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A) Assemblage
1. Quels sont les moyens d’assemblage utilisés actuellement dans les constructions
métalliques ?
Les moyens d’assemblages utilisés actuellement dans la construction métallique sont : la soudure, le
boulonnage, le rivetage
La colle n’est plus utilisée à cause de son coût élevé, du manque de règlementation ainsi que des
risques de fluage et de dépolymérisation à long terme. Quant aux rivets, ils alourdissent la structure
et le coût du procédé est élevé. Ajoutons à cela la nécessité d’une main d’œuvre importante (au
moins 3 personnes) et spécialisée
Le nombre de boulons par fil est limité entre 5 et 6 pour tenir compte de l’hypothese de l’égale
répartition des efforts sur chaque boulons. En effet si loe nombre devient grand, seuls les boulons
aux extremités sont sollicités tandis que ceux du milieu sont faiblement sollicitésinégale
répartition des efforts.
On limite la longueur du cordon pour limiter les contraintes résiduelles.En effet ces contraintes
augmentent avec kla longueur du cordon.De plus le coût évolue avec la longueursoucis
d’économie.Enfin risque de déviation de la resultante des efforts par rapport au centre de gravite du
cordon ce qui fausse les hypotheses de calcul.
T.I.G tungstene inerte gaz est un procedé de soudage à l’arc électrique qui utilise qui utilise une
électrode en tungstène et un gaz inerte qui empêche l’oxydation du cordon.
Quelles sont les dispositions à prendre lors de l’exécution d’un cordon de soudure ?
Il faut choisir un acier soudable, reduire les soudures en position incommodes, le plus possible en
atelier ou sous abris
Eviter les accumulations de soudure surtout les croisements des cordons (risque d’avoir des états
triaxiaux de traction)
4. Comment est contrôlée la qualité d’un cordon ? Préciser quelles sont les causes qui la
diminuent.
Le temps froid+airtrempe
Parce qu’ils sont peu économiques du fait qu’ils sont plus adaptés aux assemblages qui transmettent
des moments ;Dans le cas de transmission d’effort tranchant uniquement on leur préfèrera des BO.
6. Comment choisit-on un moyen d’assemblage pour réaliser les nœuds dans une charpente
métallique ? Cas d’un portique de portée 20m et de hauteur 8 m avec des nœuds A,B et C.
- Proposer des solutions, fournir des schémas descriptifs et justifier votre choix.
7. Proposer des solutions et justifier votre choix pour concevoir :
a) Un aboutement s’une poutre fléchie
Cas où l’assemblage est effectué dans une section où T # 0,N#0 et M#0
Cas où l’assemblage est effectué dans une section où T # 0,N=0 et M=0
b) Un appui simple d’une poutre horizontale fléchie sur un poteau vertical
8. Preciser quels sont les efforts qui sollicitent les boulons dans les assemblages suivants :
T= réaction
D1= distance horizontale entre la semelle du poteau et la file 1 verticale constituée par le nombre m1
de boulons (m1,d1 donnés)
D2= distance horizontale entre la semelle du poteau et la file 2 verticale constituée par le nombre m2
de boulons(m2, d2 donnés)
L= distance entre deux boulons situés de part et d’autres de l’axe neutre passant par G
Partie B : FLEXION
Soit une poutre fléchie sur deux appuis sou_s l’action d’une charge concentrée et des charges
réparties uniformément sur la longueur.
1) Preciser les solutions que l’ on peut proposer pour la forme de la section de la poutre.
A âme pleine
A âmes évidées
En treillis
A traverse de liaison
2) Comment peut-on savoir si votre choix se portera sur un profilé laminé ou reconstitué ou sur
un profilé formé à froid ?
Lorsque la condition prépondérante est celle de la flèche, on utilise les formés à froid. Dans le cas où
la condition de résistance l’emporte, on utilise les laminés si les charges sont moyennes et la portée
pas très importante ou les PRS si les charges sont importantes et portées importantes.
Pour les laminés, la condition de résistance donne (I/v)min. Avec cette valeur on determine le profilé
dans le catalogue puis on verifie la fleche et le deversement.Si le rapport (I/V)min ne se trouve pas
dans le catalogue, on pense au PRS(determination des dimensions de l’âme, des ailes) puis on
reverifie la fleche le deversement.
3) Quelles sont les conditions à remplir pour effectuer une analyse plastique ou une analyse
globale élastique lors des calculs des structures ?
Pour les systemes isostatiques, l apparition de rotules plastiques entraine la ruine de la structure.==>
Les structures isostatiques seront calculées suivant une analyse élastique tandis que les systèmes
hyperstatiques seront calculés suivant une approche plastique qui est plus économique.
4) Dans le cas des pannes disposées sur des traverses des portiques pour supporter une couverture
en amiante-ciment :
- Préciser quelles sont les formes des sections transversales que l’on peut proposer pour les pannes.
Justifier votre réponse.
On peut avoir les formés à froid si les laminés ne verifient pas la condition de la fleche avec un
encombrement bien définis(exigences architechturales). Les laminés sont les plus utilisés. Les IPE
comme les sollicitations sont faibles. Et pour des problémes d’encombrement des HE.
-Si la condition de la résistance est vérifiée ainsi que celle de la flèche mais la condition sur le
déversement n’est pas vérifiéee, proposer des solutions.
Diminuer la longueur de deversement en créant des points fixes au moyen des liernes ou de
contreventement ou en encastrant ses extrémités aux éléments supportés
- Même question dans le cas où la resistance ainsi que le deversement sont verifiés mais la condition
de la flèche n’est pas satisfaite .
Utiliser les formés à froid qui ont une grande inertie et un poids faible ou les poutres en treillis qui
sont plus rigides et possedent un poids plus faible, alvéolaire
ASSEMBLAGE
1) Quels sont les facteurs qui interviennent dans la qualité d’un assemblage soudé ?
2) Quelle est la différence entre un assemblage en boulons normaux et un assemblage réalisé
en BHR ?
Le cordon a) est moins épais que le cordon b). De ce fait il evite l’apparution de contraintes
résiduelles après soudure du fait que la vitesse de refroidissement est la même partout.
a b
4) Préciser l’origine des flexions secondaires qui apparaissent dans un nœud d’une poutre
réticulée et leurs inconvénients.
Dans le cas où on a à assembler des barres trop larges dans le plan du treillis avec un gousset, la
résultante des efforts de traction ne se situe plus sur l’axe du centre de gravité de l’assemblage. Ce
qui entraine des flexions secondaires. Ces flexions ont pour conséquence le gauchissement du
gousset qui n’est plus infiniment rigide. Ce qui fausse les hypothèses de calcul d’un nœud réticulé.
Elles peuvent entrainer aussi l’arrachement des têtes des boulons.
Comment évaluer leur importance et comment pratiquement on peut diminuer leur importance ou
éviter qu’elles soient reprises par les barres de treillis.
Leur importance dépend de l’excentricité de l’effort soit de la largeur des barres assemblées. Plus ces
barres sont larges et plus ces moments sont importants. Pour diminuer leur importance, il est
conseillé d’utiliser des barres jumelées qui repartissent les efforts.
1- Conception d’un appui simple en IPE h sur une poutre IPE h’ sachant que :
- Les deux poutres sont dans un même plan horizontal
- H’>h
- Les deux semelles supérieures des deux poutres sont au même niveau
2
1
Hmin condition de l’effort tranchant ; hmax donnée par l’encombrement ;condition de la stabilité au
deversement et voilement plus la condition de résistance donnent b et es.
2- Solutions qui s’imposent si on a à résoudre les problèmes suivants :
- Diminuer le poids propre : poutre à inertie variable
- Diminuer le poids propre et les déformations jugées excessives :treillis
- Voilement local de la semelle comprimée :bracons
- Voilement local de l’âme : raidisseur
- Déversement important :lierne
3- Préciser le rôle des raidisseurs dans une poutre fléchie. Leurs inconvénients et leurs
avantages
Solutions pratiques pour augmenter la contrainte critique de non voilement des plaques.
PARTIE B