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1

1 40[01- VAIUAliEUR A GALEl'SSPHeI'Uo,UES 1 40/08. VARIAfEURA POUL.IESEX1ŒNSI..BL.ES ;


Exemple: variateur Kopp. . L'écartement des flasques (1) -,(2) et (3) - (4) fait varier
\ les diamètres de contact (D1 et D2) sur les poulies.
3
. L'entrainement des poulies s'effectue avec une courroie
trapézoidale, un anneau rigide ou une chaine crantée.
. La translation de (7) est obtenue soit par un système
vis-écrou ou pignon crémaillère.

R 2 6
" .""".. Ti

f
'. :'''"."'}~
. ..
,':'
.
. ....
'~. ,: , a .
.
.

" .. .
..
. ~
.'..

:.' 1 ~

4
\
. Les plateaux (1) et (2) ont des diamètres égaux et cons-
tants: (D1) et (D2).

. L'inclinaison de l'axe des galets fait varier les rayons de


contact (R1) et (R2) sur les galets sphériques.
. Le ressort (5) tend à écarter les galets (3). L'anneau
rigide (4) s'oppose à cet effet du ressort et maintient
les galets en contact avec les plateaux (1) et (2). 3 5
"""'-

inclinaison (1 ) inclinaison (Z) inclinaison(3)


Nz< Nl Nz =Nl Nt::::tN.l
. Terminez les éléments de circuit ci-dessous

R
1' M
R
M
""""'"

Nl R
R
Remarque
Dans certains appareils le ressort est remplacé par un système
à rouleaux, sur chaque plateau.

6 au repos en marche 1 11'!rl~t+-0


,-8;'"", ~
~ - . Lorsque latige de commande (7) se déplace en translation
..
dans le sens gauche - droite (GD); comment varient les

r~
3
L ..
..".
..
.

'
.
~;

El Ez
diamètres de contact poulie-courroi~?,
0 Sur la poulie (A), le diamètre (D1) ..,..............................
0 Sur la poulie (B), le diamètre (D2) ................................
(diminue ou augmente)
. Rouleaux:
2 fonctions- lier en rotation (6) et (1).
- créer la force pressante. . Fonctiondes ressorts(6) ?
. Pendantl'entrainement : lesrouleaux sont coincésentre (1) et (6), 0 ......
ce qui a pour effet de les écarter (E2 > E1); créant ainsi la force ..., 101
pressante.
. '-"
L41il04~t\NCHON'DES~GURll~-
-- _-.J
tl~ AEU'O'lI)rPLiM;&ttts 2 6 3

1- ,4;1to 1 .-S.0N'6"PIOI\I,

Appareils destinés à assurer, en permanence la liaison en'


rotation entre deux arbres.
4

r . 4~'/O2 . ~~MAGINEMA1";IQU~ 1

L1 ~ 1 --a:*- 1 ---81t-
Accouplement Acouplement Accouplement
(symbole général) rigide élastique

1 ACCOÛPLEMEN'FS
RIGIDES.1
Aucun mouvement relatif entre les arbres n'est possible.
Les arbres doivent être parfaitement alignés.

~MANGHJ;)!N A;BltAlEAU

2 3A 2

. La liaison entre (1) et l'ensemble (2 -3) est-elleobtenue


par obstacle ou par adhérence?
O :....................................................................................

. Quels sont les éléments qu1 créent la force pressante né-


cessaire à l'adhérence ?
0 ...~ :
:~........................................................

Type1 . En cours de fonctionnement, que se passe-t-ilsi l'arbre


récepteur se trouve accidentellement bloqué?
/
Les arbres sont montés 0 ...':!....................................................................................
avec serrage dans les ..............................................................................................
plateaux.

Les boulons sont ajustés. . Comment peut-on faire varier la valeur limite du couple '-
/ 38 à transmettre?
0 ...cr;....................................................................................
. Repassez en couleur les surfaces qui participent au cen-
trage des arbres.
3 7
. La bague (3A - 38) assure deux fonctions. Lesquelles?
0 ...;.....................................................................................
0 """""i"""""""'"

. Les têtes et les extrémités des boulons ne dépassent pas


les faces latérales des plateaux; cela satisfait quelle
condition?
'1020 ......................................................................................... Détail ~

~
UltO8 -I\IrANGH
OUAwiiLl:X ----
[ACCOUPLEMENTS
ÉLASTIŒUES 1

Ces appareils permettent un léger déplacement de la 3 4


3 seul
position relative des arbres.

r-wDs- ~M~NTS p~
.
J "@: Déplacement
angulaire
~'
"

Q.

1
(ËD: Déplacement radial
+t
~ @: Déplacementaxial
1
=4-r
d@: Décalageangulaire
~ \
. Permet de désaccoupler rapidement les arbres en démon-
tant les tampons en caoutchouc.

41/06-MANCH.!IN JIG4'ti,~~'E*IU~E ~j
~~~ , fi
.15.= ')~ - ~.
,~
"" "" r1M~N MINI@!gX

d '-~."- Lvv.>V<

J~; lt~-
" '"
-

4 Les blocs (3) sont en caoutchouc.

. Permet des déplacements


<=:::
axiaux
.
important-4-

41110 -F~L8CTOR .
. - '
Permet de grands déplacements anaulaiœs.-> 1 101

r- /
L 41/07 -MIN,OHON A BIUlêJ!ŒS
3

3 4

Le disque (3) est en toile caoutchoutée. armée.


Les manchons (4) sont en cuir ou en caoutchouc.
. Permet des déplacements angulaires i_mpor!?nts.Peut
--
. Permet des déplacement.saxiaux impo!~n!s.- remplacer un cardai1.' 103
-- ----
- ----------- --
41/11 . JOINT DE CARDAN
- ----
~!L15 . JOINTA CO~SSINEJ§..A
AIGUILLES
~ - --
- --
. Permet des déplacements angulaires importants Joint de grande précision

2 B-B
1 6

~1
(,)1

. 'h \
----"""1~ .-

< l' ---


1 et 2 : Arbres

3 et 4 : Chapes
reliés

ou mâchoires
5
~
5 : Croisillon
(6)Coussinets à aiguilles
(w1) et ((,)2):
vitesses~angulaires exprimées en radians par
seconde. . Joint à coussinets à aiguilles
série double
6
INCONVÉNIENT:
Les vitesses angulaires in&fantanées ((,)1
et w2) ne sont pas les
mêmes pour les deux al'l:fies
((,)2 * ",1). ~ -~~
lotI, CQ.!.~
-----
1 41/12. JOINTHOMOCINETIQUE --
Un jointest dit« homocinétique» lorsque lesvitessesangulai-
Le joint série simple permet un angle de travail maxi de 45°. Le
res instantanées des arbres reliéssont égales: (,)2=(,)1.
joint série double permet un angle de travail de 90°.

La combinaison

homocinétique dans
de deux

deux
cardans

cas
simples

et à condition
res des cardans fixéssur (1)et (2)ne soient pas croisées:
peut donner

que
un joint

les mâchoi-
41/16 . JOINT DE CARDANSPHÉROïDE- --- --
Utilisépour transmettre des couples élevés,surtout à vitesses
lentes.
. Arbres reliés . Arbres reliés concourants
Nécessite un bon graissage.
parallèles avec a1 = a2

()(1 //
c" " ",2
C'\' ~
~-~L= ~ ",2=",1
1.~
.

(,)2=(,)1 a2 '"

-- - -- - Fourche
- 41/13 . JOINT A AXES RIVÉS
Joint très économique - emploi trèsétendu - utilisépour com-
mande de vannes. stores - volets roulants - etc.

~ ~ IV'
A-A

,
L
41/17.
'-_~
JOINTD'OLDHAM - - --
---
Permet des déplacements radiaux et axiaux faibles.Ilest com.
~ posé de deux moyeux à languette et d'un disque central à deux
rainures orthogonales (perpendiculaires).

~
1 41/14. JO1NTA COUSSINETS
LISSES ------- ;

A-A
~ 1

10416)Coussinets lisses La transmission est homocinétique

'--
---- -- --
ACCOUPLEMENT ~

ÉLASTIQUE RADIAFLEX RTP @ Photos PAUL'STRA@

,.

Accouplement «Radiaflex RTP»sur ar-


bre de commande P.V. de malaxeur
«Banbury».

Accouplement «Radiaflex RTP4-12»


-
entre moteur marin MGO 12 cylindres
Entrainement de calandre par accouplement «Radiaflex RTP».
et inverseurde marche. 105
' '"......
~
',,' '.," """

;4~. ~I\lUB,8AY4G!ES~ " IEMBRAYAGES


PROGRESSlfSI
..
~ ,
-...
..q y~,
E:JjZ[~,.~A~~AN@Gj6S. .~ '.

~mii . La manœuvre peut. être effectuée en marche.

Appareils destinés à rendre deux arbres, à volonté: . L'entrainement de la transmission est progressif.
. solidaires (embrayage) .
. indépendants (débrayage) ~ . :;:::]
- -...... Un embrayage progressif comprend:
J"42JO~
",S~f,f~~~!N~~ - 1
. des éléments présentant une surface de friction.
unités pour N : trlmn ou trIs

~~
N2 = Nl . un système de commande provoquant une force pressante.
embrayage
ou
N2 = 0 HlTO7.f,îQINlES'9:e_a ]
débrayage
Symbole général PLANES CONIQUES CYLINDRIQUES
(les plus courantes)
IEMBRAYAGES
INSTANT~~ÉSI ~
I~
~NlkBAtAi&!S,p:çRiFfU ]

1
1 4~fO.8
"<l'ES.GNBNITURes
!JEFIUÇTlbN

. Conditions
à satisfaire

1mportant cœfficient de frottement.


Grande résistance à l'usure et à l'échauffement.

[;I2/0! .'~M'BiiY!A§ES
AIBENTS . Matériau utilisé

Le plus courant est le «ferodo»; tissu d'amiante armé de


fil de cuivre fixé sur les éléments de l'embrayage par rivetage
ou collage.
Nous trouvons également des garnitures métalliques
-geA (acier" fonte - bronze) travaillant dans l'huile ou à sec.

Remarque:
Les garnitures doivent être protégées efficacement contre
la présence accidentelle d'un lubrifiant.
Lorsque l'embrayage doit être manœuvré fréquemment,
. Quelle remarque peut-on faire sur l'embrayage à dents les garnitures baignent parfois dans l'huile. Il est alors né-
du type (B) ? cessaire d'a)ugmenter le nombre des surfaces de contact pour
0 ..W-l? .':;:t!!'.kI../...?ç;,m...c~ ............... compenser la diminution du coefficient de frottement.

. L'embrayage à griffes et à dents peuvent-ilsêtre manœu- Exemple: Embrayage à friction plane à disques multiples
voir chapitre 42/10.
vrés en marche?
1060 t:7.e1:KJ (oui ou non)
-€>~ '1

_'J\iG.EA'FRI~inlJ.l'.(~LAN;E ~
S'I\1It:Jl~lf\eeS' ,

r------- . LES DISQUES - ~à ~ couples.


2 4 6
Disques (A) moteur (M)

Forcepressante
M ~~ R.~,,~
Qm
M R

v"

1jJill
Disques(B 1solidaires de l'arbre récepteur (R)
. Position embrayée: position du schéma ci-dessus. '
Les ressorts (4) s'appuyent sur (1) et poussent le plateau
mobile (2).} Le disque (3) est serré entre (1) et (2).
JJisque (Ais 01idaire de
. Positiondébrayée:
Le baladeur (5) est poussé vers la gauche. Les biellettes
et les leviers (~) tirent sur (2) et compriment les ressorts (4).
Le disque (3) est libérée.

. Lorsque l'embrayage est en position embrayée,le mou-


vement de rotation est transmis de (M) à (R) par l'inter-
médiaire des éléments suivants: . SYSTÈMEPRESSEUR.Exemple:
Lapressionsur les disques est obtenue par la déformation
0
~~ élastique de plusieurs biellettes.
Position débrayée:
. Sans tenir compte des positions «débrayée» et «em- Le baladeur est à droite;
""" """
brayée» mais seulement des déplacements possibles et les biellettes sont détendues; E ,'"
-c'
'"
liaisons, terminez les éléments de circuit ci-dessous. les disques sont espacés.

[ Arbremoteur Plateau fixe


ITJ

" 1 Mm""P"" 0;,,", [TI


1 Plateaumobile 0 Plateau fixe ITJ
Position embrayée:
Le baladeur est poussé à gauche;
Arbre moteur Arbre récepteur ŒJ les biellettes sont déformées;
..:J
1

les disques sont en contact.

Arbrerécepteur Baladeur [I] mm

Biellettes et levie 6 En général 3 biellettes et 3 leviers

.
, [ Ressorts CD En général 6 ressorts 107
r12/H"~MB RA-YAG.5
AFRlcTIONcffiimIj~
::---. r 42112,.
--",. EMBRAYAGEA-FRICTlON,CYLINDRIQU'E-'
-- - - -" .,.. - - --,- -
L- CON;E!i)IR&CL
.. .
J
Ci-dessous, 'c
le plateau (1) 2 3
n'est pas
2 Resso
rt :4 représenté.

4 R

~
M R

MG
M - Arbre moteur 4 - Baladeur de commande
Butée en en avec le coin
à billes
0
c...
0
c...
R - Arbre récepteur
1 - Plateau 5 - Ressort de rappel
2 - Anneau extensible A - Position débrayée
. Position
débrayée: position du schéma ci-dessus:
3 - Manchon B - Position embrayée
Le plateau mobile (2) est tiré vers la droite. Le ressort
(4) est comprimé.

. Position
embrayée:
. POSITION
DIËBRAYIËE- position (A)

Le plateaumobile(2) est poussépar le ressort (4) contre 4


le plateau fixe (1).

. Lorsque l'embrayage est en position embrayée, le mou- iuR


vement de rotation est transmis de (M) à (R) par "inter-
médiaires des éléments suivants:
-ml
0
10-'" 00
Le coin libère l'anneau extensible (2).
- L'anneau extensible (2) est refermé.
. Sans tenir compte des positions «débrayée» et «em-
- Lessurfacesde friction ne sont pasen contact.
brayée» mais seulement des déplacements possibles et
liaisons, terminez leséléments de circuit ci-dessous.
.
j Arbremoteur Plateaufixe
I
1Plateaumobile @}-ffi--1 Arbre récepteur IRil
1
Arbremoteur Arbrerécepteur [I]
Plateaumobile
1 Arbremoteur CD
j Arbre moteur R T
Rondelle.
de la butee [TI
Rondelle
Plateaumobile de la butée 3

. La liaisonen rotation de (2) avec (3) est obtenue par


l'intermédiaire de quelle pièce?
1080 .........................................................................................
-1
- 42/13-- ~YSf~MES _I!~ ÇOMMA,OE 42/14. EMBRAYAGESCENTRIFUGES -- - --
. COMMANDEM~CANIQUE . Aucun dispositif d'embrayage ni de débrayage.

Force pressante obtenue par déformation d'éléments élas- . L'embrayagen'est assuré que lorsque l'arbre moteur
tiques (ressorts, rondelles bellevilles, biellettes etc...). atteint une vitesse déterminée.

Voir42/9 - 42/10 - 42/11 - 42/12. . Principe: Utilisation de la force d'inertie centrifuge pour
Cette commande. nécessite le déplacement en translation créer la force d'adhérence entre les surfaces de friction.

d'un baladeur sur l'arbre récepteur. EMBRAYAGE A MACHOIRES

. COMMANDEHYDRAULIQUE

Plateaufixe (1)
Plateaumobile(2)
R
Fluide(3) souspression Ml~
T~ -
$
Joint tournant
,., Afaible vitesse,les ressorts i:!fés,rappellent les mâchoires
vers le centre - (débrayage).

EMBRAYAGEA BILLES

Arrivéefixe M

La force pressant (P) est obtenue lorsque le fluide (3)


est sous pression.
. A faible vitesse, les billes sont poussées par les pales.
Avantages:
. A grande vitesse la masse des billes, plaquées contre le
Pression facilement réglable. Très bonne progressivité.
plateau, faft obstacle aux pales et entraine l'arbre
Inconvénient:
récepteur.
Etanchéité difficile à réaliser.

. COMMANDE ~LECTRO-MAGNJ:TIQUE -1 2J'27f!j.:'


---- co1fPltlJR HY0 RAULInu E - -- 1

Plateau (2) mobile, en acier


Volant récepteur
plateau(1) solidaire
dela bobine
( électro-aimant)

M R
moteur

Arbre récepteur

Lorsque le courant électrique - continu - traverse la Constitution:


bobine, le plateau (2), en acier, est attiré par l'électro. - Un volant moteur et un volant récepteur de forme mi-torîque
munis d'ailettes planes;
aimant. La progressivité est obtenue en faisant varier l'in- - ('intérieur renferme environ 30 % d'huile.
tensité du courant au moyen d'un rhéostat. Fonctionnement:

Avantage --; Le volant moteur en tournant entraîne l'hilile qui, par la force
d'inertie centrifuge se trouve projetée contre les ailettes du volant
Commande possible à distance. récepteur. Le volant récepteur fonctionne alors comme une turbine.109
(7) : 3 leviers à 1200
(c) : course d'usure
(G) : garde

Détail de la liaison élastique


entre le moyeu (11) et les dis-
ques (9A/9B).

9A
9A
11

11 12

Schéma (1) Schéma (2)


Pédale relâchée: Pédale enfoncée
position ({ embrayé }) position: {{ débrayé»

( 4) : couronne du démarreur @ Après étude des chapitres 42/09 à 42/12, définissez


(14) : 9 ressorts le type de cet embrayage?
4 (15) : 9 rondelles isolantes
0 ..0.' ""0 ........

L'embrayage est représenté en position ({ embrgyé» - ~ L'embrayage en position ({ embrayé », quelle est la
schéma (1). Le volant (2) est solidaire du vilbrequin (1) suite des liaisons entre le vilbrequin (1) et l'arbre
du moteur. Le plateau (3) est lié au volant. récepteur (20) ?
Fonctionnement:
. Le manchon (5) commandé par une fourchette (F), 0 CD--0-O---- --@
non représentée, pousse la butée à billes (6) contre les
3 leviers (7). Ces leviers articulés écartent le plateau ~ Définissez sur le graphe ci-dessous, les caracté-
mobile (8) et libèrent ainsi l'ensemble: disques (9 A/ ristiques de la liaison entre les disques (9A/9B) et
9 B), les garnitures (10) et le moyeu (11). le moyeu (11) ?
. La fourchette (F) - voir schémas - est commandée c di
soit mécaniquement à l'aide d'une tringlerie reliée à la 0
pédale ou commandée par un circuit hydraulique c di
analogue à celui des freins.
. Le moyeu du disque (11) comporte 8 ressorts héli- ~ Au démarrage, le frottement des garnitures contre
coïdaux (12) qui se déforment lorsque l'embrayage le volant (2) et le plateau (8) échauffe fortement
est sollicité brusquement. Ils amortissent les chocs qui ces éléments. Pourquoi a-t-on placer sous chaque
risqueraient d'endommager la transmission. ressort (14) une rondelle isolante thermique (15) ?
0 . """0'" "0 ,""'0""""" ......
~ Sans tenir compte des positions ({embrayé}) ou '0."'0""'" ..0.
« débrayé », mais seulement des déplacements
possibles et des liaisons, terminez les éléments de
circuit ci-dessous:
~ Lorsque les garnitures s'usent, la course (c) aug-
mente-t-elle ou diminue-t-elle ?
0 . .!. . . . . . . .p.. . . . . . . . . . . 0. (augmente/diminue)
0
0--ttt-0 ~ ~ Que se r;>asse-t-illorsquec = 0 ?
T 0 ...,J..o..o .....
2 - -
0---ttt---ŒJ
R T
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~ Rif LJ ""..0 0.. 0 .........
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-
/.. iii.
'"
~
!Ii
pa'
~~ J '
R
.: fri,~"tl~;
.. III
S,-~"

Il
iii
m EXEMPLE: frein d'automobile.
III Vue tambour enlevé
,.~-~..,,"
-- ',1 Schéma sans segment

~O19r:QN~ QI ," III,


., . -- ,:t; :J 3 -8

Appareils destinés à ralentir et arrêter le mouvement,


d'un mécanisme.

...".
..0..;... ]1;0~4~~::f~Jè~7~t~it 4
Un frein comprend:
. un organe solidairede la masse en mouvement;
. un frotteur solidaired'un organe fixe;
. un mécanisme de commande de la force pressante.
1. Essieu fixe. 6. Garniture en matière amian-

- ..... 2. Flasque-plateau de frein. tée de fils de laiton (ferodo).

~i\lS A SABOr~ - "


~ )
3. Tambour de frein en fonte
perlitique.
4. Goujons de fixation de la
Coefficient de frottement
élevé: 0,35 à OAO.
7. Dispositif de réglage des
Les freins les plus courants sont à deux sabots: roue. segments par excentrique.
5. Deux segments articulés 8. Ressort de rappel.
solidaires de l'essieu fixe. 9. Force pressante.
Axes réglables.
Tringle
réglable Ë!I CRITIQUES
. La chaleurdûe au frottement est difficile à évacuer.
Sabot pour
poulie plate
L'échauffement déforme le tambour et l,es segments;
le freinage devient moins efficace.
., Freinage très puissant pour un effort modéré sur la
pédale de frein.

~FREINS A..IIISIl'fi ~
]
@] UN PISTON
. Le plan axial de profil du disque (2)
étant fixe, pour compenser l'usure de
la plaquette (A), solidaire de l'étrier
(1), celui-ci doit pouvoir se déplacer
Commande de la librement suivant l'axe (xx'). L'étrier
force pressante X' est donc monté « flottant ».
. Dans le cas du frein à deux pistons

. -.....
(ci-dessous), l'usure est symétrique
par rapport au disque; les pistons
compensent les jeux. La liaison entre
~4.- FREINS ASANGbf! l'étrier et l'essieu est alors «complète».

Poulie en mouvement lEl DEUX PISTONS

Pistons avec
~ plaquettes de frein

Sangle ou bande

x
Commande de la
force pressante

Ëtrier
solidaire de l'essieu

Organe fixe EJ CRITIQUES


. La chaleur dûe au frottement est facilement éva-
cuée, le disque présentant une grande surface en
La sangle ou bande porte une garniture. contact avec l'air libre. L'échauffement ne déforme pas
le disque.
. Les freins à;sabQts et à sangle sont surtout utilisés . Pour obtenir un serrage puissant, il est nécessaire
pour freiner la descente ,d'une charge sur un appareil d'utiliser un servo-frein.
de levage. . Le freinage est progressif. 111
1
1
/
43/07- FREINÀ TAMBOUR(incomplet)
À COMMAND~HYDRAULIOUE
Flasque (1)
A-A ~ Tambour
VUES - TAMBOUR ENLEVÉ B-B 1

Arrivéedu
13 15 14 12 17 liquidedefrein 1

~
~
Cylindre de roue Segment secondaire
CD Étude de la liaison flasque (1) / segment (2) :
Flasque (1) La rondelle-excentrique (5) est liée en rotation à
l'axe (4). Quel usinage a-t-on effectué sur l'axe pour
Segment primaire (2) obtenir cette liaison?
comprimé Ressort de
0 .. """""""'" """0'" "0""000'0

Garniture (10)
rappel (9)
0 Quelles manipulations faut-il effectuer pour dépla-
cer (régler) le centre de l'articulation du segment
Tambour . (2)?
0 '000""'" 0 ""'"

Articulations réglables . 0 0 0 0 0 """""""""'"

@ Matière constituant la garniture de frein (10) ?


10 CYLINDREDE ROUE 0 .........................................
Dispositif de réglage <9Quelles sont les caractéristiques que doivent possé-
du jeu entre la garni- der les garnitures?
ture et le tambour. 0 .........................................
, .

0 Quelle est la fonction du cylindre de roue?


0 """"""""""'" """0""""'"

@ Lorsque le liquide de frein est mis en pression, les


segments s'écartent. Lorsque la pression disparaît,
.quel est l'organe qui rapproche'les segments?
O' """""""""""""""""""'"

ev Deux butées réglables limitent ce déplacement.


Une seule est représentée ci-contre.
Quel est son repère?
0 .........................................
@ Quels sont les éléments qui assurent l'étanchéité
des pistons (12) et (13) ?
0 .........................................
@ Lorsque le liquide ne fait plus pression sur les pis-
tons, quel est l'élément qui maintient les contacts
en (M) et (N) entre les pistons et les segments?
0 .........................................

~
Rondelle /excentri-
que (5) avec son @) Quels sont les éléments qui protègent les pistons
entaille en V pour contre les poussières?
entraînement en
rotation0
0 '0""'" o... 0 o... o. o .............
x
MIU~EMEN'1t
8:..~LWU1lTti.0l.JmI1A';i~tŒR III
]
~, < w- ,.,

'JIIiI
';~r tO~ÛJlU;U
""TIf. dl1Î "

)~~I Dessin simplifié

~ 'i j::' C T.m '~(';T~~" :"


,.; .""".",Nz::",:>!:>."'" ~'.-': ..
";',', ~=~~~.;]
,':,,', ';'~;':',

Transformer un mouvement de rotation en un mouve-


3
ment de translation et réciproquement.

ECROU

n
Rv VIS Re
'"
?;~. .
".
""
~ Ri!
~
Tv Te
~..,;,.~"'."~"'~ ~-"" '~"'~%~"i? --.--

Rv = Rotation de la vis.
Tv = Translation de la vis.
Re = Rotation de l'écrou. CI.>
..c
= C'C
Te Translation de l'écrou. ....
C'C
>

~~1\f6fPE~aK~ cc

Si vous exercez l'un des quatre mouvements pour obte-


nir un second, il faut empêcher les deux autres.

::::1
- - -
VIS
0 en RÉGLAGEDU RAYONVARIABLE
en
'CI.>
'CI.>
.J::
c..>
RvTvRvTv RvTvRvTv
c..>
.... <CI.>
I CI.> . Quel repère porte la vis? D ....................................
0
CI.> Cl.
X E
c:: ' 1- ,0) 0
- -
CI.> CI.> ,

en en . Quel repère porte l'écrou? D ....................................


1::
CI.>
E en
1::
CI.>
E
:::J
0 ,. 1
t Û C%
Q . Mouvementexercé? D Rv2 = 1
CI.>::::I
> 1::
CI.>
> a: . Mouvementobtenu? D = 1
u
01
::::1 CI.> ::::1 CI.>
0- 0 0
~~ ~ u.J 0
-
1-
CI.>

c::
-CI.>
II-
la:
1c::
I
I v
)
V 1
"

()
. Mouvementsempêchés? D
D
, - 0
= 0
. Quel est le type de la liaisonentre (2) et(3) ?
D Entre (2) et (3) la liaisonest ..........................................
. Mettre (1) dans les casesoù la transformation de mouve-
. Quel est le type de la liaison entre (1) et (3) ?
ment est possible et (0) dans le cas contraire. D Entre (1) et (3) la liaison est ,......

tI:J5Jc.f:I~M~î~
.
..
... J . Quel élément lié à (3) et quel usinage effectué sur (1)
assurent la liaison en rotation de (1) et (3) ?
En général, le système n'est réversible que si le filetage est à D Élément lié à (3): ,............................
;;.." plusieurs filets au pas (filets normalisés). D Usinage effectué sur (1): ...............................................
+x

l$~."',ÎU;\j@MIN;1;~
","",~-"

~'E~PA~$ J
1!1!~ Montée
" Ii'
~

..
"-
D, ~J8 """"'~'W
'%
Levée
courses

'-
ffi X
~~ ,' ~ ~.. '"~~ j";"
Transformer un mouvement circulaire continu en un mouve-
~i;'~~,:",'~"} ""~~~ J
<:::~"!::;iL'.'-"~"
,
::J co
8 1

E Temps
12
ment rectiligne ou angulaire alternatif.
Le système n'est pas réversible. Echelle des temps: 60 mm pour un tour

Iftj~tfAjltr == --=1
0 CAMES DlsaUIiS 1 - Tracer le cercle minimalde rayon (AG)
(AG): plus petite distance entre lecentre de lacame et celui'
du galet lié à là tige.
2 - Diviser le cercle minimal en 12 parties égales
'" p'rtle""ve l'"' 'e pourto"" (autant que d'espaces surie graphe).
3 - Mesurer sur le graphe les variations de course et les reporter
à l'extérieur du cercle minimal (1,1') (2,2') etc...
2 4 - Tracer les 12 positions du galet.
5 - Tracer la courbe-enveloppedes galets, c'est le profilprati-
0 CAMESA RAINURES que de la câme.
Cercle minimal
La partie active est une rainure creusée sur la surface latérale
d'un cylindre. 1

~
1

~
0 CAMES A TAMBOUR (came cloche)

La partie active est le rebord de la


base du cylindrecreux

1
6' 1

P'f-IG"N"'~c' l1GIf;Ç~~~
. Contact direct . Contact indirect

~ =11\11
Avec l'extrémité
de la tige
Avec l'extrémité
de la tige munie
Avec un galet

arrondie d'un plateau


~ -P~lftCJt.È
ç~~e~diaq"e,
œl ....

Une tige (1) guidée en translation s'appuie sur le pourtour


d'une came (2),Voirschéma ci-dessus.
La rotation d'une fraction de tour de la came transmet à la
tige soit:
, - Un mouvement de montée;
- Une mouvement de descente;
- Aucun mouvement (période de' repos). . Le maintien du contact entre la tige et la cafTleest fréquem-
ment obtenu par un ressort de rappel.
Ces informations sont portées sur un graphe (courbe des
espaces) utilisé ensuite pour tracer le profil de la came. "'5
.>\

~!T~4~SFQRMATIONS~--i.).'
l,DE MOUVEMENT
r-, SYS. T, E~'M E
, ;',-
' ' ""~ [- 46iü~.LONG!lE.l!.RD_lt~Ç!l~CEMEN)'- ~---

1 réBIELLE-- MANIVELLE)) 2

r'iH~bl:.foN:CTiirN : -:-- =-- - 03,_-


Transformer un mouvement circulaire continu en un
G
mouvement rectiligne alternatif et réciproquement (voir ....

réciproque ci-après).
-2if c

r1~~fj2~~'=-ti!.,DIFffi~NT-S ElE~!NTS: - -. - ! 1
les points (D, E, F et G) sont appelés: points morts.
Dans un moteur à explosion ou un compresseur:
A 3 4 (D et F) sont les points morts bas (PMB);
(E et G) sont fespoints morts hauts (PMH).

la longueur (C) du déplacement (cour~e) en translation


( / ,.c -' --- ~ --
du coulisseau est égale à deux fois le rayon de la manivelle.

C = 2 R

\~)
-
Rotation ~~;///~////t;;
~
Translation
Conséquence
la variation du rayon (R) provoque la variation de la
course (C).
Termes Termes particuliers
généraux Moteur - compresseur - - - n -,
-
; 46/06.MANIVELLE A RAYONVARIABLE 1
1 : Manivelle 1 : Vilebrequin
2 : Bielle 2: B ...........................
3 : Coulisseau 3: ...............................
4 : Glissière 4: ...............................

1 r:JJ3.:!..JLQ!~tLE - - - ---- --,


. T~TE DE BIEllE (partie A) :
partie en contact avec ...................................................

. PIED DE BIELLE (partie B) :


partie en contact avec ...................................................

Une bielle doit être particulièrement résistante. 3 2 5


Elle est sollicitée à :
- l'extension;
- la compression (avec risque de flambage);
- la flexion (force d'inertie de sa masse).

L' r~jpTR~CI~OQUE_-~ -_-:':-::1


la transformation d'un mouvement rectiligne alternatif
en un mouvement circulaire continu (exemple: moteur à
explos,ion) n'est possible qu'à la condition de caler un volant
sur la manivelle (vilebrequin). Ce volant emmagasine une . Quel est le type d'articulation?
~ énergie cinétique qui régu,larise la rotation.
"
0 , ...............
)(
- ~
. --- - -
-/Oi-EXë6NTRIQU-Ê -- - r-~tî'og: - SYSTÈMËl)fL~fAU
- - - - -" --- -UMEUR
- - - -- - - 1
1
1
',," 1
Oz Course 1

01 : Centredel'arbre
1

A
1'-~ 02 : Centrede latête debielle
'"" 01
, ---------
,J R : Rayonde la manivelle

Un excentrique est utilisé lorsque la distance (01 - 02)


est faible.

Collier Disque
(manivelle)

--<~.

0< 1 = périodede travail.


0( Z = période de retour rapide.

11°°8 0(.1> o<.z

La variation du rayon (R) fait varier la course (AB).


SYSTÈMES
DÉRIVÉS
--... [3ffif-);'ANIVELLE A COULISSE -::::: _-~-1
~ 108=-SYSTEME
OSCILLANT
l ~ ZR

A
--1L---- \ 1."
CI:

t1]
N
Il
Q)

'"
Q
U

Course = 2R
/
Exemples d'application:
- scie sauteuse;
- verrou;
Exemples: pompe oscillante; ,................
........................................................................... - !..........................................................
'.--..
t~)!
~RÉ$~J~OJ~S-.j~tJl\4~U1:~~'S
Conduite débou- COl)duitédébou- Accumulateur
chant au-dessus
du fluide chantau-dessous
du fluide --c. )
.,/ . 1 Réservoir sous pression
~ .,1." ~E$.;!J~,~I;I'$r' <GI

.continu fort
] 1

LU ( 1)
0 Conduite d'alimentation,
de travail et de retour
0 Conduite de pilotage - - -- long fin
~1'1;O~;'~- ]
0 Conduite d'évacuation - -- - - - - court fin
Filtre Purgeur Déshydrateur Lubrificateur
des fuites
-- - - mixte fin
0 Encadrement de plu-
sieurs appareils réunis
dans un seul bloc
0 Liaison mécanique double fort
~ -<>- -v--
Refroidisseur Réchauffeur
-<>-
Groupe de conditionnement:
filtre - régulateur de pression
~,"poïi.éi.til_W~fp.R'ESSEf}Ù
Pompes hydrauliques
à un sens à deux sens
Pompe moteur ~ ~ . avec manomètre et lubrificateur

~
RJll1 - ,Riiii"NEJS'.'V ;Ji 0'~
~.-:- "

ê5=C:>:
. . .

~C5= à d~d1IU' Symbole général à pointeau à tournant

PO~. 'M8BilRS
Moteurs hydrauliques Moteurs pneumatiques
.4 ] -[><]-- ~ e
à un sens à deux sens à un sens à deux sens
de flux de flux de flux de flux fiit)112 -BRANCHEMENTS- RAê~
'
Branchement avec Raccordement rapide Raccordement rapide

0= Q= O=t~0= conduite branchée sans clapet de non


retour
l . avec clapet de non
retour

!r)'O4. ~LE.ÇTQ,lo.U~S !
7<~ ~ -0+0-
o nt ,ct électriqueà pn",;oo
... . .
13 - EXEMPLE.,D'UN SCHÉMADE CIRCUIT
M -2f~ ..

Moteu, éêe ~ ': Compresseur à un étage entraîné par moteur électrique qui I?st
déclenché et interrompu automatiquement, en fonction de la
, . ,..,,0,:)'-
[!:,',s~
.' S0URpES
'" .. jPEBR~~$ION
~ ~~ j pression dans le réservoir.
Symbole général Hydraulique Pneumatique

@ @-+- @-t>- 1-- --rp--I


1 IlL-Il 4 5 fi
VW 1
IL)O,6 -,Ee»i~uR 1

Piloté avec

m
non taré taré étranglement 1

pour ouvrir;

--<>- -#K)-- @l
1

2 1

1;"101 <'; R'ÉGOtAiTEU\RSDEPRUSION 1

Limiteur de pression Régulateur de pression


(soupape de sécurité) (détendeur) 1, 1

~
l '

L-

-rO~ --th- L--.J 0 Répertoriez ci-dessous les différents appareils constituant le


compresseur et essayez de comprendre son fonctionnement.

[1:)Oi L_J - raii1ULAi(iI!J'RS


L__ID~DÉ'BiT 1
1- ..................... 6- ....................
à débit fixe à débiuéglable à débit réglable et 2- ..................... 7- ....................
retour au réservoir 3- ..................... 8- ....................

~
4 - """""""""'" 9- ....................

-17+- .-1~+- 5- ..................... 10 - ,..............

111~
1

--- "'l'ïM:N1w,~siOis :r-~b4\f.iitJ\L'tU:I!D~


t/EFf:èèT NPR~~ŒUt
Ii)
.H\ntR~lfblQUE' PNÊItM~TrQUES ~S.tJA~'UNE,~IiJ\cr
a"U PistON.

0 i
,,\llero"~
. 'V'Ji',. R . VÉRIN SIMPLE EFFET
-
.~, 'c.,"'..-.<
S
fL.1°!1! : FONGtt.oJ\J - :J "'0

Appareil qui permet de transformer une énergie hydrau-


lique ou pneumatique en énergie mécanique.

IrJ'Q~t ~j'$,iN~ a 11 p : pressiond'admissionenbars

+
Exemple: Vérindouble effet
5 7
daN s -L-
1
j
cm2

AHR F = ~ X
bars

sachant que S (section du piston) = Il' d2


4
. VÉRIN DOUBLE EFFET

FaceA FaceB

~ 4 N
JJ
-"'0

-
"'0

1 - Fond arrière
Comporte un orifice pour l'admission (A)et le ~ pl = p2
FB
J
refoulement (R).
~Pl UP2
2 - Fond avant
FA = ................................................
Comporte un orifice pour l'admission (A)et le
FB = ................................................
refoulement (R). .
3 - Palier
Remarque:
Guide la tige du piston en translation. C'est un coussinet Les poussées ne sont pas égales dans les deux sens ni les
en bronze avec système d'étanchéité. vitesses des déplacements en translation du piston, bien que les
pressions (p1) et (p2) soient égales.
4 - Tige de piston
. MULTIPLICATEUR DE PRESSION
Transmet l'effort. Tige en acier poli, glacé.
5 - Chemise (cylindre) - élément fixe.
J1P' atmosphérique
Tube d'acier étiré à froid - poli - glacé.
6 - Piston J1.,.",
\1.,."...,.."
",.......
,.",0<1 ~
Disque fixé sur la tige de piston et comportant un sys-
uU[...;.\:;::,~'<p ~PH
Hydraulique
tème d'étanchéité. Hydrauliqueou pneumatique

7 - 8 I:tanchéités Un multiplicateur est employé pour transformer une

Joints de piston: étanchéité dynamique. basse pression d'entrée (p1) en haute pression de sortie

Joints de fond: étanchéité statique.

Q/Q3 - ~IS~~GE
Pression sortie:
IPHpl. . 1
PHP
t
bars
= pl.
1
bars
-82
SI j: cm2
'.2
. VÉRINS POUR TRANSMISSIONS PNEUMATIQUES Exercice:
La lubrification des pièces en mouvement est assurée par Sachant que: p1 10 bars, d1 76 mm,
l'huile pulvérisée dans l'air comprimé. d2 =
25 mm; calculez la pression de sortie: PHp'
. VÉRINSPOURTRANSMISSIONSHYDRAULIQUES ...........................................................................
PHp "
La lubrification est assurée par le liquide. ..............................................................................................
Réponse: 92 bars
~ - - --- - -- - ..
~
~
L U05.-. - DIFFÉRENTS
-- - TYPESDEVÉRINS
- ---- -- . .- lJ- - ~O?..:~~Oi:ISAi~ON DES
~ÉRINS
8 Vérin à simple effet 8 Vérin à simple effet
0 Vérin à membrane à rappel par ressort

~~
Utilisé surtout pour le
bridage sur un mon-
tage d'usinage
(>~ .
1

CD 1 tI~M'A~= V V V V

~
0 Vérin articulé
type argipex' 8 Vérin à double effet 8 Vérin à double effet
à simple tige à double tige
Axe d'aticulation

, 0 l, 1 1

to
Fixe

0 Vérin rotatif
à double effet
~ ~ ~ F
La tige du piston com- 8 Vérin différentiel 8 Vérin à double effet avec
porte une crémaillère; amortisseurfixe d'un côté
celle-ci est en prise
avec un pignon qui 1 1
tourne d'un angle, cxmaxi = 1800 à 2100

)06
1-"'---
1 ~ - --
AMORTISSEURS
-- - - -- .-.---- . --
Les mouvements des pistons étant assez brusques, il taut sou-
- . tJJ :
F=
tg] P
vent prévoir des amortisseurs de fin de course.
8 Vérin à double effet avec 8 Vérin à double effet avec
amortisseur fixe des

~
amortisseur réglable
0 Amortisseur mécanique deux côtés d'un côté
Le joint du piston vient buter sur
le fond du cylindre
L
0 Amortisseurs à fuite contrôlée
air emprisonné l' gH rn J
8 Vérin à double effet avec 8 Echangeur de pression

A dans B
~r~~ ';tJrj
8 Multiplicateur de 8 Multiplicateur de
Lorsque la partie (A) du piston pénètre dans l'alésage (B), l'air pression à une seule pression à deux natures
emprisonné ne peut plus s'écouler qu'au travers des conduits nature de fluide de fluide
(C) ré'glables. La vitesse du piston ralentit alors brusquement.

0 Amortisseur à huile

L'amortisseur à huile est accouplé à un vérin pour transmission x y


x y
pneumatique à double effet.
Amortisseur Vérin

- ,
- - --...-- --- l'2~! -.EMPLOIS
-1),~~_y.tR~_. 1

-fî'ùile 8 Commande d'organes de machines:


:::1
-~
- déplacement de tables,
( - serrage d'un mandrin de tour.
8 Bridage sur montage d'usinage
8 Asservissement des grues, camions, tracteurs etc...
Principe de fonctionnement: 8 Commande des portes: métro, autobus, cars etc...
L'amortisseur peut être assimilé à un vérin à double effet à huile, 8 Commande de freins: automobiles, camions, motrices
fonctionnant en circuit fermé. S.N.C.F. etc...
La vitesse d'écoulement (réglable) de l'huile étant plus faible que
celle de l'air, le mouvement de translation du piston se trouve
alors ralenti.

120 l'
€>
TRANSMISSIONSHYDRAULIQUES ~,,:\(J.j06
ii'~'
- DÉSIGNATIONDESDISTRIBUTEURS
~-
ET PNEUMATIQUES Un distributeur se désigne par deux chiffres: le premier indique
le nombre d'orifices, le second précise le nombre de positions
n... DISTRIBUTEURS du distributeur, Exemples:
Distributeur 2/2 Distributeur 3/2

1 ~201_-- F~NCTl(jND~UNo1S!R~BUiI"EUR
. Appareil destiné à répartir le fluide dans les canalisations
d'utilisation.
. Accouplé à un vérin, ilassure le remplissage et le délestage de
cr4J
Distributeur 5/2 Distributeur 3/3
celui-cf.
""'"
/02-
.
- - PRESENTATION
--:'"
- -- - - - --
- --
Exemple: Distributeur ~II.. avec ressort de (appel
~ 213 1 ~/07 - - - - DES DlSTRIBUiEURS
--::-COM-M'ANDES
rn E
c
1////////
Ç:rf 1 0 Commandes musculaires
>- E
Q) 0
>u par bouton poussoir par levier par pédale
f
(] C
0 Commandes mécaniques
/
/
C /
)
C
par poussoir par ressort par galet
1 - Un corps:
En acier ou alliage léger. Le conduit est chromé. Ilcomporte
plusieurs orifices (3 dans l'exemple ci-dessus)
2 - Tiroir cylindrique coulissant:
En acier chromé.
3 - Ressort de rappel (suivant modèle)
( c ~
0 Commandes électriques
C!F==C
- -- - -- --- - --- électro-aimant
1 enroulement
électro-aimant
2 enroulements
par moteur

c
électrique
~_i03 - ÉTAN.EH_É!TÉ.-
L'étanchéité entre le corps et le tiroir est obtenue par des joints
toriques montés sur le tiroir et pouvant travailler sous une pres-
z [LS C @fC
sion de 10 bars. Lorsque la température du fluide est très éle- 0 Commandes par distributeurs pilotes
vée, l'étanchéité est obtenue par contact direct. actionné par augmentation actionné par diminution
de la pression de la pression
- - --=-- --- -. -
r
i- - -/04 - SYMBOLISATION
- --- D'UNDISTRIBUTEUR
- -- ---- --~ c (seulement pour pneumatiques)

c
L1J

.2
Le symbole
d'autant de cases carrées que
le distributeur comporte de positions
(ex: 3 positions ~ 3 cases)
est

S'il existe une position inter-


constitué

ITIJ --~

0 Commandes combinées
c ---El

médiaire de passage, la case par électro-aimant et par électro-aimant ou


est. délimitée par des traits interrom-
Li! 1 distributeur pilote distributeur pilote
pus.
3 Les conduites reliées au distri-

cto --~
--~
z
c
c
buteur sont représentées
aboutissant à la case de la position
repos. z
---cuC --~

-
cto
~4 L'obturation d'un orifice à
l'intérieur d'un distributeur est Remarque:
schématisée par une petit trait per- Triangle noirci: flux hydraulique
pendiculaire à l'arrivée de la conduite. Triangle vide: flux pneumatique (3 bars maxi)

r!f.] A l'intérieur de chaque case,


.- .fii"JiOB
-- -- - -
- GRAISSAG-E ----- --- - -- --
OËS-DiSTRiSUliËURS /.

$
.
les flèches schématisent le
sens de circulation du flux entre les . Distributeurs
pour transmissions hydrauliques:
orifices. La lubrification est assurée par le fluide hydraulique.
. Distributeurs pour transmissions pneumatiques:
La lubrification des piè~es en mouvement est assurée par l'huile
: - ::'l~.:.!J~IC~~ O:É~A_CU~!!~~
D'AI~- ~ pulvérisée dans l'air comprimé; c'est la fonction du lubrifica-
teur,
Lisse'
non connectable Connectable La présence de l'huile pulvérisée dans l'air comprimé nécessite
la mise en place de filtres aux échappements avant de libérer
~ ~ l'air cj,ansl'atlnosphère.
'Ii t21

)
,~. ,'
,\CI
TIROIR- Echelle 1:2
CD Sur du papier à dessin, des-
EJQ9 ~ eÔMMANl1)ipN.EUMI~la(JËD'u'NÈ"PRÈisEl sinez et découpez
tiroir du distributeur (E)
le
~
Le coulisseau d'une petite presse à sertir est lié à la tige de pis- Manipulez le tiroir découpé dans 7! 11 12 A 12
ton d'un vérin, Un distributeur commandé au pied pilote le dis- le cylindre dessiné ci-dessous et
tributeur qui assure le remplissage et le délestage du vérin, collez-le ensuite, la presse étant à N
l'état 2
Terminez le schéma du ressort
--
CD Les deux états de la presse:

Etats Pédale Coulisseau de la presse 0 0


~
1 1

Etat 1
Etat 2
1

1
Pas d'action sur...
action sur...
1

1
«retour» du coulisseau
«poussée» sur le coulisseau j '::.::.../.. t.. :11

::=z:1~

CD Dessin simplifié de la commande:


presse à l'état 1 lm /tBB~~r UTI

<7
9~
{)
2 bars ~ L-I
6 bars
i
A
@ Schéma de la commande - Presse à l'état
Complétez le schéma de l'installation...
(Voir rappel au bas de la page - colonne de gauche)
1

~
.;::
r~
'+= ~ L__,
~ID
>
E '~L 4>-

~r~
Etat 1 ~ Il

F
~
«Retour» du
coulisseau
a
~ 0; 1

@ Schéma de la commande - Presse à l'état 2


Complétez le schéma de l'installation.
. Etudiezsi nécessaire le montage colléde l'exercice(8)

CD de
Identifiez les différents appareils constituant
la presse pneumatique:

A: .......................
la commande

D: .......................
~ ~ 1

~
'-..
1"
1 L_--,
S: ....................... E: ....................... 1

-<t>-
C: '

0
... , .... F: ,

Coloriez en jaune les canalisations et espaces occupés par


le flux à basse pression (2 bars).
Pilotage du distributeur (E).
.

~ ~
(9 Coloriez en rouge les canalisations et espaces occupés par
le flux à haute pression (6 bars)

0 Coloriez en bleu les canalisations et espaces occupés par le


~
~
flux mis à la pression atmosphérique.
.
Œ La vitesse du coulisseau dans le sens «Poussée»
identique à la vitesse dans le sens «Retour» ?
est-elle rn
Si non, laquelle est la plus rapide?
D (oui ou non) => Sens«. . . . . . . . . »plus rapide @ Questionnaire
. Quelle est la fonction du lubrificateur
D ,........................
Rappel: , .
- Conduites d'alimentation et de retour (fort) . Ouelleest la fonction des filtresaux échappements
Conduites de pilotage (interrompu long fin) - - -- D,." ,........................

+ +
-
.
..
. - Raccordement - Croisement
12rL des conduites des conduites
--- .
49/10 "J)ISTRIBUTEUR
------ -_J .t'.,
G) Caractéristiques
3 16 11 Q
le dessin ci-contre représente à
l'échelle 3:2 un distributeur 2 voies 3
orifices à soupape normalement
fermé, commandé par un pilotage
pneumatique,
Sans l'action du pilotage, l'orifice
d'admission (A) ne communique pas
avec l'orifice d'utilisation (U). L'orifice
(U) communique avec l'orifice
d'échappement (E).
Sous l'action du pilotage, l'orifice (A)
communique avec l'orifice (U).
L'orifice (E) est obstrué.

CD Quelles sont toutes les pièces


" qui composent le f:>ilotage? -
Alignez tous les repères concer- 5 4 6 8
nés. 17
D ...................................................

CD Sachant que le diamètre intérieu~ du cylindre (2) est de 27 (3) Dans quelle catégorie pouvez-vous classer les joints sui-
vants : (plat - torique - à lèvres, etc...)
mm et la pression de pilotage de 2 bars, calculez la force
qui agit sur le piston (4). D Repère 8 : joint. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Revoirles formules chapitre 48/04 - Attention aux unités. D Repère 5 : joint. . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
D ,...........................
.
0 Complétez sur le dessin ci-dessous du poussoir (6) les spé-
0 Le joint (17) as~ure l'étanchéité entre les pièces (1) et
(2). Cette étanchéité est-elle dynamique ou statique?
cifications des états de surface (rugosités).

D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .(dynamiqueou statique) 6

(DCette
Le joint (8) assure l'étanchéité entre les pièces (6) et (7).
étanchéité est-elle dynamique ou statique?
D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .(dynamique ou statique)

@ Quelles sont les pièces qui se déplacent ou se déforment


pour mettre en communication l'orifice (A) avec l'orifice
(U) ? Exclure toutes les pièces qui participent au pilotage.
0 Quelle est la représentation symbolique
dessiné? Entourez la bonne solution.
du distributeur
D ...................................................

0 Sachant que le diamètre extérieur de la soupape (11) est de


12 mm et la pression d'admission de 6 bars, calculez la
~ITLJM czLIIT}w qz]IJw
" force qui applique la soupape (11) sur son siège.
Négligez l'action du ressort (14) et considérez que l'effort

D
s'exerce sur toute la surface de el 12 de la soupape.
,..
@ Désignez le distributeur
positions distinctes)
(nombre d'orifices/nombre de
. D .., .

CD La force qui s'exerce sur le piston (4) du pilotage est-elle


0 Sur le dessin ci-dessous, le distributeur est représenté
ouvert (actionné).
suffisante pour permettre l'ouverture de la soupape Sur les deux dessins, coloriez de couleurs différentes les
(11/12) ? Comparez les résultats obtenus ci-dessus.
D .(oui ou non) espaces occupés par les flux: haute pression, basse pres-
sion (pilotage), mise à l'atmosphère.

<2) Le piston (4/5) du pilote déplace d'abord les pièces (6/9),


puis la soupape (11/12). Laquelle de ces pièces limite la
course de l'ensemble.
D ", ,.,. ,(6 ou 9 ou 11 ou 12)

~ Quelle est la fonction (le rôle) de la rondelle (9) - Sa matière -


comment est-elle liée à la pièce (6) ?
D Fonction: ,., ,.............
D Matière: ...........................................
D Liaison avec (6): . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

(1) Chaque ressort assure le retour d'un sous-ensemble:


èT"'Leressort ( ... . . . . . .) assure le retour des pièces (4) et (5)
D Le ressort ( . . . . . . . . .)assure le retour des pièces (11) et( 12)
D Le ressort ( . . . . .) assure le retour des pièces (6) et (9)
.. «~.'d~,~_'" @
lES PISTONS
TRANSMISSIONSHYDRAULIQUES
Jupe

~~
~
1. Piston à jupe """'.

~1 POD/l',PES Auto-guidage du piston.


(
" "

Ëtanchéité sur le piston. "'--_/

-
* Er
1
1
2. Piston à plateau
Lc:JD1- FO"NCTLON~üNE
POMPE ...1
Guidage par piston et tige.
Ëtanchéité sur le piston.
Appareil destiné à transformer l'énergie mécanique du mo-
3. Piston plongeur
ur de la pompe en énergie hydraulique utilisée dans un
Auto-guidage du piston.
Ëtanchéité sur le corps.
'l&'1..~t~V }
'ii.~ii~ESAliERNATI'l.ES --=-
Caractéristique: l'écoulement du fluide est discontinu
---1 . Pompe à membrane
Caractéristique: débit faible, mais régulier.
(un temps sur deux). La variation du volume (v) est obtenue par déformation

l.
d'une membrane élastique.
,"~. Pompe à piston Pompe à essence
Aspiration
Clapet(B)
Le piston se déplace dans le sens (1). Le volume (v) augmente,
il se produit une dépression; le clapet (A) s'ouvre; le clapet (B)'
Clapet(A)
~ct>
se ferme.

Piston Clapet(B)
Clapet(A) ~b.,
Membrane

'qJ Volumedébité

(A) ASPIRATION Ressortde rapJ!!!1


Refoulement

Le piston se déplace dans le sens (2), Le volume (v) diminue.


Le fluide est comprimé; le clapet (A) se ferme; le clapet (B) s'ouvre.
. Pompe à pistons en ligne

Caractéristique:
(R) REFOULEMENT ." L'écoulement du fluide est régularisé.
Came
Piston
Arbre à cames

Piston

Pd
. Quelleest lacylinQréede ~apompe?
Ressort
Clapet
d'aspiration
.
- Cylindrée =: .. 'w
Sachant que la pompe effectue
est le débit ,d~ c~te pompe?
.,
""""' """"""""""""""""""",
«n» cycles par mn, quel Clapet
derefoulemen

- Débit = . "' ...~.. ,: '.....................................


"' '

Exemples de pompes alternatives: En cours de rotation, un arbre à cames enfonce successi-


,..................................... vement plusieurs pistons qui reviennent ensuite à leur posi-
'.................. tion initiale au moyen de ressorts. ..'
,............................................... L'effet de pompage est.Y\obtenu grâce à, des clapets d'as.
............................................................................................. piration et de refoulement'placés sur chaque cyJindre.

"""""""""""""":"""F"""""""""""""""""'"................... L'ajustage des pistons dans chaque cylindre doit être


extrêmement soigné.
124 ..,. ,.., ..~ ~..., ,..............
@
1 ..! 1!!.3---l0MPES
ROTATIVES --- . Pompes axiales à pistons (6 pistons)

1. Cylindrée constante: Angle ~ constant


Caractéristique: l'écoulement du fluide est continu.
.. Pompe à engrenages'
Pompe à palettes
Voir chapitre 31/10.
. Pompe à vis

Piston Clapet
Le mouvement de va-et-vient des pistons est obtenu par
la rotation d'un plateau à axe brisé.
Le liquide enfermé dans le creux des filets est véhiculé Dans chaque cylindre, des clapets communiquent, soit
parallèlement aux axes des vis. avec l'orifice d'aspiration, soit avec l'orifice de refoulement.
2. Cylindrée variable: l'inclinaison 0<::est variable.
A chaque tour des vis, le déplacement est de un pas. Le
fonctionnement est analogue à celui d'une vis d'Archimède. Débit important: 0< .Maxi

. Pompes centrifuges
Exemples:
- Pompe à eau de voiture.
-:- Pompe de vidange dans une machine à laver.

Débit moyen: 0<: intermédiaire


Mécanismede réglagede l'inclinaison

. Pompe radiale à pistons


Couronneextérieurefixe
R

Élémentcentralfixe Débit nul: ~ =0

Piston

.Moyeutournant

A
A : orifice d'aspiration
R :orifice de refoulement

La force centrifuge applique les pistons contre la couron-


ne extérieure fixe excentrée par rapport au moyeu et à
l'élément central fixe.
50/04 - GRAISSA.GE
;DES~RQ.Mf~S --~
En tournant, le moyeu imprime aux pistons un mouve- Les pompes hydrauliques sont lubrifiées par le fluide vé-
ment de va et vient. hiculé ; celui-ci doit flonc"avoir un,bon pouvoir lubrifiant'125

.....
- ~...~ @
. Compresseur
à cylindresétagés
TRANSMISSIONS ~RN'~UMA~TlflU~iS Très forte pression d'utilisation: p,> 8 bars.
3 4
OC(\JMPR>&-St&IU1RS
~ vers
DtU COMPRESSEUR
1,1î-(f'OI\l,ÇTION
L~ réservoIrHP
HP

-.'012 .CDM"~Ft6SSE~URSAbTEI,RNA
11FS

Caractéristiques: y/Àl Air libre


filtré
- écoulement discontinu de l'air comprimé (un temps sur
deux ). BP
- permettent d'obtenir de fortes pressions.

. Compresseur
à un cylindre
Pressiond'utilisation: p -<8 bars 1-: 703.COMPRESSEURS
Ro;rATlfS

Caractéristique: écoulement continu de l'air comprimé.


Aspiration Refoulement
. Compresseur . Compresseur
Vers
à palettes à engrenages
Débit élevé. Débit élevé.

Pression d'utilisation: Pressiond'utilisation:


2 faible: p -<4 bars. très faible; p <:2 bars.
{tR (FR
~m
PMH
~
~ ~

PMB VA VA
Fonctionnement analogue Fonctionnement analogue
PMH : point mort haut à celui d'une pompe à pa. à celui d'une pompe à en-
lettes. Voir chapitre 31/10. grenages. Voir chap. 31/10.
PMB : point mort bas

Ir JO2J~,RjFRBI~MENif
Aspiration
La compression de l'air provoque un échauffement im-
portant. Le refroidissement du corps du compresseur est
Le piston descend; il se crée une dépression dans le
obtenu par air ou par eau.
cylindre, le clapet (1) s'ouvre. La pression dans le réservoir
Par air : avec des ailettes autour des cylindres.
ferme le" clapet (2). L'air pénètre dans le cylindre.
c'est le cas en général, pour les petits compresseurs.

Compression et refoulement Par eau: en établissant un circuit de refroidissement autour

des cylindres.
Le piston remonte; le clapet (1) se ferme. L'air enfermé

dans le cylindre est comprimé et refoulé vers le réservoir


REMARQUE:
par je clapet (2) qui ~ouvre tant que la pression dans le
Le refroidissement est analogue à celui des 'moteur d'automobiles
cylindre est supérieure à celle du réservoir. ou motos.
J(
"",' "",," """",'~~"""
IP1~0 ES flB'TENjUJ~,SPA R ,PI~C€,SOa'l'ENU~S
PAR Il

D.~'~:~~&g~, ,~',GINÉRA;Ut'ÉS
0
.'"
MOU~AQi'NSAB~tE
PROCÉDÉ CLASSIQ,UE "~ J
!:

1"A~~(V}O1j-<'~RI,NCIPE
~IiJM()~ L~1-EXEMPLE:POtJl.IE~
Le moulage est un procédé qui consiste à réaliser une pièce
en coulant du métal en fusion (fluide) dans un moule pré-
sentant l'empreinte de la pièce à obtenir.

moi'" ÜttOIXDtJ~P,j'o'CE.!!E ~L1 <


Les surfaces uSinees sont repérées
en trait fort sur la 1/2 coupe.
Latempérature de fusion du métal coulé doit être inférieure
à latempérature de fusion du matériau constituant le moule. ~O2 - PI~E AiOBTEN'H~Al'MOULAGE ]
Un moule métallique prend le nom de «coquil'Ie». D A gauche de l'axe: D A droite de l'axe:
CHOIX DU PROCÉDÉ Profil de la pièce usinée Profil de la pièce brute
MÉTAUX ET 1
avec les surépaisseurs de fonderie.
TEMPÉRATURES
MOULAGE MOULAGE d'usinage.
DE FUSION EN SABLE EN COQUILLE
1

Fontes: - Moulage en sable Moulage impossible


1100oCà 1250oC avec ou sans noyau. sans détériorer les
Surépaisseur
- Moulaga en cara- coquilles.
Aciers: pace: procédé Cro-
1200oCà 1500oC ning. ~O3 . CON,Fe~rl;ON
IiJtJ,MO'ijÈtE
PARLEMOID'E.bEU~
- Moulage à la cire
perdue. D Pour les petites séries, le modèle est confectionné en bois
Cu ivre et ses Moulage en sable: Moulageen coquilles:
demi-dur vernis, les congés sont formés avec des lanières
alliages:
de cuir collées.
- pour les grosses - pour les grandes
Laiton :940°C pièces. Exemples: séries. D Le modèle a des dimensions supérieures à celles de la
. cloches en bronze
- hélices de bateaux pièce, afin de tenir compte du retrait du métal après re-
Aluminium et - avecousanspièce
ses alliages: (prisonnier) insérée froidissement. On majore les dimensions des pourcentages
au moulage. suivants: fonte 1 % - acier 2 %.
Alpax: - pour les petites
séries. D Les formes du modèle doivent permettre son extraction
Zamack : - pargravitationou
environ sous pression. Ex. ': du sable sans dégradation du moule. Dans ce but, on
6100 C - carter de boite de donne une certaine inclinaison aux parois du modèle:
vitesses (alpax) c'est la dépouille (pente de 3 à 10 %).
- corps de carbura-
teur (zamack)

SURIE ~
8JtO3 . REMARQUES
D Lemoulagepermet d'obtenir économiquement des pièces
compliquées.
0 La 1onte se moule mieux que l'acier. La fonte en fusion Joint
est plus fluide que l'acier en fusion.
Portéedenoyau
0 Les fontes à graphite sphéroidale ont des caractéristiques
mécaniques comparables à cellesdes aciers. Pour exécuter des pièces en grande série, les modèles sont métal-
liques, usi,nés et polis; montés sur plaques-modèles métalliques.
--EN SABLE~SA8'ItES'u..ttl.l:S.ES
~Of'- LE:@"'AU. U\,BOfTE I}.riI!)YAU~
D LE SABLE DE FONDERIE
Le sable de fonderie est transformé en une pâte malléa- Le noyau est confectionné en sable auto-siccatif, dans une
ble constituée de grains très fins de silice humidifiés. Il ré- bo'i"teà noyau. Le noyau est ensuite cuit à l'étuve pour lui
donner une solidité lui permettant de résister à l'érosion du
pond aux impératifs suivants: métal en fusion et aux efforts de compression qu'il subit,
- Résister à la température de coulée élevée du métal lors du refroidissement de la pièce.
- Résister à l'érosion du métal liquide.
- Ne pas s'opposer au passage des gaz produits au moment
de la coulée.
D LES SABLES SPECIAUX
- Sable auto-siccatif: mélange de silice avec de l'huile sicca-
tive (exemple: huile de lin). .
Ce mélange durcit sous l'action de l'air.
- Sable au silicate de soude:
ce sable soumis à l'action du gaz carbonique (CO2) durcit
instantanément. Il peut être utilisi pour confectionner . Boiteà noyau
des noyaux. . Noyau fermée . Boite à noyau ouverte 127
)t",

1 ~Ü5~ éo"N-HcTIONDE
LAPARTI,~iNHRIEURE ~/Ü8.
.. - - LA PIÈCE
DICOCHAGEDE - -
1 -ID!M.8UJ.!. - -- -- - - - 0 lE DJ:COCHAGE
Placerla partie (1) du modèle sur un marbre. Placer le chassis Après solidification et refroidissement du métal, le moule
est placé sur une grille vibrante qui désagrègele sable et
(1). Tasserdu sabledans le chassis.
le noyau.
0 l'J:BARBAGE
La pièceest ensuitedébarrasséedesbavures,jetsde coulée,
évents et masselottes, puis nettoyée à la brosseou au jet de
---.--
sable. - --
909. FORMES~ARACT~RISTIQUES
-
D'UNEPIECEMOUL~E
-
La nervure augmente la rigidité de la pièce.
Le bossage,l'évidement et le chambrage limitent la grandeur
dessurfaces à usiner.

[J,,"J06 . Cm!F..E..CI.Loi.Oi.LA.P.A~Rij~~UP~RLEJ.lRE
Retourner le chassis(1). Compléter le modèle. Placerle.chas.
sis (2), les mandrins et les masselottes (*). Tasserdu sable
dans le chassis(2).
Mandrin d'évent Mandrindecoulée
Masselotte

Évidement Chambrage
--
(évidement)

[.010. C,:!ANGEMENT
D'~PAISSEU-I!:'-=-
Pour assurerun retrait uniforme, prévoir desépaisseursaussi
constantes que possible. Supprimer les massesde métal
aux raccordements.
Massesà éviter Solutions

L~IQ7. ~! BEMOULA'GE- -- -- 1/ / / /i / / / /1 f////A////J


Ouvrir le moule. Extraire le modèle. Creuser les passages.
Placer le noyau. Refermer le moule.

- --~ Masselotte
Trou d'évent

Éviter les changementsbrusques de section.


à éviter Solution
el
e2
(*) Masselotte :
Réserve de métal liquide destinée à céder du métal à la pièce

'\l't
-
pendant sa solidificatjon.

\
'X
1"
. Exem,ple:piècesà obtenir: n
'""54.'MOULAGE
EN CARAPACP
PROCÉDÉ CRONING Grappe de 4 roulettes en fonte.

--
i4I01-:PRINCIPE
-- nü--PRocfD~
- -- - -------
Le métal en fusion est coulé dans un moule constitué
de deux coquilles appelées carapaces ou masques.
-r
1 -54/02 -ÊX~C-UTIONDES-CARAPACES "
1. Fabriquer une plaque - modèle métallique en bronze - ,. - ~oncepti!n : mouliJ! j~ini hOfi~o!ii"!I-- --
en aluminium - en acier ou en fonte.
Trou decoulée
2. Chauffer la plaque-modèle à environ 220°C.
3. Versersur la plaque-modèlechauffée un mélangede grains
de silice (sable) et de résine thermodurcissable (indéfor-
mable à la chaleur après solidification).
Une partie de ce mélange fond au contact de la plaque-
modèle et forme ainsi en 15 secondes une carapace
de 5 mm environ.
Siliceet résine
r
Coupe montrant les détails du moule.
Noyau Joint collé Goujon

7
,YI ,!}

4. Retourner la plaque-modèle pour laisser tomber le mélan-


ge de sable et de résine qui n'a pas adhéré à la plaque-
modèle.

.
~
--r T-.
h"4~J~~~,~;h;Z~~~~:;;;,:,::i,~~";
5. Placer ensuite la plaque-modèle et la carapace dans une
étuve pendant 1 à 2 minutes à la température de 300°C.
La carapace devient alors très dure et rigide. La surface
,- Conce~tion: -moule- --
à joint--vertical

Vue intérieure du moule ouvert.


-

intérieure en contact avec la plaque-modèle est parfaite-


ment lisse, ce qui va donner à la pièce moulée un très bon
état de surface.
6. Les carapaces ainsi formées sont assemblées, éventuelle-
ment avec des noyaux et collées. Le moule est alors prêt
pour la coulée. Voir croquis ci-contre.
Les moules à joint vertical sont placés dans un chassis et
calés avec du sable ou de la grenaille de fonte.
7. Les pièces moulées sont décochées facilement en brisant
les carapaces. Trou decoulée
/ Remarque: Les moules à ioint vertical sont placés dans un chassis...
Les trous d'évent ne sont pas indispensables,les carapaces étant
perméables.

, ...14Lui':)'ViiTM1lSQU.pRQCEDE
CROil!~G~_-J
, Le procédé Croningpermetd'obtenir des pièces brutes avec
des tolérances dimensionnelles et de forme beaucoup plus
faibles qu'avec le moulage en sable traditionnel. Les frais
d'u,sin}igesont alors diminués.
Le/~ût de fabrication élevé de la plaque-modèle et le prix "-
non négligeable de la résine font que ce procédé n'est utilisé ,.
que pour mouler des pièces petites ou moyennes en grande
série.
129
Perspective de la chape fixe Canaldecoulée
~1i:O~;&'i(tS~'I;NU~~ ,RA;~ .' D' J
1;5. 'MIIJUtAO'E'
,,
EH,IO,"UliL~f.,
~,~,_. -
C55jOl.~~RIN~ ]
Lemétal fondu est coulé dans un moule métallique, soit par
gravité, soit sous pression.
Le moule métallique, après refroidissement du métal coulé,
s'ouvre pour permettre le démoulage de la pièce.

Goujon d'assemblage
5~j02. MOUJÀQ'&PA'R
SIAVITÉ deschapes
, ,l\IIOUJ.~GI~OU~ PRESSION

D Dans le moulage par gravité, le métal fondu est versé Remarques:


directement dans le moule par le canal de coulée. Afin d'éviter l'attaque du moule par le métal en fusion, les surfaces
en contact avec l'alliage coulé sont enduites d'un produit appelé
D Dans le moulage sous pression, le métal fondu est injecté «poteyage».
dans le moule au moyen d'une pompe qui exerce sur le Au début de la coulée, le moule est chauffé à environ 350°C.
métal des pressions très élevées. Le moulage sous pression
nécessite des presses très puissantes.
~/04 - MOULAGE
SOUS
PR..rsstON ~
55/03", L~MOUl~MiTALLI(lU~ (CQ(}!JlbbE!)
p();LJ;R!M'OULAG;JFi
PAR GRAVliifÉ D Le moulage sous pression est utilisé pour réaliser des
grandes séries de pièces. Il nécessite une machine com-
Composition d'un moule métallique: prenant une pompe à injection du métal fondu _Ldes
D.Deux ou trois parties assemblées (en fonte ou acier mi, éléments mobiles qui assurent le moulage et le démoulage
dur), positionnées par des goujons. des pièces.
D Un canal de coulée - des évents - des tirées d'air. D L'état de surface obtenu avec le moulage sous-pression
permet, dans de nombreux cas, d'utiliser les pièces mou-
D Desextracteurs pour l'éjection de la pièce.
lées sans usinage.
D Éventuellement,un ou plusieurs noyaux.

~ ~ Pompeà injection
du métalfondu
Extracteurou broche
dedémoulage Dispositifd'éjection

~OUL~oovdffl Orificederemplissage
du métalenfusion
IMOtULEQ:UMSlH 1 Piècedémoulée Piècedémoulée

~~
x
~~
M~UL~G'ED,ES ~04 '.MJ!Q!!.8q~f.A.B
t!38..Nj!Ë~T
...............
-~
MaTIERESPtASIIQUESCM.P.)
[f\ftlôr-lES_GROUR~§.DEMATIÉRES
EJLESM.P.THERMODURCISSABLES
P1.A§."fJ!l.UES
(THD) :
Les objets réalisésen M.P. thermodurcissables ne seramolis-
sent passous "action de la chaleur. Ils ont une bonne dureté
IJBI
~ Chambre Carot.te
detransfert Piston .

~ l
c"
~ê~!!!!!!!i!~e

~""':

i
superficielle et une bonne rigidité.

Exemples: objets en bakélite - formica- coquesde bateau-


carrosserie en polyester -carapace pour moule en fonderie
(voir procédé Croning) - agglomérant pour meule - P.R. V.
(plastique renforcé par des fibres de verre).
Canauxdechauffage
EJ LES M.P.THERMOPLASTIQUES(THP) :
A. Remplissage de la chambre de transfert.
Les objets obtenus en M.P. thermoplastiques se ramolissent B. Chauffage .et transfert de la M.P. de la chambre dans le
sous l'action de la chaleur. Ils sont plus ou moins souples. moule, sous l'action du piston.
C. Ouverture du moule. Ëjection de la pièce. Ëvacuation
Exemples'; joints - tuyaux -stylos -jouets - films -bouteilles - de la carotte fixée sur le piston.
isolants pour câbles électriques - objets en polystyrène ...

~MPUU\'GES DESM.P.- PRINCIP!


La matière première se présente sous la forme de poudre
--,
.-- ~MO l:I.111QE
RAn!1'NJECnUN l
---'
à mouler.
Canauxderefroidissement
0 MOULAGEDESM.P.THERMODURCISSABLES(THD):
La poudre à mouler est comprimée et chauffée dans un mou-
le. La M.P. passed'abord à l'état pâteux (plastique) puis dur-
cit ensuite sous l'action de la chaleur du moule. Deux pro-
cédés de moulage sont utilisés:
. Moulage parcompression - voir 56/03
. Moulage partransfert- voir 56/04

D MOULAGE DES M.P. THERMOPLASTIQUES (THP) :


La poudre à mouler est d'abord chauffée afin de la rendre Elémentschauffants
plastique; elle est ensuite injectée dans un moule froid. Le
refroidissement durcit la M.P. (contrairement aux M.P.THD). A. Réserve de poudre à mouler.
Deux procédésde moulage sont utilisés: B. La M,P. chauffée devient une pâte malléable (plastique).
. Moulage parinjection- voir 56/05 C. La M.P. est injectée dans le moule.
. Moulageparextrusion- voir 56/06 D. Le moule froid fige la pièce dans ses formes définitives.

-.,... - - ---
L.i~O3. MOULAGE!A_RCOMPRESSiON -- -::.J 1 ~1dt,O6 .,MOU-LAGEPAR EXTRUSION -
Pour produire des profilés, des tubes, des plaques, etc...
~
9 Système de
refroidissement
Réservedepoudre
à mouler

tmD~ ~

L§ecteur Élémentschauffants

A. Remplissage du moule de la quantité de poudre nécessaire A. Réservede poudre à mouler.


pour le moulage de la pièce. B. La M.P. chauffée devient une pâte malléable (plastique).
B. Pressage et chauffage de la M.P. C. La M.P.comprimée passeà travers une filière.
C. Ouverture du moule. Ëjection de la pièce. D. Le produit refroidi est figé dans ses formes définitives. 131
RI'ÈCES OBTENUES PAR i _57/03 - ÉI!4.V-U~A~ -- ---~ -: ~
-LirBAVURE
Sur chaque matrice, tout autour de la gravure de la pièce,
57. MATRiÇAGEESTAMPAGE ~ est ménagé un léger creux destiné à recevoir l'excédent de
matière appelé: bavure.
r ~7/q1- PRINCIPE
DUeROCÉDÉ Cette bavure nécessaire est ensuite cisaillée.

0 L'estampage ou le matriçage est un procédé de fabrication


Bavuredécoupé.e
qui consiste à obtenir une pièce métallique en obligeant
un lopin (préalablement chauffé pour le rendre pâteux)
à remplir des formes creusées dans deux matrices en acier.

0 Ces deux matrices sont appliquées l'une contre l'autre


plus ou moins rapidement avec un marteau-pilon ou Pièceébavurée
une presse.

0 L'empreinte creusée dans chaque matrice est appelée:


L57/04dBAUGHE AVANT MATRIÇ.AGE ----"1
«une gravure». Avant estampage de la pièce, on réalise une ébauche sur
une matrice à gravures multiples, ou manuellement sur
un pilon auto-compresseur.

-~
'57/02..-LES
MA;rRI,C~__-

Matricesupérieure
~::t::_:t::.::m::~
........ "

.::f!::::::::::::::::::::::/::::::::":::::ŒE!t:{:::::::,:.::::,::::;!:::\>::::::::::::
.::::tt:::r:: 0

1 -
57/05- CARACT~'RISTI
D'UNEPIEGEESTAMPÉE
nUES 1

0 Un lingot d'acier (résultat d'une coulée) n'est pas une


masse absolument compacte, ni homogène. Le laminage
~rice inférieure à chaud du lingot améliore la compacité de l'acier et
donne naissanceà des fibres qui provoquent une augmen-
tation considérable des caractéristiques mécaniques du
métal; l'estampage poursuit l'action bénéfique de pé-
trissage du métal, commencée par le laminage.

0 Pour obtenir le maximum de résistance d'une pièce es-


tampée usinée, il est souhaitable que la déformation de
la matière soit telle que les fibres épousent le contour
définitif de la pièce future.

57/06 -MACHINESA FORGER


Ces machines effectuent des opérations de refoulement
à chaud (simple ou en matrice).

D~ ..
...
... .. ...' '
, ,,
. .. . .. . ' D~ '
""
"
"""""""""""""""""

"

L:J~ L:J~ Bavure


.

~
APrè

132
~
0 Refoulement simple.
-
"

:
....'."'.

--
. APrèS

0 Refoulement en matrice.
:[
.......
......

~
PI'ÈCES 0 BTENUES PAR r--l8lDi iliAG-~_DlI!.EÇTCRÉU_X-
58. EXTRUSION : 1

1
,1
.-- .. 1
1

-58/01..PRIIVCIPEDJLPROCÉOf" ~

L'extrusion est un procédé de fabrication de pièces métal-


liques profilées par écoulement de métal sous des pressions
élevées.

~02i.L~LOPIN-rTSÔ..~J;~~ITEMENT
Lopin: Nom donné à la pièce débitée,
avant d'être extrudée.
Avant extrusion, le lopin subit un traitement de surface qui
a pour but de diminuer le frottement dans les outillages. Ce
traitement consiste à effectuer un décapage,une phospha-
tation et une lubrification dans un bain chaud de savon.
Filière
1_.~BlO3.FILAGE ARRIÈRE dit ((FILAGE'i'iiVERSE))
. 1
1
~oinçon "" 6 Sensde (1) Opération identique au filage direct, mais appliquée à des

Matn~
.
fÎl'
Il, , 1
U
(2)
déplacement
du poinçon ~r corps creux obtenus par filage inverse. Le métal s'écoule
au travers de la filière.
L°l!in 111 Sens d'écou- Ô
Il1 1

11111 FI
(11)
1
, lemant du
métal
U
(2)
L 58/06::.J!.VAN~AGES
0& L'EXTR(J~I()N --_J
1. Ëconomie de matière. voir exemple ci-dessous.
"""~I 2. Ëtat de surface excellent. Dimensions précises. Les pièces
sont souvent utilisées sans usinage sur machine-outil.
3. Les pièces extrudées sont généralement réalisées 5 à 20
fois plus rapidement que les pièces décolletées.
4. Le travail à froid améliore les caractéristiques mécaniques
du métal.

L'effort est exercé sur toute la surface du lopin. Le métal L58/07. EXEMBLE:CULOT DE BOUGIE
s'écoule en sens inverse de la marche du poinçon. Voir flèche Pièceextrudée
(1) et (2) ci-dessus.
Remarque:
C'est avecce procédéque sont fabriqués les tubes pour médicaments,
bombesaérosols,etc...

58/1}.4i'FILAGE AVA1\IT di~" «Fil~A~


~

';IIII 1

I l ' Pièce usinée dans la Pièce extrudée,


masse (décolletée) puis usinée
11[,
Ébaucheextrudée
!III Usinage

Filière
(2)
L'effort est exercé sur la couronne de la filière. Le métal
s'écoule au travers de la filière dans le même sens que le dé- Poids du lopin: 132 g Poids pièce extrudée: 43 g
placement du poinçon. Voir flèches (1) et (2). L'ensemble Poids pièce finie: 33 g Poids pièce finie: 33 g
de la matière ne traverse pas la filière. Perte : 99 g Perte : 10 g 133
TRAVAIL DESM~TAUX EN F~oOl~LES - - .59/05-::
OÜi!L 01!V~RT dit «PARISIEN»
L'outil «parisien)} est la réunion en un seul bloc de plusieurs
59. DBCDUPÀGÈ
. .LA PRESSE, outils de découpage destinés à la fabrication d'une pièce en
grande série, sur une presse.
L 5.9[01- PRlfiCIP,umD~COV.~AGE ~ - --
La pièce à réaliser est obtenue par cisaillement. Un poinçon
traverse la bande de tôle et découpe un flan qui tombe
à travers la matrice.
Tôle Poinçon

Q)

Dépouille3 % FlandécoypL Matrice

--'-~--
1 J.9/02 - bESBAVUFJES-,=_[u.!.la
banda--=-
~rJ!. flan
. AJOUR
Q)

B 7
Vue en perspective
des pièces 7 . 8 -9
. FLAN
Le diamètre de l'ajour est égal au diamètre du poinçon.
Le diamètre du flan est égal au diamètre de la matrice.
-.."'" -"'" --- -
~59/03 - L§ J~.!H~~E_DGCOtUUG.E...
-;--
Le jeu se répartit également sur toute la périphérie du
poinçon ou de la matrice.
Le jeu est fonction de l'épaisseur et de la nature du métal. 8
Acier A33 à A42 et Laiton: Jeu = 1/20e de l'épaisseur
Pièceà I!bJenir~ _1 B
Acier XC65 : Jeu = 1/15e de l'épaisseur
Aluminium : Jeu = 1/10e de l'épaisseur Le trou A, appelé ajour est obtenu
avec le poinçon (4) et la matrice (8).
Le détourage (B) du flan est obtenu
_5!!{01-EFtOR'TDEDiCOUI!,AGE avec le poinçon (5) et la matrice (8).

F = P x e x Rg A
4
daN
4 ~ ~
mm mm daN/mm2
Nomenclature -- -
F = Effort nécessaireau découpage 1. Plaqueporte-nez du coulisseau de la presse.
P = Périmètre à découper 2. Plaque de choc ou plaque d'appui (tôle bleue)
e = Épaisseurde la tôle Cette pièce,en tôle d'acier fondu bleuie (très dure) reçoit le choc
des poinçons au moment du découpage. Sans cette plaque, les
Rg= Résistanceà la rupture au cisaillement (par glissement) poinçons trempés pénètreraieAt dans la plaque porte-nez et
Remarque: prendraient rapidement du jeu.
La résistance à la rupture au cisaillement (Rg),pour les métaux fibreux, 3. Plaque porte-poinçon.
est sensiblement égale à la moitié de la résistance à la rupture par 4. Poinçon d'ajour.
traction' (R 1.
5. Poinçon de détourage.
~ Exemples de résistance à la rupture par traction de 6. Contreplaque.
quelques métaux:
7. Guide bande gauche et guide bande droite.
Métaux R 8. Matrice.
Acier A34
9. Butée d'avancement ou engrenage.
33 à 41 daN/mm2
Acier CC10
10. Goupilles et vis de fixation.
34 à 44 daN/mm2
Aluminium 7 à 15 daN/mm2 - - --
134 Laiton 32 à 38 daN/mm2 'MAnRiAUX ÜT1Ll~~S
~Voir59/.12

SI.
59/063"OUTIU.BIlOISdit, «OU'f:[1!.
SUlSS~')~ ~
Un outil bloc dit «outil suisse» permet d'obtenir, dans le flan, 1. Bâti supérieur
et en 'même temps que le découpage (détourage) de celui-ci, 2. Plaque de choc ou plaque d'appui (tôle bleue)
les poinçonnages et ajourages de la pièce. 3. Porte-poinçon d'ajourage
Les différents éléments de l'outil sont montés sur un bloc 4. Matrice de détourage
à colonnes. 5. Poinçon d'ajourage
6. Fond de matrice OUIéjecteur
1 0 Ulll PERM~ 7. Ressorts ou rondelles caoutchouc
. Le détourage (B) du flan est obtenu avec le poinçon (8) 8. Poinçon de détourage - matrice d'ajourage
et la matrice de détourage (4). 9. Bâti inférieur
. Le poinçonnage du trou (A) est obtenu avec le poinçon (5) 10. Goupilles et vis d'assemblage
et la matrice d'ajourage (8). 11. Dévêtisseur de bande - guidé ou non par les colonnes
10 1 2 3 12. Colonnes de pression ou ressorts agissant directement
sur le dévêtisseur de bande (11)
4 13. Appareil à ressorts situé dans la presse
14. Butée de pas - engrenage
15. Guide-bande
Non figurées sur le dessin: 2 ou 4 colonnes de guidage du
bâti supérieur (1) et du dévêtisseur de bande (11).

159/07 - RESSORTS
Pour assurer l'éjection des flans et le dévêtissement de la
bande, des éléments élastiques agissent sur le fond de matrice
(6) et le dévêtisseur de bande (11).

8 Des vis limitent l'action de ces éléments élastiques.

JL
~
13

IOUTILOUVE'W

. Labandeest dévêtie(*) par le dévêtisseur (11).


. La pièce est éjectée par le fond de matrice (6). Ressort hélicoidal ou Ressort en
10 2 .L rondelles Belleville matière plastique

4 r-59i08
-Gm,~AGE OIiS~BJ,\TISS_UR
COlO~~

5 Les colonnes se font en acier 16NC6 cémenté, trempé et


rectifié.

6 Ci-dessous 2 montages courants.

/~
14

~ 11

~
---~

.~~12

13

(*) Dévêtir: Le guidage des colonnes dans le bâti supérieur (1) peut éga-
Soulever la bande pour la dégager du poinçon. Iement être assuré par des dou illes star (voir chapitre 22/11) .135
ç'

59/mi. BUTEES
DEPAS. ENtiRENAGE -
~9/12 MATERIAUXUTIliSeS
Les butées d'avancement ou engrenage doivent s'effacer au Blocs-semelles Fonte Ft25 - Acier XC42
moment du découpage du flan. Ellesfonctionnent générale- Poinçons-matrices XC65 à XC100
ment à l'aide de ressorts. 30NC11 - 35 NCD 16
Kalem 1et2 (alliages de Zn)
Plaques de choc - Serre-flan XC65
Colonnes - goupilles- 16 NC 5
Pilotes - petites chandelles Acier Stubs (100 C2).
et goupilles - petits poin-
çons.

59/13 . MISESEN BANDE


La disposition des flans dans la bande peut être: directe,
59710:-9U1DJ]t\-ND~- inclinée ou entrelacée. La disposition choisie doit être celle
La bande est guidée latéralement, soit dans une rainure, qui assure le moins de perte de métal.
soit par 4 pilotes.
. Dans une rainure . Par4 pilotes . Dispositiondirecte
""""""""

"
", '" , "
", '
~~~~""""""""""""""""""'

rJ~~
c) ::;

. Dispositioninclinée

9 N
...J

-- -- - - . Dispositionentrelacée Pas
~9fJ1..:B'=.0CSA CDLONNE~
Il existe des bâtis de formes et de dimensions diverses stan-
M
dardisés, sur lesquels sont montés les différents éléments de ...J
l'outil. Ci-dessous, quelques exemples, vus par dessus.
1- 2-

59/14 - DR~G~Q.UlS. PILOTES

, Les flans détourés sont souvent ensuite repris pour être


cambrés ou emboutis. Voir pages suivantes.
$- Les flans sont alors mis en position sur les outils de cambrage
ou d'emboutissage, par des drageoirs ou des pilotes.
3- 4-

5- 6-
. Drageoir:
Entaille pratiquée
dans la partie in-
férieure d'un outil. ~
. Pilotes: Lorsque le flan est poinçonné, le drageoir est
remplacé par des pilotes au diamètre des poinçonnages.

Pilote Flan
~-- -~~
l ,
,-@-~
1
-$~ Dégagement

'$-
, ' -~
136

~
AVANT CAMBRAGE
l 1

TRAVAIL DESMÉTAUXEN FEUILLES


1

60. LECAMBRAGE
A LA PRESSE /~-~~

""'---- PIÈC~CAMBRÉE.PIÈCEDÉVELOPPABL~
6.0/01 -~ -
La pièce à réaliser est obtenue à partir d'une tôle plane qui
ne subit comme déformation que des pliages, appelés cam-
brages. .
La pièce réalisée est alors développable, c'est-à-dire qu'il doit
être possible, théoriquement, de lui faire reprendre sa forme
et ses dimensions initiales.

1"

d-' c ~ --;- ~ ~,
:..:-. ~ /_~- APRÈS CAMBRAGE

. Flanavantcambrage . Piècecambrée

--" --CALCUL DELA LONGUEURDEVELOPPÉE


60/02

Si e ,,:;;;2 mm Si e > 2 mm
1

« «

B
4

R2=(R+é/3)
B
60/04 ---
- - CAMBRAGEEN U

AVANT CAMBRAGE
La longueur développéede La longueur développéede
la partie cambréeest la lon- la partie cambréeest la lon-
gueur de la fibre moyenne. gueur de la fibre située au
Longueur de l'arc (2;3) 1/3 de l'épaisseur,vers l'in-
térieur de la courbe
2A
L1= '1T'"(R + e/2 ) 12 =1\ (R+e/3)
2 2

- - --
-
60/03 - CAMBRAGEENÉQUERRE - --- -
-- - - -
.

N°l!!en~é!ture:
1. Poinçon
2. Matrice APRÈS CAMBRAGE
3. Bloc-talon:
destiné à s'opposer à la poussée latérale supportée par le poinçon
au moment de la déformation du flan. ~.~..~
4. Semelle:
Ëlémenttrès rigidesur lequelsont assemblésla matrice et le bloc-
talon. fÂ-
5. Fond de l'I1atrice :
-son rôle est primordial, il maintient très fortement le flan contre
le poinçon pendant le cambrage de la tôle. Des ressorts (7) agissant
sur les chandelles (6) provoquent cet action sur le flan.
-
le fond de matrice éjecte la pièce à la remontée du poinçon.
6'. Chandelle: il peut y en avoir plusieurs. 4
7. Appareil à ressort situé dans la presse

Le mandrin gauche (2A) s'oppose aux efforts de pliage de


l'aile droite. Le mandrin droit (2B) s'oppose aux efforts de
~ --ItQ'nRfKu')(UTILISÉS : Voir 59/12 pliage de l'aile gauche, Ces poussées latérales s'équilibrent'137
~

"---- ~
!i,,: 1,: Fig.1
2
La matrice (2) pescend.,Le
,~- "'~ flan se trouve pincé entte
lamatrice et leserre-flan (5).
l!!!!!!.: !IÈ,CE EMBOU:rIE.-N,~~U!ÉVELOPPABLE k!~~,:
L'emboutissage permet d'obtenir un volume à partir d'une
tôle plane appelée: flan. La matrice (2) et le serre-,
flan (5) descendent.
Cette opération provoque dans la matière des déplacements
moléculaires définitifs. Le volume obtenu ne peut reprendre Pendant l'emboutissage, la
sa forme et ses dimensions initiales. Une pièce emboutie matière est laminée entre
les surfaces A et B.
n'est donc pas développable.
La pression exercée par le
Fi9.l Fig.2 .-=== ,serre-flan sur le flan d.oit
-- ' , ,'" ~ être suffisante pour empê-
Ih,I":'
" -' "-

, -
$, , , " ,

~j'[' ' "1


cher la formation de plis
dans la zone C.
Si lapression esttropélevée,
. Flan avant emboutissage . Pièceemboutie
le flan glisse difficilement
et il y a risque de déchire-
-
61)/02 O'fiIiJRNlATHiJNAU COURS ment de la tôle.
OE l'EivÜmuÎilsSAGE Fig.3
~: --- ;
- ~ Fig.l La matrice arrive dans sa
Fig.2
Poinçon Matrice dl position basse. La pièce est
emboutie.
Plis
La matrice remonte.
- le fond de la matrice (3)
éjecte la pièce de la ma-
trice (2).
- le serre-flan (5) en re-
montant, éjecte la pièce
dû poinçon (4).
Lorsque le poinçon pénètre dans la matrice (fig.2), le dia-
mètre du flan diminue (d1 < D) ; il s'en suit une augmenta- Remarque: 1
tion de l'épaisseur (e1 > e) et sur le pourtour, la formation Pour faciliter le glissement, et éviter la rupture de la tôle, il est né-
de plis. cessaire de graisser les flans avant l'emboutissage.

Pendant l'emboutissage, il se produit un laminage entre les 6MO4 - EMBOUTISSAGE PROF0t\1:D


surfaces A et B qui ramène la tôle à son épaisseur primitive.
Il n'est pas possible de réa- 1epasse 2epasse
liser en une seule opération
61/03.. OU1:U. A SERRE"HANPLAT un embouti profond. Il est Piècefinie
alors nécessaire d'effectuer
OUTIL OUVERT 9 plusieurs passes intermédi-
aires.
Entre ces passes, la pièce
est recuite, afin d'éliminer
les tensions internes pro-
2
JJ duites par l'emboutissage
précédent.

3
Flan Cet outil est utilisé lorsque la profondeur de l'embouti est
faible par rapport au diamètre du flan. Dans ce cas, il n'y a
aucun risque de formation de plis.
7 Poinçon
1 Matrice
'\
Q
8
r I\IQmenclat~re
1. Semelle supérieure
J 5.
6.
Serre-flan
Semelle inférieure
2. Matrice 7. Chandelles L'évacuation de la pièce emboutie se fait par le bas. Après
3. Fond de matrice ou 8. Appareil à ressort emboutissage, la pièce se détend légèrement et à la remontée
décolleur situé dans la presse du poinçon, elle vient buter contre l'arête (A) ,sous la matrice.
4. Poinçon 9. Tige d'éjection La pièce est alors éjectée du poinçon.

~
PIÈCESOBTENUES
PAR

62 - FRITTAGE
62/01 - PRINCIPEDUFRITTAGE,
-. -- -
Le frittage permet d'obtenir une pièce à partir d'une
poudre métallique comprimée et chauffée au-dessous
de sa température de fusion. .

La réalisation d'une pièce frittée s'effectue en deux


phases.
1. La phase de compression: la poudre ou le mélange
de poudres est comprimé à la presse.
2. La phase du frittage: le produit comprimé obtenu
est ensuite chauffé dans un four sous vide à une
température inférieure à la température de fusion
de l'élément principal composant la poudre.

Poinçon Moule
Produit
comprimé

Porosité
Poinçon plus grande

62/02: REMAROUES

1. Les pièces frittées ont des caractéristiques méca-


niques faibles. Pour augmenter leurs qualités, on
peut effectuer un calibrage à froid.
2. Les pièces frittées peuvent subir des traitements
thermiques ou des traitements de surface.

62/03- INCONVÉNIENTS
DU FRITTAGE J

1. Les pièces frittées sont poreuses. Leur masse volu-


métrique varie de 70 à 90 % de la masse volu-
mique du métal de base. On remédie à cet inconvé-
nient en infiltrant dans les pores des pièces frittées,
du métal dont la température de fusion est infé-
rieure à celle du frittage.
2. Dans la partie médiane de la pièce, la porosité est
plus grande, les caractéristiques mécaniques sont
donc plus faibles.

62/04- AVANTAGES
DU FRITTAGE

1. Pour les pièces complexes, précises, utilisées à


l'état brut et fabriquées en grandes séries, le prix
de revient est faible.
2. La porosité du bronze fritté permet la fabrication
de coussinets autolubrifiants.
Voir chapitre 19/03. 139
- ------------
[ &X6flCICEDECONTRÔLE
N° 1 - JOINTwTQURNANT
PNEUMAtlOUE
Échelle1
,9-

--- --
7

6
~CHÊ~A
DE~R~~I!~___-

00",,=100
- ~!
An""" d,l'",
C:fixe
';
Ll!rJ 0
R : rotation IIf
utilisation
r
-

I-
14
5

1...

13
2

14

--~

1 1
/ , ;

2 plats i45 surplats

CHAÎNEDECOTES
14 1 Carter inférieur XC 38
0 Établir les chaînes de cotes relatives
aux conditions (a) et (b). Retrouver les 13 1 Carter supérieur Cu Sn 10Zn 1
repèressur la vue d'ensemble.
12 1 Rondelle .MQ
11 1 Bague Cu Sn 9 P
10 1 Raccord XC 38
9 1 Joint Métallo-caoutchouc
8 1 Joint à lèvres en U Caoutchouc
7 1 Graisseur hydraulic droit Série standard

6 1 Vis HC-M4 à téton court


f-- J--
5 1 Anneau « Truarc E»
4 1 Roulement à billes SKF N° 6.000

~-' 3 1 Rotor XÇA8.


2 1 Joint Métallo-caoutchouc
---
1 1 Pièce de raccord Mi>
Rep Nb Désignation Matière
"1
QUESTIONNAIRE DESSIN - COTATION

@ Compléter au crayon, à main levée:


ÉTANCHÉITÉ
la vue de face 1/2 vue - 1/2 coupe A-A du rotor
(3) et:
la vue de face 1/2 vue - 1/2 coupe B-B du carter
. Elleest assuréepar:
. 1re solution: joint (2) entre (1) et (3).
inférieur (14).

CD . Inscrire les cotes tolérancéesdes diamètres


. 2esOI~tion:joint (8) entre (3) et (13).
. 3esolution: joint (9) entre (10) et(13). des portées au roulement (4).
. 4esolution: chicane entre (14) et (3). . Inscrire la cote du filetage recevant la pièce (1) ;
filetage métrique ca diamètre 24.
CDEn répondant uniquement par: 1re solution ou 2e... ; @ Placer le signe de rugosité (Ra = 0,1) sur la sur-
laquelle de ces solutions assure: face en contact avec le joint (2).
0 une étanchéité statique indirecte: .. .. .. .. .. .. ..
0 une étanchéité dynamique indirecte: . .. .. .. .. . ..
0 une étanchéité statique directe: ............... 1 1

0 une étanchéité dynamique directe: ............. A-A


i 1

1 1

FORME REPÉRÉE(T)
i 1

1 1
Voirvue d'ensemble.

0 Quelle est la fonction de la forme (n repérée? ! 1

0 ......................................... 1 1
. ........................................
. ! 1

1 1

AJUSTEMENTS r- 1

1 1
1
<D Sur la vue d'ensemble sont repérés deux ajuste-
ments (A) et (8) concernant le montage du roule-
ment. Étudier le schéma de principe et préciser
ensuite si ces ajustements sont avec jeu ou avec
serrage. Indiquer la raison de ce choix. Af- tt--lA
0 Ajustement (A) 0 10: jeu - serrage (*)
Raison: ,

.
""""""""""""""""
B-B
0 Ajustement (B) 025: jeu - serrage (*)
Raison: ..................................
.
...........
~...

[
(*) : Rayerla mention inutile. "'"
J!!"Q.
"0)
"'CD
:I:"'C

USINAGES PARTICULIERS
<9 Quelest lerôlede l'usinagecorrespondant:
0 à « 45 surplats » : ...........................
.
0 à « 54 surplats » : .. .. ... . .. .. .. .. .. .. .. .. . .. Br -TB
. r

CHAINES DECOTES

@ Voirpage précédente. 141


1
[ 2 A . B_UTÉ~
EXERCICEDE CONTB.OLEN<~ MICROM~TRIQUE
COTATION FONCTIONNELLE 11
Échelle 1 : 1,25
1

@) Établir la chaîne de cotes relative à la con-


dition (jeu J) et reporter ensuite les cotes A-A
fonctionnelles obtenues sur le dessin de
chacune des pièces.

~- ~
7
Z
1
Table de la machine

2 ~ B-B
2

.l..
12
7

-_u 1..

CALCULS
DECOTES
@ Calculs à effectuer en utilisant la chaîne
de cotes établie ci-dessus. lA-
Sachant que les cotes relatives aux diffé-
rentes pièces sont:
0
/1) .. 33 + 0,20
0 (7) : 4,5 - 0,15
/2) : 27 5 0
, - 0,10
4
0 Calculer le jeu max et le jeu min
. Détail C
.
. 5
.
O"""""""""""""""" .
o . 6
.
o .
.
142 o .
SIGNE D'ÉTAT DE SURFACE
L- OUESTIONNI~IRE
-. "" -,--- --J
~TUDEDELA BUT~EMICROM~TRIQUE

0 Comment est assurée la mise en position de la


butée sur la table de la machine?
0 .........................................
0 Le réglage de cette butée s'effectue en tournant le
tambour (5). Quel est alors le mouvement du four-
reau (2) ?
0 , ..............

<1>En déduire l'ajustement entre (1) et (2) ? @ Sur la surfacede l'alésagedu corps (1) est portée
l'indication de l'état de surface.
0 ......................................... Donner la spécification de chaque terme?

0 Quel est le rôle de la clavette (7) dans le système


0 Ra 1,6: ,.......................
de transformation de mouvement? 0 to . ,..................
0 ,......... 0 FG .

@ Quel est le rôle du trou (T) percé dans la partie


LIAISON VIS - TAMBOUR
droite du corps (1) ?
0 .........................................
3
, ,.....
.
, . 4
@ Quelle est la fonction de la vis (8) et de la pastille
de plomb (9) ?
0 .........................................
5
ev Pour quelleraisonle corps (1) possède-t-il un bos-
sage non utilisé?
0 .........................................
. 6
.
"' , .
@ L'étude de la liaison entre le tambour (5) et la vis
@Comment le système permettant la liaison
s'appelle (3) nous montre que le trou (A) dans le tambour
complète et réglable entre le corps (1) et le fourreau est taraudé (voir dessin ci-dessus). Si ce trou était
(2)7 lisse, quelle conséquence fonctionnelle en résul-
0 ......................................... terait-il ?
0 ,..................
0 Un usinage permet au corps (1) de pouvoir se .
déformer légèrement pour assurer la liaison définie
ci-dessus. Sur quelle machine et avec quel outil .
est effectué cet usinage?
0 ................ @ Quel est le rôle de la fente exécutée à l'extrémité
. de la vis (3) - voir dessind'ensemble?
0 .........................................
@ Sachant que M 16X2 désigne le filetage de la partie .
de la vis qui reçoit le fourreau (2), combien de gra-
duations faudra-t-il graver sur le tambour (5) pour ....
que chaque graduation corresponde à une transla-
tion du fourreau de 0,05 mm ? @ Quel est le rôle de l'écrou (6) dans la liaison (5/3) ?
0 , : 0 .........................................
.
, .
@ Quel type de clé spéciale est utilisée pour bloquer
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . J'écrou (6) ?
. 0 .l43
CONTRÔLE-N° 2 B BUTÉEM.ICROMÉTAIQUE
1~~~EX&RêICE"'<DE .
Fonte: FGL 200 Échelle 1 : 1,25

r=
(Q)/ ,01 A
'" Il 0,25 C
00
+ "<t

~-~ ! ~I-_~
0
"<t I M

ci
+/
<:T
Ln <:T
c::i
+/
0
M

(; [TI
8f7 [22] 0,5
0
40.:1::01-
Tolérances générales
M8 27 B-B
dimensionnelles: js - Js 14

États de surfaces: Ra ~:~


partout excepté: Ra 1,6
Surfaces brutes: Ra 12,5

C'>
M

"<t
00

-v
-;r- 0
N
<:T

'"
0'0
+
"<t

NOMENCLATURE
DESPHASES
100 Contrôledu brut
500 PERÇAGE 5102trous 0 10,5- Lamage0 15
200 FRAISAGE Surfaced'appui(c) 520Trou0 9 - Lamage0 15
530TaraudageM8
Tenon- Largeur8 f 7 540Trou 0 10débouchant
300 TOURNAGE 0 32H 7 550TaraudageM5
plussurfacesassociées
400 FRAISAGE Fente- Largeur4 : Rayon60 600 MORTAISAGE Rainure- Largeur6 Js 9
144
QUESTIONNAIRE
Étudiez le dessin de définition -
page précédente - du corps
(1) de la butée micrométrique.
1 - Identifiez ensuite dans le tableau, les surfaces repérées sur
le dessin simplifié ci-dessous. .
2 - Recherchez sur le dessin de définition les tolérances de
Exemples de « Nature géométrique» : forme, d'orientation et de position que vous reporterez dans
Droite -
- plan cylindre - cône - sphère... les cases du tableau. Placez flèches et pieds noircis pour
Remarque: Le repérage de l'une des surfaces laté- distinguer les éléments tolérancés et les éléments de réfé-
rales associées d'une forme (fente - rainure - lan- rence.
guette ou tenon) concerne également sa symétrie. 3 - Complétez la colonne « Exigences dimensionnelles ».

IDENTIFICATION DES SURFACES


TOLÉRANCES EXIGENCES
Nature Dimension État de GÉOMÉTRIQUES DIMENSIONNELLES
Rep. géométrique tolérancée surface

A -
H ---
r- L.-
B -
-- 1--- 1--- - -- .--
L... r-'--
-- --
C 1--
-..-- - --
1--- -- -- f---
- - '--
D
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T -
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F
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-L
G
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H 1--
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J
T
1.'-E~,~Ftml;c~",[j!~.ÉONTHÔI.~ ,ft,~, Ç'YUNfD!R&
iROTAlll"I'N:e;ÛiVIiTI:OUEI'
Échelle 1 : 1,5 " 13 14 15 2 5 6 7

il 1
A-A 12
~l"ll ~ 1

18 19 17 j~1

Ji
(1
16
[Arrivées d'air]
comprimé (10 bars)
I/S
~ J

Tige de liaison

l SCflÉlIlIê B'~;rILlS4"fiijNÈJ O'lNSTAbLAillQN 1


L~~al1dr~_-
Broche du tour (20)

Clapet de retenue
6
1
Mano-détendeur et huileur Vanne 11-------

CYLINDRE ROTATIF
~. 7
~--

......
.<::
"-
00
:x:
Distributeur Mandrin 0
N
20 'Q

a )il' 40 H8/h1

Le dessin d'ensemble représente un CYLINDRE ROTA- 19 1 Arbre


TIF PNEUMATIQUE destiné à être monté à l'arrière 18 2 Roulement à billes
de la broche (tournante) d'un tour semi-automatique 17 1 Corps de distributeur A S13
ou d'un tour parallèle équipé pour le travail en série; 16 4 Frein d'écrou, en tôle, à bord relevé.
cet appareil permet de commander le serrage et le 15 1 Joint du piston caout.
desserrage des mors du mandrin. 14 1 Joint plat Nylon
13 8 Vis CHC M6-20
LDSCRf'eTIONE]Foi~~ J 12
11
1
4
Couvercle A S13
. Le cylindre rotatif est composé d'un corps (1) en Vis H M5-18
10 1 Couronne du piston A50
alliage léger monté sur la broche du tour à l'aide d'une
9 1 Joint torique
liaison définie sur la coupe B-B.
8 1 Joint torique
. Une tige de liaison vissée à l'extrémité de la tige
7 1 Vis CHC M10-45
de piston (4) commande, par l'intermédiaire de rampes
6 2 Tampon tangent
inclinées le serrage et le desserrage des mors du man-
drin. 5 ...,1 Joint torique
4 1 Tige du piston XC 48
1. SERRAGE : l'air comprimé (10 bars) arrive par
3 1 Écrou E30
l'orifice (B). Le piston se déplace vers la gauche (posi-
2 1 Piston A S13
tion du dessin). Le circuit de l'air comprimé est fléché.
1 1 Corps de cylindre A S13
2. DESSERRAGE: suppression de la pression en (B),
l'air comprimé arrive par l'orifice (A). Le circuit de l'air
Rep Nbr Désignation Matière
146est coloré.
r~
1

'. ., -, _." .. -. ,..",', ---,

ÈXE RCICE DE CONTRÔLE tN° 4' - R,ENYOI D'ANGLE A Y'EC tJM:IJ ATEUR DECOUP-LE
.
[ ~ - ,." .'-. y-~.=~-_.~~ ~ )

Échelle 1,25 : 1
16 18 ,l§.. 19 1Q.. 2

23

22

25

24

21

12

10

27 28 17 13

PIGNON (12) ROUE (15) 11


Un volant est monté
16 dents - Modu le 1,25 48 dents - Module 1,25 sur l'arbre (9) 5
CHAÎNES DE COTES B-B

23
@ Établir les chaînes de cotes relatives aux condi-
tions (a) et (b) et reporter les cotes fonctionnnelles
obtenues sur le dessin de chacune des pièces.

12 9

20
2

10
13

5
'\\
@)Comment peut-on faire varier la valeur limite du
QUESTIONNAIRE couple à transmettre?
0 "'00" ~... o... 0 0
LESLIAISONS
,. ,.. ... .. ......
<D Définir les liaisons cinématiques suivantes (entourer
les caractéristiques qui conviennent). @ Quelle caractéristique importante doit avoir la
garniture (19) ? choix du matériau?
D Liaison (1 - 2) : La liaison est 0 "'0"""

"0'" ......
complète (c) rigide (r! démontable (dé)
ou ou ou
non démontable (dé)
@ La garniture (19) doit être collée sur le disque (20) ,
partielle (ê) élastique fi') ou sur la roue conique (15). Quel choix feriez-vous
et pourquoi?
D Liaison (9- 12) : La liaison est
0 ....
complète (c) rigide (r) démontable (dé) ...
ou ou ou
partielle (C) élastique fi') non démontable (dé) @ En marche normale, quelle est la suite des liaisons
en rotation entre (15) et (6) ?
DÉSIGNATIONS

CD Donner la désignation normalisée des éléments @-O----- ...{D


repérés ci-dessous:

ÉTUDEDEL'ENGRENAGE
CONIOUE
Rép. Caractéristiques Désignations

24 0 nominal: 8 1 ........................ @ Connaissant les caractéristiques du pignon (12) et


t-- de la roue (15), calculer la raison de cet engrenage?
0 nominal: 4 .................... 0 ,. ................
26 ....
longueur: 16
@ Sachant que le pas du filet trapézoïdal de la vis (6)
27
0 nominal: 6 ........ est de 3 mm, combien l'axe (9) doit-il faire de tours
longueur: 35 .............. pour obtenir un déplacement en translation de
12 mm de l'écrou (non représenté) monté sur la vis
FONCTIONS (6) ?
0 """"""'0"""""""""'"
@ La pièce repérée (17) est-elle un roulement à billes
ou une butée à billes? Quelle est la fonction de ......
cette pièce?
0 ,...
, ,....
TOLÉRANCES

, . @ Entre la bague (18) et la roue (15), l'ajustement


choisi est: 12 H7/m6.
@ Que désigne le repère (11) ?
0 ... 0 ' .... + 0 018
12 H1 12mB +0:001'
(]) Qu~lIe est la fonction de la pièce (14) ? ! + ~,018 1 [ !

0 .................
Calculer le jeu max et le serrage max de cet ajuste-
ment.
ÉTUDEDU LIMITEUR DE COUPLE

@ Quels sont les éléments qui lient en rotation les 0 Jeumax = - .......
pièces (6) et (20) ? 0 serragerilax = = ......
0 o ....................................
CD La liaison en rotation entre (6) et (15) est-elle obte- @ La zone de tolérance H7 pour l'alésage étant repré-
nue par obstacle ou par adhérence? sentée, dessiner la zone de tolérance de l'arbre.

0 ... ... .....................


@ Quels sont les éléments qui créent la force pres-
sante nécessaire? . "
0 .........................................
ev En COurs de fonctionnement, que se passe-t-il si
~JL~ 1 ~ 11-

l'arbre (6) se trouve accidentellement bloqué?


0 ................
.... @ CHAINESDECOTES- voir page précédente.
~ "
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(JI
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1 9. - 1 9 . 1 9. -- 1 9. ANNÉE SCOLAIRE ê!
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No DESSIN

- 1 Les contraintes
,
.' 2 Cotes tolérancées
-
r'+
- 3 Les "'"

4 Visd'assemblage

- ' 5 Boulons c..


CD.

6 Goujons
3 c:
- 0 CI)
1
;:, ëij'
r+ 0
- 7 Vis de pression CI);:,
2:",
CD
-
8 Écrous et rondelles plates '"

- 9 Freinage des vis et écrous

- 10 Goupillage' c......
CD.-.
3 . :1:1
11 Rivetage 0 '"
;:, 0
r+ ;:,
'" m
- collage
12 Soudure CI)
C";:,
-0 -a
13 Emmanchementforcé ;:, m
- 14 Liaison pivot glissant :1:1
15 Liaisonglissièrehélicoidale
....
-

- 16 Liaison pivot - caractères -


Q
:1:1
17 Paliers -classification
- 1

'C ....
m
- 18 Palier fluide
<'
0 ëi)
r+ -,
19 Coussinets 0'"
- ;:, CI
- 20 Roulements
m
~
:l1li . .' . . .1 .,... .... ..:iI! L _..11 L_Proect,=-nou'ements CD , ."'"
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1
i - 22 Lian
s glissière.caractères
-. ...... J> ..

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-
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,A
Clawetage libre -,
en
('D,Q
-.
c;;' Cii"
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24
;;;::1
C
-
1

25
Usipagedes rainures clavetées
Liaison rotu le c:
-en
" -CDr-
-
-
1 26
27
28
Liaison encastrement. caractères
Clavetage forcé
;;;
3
Cij'
1» c;;'
-g: ':' ;: -
....
Q
-
29'" Liaisonélastique 2
-
1
30 Positionnement centrage en
-
31 Graissage

32 Ëtanchéité
-
33 Poulies et courroies g. ::;1
- 30 II>
34 Roues et chaines
- c< -,
3
35 Roues de friction CD en
- 3CD 0 ,
-
36 Engrenages ::1::1
r+ en

-
37 Mécanismes divers
Q.J"
(')
. CD II>
38 Boites de vitesses
-.
<CÈ
CD
-
39 Réducteurs S 3 CD
- CD r+
::1
40 Variateurs en

41 Accouplements

42 Embrayages
- 1\'1

43 Freins
44 Système vis. écrou 3 -4
g DI
, 45 Cames ('D-a
< ,
- 3"
CD CI.
46 Système bielle - manivelle ::1
r+
CD
-
1
47 Schémas de circuits CD-4
- -ii!
- 1 48 Vérins "C::I
::1
CD'
en

49 Distributeurs e=-
3<
- -...
1» CI.
-'1»
50 Pompes .I:Ie
e.
CD
en
-
51 Compresseurs

No D ESS 1 N
1 1 Il 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

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