptère. Quelqu’un qui a officiellement terminé
son travail n’est plus dans l’exercice de ses fonctions.
o la cour va interpréter très largement dans l’exercice de ses fonctions car on peut
dire que le fait de se rendre là bénéficie à son employeur, dans les faits Lee,
transportait des échantillons, ce qui indirectement pouvait bénéficier sont
employeur. L’employeur n’a pas embauché Lee pour transporter les échantillons.
Havre des femmes
Faits :
Madame Denis, contrairement aux normes l’a accueillie chez elle, Madame Dubé lui a
donné de l’argent, presque tout l’argent de son divorce, madame Denis avait besoin
d’argent, après un bout de temps.
la victime s’est rendu compte, elle a donc poursuivi madame Denis sous 1457 et
l’employeur sous1463.
Cependant si elle décide de poursuivre le Havre en vertu de 1457 on doit lui reprocher
personnellement une faute.
Qu’elle faute lui reproche t-on? L’hébergement, fraude, vol, des normes de son employeur,
on peut trouver des normes élémentaires de prudence. On a un jugement contre
l’intervenante.
Il est essentiel de poursuivre toutes les avenues. Madame Denis avait fait faillite, elle n’a
pas d’argent, l’institution à beaucoup plus d’argent. Il faut poursuivre l’employeur qui est le
Havre des femmes en vertu de 1463 car il n’y a aucune faute personnelle reprochée à
cette maison de femmes donc on ne peut pas utiliser 1457.
Le lien de préposition employé/employeur existe. Le havre lui dictait quoi faire, elle l’a fait
sans rien dire.
Est-ce que cette intervenante était dans l’exercice de ses fonctions quand elle à volé l’argent
de la Madame ? Elle était hors du contrôle de son employeur, c’est à travers cette fonction
qu’elle a connu la victime. Le critère clé est le bénéfice, cela bénéficiait à l’employeur? Elle a
amené cette dame chez elle, donc à l’extérieur de ses fonctions, donc l’acte n’était pas dans le
bénéfice même éloigné du Havre. Denis recherchait exclusivement son avantage personnel,
se situant ainsi clairement hors du cadre le plus large de ses fonctions lorsqu’elle commis la
faute dont l’intimé était victime. Elle n’était pas dans l’exercice de ses fonctions car elle ne
bénéficie aucunement son employeur.
Ex de la caissière, même si elle vol, elle recherche quand même le bénéfice de son
employeur.
Les détenteurs de l’autorité parentale : Parfois ce n’est pas les parents qui sont détenteur de
l’autorité parentale.
Article 1459 tout comme 1463 nous permet de poursuivre une catégorie de personne pour la
faut qui a été commis par qqn d’autre sans prouver qu’il a fait une faute.
Pour 1459 il faut satisfaire plusieurs conditions, il faut démontrer que les parents sont bien les
parents (les détenteurs de l’autorité parentale). Il faut que les enfants soit mineur, sous le
nouveau code, les jeunes de 14 ans et plus on beaucoup de droit (ex dans la responsabilité
médicale, ils peuvent prendre des décisions en ce qui concerne des traitements médicaux) les
parents peuvent repousser la présomption de fautes, il faut toujours soulevés la présomption
de faute lorsqu’il s’agit de mineur de 14 ans et plus.
Pour le 3ieme critère nous prend soit que le mineur à commis une faute qui a causé du
dommage selon 1457, soit que l’enfant n’est pas doué de raison. Si le mineur en question n’est
pas doué de raison, on peut quand même utiliser 1459. une fois que les 3 conditions sont
réunies une présomption de faute est soulever contre les parents mais celle-ci est réfragable.
Les parents peuvent s’en sortir (contrairement a 1463 où on ne peut s’en sortir) en démontrant
qu’ils ont fait leur devoir en tant que parents raisonnables.
Le 1 mars 2006
La responsabilité personnelle 1457, on lui reproche pour une faut qui a lui même commis.
Le régime d’autre général : personnel, doit démontré la faute de la personne qu’on civile
Le deuxième type :
IL Y A 3 VOIE DE RECOURS
Pour bénéficier de 1463 : ( 3 conditions) doit avoir une faute dommageable du préposé,
exercice de ses fonctions (Dubé contre Denis ,cas exceptionnel normalement l’employeur tire
toujours un bénéfice, cela va être invoqué par l’employeur Dubé c Denis pour ne pas avoir de
responsabilité. Presque tout est considéré dans le cadre de ses fonctions.), Contrôle.
Pour bénéficier 1459 : doit démontrer l’autorité parentale, enfant mineur (il faut être conscient
des enfants de plus de 14 ans, ils ont tellement d’autonomie sous le nouveau code, 1459
s’applique toujours, mais les tribunaux permettent facilement au parent de repousser la
présomption a moins qu’on démontre qu’il n’ont pas bien éduqué leur enfant. Doit démontrer
que la faute dommageable, si dans la présence d’un enfant non doué de raison, même si
échoue à 1457, est-ce qu’on est fait serait une faute s’il était doué de raison? On fait semblant
qu’il est doué de raison pour voir si les parents peuvent être tenus responsable
1457 ont établit la faute, si incapable de démontrer sa faute, un fait peut être équivalent à une
faute si c’est commis par quelqu’un est doué de raison, on fait semblant qu’il est doué de
raison pour les fins se 1459, il y a alors responsabilité des parents ils doivent donc démontrer
une bonne éducation et de surveillance pour repousser la présomption.
Le parent raisonnable doit s’acquitté : d’une bonne éducation et une bonne surveillance, s’il
démontrer cela, ils peuvent repousser le fardeau.
On ne peut pas imposer d’être très exigent envers les parents, normalement il est relativement
pas trop difficile de renverser le fardeau de preuve c’est un fardeau de moyen, le devoir
d’éducation et de surveillance varie selon certain critère comme si on regarde la jurisprudence
Arrêt contre ardis (jeune mineur agé de 21 ans, implique des véhicule, démontre qu’elle critère
sont pertinent pour démontré si les parents on donné une bonne éducation et de surveillance
pour repoussé la présomption), Gin contre siccin (le père à renverser le fardeau de preuve)
Arrêt Ardis :
Le jeune 1457 (on lui reproche une faute, pas avoir conduit raisonnablement)
La faute aux parent personnellement en vertu de 1457, il faut lui reprocher un comportement
déraisonnable, on lui reproche généralement ne pas lui avoir donné une bonne éducation ou
une bonne surveillance, dans examen intra : comme tout autre personne ils peuvent être
poursuit, vous auriez du le surveiller lui dire que l’acool,
1459 est important lorsque l’enfant n’est pas doué de raison, car ont ne peut pas se servir de
1457, on utilise alors 1459.
Les facteurs important pour une bonne éducation et une bonne surveillance varie selon les
circonstances, on évalue les circonstances par rapport à l’age, on ne peut pas comparr un
enfant de 17 et un enfant de 5 ans. Age est un facteur très important pris enx considération par
les tribunaux, le températment de l’enfant est aussi important, boyer contre Hydro québec, les
parent savait que l’enfant avait tendance à grimper, donc cest plus prévisible, mais dans le car
de ardi (l’enfant conduit depuis des années prudemment)
Pour repousser la présomption de faute comme le pere de allain c ardis, le pere n’est pas tenu
de démontrer qu’il y avait une impossibilité complète pour empêcher le dommage, il doit y avoir
une certaine flexibilité, les parents doivent seulement prendre des moyens raisonnables pour
s’assurer que leur enfant ne nuit à autrui.
Si enfant à un tempérament très calme, les parents peuvent dire que leur suirveilleance est en
accord avec cela.
L’élément de l’age doit tout de même entrée en ligne de compte pour voir si le pére doir
bénéficier des chances de l’exonération.
Un bon père de famille (personne raisonnable) doit laisser une certaine liberté à un jeune
homme de cet age (adolescent) pour ce qui est de son age,
La responsabilité du parent existe pour ce qui est des objets dangereux, des activités
dangereuse, elle existe si les parents laissent l’enfant de pratiquer un sport trop dangereux en
soit, ou trop dangereux eu égard à l’éducation à la formation au caractère ou à la maturité de
son enfant. (la natation peut être dangereuse si ne sait pas nager)
Ce qui joue en la faveur des parents est l’age, les tribunaux sont plus généreux au parent dont
les enfants sont proche de l’age de la majorité, on peu utiliser Beaudoin pour monter qu’avec
le nouveau code, on donne plus de liberté pour les 14 ans et plus.
Il me semble que le tribunal bla bla bla… doit voir les arguments des deux côté.
L’expérience est aussi pertinente, arrêt ouellette contre cloutier, il s’agissait de quelque chose
de dangereux mais l’enfant avait de l’expérience dans cela, donc ils ne peuvent
1459 utile lorsque le défendeur mineur n’est pas doué de raison car on echoue à 1457.
Pour les fins unique 1459 de faire semblant qu’il est doué de raison pour la responsabilité des
parents, les parents peuvent être reconnus fautif.
Article 1460 est presque identique a 1459 sauf que le groupe visé n’est pas le détenteur de
l’autorité parentale mais de gardien, de surveillant, la démarche est presque identique.
Ils sont tenus au même règle que ceux détenant l’autorité parentale,
Une somme modique : une somme raisonnable ou pas? Il faut voir les deux côté,
Normalement 1460 ne vise pas les babysiters mais les gardiens professionnels, si pas sure il
faut faire des arguments
Il faut alors démontrer que la personne se voit confié de la garde, ne change rien si le gardien
est mineur.
Les gardiens qui le sont gratutment ou pour une somme modique, on va à 1457 on ne bénificie
pas de 1460 elle s’applique que pour ceux qui sont rémunéré.
1463 : on peut poursuivre le CEGEP car il est employeur du professeur, le professeur 1457 et
aussi 1460 car le prof est la en tant que gardien aussi.
Le professeur à réussi à repousser, qu’il était raisonnable que le prof quitte pour quelques
minutes
Obrian il ne faut pas exagérer le standard de perfection requis du gardien (de l’instituteur),
obligation de moyen, il aura bien accompli son devoir et sera à l’abrie de toute responsabilité
s’il démontre, qu’il a fait ce qu’il était raisonnablement possible de faire, (on fait de son mieux)
s’il a agit comme aurait agit un bon père de famille dans les conditions identique et qu’il a prit
les précaution ordinaire qu’un homme prudent et diligent devait prendre dans les mêmes
circonstances.
Considérons que le comportement de l’enfant n’était pas déraisonnable, le 3ieme etait difficile
à prouver de 1460, mais en 1457 on peut dire que cela est arriver car le prof est partie, donc
on peut mettre la faute sur le professeur.
1461 : la catégorie qui sont visés sont des gardiens, mais de majeur inapte. le gardien n’est
pas tenu ne réparer le préjudice à moins qu’elle n’est elle-même.
Généreux pour les gardiens de majeur inapte, comprend les individu aussi bien que les
institutions,
Il faut prouver que sa faute personnelle dans sa garde est intentionnelle et lourde,
Un arrêt qui les réunis tous de responsabilité pour fait ou faute d’autrui, laverture contre
belanger..
1460
sous 1457 les parents ce sont retourner contre les parents de lise
3 régime de faute :
Personnelle
La responsabilité à 1457, du fait des biens : régime spécialisé qui porte sur les
dommages causé par les beins artcile 1465-1466-1467
Les animaux 1465 : les annimaux sont des biens, les peines sur la cruauté des annimaux sont
de de plus en plus sévère.
Si propriétaire d’un annimal et que celui-ci cause un dommage, il est inutile de démontrer
qu’on a agit raisonnablement
1466
1. doit démontrer qu’on est propriétaire, ou le gardiens dans un sens plus largee (on peut
poursuivre les deux le prop et le gardiens
2. annimal a causé le dommage, il faut démontrer que l’annimal à causé le dommage
il n’y a pas de moyen de s’en sortir que de minimisé par apportionnement ou force majeur
le 6 mars 2006
1. responsabilité pour les biens : peuvent nous rendre responsable, vise 2 catégories de
personne : 1466 vise les propriétaires et ce qui ce sert de l’animal, le propriétaire est tenu
responsable uniquement car il est le propriétaire, peu importe le fait qui est absent, il est
présumé responsable.
Le code emploie la terminologie qui est plus large pour couvrir n’importe qui en compagnie de
l’animal.
Présomption à 1466 semblable à celle de l’article 1463, il y a moyen de la repoussé ? les deux
manière de s’exonérer et la force majeur ou l’apportionement : il faut démontré la faute d’une
tiece partie ou de la victime.
Article 1465 : il s’agit d’un présomption de faute, article 1465 vise un gardien d’un bien, pour ce
prévaloir de cette présomption le demandeur doit établir l’existence d’un bien, il peut s’agir soit
d’un bien meuble ou immeuble.
2. il faut aussi établir le demandeur doit prouver l’identité du gardien celui-ci est une personne
qui exerce un contrôle à la garde juridique sur l’objet, (illustré par arrêt sidgens)
3. Il faut que le dommage soit causé par le fait autonome de la chose. Il ne peut pas y avoir
d’intervention humaine, absence d’intervention humaine, le fait autonome de la chose. Doit
être un acte autonome de la chose, si je jette une pierre, n’est plus autonome, elle doit tomber
tout seul sans une intervention humaine qui contribue.
Il faut que le plaignant démontre pour repousser le fait autonome, il exige une absence
d’intervention humaine, l’écran n’est pas tombé de soit, la petite fille l’a poussé, c’est cette
partie la plus difficile à prouver pour bénéficier de la présomption de faute, s’il réussisse, il y
a présomption de faute et donc il y a renversement de fardeau. Lorsqu’il y a une présomption
de faute il y a renversement de fardeau. On peut repousser la présomption en prouve que les
3 éléments ne sont pas là ( par exemple quelqu’un l’a poussé) une fois qu’on démontre qu’il y
a intervention humaine on ne bénéficie pas de la présomption de faute, celle-ci peut être
repousse par le gardien qui peut démontrer qu’il a agit comme personne raisonnable, on a fait
un mauvais usage de la camera, pourvue qu’il n’y a pas eu d’intervention humaine.
Article 1467 : vise seulement les immeubles et la catégorie des personnes visées sont les
propriétaires. Le propriétaire sans préjudice de sa responsabilité à titre de gardien : il est alors
possible qu’il soit responsable au niveau 1465 (vise tout type de bien et vise les gardien qui est
bcp plus large que le propriétaire), on essaie jamais en vertu d’un article puis si ne fonctionne
pas se tourne vers un autre, on doit dés le début invoqué tout sur le plan
procédurale. Présomption absolue semblable à celle 1463- 1466 et s’exonère de la même
manière. Pour bénéficier de cette présomption de liberté.
Il faut invoqué article 1467 même si on est pas sure que cela représente un bien immeuble.
La première condition :
si ascenseur fonction mal, il ne s’agit pas d’une ruine, mais si fait une chute, il est ruiner peut
pas s’en servir, la logique va dicter s’il s’agit d’une ruine ou pas.
Arrêt sidgens nous apprend aussi qu’on peut prouver, le défaut d’entretien tout simplement par
présomption en démontrant qu’il y a une ruine et qu’on ne voit aucune autre cause possible
responsable de la ruine alors on présume que la ruine est les résultat d’un manquement
d’entretien et à ce stade que le propriétaire peut empêcher la présomption en montre une autre
cause.
Ex; brique qui tombe d’un immeuble sur quelqu’un, découle d’un mauvais entretien
on présume un manque d’entretien, mais on peut dire non quelqu’un l’a fait tombé.
1. identifier les défendeurs potentiel (tous), on prend chaque défendeur un par un et se demande
les articles pertinent à leur endroit.
2. qu’elles sont les articles pour chacun des défendeurs ?analyse pour chacun des articles pour
chacun des défendeurs
1. la compagnie de technicien
2. Sidgens : on peut le poursuivre au niveau des articles 1457, 1465 en tant que gardien doit
démontrer qu’il est bien, large c’est un bien on doit démontrer que
o 1465 : Sidgens est gardien en prouvant qu’il avait le contrôle : argument de Sidgens
pour ne pas permettre monsieur Bélanger de satisfaire la condition, on est propriétaire
mais pas gardien de l’ascenseur car on a embauchés Otis pour le faire.
1467 : doit être propriétaire de l’immeuble, ascenseur est un immeuble? Ascenseur est
incorporé dans l’immeuble (doit savoir se poser comme question si la chose est un
immeuble) on invoque 1467 seulement pour immeuble.
i. Ruine?
1.
o Otis
i. 1457
ii. 1465
1. le technicien
La causalité
Une faute peut avoir été commise par le défendeur mais en absence d’un lien de causalité
entre la faute et le dommage. Il n’y aura pas de compensation. Parfois le lien de causalité
comme la faute peut être présumée. C’est en vertu de l’article 2846 et 2849 que les tribunaux
peuvent être présumés (norme élémentaire de prudence) arrêt morin c Blais (responsabilité
médicale)
2846,
Les articles pertinent pour satisfaire le lien de causalité : 1457, 1607 (test du lien direct et
immédiat entre la faute et le préjudice, ce test correspond à la théorie de causalité adéquate
qui veulent dire que l’on requiert un triage pour trouver les causes adéquates)
La théorie de causalité adéquate : est tempérer par des questions de justice est d’ordre public,
les tribunaux regardent les faits pour voir la cause la plus probable.
Le test qui ressort Deguire c Adler, la cause doit être directe immédiate est CERTAINE ( pas
une certitude absolue).
Le mot direct est immédiat est la partie juridique du test, le mot certain fait référence aux faits.
Lien de causalité 1607 peut citer Deguire c Adler directe immédiate et certaine.
En responsabilité médicale, les tribunaux se servent beaucoup de présomption car les patients
n’ont pas la même connaissance que les médecins, dans gburek c cohem ( dans le receuil) il
est allé voir le médecin pour une infection, ce fait prescrir un antibiotique qui a comme effet
secondaire des problèmes par rapport au foi ou rein et la surdidité, le patient est alors devenu
sourd, normalement il faut performer des tests pour s’assurer qu’il ne devient pas sourd, le
médecin n’a pas performer ces tests et le patient devient sourd. La sourdité du patient ne
découle pas de ne par voir performer les test par le médecin, car les test ne peuvent pas
empêcher, on est pas capable de prouver que les tests aurait empêcher la surdité.
La complexité des faits à mené le tribunal à dire : il invoque article 2846, 2849 est résume le
lien de causalité entre la faute et le dommage et nous apprend que : si la preuve révèle que la
faute du défendeur à empêché le demandeur de prouver la cause probable du préjudice subie,
la causalité sera présumé et le fardeau de preuve est renverser.
Dans ce cas, le docteur n’a pas prit les tests, le patient n’a pas ces test.
Parent c. lapointe
Normalement depuis des années les tribunaux présumer le liens de causalité ainsi que la faute
dans le domaine médicale lorsque le patient subie certain dommage, les tribunaux invoque
2846 ou 2849.
Arrêt (Saint- jean c Mercier) récent 2002 ; remet en question cette tendance automatique ou
presque des tribunaux de présumés la causalité dans le contexte médicale.
M. impliqué dans un accident de voiture et devient paraplégique est poursuis le médecin, car la
blessure n’est pas stable.
Selon le médecin la paralysie est dû à l’accident de voiture et non pour la faute du médecin, si
le médecin prouve que non pas sa faute, celui-ci sera indemnisé pas la société des transports
du québec.
Les tribunaux dans ce genre de circonstance dit qu’il est difficile au patient de démontrer
totalement ce qui à causé sa paralysie. On présume selon l’article que la cause du dommage
est dû à la faute du médecin, il y a présomption donc le médecin doit faire la preuve du
contraire.
Quel est notre source d’autorité? Le code, le tribunal prend pour présomption des situation
grave précise et concordante le médecin n’a pas bien de regarder le dossier médicale, les
tribunaux accepte facilement le fardeau du demandeur, cet arrêt vient prévenir au tribunaux de
prendre au sérieux l’article 2849, cet arrêt sert de prendre plus aux sérieux s’ assurer que ce
soit grave précis et concordant.
Pour le tribunal? Ce qui change on est munis de l’article Mercier contre Stjean)
Argument du défendeur ne repossait pas seulyement, suite à l’arrêt st jean on peut dire il n’y
a pas de présomption grave précise et concordante, donc les tribunaux doivent être plus
vigilent pour donné la présomption, on peut utiliser mercier contre st-jean comme un argument
tres important pour rejeté la présomption.
Parent contre la pointe et le reste comme argument pour le demandeur, les tribunaux utilise
Mercier contre St-jean : argument important pour le défendeur. Ne se contente plus d’accepter
le renversement de preuve et doivent prouver qu’il n’y a pas de lien de causalité et tout le
reste, maintenant le défendeur à une arme plus puissante il invoque 2849 qu’il faut respecter,
avec l’arrêt St-jean contre mercier, tout dépend des faits, ce n’est pas automatique.
Le 8 mars 2006
Il faut que la faute soit la cause certaine est immédiate du préjudice. On retient la cause
déterminante.
Deguire contre Adler, la faute est la cause directe immédiate (cause légale) et certaine (cause
factuel) du préjudice. Lorsqu’on parle de certain on fait référence à un préjudice certain qui
existe, une cause qui attrait à un préjudice factuel certain.
Le lien de causalité n’a rien à avoir avec la prévisibilité. Arrêt Thériault contre Thibault. :
formule de directe contre immédiat. Pourquoi la formule à 1607 (cause directe est immédiate
parfois certaine) que signifie le mot immédiat dans cette formule.
Thériault contre Thibault : propriétaire et locataire. Un conflit de longue date entre le locataire
et le propriétaire. Le locataire poursuit le propriétaire pour ses blessures.
En s’appuyant sur 1457 qu’elle élément facile, le piège : car il a enlevé le morceau de bois.
Qu’elle élément du piège n’a pas été satisfait, il a été connu, dans les deux cas le locataire
était au courant que la porte est défectueuse et qu’il savait que le propriétaire l’a enlevé, donc
peut pas utiliser le piège comme raison car c’était connu. Il a quant même poussé la porte.
La cause directe et immédiate est la faute du propriétaire ou la faut de la victime. Le fait que le
propriétaire soit enlevé le morceau de bois, au niveau de la faute tous les deux ce sont
comporter déraisonnablement.
Selon le propriétaire c’est Monsieur Thibault qui à créé un risque en enlevant le morceau de
bois, ce risque c’est alors matérialisé, sa faute est donc la cause directe et immédiate du
dommage. Immédiat : le propriétaire a créé un risque, lorsque la victime ne fait que réagir, à la
situation contraignant créé par la faute du défendeur, sa réaction qui est aussi déraisonnable
uniquement car sa marche de manœuvre est contraignante en raison de la faute du défendeur,
la faute que commet la victime même si elle set la plus immédiate, elle ne vient qu’en réaction
de la faute du défendeur et ne sera pas retenue comme la faute la plus immédiate.
Parent contre lapointe est aussi important pour des questions d’apportionement est de
solidarité. Les faits de l’arrêt : exemple de fait en raison de la nature de la faute, le demandeur
ne peut pas pointer la cause directe. Exemple courant : la chasse, on est pas sûre qui à tiré
sur la victime, la victime ne peut pas pointer la cause directe en raison de la nature de la faute.
Lorsqu’on a du mal à pointer du doigt le fautif parmis les fautif il y a présomption.
De type 1478 : lorsque le préjudice peut être divisé par faute , 60% et 40% on peut attribué au
différent fautif, cet partie du dommage est dû à la faute de A et celle-là à la faute de B. il faut
regarder le lien de causalité la faute de A est la cause directe et immédiate de qu’elle partie du
dommage?
1480 : Dans certain cas, lorsque le préjudice est indivisible lorsqu’il est impossible de
déterminer qu’elle partie du préjudice à été commis par qui. Il y a une faute commune, on peut
pas dire 40 % à A et 60% à B. exemple : parent sous 1479 car 599 il exerce l’autorité parentale
ensemble, s’ils ont tout les deux la garde, si les parents sont ensemble ils ont une faute
commune, le préjudice est indivisible. La victime à souffert en raison de la faute des parents.
1480 : Lorsque plusieurs personnes ont participé à un fait collectif fautif qui entraîne un
préjudice ou qu'elles ont commis des fautes distinctes dont chacune est susceptible d'avoir
causé le préjudice, sans qu'il soit possible, dans l'un ou l'autre cas, de déterminer laquelle l'a
effectivement causé, elles sont tenues solidairement à la réparation du préjudice
Exemple de vol : l’on tout fait ensemble donc sont responsables solidairement.
Le dommage subie peut être divisé est être attribué respectivement, ont peut divisé le
préjudice, si incapable de divisé le préjudice, par exemple vol à main armé (1480)
1478 : Lorsque le préjudice est causé par plusieurs personnes, la responsabilité se partage
entre elles en proportion de la gravité de leur faute respective.
1478 suit le principe de 1607 : chacun est responsable pour sa propre contribution de
dommage, si la faute n’est que 60% tu paie que pour 60%
1480 : tout fait ensemble, ou par la nature des fautes, ils est impossible de savoir qui à fait
quoi. Lorsqu’il est impossible de déterminé ils sont alors responsable solidairement.
1480 s’applique dans 2 cas : incapable de savoir qui à causé quoi, (debern contre..)
1526 la victime peut réclamer de n’importe qu’elle des deux, et l’autre le réclame de l’autre.
Donc la victime va pas décider de ce réclamer d’elle même, elle va réclamer de l’autre et
l’autre va réclamer sa partie.
Novus actus : parfois on a plusieurs faute et chacune d’elle à causé un dommage, une série de
faute qui ce suivent et les tribunaux doivent décider qu’elles fautes peuvent être retenus
comme des facteurs juridiquement causale du préjudice.
Le novus actus est une théorie qui nous apprend que parfois un événement en raison de sa
nouveauté sont indépendance est sa gravité peut avoir l’effet de rompre la chaîne de causalité
(le lien entre la faute et le dommage) entre la faute antérieure et le dommage donc A est
exonéré, en raison de la faute de B.
La faute de B peut-être tellement grave et tellement distincte qu’elle va être qualifier de novus
actus qu’elle va rompre le lien de causalité de la faute de A avec le dommage donc A va être
exonéré.
Quelque chose qui est invoqué par le défendeur pour qualifier la faute de Novus actus (un acte
qui est nouveau) un nouvel acte qui intervient est à pour effet de rompre le lien causal. Pour
être qualifier de Novus actus il faut que cette faute, ne découle pas simplement pas de la faute
avant elle (par conséquence de l’autre) la faute de Thériault découle de la faute initiale du
propriétaire, il n’y a rien de nouveau de la première faute, elle est intimement lié donc la faute
de Thériault n’est pas un novus actus. Le facteur retenue est celui de la gravité, il faut que ce
soit d’une gravité particulière pour être retenue comme novus actus, dans le cas de thériault,
c’est la faute du propriétaire qui est la plus lourde. Il faut que ce soit particulièrement grave. A
moins que ce soit très grave, et qi’elle soit indépendance il y a apportionnement, l’autre partie
va essayer de dire que c’est novus actus.
La faute lourde ou intentionnel 1474 (traite d’un sujet de moyen d’exonération), indirectement
1474 définie une faute lourde ou intenetionel.
1474 : Une personne ne peut exclure ou limiter sa responsabilité pour le préjudice matériel
causé à autrui par une faute intentionnelle ou une faute lourde; la faute lourde est celle qui
dénote une insouciance, une imprudence ou une négligence grossières
Exemple de selon la cour : le propriétaire sachant que le locataire arrivait, ce genre de faute
qui peut être considéré de grossière, pourquoi la faute du propriétaire n’est pas un nouveau
actus? car c’est sa faute qui est en premier, donc peut pas rompre la chaîne.
Arrêt
Suite au spectacle la compagnie n’a pas nettoyé les pièces, les enfants, on retrouver les
pièces. Parmi ces pièce il y en avait qui été dangereuse. Le père a confié les pièces
dangereuse à cet employé qui souffrait de problème d’intelligence. Les pièces ont explosé.
Beaudoin à poursuivie la compagnie, on leur à reproché de ne pas avoir nettoyer.
Théorie du piége :
Faute du pére : à confier cela à une personne étant connu de non responsable.
Lorsqu’on regarde le lien de causalité les deux faute peuvent être retenue comme ayant
contribué au danger.
L’argument de la compagnie est que la faute du pere constitue un novus actus car elle est
tellement grave qu’en vertu de sa gravité elle est indépendante et romps de lien de causalité
entre la faute de fireworks et le dommage.
La cour à acceuille l’argume de Fireworks en disant que la faute de beaudoin est tellement
lourde qu’elle a l’effet de rompre le lien de causalité et libère la compagnie de toute
responsabilité.
La faute du père découle de celle de Fireworks alors le père ne s’est jamais mal prit. La
jurisprudence semble mettre l’accent plus sur l’élément de la gravité et de l’indépendance que
de la nouveauté. La gravité rend l’acte indépendant pas une réaction. le fait de confier les
pièces est une action réfléchie, elle n’est pas le résulta comme Thériault contre Thibault
réaction fâché et l’a fait et a été mal prit.
Si il y a une tierce personne, elle peut poursuivre sous 1457 peut poursuive beaudoin et peut
poursuivre 1463 l’employé
Hydro- Québec c. Girard
Ont poursuit hydro-Québec, mais hydro se retourne Monsieur Girard. La question est de savoir
si la faute de Girard et suffisamment indépendante et grave pour rompre la chaîne entre hydro
est le dommage. L’action de Girard est considérée comme particulièrement grave. Pour ce qui
est du Novus actus (on ne parle pas de nouveauté dans le sens du sineganun) ici c’est
indépendant et particulièrement grave qui romps la chaîne de causalité entre la faute d’hydro
Québec et le préjudice.
Le 13 mars 2006
Parent contre lapointe : il y a une partie ou on cite seulement les avocats, pas seulement la
décision de la cour mais aussi les propos des avocats.
Parent contre lapointe arrêt invoqué par le défendeur car il ont du mal à prouver le lien de
causalité, il veulent faire la
Le demandeur invoque parent contre lapointe pour présumer le lien de causalité il va invoquer
l’article st-jean contre mercier qui nous dit qu’il faut regarde l’artcile 2849.
Le 2ième principe : dans parent contre lapointe selon le défendeur (pour avoir apportionnement,
il se fie sur l’argument que les demandeurs avait assumer les risques) cette defense de 1477
avait était rejetté par le tribunal.
1523-1526
la question à nous poser pour partager le dommage ou si elle sont solidairement responsable il
faut se demander si le préjudice est divisible. Comment savoir si on apportione selon 1478 ou
si 1480
si la preuve révèle qu’un seul et même préjudice à été causé pas le comportement fautif
distinct de différente personne, la responsabilité sera partagé en fonction de la gravité de
chaque selon art 1478.
Si il y a moyen de diviser le préjudice et d’attribuer une partie distincte à chacun des fautif il y a
alors apportionnement selon 1478., donc chacun paiera en fonction de sa contribution.
Parcontre si la preuve ne permet pas de diviser le préjudice ( souvent le cas d’une faute
commune qui a contribué au préjudice) dans ce cas on invoque 1480, tout les fautif sont
solidairement responsable ; la victime peut s’addresser soit à l’un ou à l’autre pour la totalité du
dommage.
Il faut se poser si le préjudice est divisible, il sont solidairement responsable lorsqu’on ne sait
pas qui à mené au dommage (plusieurs personne on contribué, peut pas déterminé qu’elle qui
à contribué de quel pourcentage. ). Exemple des parents : pas moyen de distinguer entre la
contribution du pére ou de la mére
1480 : ils sont tous solidaire, on va donc aller voir celui qui est le plus d’argent.
La faute commune est comme dans les faits de parents contre lapointe.
Novus actus fait partie de l’analyse du lien de causalité, il est invoqué comme moyen de briser
le lien de causalité.
Les moyens d’exonération : la manière que le défendeur peut s’en sortir une fois que la
responsabilité a été établie. Le seul recours est le moyen d’exonération.
Le novus actus : fait partie du lien de causalité mais aussi fait partie des moyens
d’exonération.
Novus actus désigne un fait (peut être un événement ou une faute) neuf ou indépendant qui a
pour effet de rompre le lien de causalité qui aurait pu exister avec l’autre faute (la faute initiale)
Le critère qui a été le plus retenue est celui de la gravité, la faute est tellement grave que cela
le rend indépendant des autres. (girard contre hydro quebec) la personne ne fait pas juste
s’en sortir (il a agit déraisonnable), mais si le fil était tombé sur sa voiture là c’est seulement
dans sa pannique qui essait de s’en sortir comme dans ( arrêt thériault contre thibault) : le
locataire à agit déraisonnablement mais seulement car il voulait seulement s’en sortir.
La défintion de causa causan : cest la cause déterminante. Pour être une cause déterminante,
on regarde la qualité de cette cause, elle doit être déterminante pas seulement sinequanun.
Faute hydro quebec et girard, la faute de girard en raison de sa gravité est considéré comme
un novus actus : cette faute à l’effet de rendre les faute avant elle sinequanun, tout les autres
sont rejetés.
Pour que la chaine de causalité soit rompue entre la première faute et le dommage il faut que
la faute soit plus grave que le première faute. Si la gravité des deux fautes est plus ou moins
égale il y a donc un apportionnement. Il faut que cela soit d’inabituel, quelque chose de très
grave.
Si pas Novus actus, on va essayer toujours pour le novus actus car c’est un moyen
d’exonération, sinon on va demander l’apportionnement.
Sous certaine circonstance une force majeur n’est pas un intervention humain, dans quelques
cas cela peut l’être comme dans le cas d’un vol à main armé. Cela doit être quelque chose de
majeur.
1471 : article pour protéger les personnes qui porte secours au concitoyen : la théorie de l’acte
de sauvetage, contrairement à la common law, ou il y a pas moyen de porter secours. On
interprète le mot péril pas rapport à 1457 dans les mesures raisonnables, et à mois que cela
ne porte pas danger au secouriste, on porte secours lorsqu’il est raisonnable à nous de le
faire. Les droits civiles découle des devoirs.
Si le devoir de porter secours existe, on veut protéger ceux qui portent secours aussi, car
desfois on peut te poursuivre lorsque tu portes secours. Pour éviter cela le code te donne un
moyen d’exonération : article 1471 : il peut invoquer 1471 pour t’exonérer.
( en common law il n’y a pas de devoir de porter secours et si tu le fait il n’y a rien pour te
protéger)
doit être une faute lourde, artcile 1471 ne protége pas les secouristes qui agisse de manière
lourde, si je ne sais pas nager et je veux sauver quelqu’un qui se noît 1471 ne peut protége
pas. Il faut pour se prévaloir de 1471 il faut porter secours à quelqu’un que sa vie est en péril.
Pour profiter de 1471 : Il faut que l’intervention soit nécessaire et non téméraire ( une faute
lourde ) il faut que l’intervention ait des chances de succès. (si je ne sais pas nager)
1477 : parle de l’acceptation des risques (on la vue lorsqu’on à parler de faute), ce sont les
moyens d’exonération,
(parle seulement de l’effet en droit extra-contractuel) Qu’elle est sont effet juridique en droit
extra contractuel :
1474 : un avis ne vaut rien pour une faute intentionnel ou lourde, on ne peut jamais exclure ni
jamais limité notre responsabilité extra contractuel pour un préjudice corporel ou morale. L’avis
en soie ne peut pas avoir l’effet de limiter ou de nous exonéré pour un préjudice corporel ou
moral.
1476 : l’avis ne peut pas avoir l’effet de limiter notre responsabilité, mais elle peut être prit en
compte comme une dénonciation de danger. Le tribunal va évaluer si l’avis est suffisant pour
se prémunir du danger. Le fait de mettre un avis, va pas nous exonérer en soie.
1474 nous dit clairement qu’un avis nous permet jamais de nous exonérer :
Avis : notion d’attraction, l’avis raisonnablement ne va rien dire au enfant, donc d’autre mesure
doivent être prise.
Le 15 mars 2006
1607 nous apprend qu’il y a 3 types de préjudices qui donne le droit à des dommage intérêts
(compensation)
1. préjudice corporel
2. morale
3. matériel
restitio integrum : rendre la personne dans sa situation initial, ou elle se trouvait avant le
préjudice.
Article 1611 : nous parle des pertes futures, si l’idée est de retourné la personne dans sa
situation initial, si la personne entre temps à du fermer le commerce est à eu des pertes
additionnel future.
L’article 1611 nous dit que le droit civile tiens compte des pertes futures, personne à perdu la
capacité de gagner de l’argent Ex : mannequin qui à été défiguré, il a perdu son emploi
maintenant mais aussi à des pertes futures.
Qu’elle article parmi les moyens d’exonération pour atténuer les dommages et intérêt future :
article 1479 : devoir raisonnable, dans les circonstances il y a un devoir raisonnable de létiger
ces dommages. Il est pas raisonnable pour la personne de rester à la maison pour 5 années si
elle peut retourner au travail.
1607
Article 1611 pose des problèmes dans certain cas : la capacité de certitude pour certaine
personne dans la société
Ex : dans le cas d’un enfant, i lest difficile de savoir ce qui va se passer dans l’avenir, dans ce
cas on regarde la profession des parents, si le père est avocat l’enfant va être avocat. Cela
perpétue un stéréotype, mais c’est la manière que la cour utilise. Ou bien de donner le salaire
moyen.
2 ieme Problèmes des exigences de 1611 : les femmes et les hommes au foyer, si cette
personne à une profession, si elle à déjà travailler on se fie sur sa formation et son travail.
Qu’est-ce qui arrive si une personne qui a une formation mais à déclaré qu’elle ne retournera
pas. Comment calculer la contribution future pour une mère ou un père au foyer? Si elle
cuisine, conduite ses enfants? Il y a un problème, le père et les mère tout ce qu’ils font ces
cuisiner ou autre chose? La contribution d’un père et une mère est la même chose qu’un
professionnel.
On tiens compte du préjudice future lorsqu’il est certain, l’autre époux est forcé de couper ces
heures?
Ce n’est pas une perte totale comme dans le droit de la famille (divorce), comme le support
morale.
Tous ce qui touche la question d’égalité et de droit restructuré ou en droit de la famille, le droit
n’est pas très claire.
une faute à été comise, elle a causé un préjudice à la victime immédiate mais aussi des
personnes autour. N’importe qui peut réclamer le dommage pourvue qu’il prouve les 3 critères.
Il faut simplement que la personne ait souffert, mais aussi pour les autres personnes, soit lien
familaile ou lien de travail. Article 1607 : n’importe qui, qui prouve les 3 éléments à le droit à la
compensation, mais rien n’empêche .
Le lien de causalité est le plus difficile à prouver pour la victime en ricochet, ce qui est
important dans un scenario et de ce demander les chefs de dommage, il y en a 3 corporel,
morale, matériel,
Dans l’éxamen mi-session ; quel serait les chefs de dommage pertinent, moral : les peines et
le souffrance de voir leur fille dans cette état matériel : les soins médicaux. Dans ce scénario
pas difficile à démontrer le lien de causalité.
Rendu au chefs de préjuice il faut élaboré et ce demander ; quel est le préjudice de la victime
immédiate : corporel,
Le demandeur est un ordre de fréere religieux, un des membres à été blessé, et l’ordre à
poursuivie la compagnie de taxi, pour son propre préjudice, pour le dommage subie en tant
qu’ordre, de dommage morale. Ils ont poursuvit sous 1457 1607. qui à le droit à la
compensation. L’ordre à quant même le droit au dommage qu’il souffre en raison du préjudice
subit par ce frére. Car le frére à subie un préjudice, l’ordre subit un préudice en raison de son
préjudice.
L’ordre est victimes par ricochet? Et le ratio : il suffit que ceux qui n’ont pas subie un préjudice
directe causé par la faute i.e les victimes secondaire (par ricochet) est un intérêt morale,
matériel ou (corporel) qui leur permet de poursuivre le fautif.
Les articles 1457 et 1606 vise aussi les victimes secondaires à la compensation.
N’importe qui peut être victime par ricochet, l’enfant peut demander la perte consortium (la
cour peut le nier) les enfants ne réussit pas
Un autre chef de dommage article : 1621 , fait reference à des dommages exemplaire ; punitif
(emprunt de la common law pas correct car but en est de compenser, disuader
Nous refère, le code reconnaît la possibilité qu’il peut y avoir des dommages exemplaire,
seuelement lorsqu’une loi le prévoit expréséement.
Quel est la somme necessaire pour dissuader de faire de la fausse publicité, un grand
magasin et une petite boutique pas la même chose qu’il faut.
Lire le curateur publique et suivre les lectures pour la semaine du 27 mars. Assuré de tout lire!!
Le 27 mars 2006
Le préjudice indemnisable :
La réparation intégrale : remet la vicitme dans la situation où elle était avant le préjudice. Le
dommage sont octroyé en fonction du préjudice
La victime à subie quel sorte de dommage, quel sorte de dommage sont octroyé pour
compenser ce préjudice.
Sont toujours modeste est limité , arrêt andrews de common law, dans cet arrêt la cour
suprême à fixé des barème pour ce que la cour doit octroyé en dommage moraux, à l’époque
cela était à 100 000$ maintenant 300 000$ maximum.
C’est un montant fixe pour avoir plus de certitude, les tribunaux se fit de moins en moins à la
trilogie andrews, cest un raisonnement de la common law, qui n’est pas proche du droit civil.
Au début ils ont acceuilli cela mais de plus en plus il ont dit on droit civil on aime la flexibilité et
ne veulent pas contraindre les tribunaux. Par exemple dans les cas de diffamations on peut
allé au delà de ce montant fixe. Il veulent être guidé par un montant modeste mais pas celle du
montant fixe.
Ce que ca veut dire ; au 3ieme élément celui du préjudice on se demande quel sorte de
préjudice ils ont été victimes on peut faire référence à l’arrêt de la cour suprême qui donne une
limite on veut abandonné cette limite.
Peut faire référence à augustes
Perte de jouissance de la vie (perte de consortium : on perd son conjoint, perd lorsque
celui-ci décède ou dans un état ou il ne peut pas être conjoint de manière émotionnelle
ou aussi physique,) Qu’est ce que mon client à perdu?
Préjudice esthétique morale ; le traumatisme qui vient de la perte d’un bras, la manière
que la société le perçoit) pas tire des revenues de son physique
Souffrance : tout les types de souffrance de peine émotionnelle possible tombe sous
cette catégorie (arrêt gossette) ex : La perte d’un être cher qui décède mais peu y avoir
d’autre souffrance, pourvue que le demandeur en fasse la preuve
Il est important dépendamment de la perte d’un bras, il peut y avoir une perte je jouissance de
la vie, préjudice esthétique oui, il a de la peine (russel hight) il a surment souffert
emotionnelement pour avoir perdu son bra, il faut expliquer pourquoi elle sont pertinent à notre
client.
Il faut regarder la perte et regarder ces conséquences, la perte d’une jambe peu entraîné un
aspect de préjudice esthétique ( on attire des regards dans la rue)
Le rôle en tant que demandeur et de réclamer le tout pour le tout. Il faut démontrer que le client
à subie le plus de préjudice possible.
La souffrance physique entre dans le corporel. Le préjudice moral est non pécuniaire, la peine
c’est quelque chose de physique.
Quel est la conséquence du préjudice subie? Peut avoir une conséquence morale. Peut avoir
un impacte corporelle. (fonctionnel c’est corporel) peut plus travailler (matérielle)
Un même préjudice peut donner lieux à moral, corporel et matériel
Arrêt du curateur public est important pour la caractérisation du préjudice moral, les fat du
curateur publique ( a lire!!!)
3ieme éléments
le préjudice
on a identifier un préjudice moral, non pécunier : inconfort , atteinte à leur dignité, le curateur
publique est aussi pertinent pour les dommage exemplaire.
Le type de dommage invoqué sont des dommage moraux pour l’inconfort et l’humiliation.
La question en litige est de savoir : est-ce qu’on peut octroyer des dommages et intérêt pour
un préjudice moral et non pécunier a des victimes qui ne pourront pas en profiter ?
Pourquoi la cour suprême à du se poser cette question? En influence avec la common law. En
common law la raison pour laquel on octroie des dommages moraux et car on ne peut jamais
replacer la victime dans sa situation initial ( cela se prête mal pour les souffrance moral, on
peut pas faire revenir un être cher) que justifie l’ octroie du dommage moraux?
Pour la perte emotionel que justifie l’argent si elle ne remet pas la personne dans sa situation
initial, la common law nous donne une approche fonctionel , elle privilélie l’approche fonctionel
à l’octroie des dommages moraux, car ceux-xi vise à fournir à la victime une consolation pour
ses malheurs, il est possible de se servir de l’argent pour substituer d’autre plaisir de la vie.
La cour à rejette l’approche fonctionnel en droit civil au dommage moraux, pour c on privilégie
l’approche objective ( pas pcq l’argent console la victime mais parcequ’il y a eu une atteinte à
un droit peut importe si la victime peut pas jouir de cet argent)
La cour nous explique l’approche objective :
En droit civile et selon l’approche objective des dommages moraux retenu en droit civile :
l’indemnisation des dommages non pécuniers ( moraux) pour les victimes inconscient ou
mentalement déficient et permit sans que la victime ait à démontrer que l’argent lui procure
une sorte de satisfaction. Le droit à la compensation du préjudice moral n’est pas conditionnel
à la capacité de la victime, ne dépend pas de la capacité de la victime de profiter de la
compensation( approche objective comme l’indique 1607, le fait que le défendeur à commis
une faute qui a causé un dommage est suffisant, il ne faut pas démontrer si l’on peut profiter
de l’argent ou pas, c’est une question objective on a tout simplement le droit à l’indemnisation).
Les dommages moraux sont recouvrables en raison même de l’existence du préjudice.
Dommage moraux parle toujours de dommage et intérêt modeste et les l’approche est
objective ** règle spécifique pour les défunt.
Lorsqu’on parle du préjudice corporelle : on parle d’incapacité, on le fait par le témoignage d’un
expert, un médecin est appelé à déterminer les conséquences des blessures physique sur le
fonctionnement de la victime, on parle d’incapacité fonctionnel, la perte d’un bras est évalué
d’une valeur fonctionel, le medecin doit évaluer la perte physique sur la fonctionnalité de
l’individu.
Si on perd la mobilité c’est une incapacité partiel soit temporaire ou non dépendament de
l’évaluation du médecin.
On doit ce demander quel préjudice matériel découle du préjudice corprelle, il y a des perte
matériel qui découle directement du préjudice corporerel, il faut s’assurer d’inclure toute ces
pertes
Ex : le coût des soins, il faut distinguer entre la perte d’un emploi qui est absolument matériel.
La réparation intégrale on cherche à remettre la victime à sa place initiale, on veut faire tout ce
qu’on peut pour la replacer dans sa situation initiale. Les coûts de soins sont distingués des
pertes de salaires futures.
Restitution à l’integrum :
Les couts de soins sont les conséquence matériel d’un préjudice corporel.
Temporairement,
Lorsque la victime décède ce sont les héritier qui réclame les dommages et intérêt tant dans
leur propre nom (réjean taxi) tant dans celui du défunt. Lorsque la vicitme principale décède les
demandeurs sont les héritiers et réclame des dommages au nom du défunt. Les chefs de
dommage pour les héritiers
Dans le cas de gosette ; la mère, l’héritière qui réclame au nom du défunt, il y a un problème
d’ordre publique, on refuse d’attacher un prix à la vie, une fois que la victime décède il n’y a
pas de préjudice corporelle ( totale; additionne tout les partie du corps) on dit alors que ca
coûte moins cher de tuer quelqu’un que de le laisser en vie. Tout ce qui touche son
patrimoine, le temps qu’il n’a pas travailler 2 semaine avant de mourir.
Perte de morale, pour les victime qui décède, abrègement de la vie, ( le sentiment
avant de mourir qu’on réalise qu’on va mourir).
Gosette est tombé dans le comma, il n’a pas souffert et le sentiment horrible que l’on va
mourir, selon les experts il n’a pas réalisé qu’il va mourir donc ce droit n’est pas rentré dans
son patrimoine.
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LE 29 MARS 2006
Domage-intérêt : le but est de compenser la victime.
La compensation avec les dommages exemplaires sont punitif ils sont octroyé pour leur but
dissuasif, c’est un but social pour dissuader certain type de comportement.
Protection du consommateur est d’ordre public, la charte québécoise des droits et libertés ces
valeurs sont sociales c’est ceux qui nous définissent.
2ième différence, elle s’octroie naturellement, pas besoin de faire une preuve spéciale.
1. la rationalité sous jacente à l’octroie des dommages moraux : pourquoi on octroie des
dommage moraux si on ne peut pas la replacer dans les même condition qu’elle était avant le
préjudice
2. il y a trois type de préjudice chacun correspond à un type de dommage, il donne lui à des
dommages compensatoire ordinnaire.
Article 1622 parle de dommage dit punitif mais cest domage exemplaire.
Le curateur voulais savoir si avait droits à des dommage exemplaire (article 49 de la charte
québécoise : prévoit l’octroie des dommages exemplaire lorsqu’un droit dans la charte est
violé, il faut que l’interférence soit illégale et intentionnel de la charte québécoise.) on se base
à 1621 qui se réfère à des loi ( la charte québecoise des droits et liberté, article 49)
Les 2 critères :
pour obtenir des dommages exemplaire, il faut se baser sur une loi qui le prévoit article 49 on
peut octroyé des dommages exemplaire lorsqu’il y a violation intentionelle de la charte.
On ne peut pas contraire l’employeur à payé des dommages exemplaires en vertu de 1463 car
dans ce cas, c’est absolu (on a pas à prouver que l’employeur est responsable, ou qu’il a fait
quelque chose de mal) on le tiens responsable pour des dommage ordinaire, une des
conditions des dommage exemplaire est l’intention, donc on ne peut pas tenir un employeur
responsable car il n’a pas l’intention ( à moins qui le partage), on ne peut pas lui accorder des
dommages exemplaires car il est responsable pour la faute de quelqu’un d’autre. ( si je
poursuis votre employeur il faut que le tienne responsable de 1457, là je peut demander des
dommages exemplaires si il contrevins à la charte)
1463 nous offre une présomption je ne peux pas prouver quoi que ce soit à l’employeur.
Exemplaire on à besoin de quelque chose de plus, le but est de ne pas punir mais de
dissuader donc prend une intention.
Curateur public : le curateur au nom des patients peu obtenir des dommages exemplaire du
syndicat
Que faire?
On a prouver la faute
La somme doit être modeste
Les dommages exemplaires sont important que faisons-nous en tant que curateur?
o 1621 : nous autorisons à obtenir des dommages et intérêt
Que dis le syndicat par rapport à l’intention : notre intention n’est pas de les humilié mais de
mettre de la pression sur l’employeur, donc puisqu’il n’y a pas d’intention il n’y a pas de
dommage exemplaire.
L’intention peut se définir par la conséquence naturel des actes, si mon emploie est de
m’occuper de ses patients et que j’arrête de travailler la conséquence de mes actes et de
priver ses personnes des soins. La conséquences natruel de la grève
Avoir l’intention de faire quelque chose
Ou
La conséquence naturelle de nos geste ( peut pas dire mon but est de mettre de la pression
sur l’employeur mais on sait que la conséquence est de privé les gens des soins)
Arrêt gosette :
Faits :
La mère de ce jeune à poursuivit le policier pour des dommage intérêt, la mère de cette victime
à poursuivit le policier aussi.
Réjan taxi
Les chefs de dommage qui peuvent être réclamé par les héritiers :
solatium doloris : un préjudice moral, lorsque la personne est victime de la perte d’un
être cher, c’est la peine qui est ressentie pour la perte de l’être cher. Est
la mère au nom du jeune que peut-elle réclamer :
il y a des pertes matériel pour le jeune? Non, ( si le défunt travail en raison de
l’accident il a eu des pertes de salaires, cela va être une perte pour lui, des frais
d’hôpitaux) ici ce n’est pas le cas
perte corporelle : il est mort( on ne peut pas calculer la somme de ses membres, on ne
peut pas donner un prix sur la vie)
la mère recoit donc le solatium doloris; pour cette raison que les dommage exemplaire sont
important
le fait d’être abatus comme ca à eu un effet social, un impacte sociale, toute la société veut
prévenir se genre de comportement.
1621, ce rèfère à la charte québécois, le droit à l’intégrité physique à été violé et le droit à la
vie, il y a eu une violation intentionel? Non selon la cour, critére de intention ou la nature des
actes, le même critère à été soulevé par la cour.
Le policier disait : argument : je n’ai pas fait expret mon intention n’etait pas de le tuer mais son
intention était d’arrêter le jeune mais pas de le tuer.
Si on tiré sur quelqu’un on ne s’attend pas que la nature des actes et de le tuer ?
Pourquoi la cour est arrivée à une conclusion différente que celle du curateur( leur but n’était
pas de les privé des soins, mais la nature des actes est arriver à cette conclusion, mais
pourquoi maintenant on est arrivé à une autre conclusion, le fait de le tirer dans la tête la
nature des actes est alors de tuer.
Le curateur savait qu’il voulait déclencher une grève, c’était organisé, mais le policier était
dans le champs de l’action l’intention du policier était pas de tuer,
1457 le policier est fautif, il est l’employé de la police 1463, dans l’exercice de ses fonctions
oui!, la police à été tenu responsable selon 1463,
demandeur : currateur pas l’intention du point de vue stricte mais de la conséquence des
actes.
défendeur site gossette interprétation plus stricte de l’intention
belliveau st-jacques
auparavant le code jouait le role de la charte ( avant d’avoir la charte) le code et l’article 1457
jouait le rôle de la charte.
1457 parle de ce qui existe dans le temps, ce qui est acceptable le moment présent. Ce fie sur
les mœurs de la société ( lire article de cottler)
beaudoin :
Femme est harcelé au travail, elle peut poursuivre son employeur??? Non on ne peut pas
poursuivre son employeur!!! CSST : régime sans faute!! Pas d’élément de faute on subi un
préjudice on complète un formulaire et on se fait indemnisé.
Elle a suivie le chemin de la CSST, elle s’est dit cela va à l’encontre de nos valeur de la charte,
elle invoque donc la charte (obtention de dommage moraux et matériel, et exemplaire madame
tente d’intente une action. La charte distigue de 1457
1. Première question est de savoir si l’immunité accorder par le régime sans faute ( ALA.. )
empêche le recours à la charte du premier alinéa de 49
2. les dommages exemplaire sont interdit, on peut distinguer avec alinéa 1 et 2 de la charte.
1.Le régime sans faute donne de l’immunité a l’employeur, si on ne peut pas le poursuivre
avec le code cela veut dire qu’on peut pas réclamée des dommage et intérêt norme par la
charte?
2. on doit distinguere entre les dommae intérêt normaux de la charte et les dommages
exemplaire de la charte??
( les dommages exemplaire doivent être permis malgrés
****elle peut réclamé des dommages exemplaire de la charte malgré le fait qu’elle ne peut pas
avoir recours avec les dommage ordinaire du code??!!!
La charte et le code civil se complémente il doit y avoir une harmonie avec 1457 et la charte,
l’une ne peut pas contredire l’autre, si le recours sous 1457 est interdit ( on a fait un choix
social, les employé sont vulnérable, on les protège, CSST, pour protéger les employé. )
Le grand problème est relié à la 2ieme question, les alinéa 1 et 2 doivent se lire ensemble, il
doit y avoir harmonie entre la charte et le code, si les poursuite en vertu du code son interdite,
si ne peut pas y avoir des dommage ordinaire du code, il ne peut pas y avoir de dommage
exemplaire de la charte.
Si la loi sur les accidents de travail interdit le recours sous 1457, il ne devrait pas y avoir
poursuite pour dommage et intérêt sous la charte non plus.
Article 1621
L’employeur n’a pas l’intention donc peut pas avoir de dommage exemplaire.
Le avril, 3 2006
Laferiere
Moral, matériel, corporel, lorsque la personne décède le corporel disparaît car le dommage
corporel s’évalue sur le principe de l’incapacité donc quand tu es mort on n’additionne pas tout
les parties du corps.
625 qui indique que le patrimoine du défunt passe au héritier, donc permet au héritier de
poursuivre au nom du défunt en tant que victime secondaire par ricochet, arrêt réjean taxi!!
Doit se demander qui sont les défendeurs potentiel puis demander qui sont les victimes
potentiels ( car eux aussi peuvent réclamer)
Peine et souffrance : pour que les héritiers réclames en tant que dommage-moraux ( la victime
doit savoir qu’elle allait mourir ( abrégement de la vie)
Coût de soins : si à dépensé des coût de soin avant de mourir et si à été empêché de travailler
avant de mourir, donc perte de matériel au nom du défunt pour les pertes du défunts.
Héritiers en leur propre nom :
Sollotium doloris : la peine éprouvé en raison d’un être cher.
Laferieur la demanderesse est décédait et ses proches trouve une autre façon pour poursuivre
La perte de chance est reconnue en droit civil québécois, même lorsqu’on reconnaît la perte
de chance
On ne compense pas la perte de chance elle-même, mais le préjudice réel qui découle de
cette perte d’opportunité.
Ex : la loterie : il est réticent de le reconnaître mais on le reconnaît quand même, si on est sur
la perte de chance on doit le réclamer, car la cour nous laisse une ouverture, si le client
prétend avoir perdu une chance en doit le réclamer.
Ce n’est pas la perte de chance qui est compensé mais le préjudice qui en découle
Il est plus probable qui a été privé de chance, c’est d’être privé d’un avantage.
cela couvre les résidents du québec, les résidents du québec sont couvert n’importe ou la dans
le monde, sans écart de la faute.
Le gouvernement compense pour les dommages corporels, il y a une entente entre les
différents assureurs
Si il y un véhicule dans les faits c’est interprété d’une manière très large, c’est un régime sans
faute : SAAQ
3ieme régime étatique, les actes criminelles : régime sans faute qui est différent des autres. :
problématique de l’alcool au volant, on peut se fait indemnisé par l’état (l’auteur du crime peut
aussi être insolvable, ce régime est optionnel, on a toujours l’option de le poursuivre, on est
pas obligé de le faire.
La seule raison pourquoi on mentionne cela, pour être conscient de leur existences,
Révision
question : article 1462 : le but est normalement il nous indique clairement que pour être
tenu responsable faut que la personne soit doué de raison , si quelqu’un pas doué de
raison cette personne ne peut pas être tenu responsable personnellement.
Responsabilité pour faute d’autrui tenu responsable en vertu de ton statut. C’est pas en
raison de ta faute mais de la faute de ton employé. L’article 1459 est un régime de
responsabilité pour faute d’autrui, les parents sont tenu responsable pour la faute de
leur enfant,on ne peut pas le tenir responable une personne non-doué de raison pour
sont fait, mais on peut tenir ces parents.
pour qu’il y ait présomption de faute il faut qu’une norme élémentaire de prudence soit violé :
2 niveaux :
Démontrer que le dommage à une autre cause : prend une cause dire directe, immédiate du
dommage 1607
il n’y a pas de choix a faire, il faut toujours invoqué la présomption si les fait nous permette de
le faire. Dans les moyens de défense.
Une fois que les trois éléments sont établit, quel sont mes moyens de défense.
Novus actus
Faut d’omission : elle est souvent difficile à prouver, il y a un instrument de droit qui peut nous
venir en aide : la question du danger : la notion d’attraction, il y avait un devoir spécifique pour
prendre des mesures
Si dans les circonstances il fallait faire quoi comme éducation, l’age est un facteur
important, l’éducation est moindre quand il a 2 ans, peut pas donner un sermon à l’enfant. La
surveillance va être plus importante.
En tant que victime elle a subie un autre préjudice? Matériel (ses parents pas elle)
Les victimes par ricochet (rejan taxi, cest parents)
Moraux : gossettes quelqu’un dans le coma ne souffre pas, mais peut invoquer des dommages
futurs : Tuteur privé, il y a la possibilité des dommages futurs.
Dommage exemplaire : il est difficile mais il peut en avoir pour le préposé du dépanneur.
Si elle ne se réveille pas du coma et elle meurt, comme gosette ne peut pas avoir des
dommages moraux.
1. corporelles
2. matérielle
3. morale
la perte de chance peut être tant matérielle que morale, mais habituellement, matérielle, mais
la perte de chance et le caractère aléatoire, on ne sait pas si cela c’est matérialisé,
Caractère certain : est blessé avant de compenser son travail, la personne avait son emploie
future, le fait que ce soit un dommage futur, peut être actuel, future.
La perte de chance est surtout dans le contexte médical si j’aurai suivi se traitement j’aurai
survécu.