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Catégorie: Métier du théâtre

1. Acteur

Un acteur ou comédien – au féminin, actrice ou comédienne – est un artiste professionnel (sinon l'adjectif « amateur » y est
adjoint) qui prête son physique ou simplement sa voix à un personnage dans une pièce de théâtre, dans un film, à la
télévision, à la radio ou même dans des spectacles de rue.Les différentes conventions collectives du spectacle vivant et de
l'audiovisuel attribuent des noms différents au même emploi : l'interprétation d'un rôle.
Si l'appellation d'artiste interprète (ou artiste-interprète) réunit les artistes dramatiques, chorégraphiques, lyriques, de variétés
(music-hall), de cirque ainsi que les musiciens (non solistes) dans la Convention collective nationale des artistes engagés pour
les émissions de télévision, Radio France a conservé sur les fiches de paie la dénomination Artiste dramatique pour
l'interprétation des fictions et feuilletons radiophoniques.Étymologiquement, le comédien est un acteur plus particulièrement
spécialisé dans la comédie , de même que le tragédien est davantage spécialisé dans la tragédie . Les deux grands genres
dramatiques traditionnels sont la tragédie et la comédie.
Le drame (du latin drama, emprunté au grec ancien drâma, qui signifie « action (théâtrale), pièce de théâtre ») désigne
étymologiquement toute action scénique.Avec le temps, cette distinction s'est estompée dans l'usage : l'art de l'acteur est
aujourd'hui désigné en langue française sous le nom de comédie. Jouer la comédie signifie interpréter un rôle, qu'il s'agisse ou
non d'un emploi comique.L'ensemble des acteurs choisis pour tenir les rôles d'un film ou d'une pièce de théâtre est appelé
distribution.Le principal support de l'acteur est le texte mais il peut également se servir du mime, de la danse ou du chant,
selon les besoins de son rôle, notamment dans les comédies musicales.

Le premier acteur serait le grec Thespis (ou Thespus) qui aurait joué en -534 au théâtre d'Athènes pour les fêtes de Dionysos,
devenant ainsi le premier à interpréter des paroles, séparément du chœur, dans une pièce de théâtre. Avant lui, les histoires
étaient racontées avec des danses ou des chansons, à la troisième personne, mais aucune trace d'histoire racontée à la
première personne ne nous est parvenue.Cet acteur est unique à l'origine et, seul protagoniste, il parle avec le chœur. Le
dramaturge grec Eschyle est le premier à introduire un deuxième personnage, puis Sophocle en fait intervenir un troisième.En
France, les métiers du théâtre sont longtemps réservés aux hommes, donnant lieu à des excommunications d'acteurs ; ce n'est
qu'en 1603, à l'occasion d'une tournée théâtrale d'une troupe italienne, qu'une femme, Isabella Andreini, obtient le droit de
monter sur scène. L'édit royal du 16 avril 1641 de Louis XIII est le précurseur du statut de comédien dont le travail « ne
puisse leur être imputé à blâme, ni préjudice à leur réputation dans le commerce public.
2. Coiffeur

Un coiffeur ou une coiffeuse est une personne formée pour couper et entretenir les cheveux. Elle peut travailler dans un salon
de coiffure, à son domicile ou chez son client1. Les types de coiffures, les techniques et les outils employés sont nombreux et
varient selon le mandat confié au coiffeur.Le coiffeur doit avoir une bonne résistance physique car il reste debout toute la
journée. Il doit aussi posséder un sens artistique et savoir bien communiquer afin d'accueillir et de conseiller convenablement
ses clients. Dans certains pays, il joue aussi couramment le rôle de barbier.Dès l'Antiquité, il existe des échoppes en Grèce et
à Rome où les hommes viennent se faire couper les cheveux, les femmes se faisant coiffer à domicile. Au Moyen-Âge, la
corporation des barbiers-chirurgiens réalise ces tâches. À mesure que les chirurgiens réalisent des interventions plus
importantes, ils abandonnent à leurs élèves ou du moins à ceux le moins instruits, l'art de raser et de faire le poil. C'est ainsi
qu'à la fin du XVIIe siècle existent deux communautés celle des barbiers-baigneurs-étuvistes-perruquiers et celle des barbiers-
chirurgiens3.Le coiffeur s'entretient d'abord avec son client pour lui conseiller une coupe de cheveux en fonction de ses
souhaits et de ses cheveux. Puis il lui lave les cheveux, et enfin les coupe. Certaines coupes se font mieux lorsque les cheveux
sont secs et d'autres mouillés. Il peut appliquer des techniques particulières comme la mise-en-plis, le bouclage au fer, utiliser
le lisseur pour lisser les cheveux ou faire une permanente. Le coiffeur peut prescrire, conseiller ou recommander des produits
capillaires.Il existe de plus en plus de franchises permettant aux coiffeurs indépendants de bénéficier d'une image collective,
de centrales d'achat, etc. (exemples : Jean-Louis David, Jacques Dessange, Franck Provost, Saint Algue, etc.).

3. Costumier

Dans le domaine artistique, le costumier ou la costumière1 est chargé des costumes, que ce soit pour un tournage
cinématographique ou une représentation théâtrale ou lyrique.Il peut les concevoir afin de les faire réaliser en atelier (comme
dans les cas des costumes historiques), auquel cas il est également considéré comme styliste, ou les acheter lorsqu'il s'agit de
vêtements modernes. Il travaille en étroite collaboration avec le directeur artistique et/ou le chef décorateur à partir des
maquettes de décors, les costumes étant habituellement conçus en même temps afin de les coordonner.Les accessoires
d'habillement tels que chaussures, bijoux, sacs, gants, coiffes et chapeaux en tous genres, font partie du costume.Selon sa
spécialisation ou l'importance de la production, le costumier peut être responsable de l'intégralité ou d'une partie seulement
des costumes (garde-robe masculine ou féminine uniquement). Dans le cinéma, le responsable du département est appelé chef
costumier.Il a la responsabilité d'équipes composées d'autres métiers tels que les couturiers (qui s'occupent de la fabrication
ou des retouches), les habilleurs (qui entretiennent les costumes et aident les comédiens à s'habiller), les chausseurs, les
modistes, les gantiers, etc.
4. Critique dramatique

La critique dramatique est une activité qui consiste à émettre et à diffuser largement une analyse sur des œuvres théâtrales. La
personne qui exerce ce type de critique est appelé un critique dramatique. La critique peut s'exercer sur des pièces de théâtre,
mais elle se prononce surtout sur des interprétations en spectacle (mises en scène). La critique dramatique se fait surtout dans
la presse écrite mais aussi à la radio, de plus en plus rarement à la télévision, et maintenant sur internet.Nombreux sont les
célèbres écrivains qui furent d'abord connus de leurs contemporains comme critiques dramatiques. Émile Zola ou Octave
Mirbeau ont défrayé la chronique avec leur bataille contre l'esprit bourgeois de Francisque Sarcey. Romain Rolland de son
côté montre bien l'attitude réservée des dramaturges vis-à-vis des critiques, dans son texte Point de critique. Des philosophes
et universitaires tels que Roland Barthes, Bernard Dort ou Georges Banu, ou de grands journalistes comme Bertrand Poirot-
Delpech, Paul Gordeaux le célèbre critique dramatique parisien dont on dit que les articles réunis constitueraient une des
histoires les plus pittoresques et surtout une des plus sincères du théâtre contemporain, Dominique Jamet, ont eu également à
leur époque ou actuellement un poids important sur le succès public des spectacles.

5. Décorateur

Le décorateur de théâtre est un spécialiste, qui est chargé de la décoration de l'espace scénique (le décor de la pièce). Son
rôle est similaire à celui du chef décorateur au cinéma. Le décorateur est à distinguer du scénographe qui conçoit l'espace
scénique. Le décorateur s'occupe de l'aspect esthétique du décor (certains peintres ou artistes réputés ont réalisé des décors de
pièces de théâtre, de ballets ou d'opéras). Cette distinction n'est cependant applicable que pour les grosses productions (type
Opéra) car dans la majorité des situations, le décorateur se confond avec le scénographe.Le décorateur doit, lorsqu'il imagine
un décor, concilier les exigences du metteur en scène avec sa propre conception d'artiste pour créer le cadre dans lequel les
acteurs vont évoluer. À partir du texte de la pièce il va créer un environnement (mobilier, objets, couleurs) destiné à réaliser
une ambiance et à mettre en valeur les personnages.Dans certains cas, le décorateur-scénographe ne se contente pas de
concevoir les décors, mais doit en assurer le suivi de construction et le montage, c'est à lui que revient la tâche de choisir les
matériaux et les techniques utilisées, et il peut être également responsable du respect des délais ainsi que du budget. Mais
dans des cas de grosses productions, toutes ces taches incombent au théâtre producteur. Il reste néanmoins constamment en
liaison avec le metteur en scène, et travaille en équipe avec les autres professionnels du spectacle.Le respect des délais - le
décor doit être prêt pour la générale - l'amène souvent à travailler dans l'urgence.Chaque année, lors de la Nuit des Molières,
un décorateur est récompensé par l'attribution du Molière du décorateur scénographe pour la conception et la réalisation du
décor d'une pièce de théâtre (ou d'un opéra) créée dans l'année.

6. Éclairagiste

Aussi appelé concepteur lumière, l'éclairagiste est le responsable de la mise en place du matériel et des techniques d'éclairage,
et de toutes les ambiances lumineuses du spectacle.À l'origine, l'éclairagiste est l'un des métiers du spectacle. Il est
responsable de la scénographie lumière. En étroite collaboration avec le metteur en scène, et aussi avec le scénographe, c'est
lui qui va concevoir les effets permettant de créer une atmosphère correspondant à la dramaturgie du spectacle. L'éclairagiste
compose les effets qui sont consignés dans ce qu'on nomme la conduite lumière. C'est ensuite le pupitreur qui sera chargé de
l'exploitation du spectacle et du respect de cette conduite.Le travail de l'éclairagiste est de développer les sens et les émotions
voulues par le metteur en scène en utilisant l'art de la lumière. Sa marge de manœuvre peut être très grande. En effet, deux
éclairages différents vont offrir deux visions différentes du spectacle. Certains éclairagistes vont faire le choix d'une réflexion
poussée sur chaque éclairage pour réfléchir au sens à chaque instant, d'autres vont préférer laisser parler directement leurs
émotions et leurs inconscients... Dans le domaine de la musique et du concert, l'éclairagiste (concepteur lumière) imagine une
scénographie de lumière, tel un peintre créant un tableau, et la réalise pour accompagner les musiciens, en une prolongation
visuelle de leur expression physique et sonore.Par extension l'éclairagiste, dans le secteur du bâtiment, s'intègre dans l'équipe
de maitrise d'œuvre pour amener exercer une expertise en matière d'utilisation du matériel et des techniques d'éclairage.

Robert Edmond Jones


7. Figurant

Au théâtre, à l'opéra, au cinéma et à la télévision, un figurant est un acteur — ou une actrice — qui ne prend qu'une part
accessoire, à l'histoire. Un figurant qui parle se nomme silhouette. La figuration permet de découvrir le domaine du spectacle
et est rémunérée.Au cinéma, on emploie plus fréquemment le terme d’« acteur de complément ». En argot théâtral, faire de la
figuration se dit « faire de la frime ».

Au XIXe siècle, les figurants étaient souvent cantonnés à des rôles de soldats (les fameux « hallebardiers »), de valets ou de
servantes. Les figurantes de féeries, revues ou ballets étaient appelées « porte-maillots » ou « marcheuses ». Généralement
légèrement vêtues (et de mœurs souvent tout aussi légères, d'où leur surnom), elles constituaient, sous l'alibi d'une présence
purement décorative, un élément érotique extrêmement prisé par les spectateurs masculins.Si le recours à des amateurs,
recrutés au dernier moment dans la rue par le régisseur du théâtre, était courant à cette époque, le développement du cinéma a
entraîné une professionnalisation de la fonction ainsi qu'une extension de ses attributions. Ainsi, un figurant auquel est confié
une action qui le distingue d'une foule est appelé silhouette. Il peut se voir également confier quelques répliques de texte. On
parle alors de « figuration intelligente ». Le montant du cachet dépend de l'importance de ces attributions1.Dans la
distribution des opéras à effectif important il faut distinguer les choristes, qui font partie des musiciens et peuvent eux-mêmes
être en grand nombre et constituer une foule, des figurants qui peuvent parfois se faire confier des petits rôles non chantés en
tant que comédiens2.À l'âge d'or des studios hollywoodiens, dans les années 1930-1940, le Central Casting regroupait
quotidiennement tous les besoins en figuration du studio. Les figurants (en anglais extras ou background actors) étaient
embauchés, sous réserve d'être inscrits auprès d'un syndicat, en se présentant le matin même au studio.Le nombre des
figurants peut, selon l'importance des productions, varier d'une dizaine à plusieurs centaines. Ainsi, en 1889, dans La Patrie
en danger d'Edmond de Goncourt, le metteur en scène André Antoine avait sous ses ordres plus de 500 figurants. Au cinéma,
la course de chars de Ben-Hur en réunissait 8 000 et la scène des funérailles de Gandhi de Richard Attenborough près de
300 000. Ces dernières années en revanche, les progrès considérables des techniques numériques au cinéma ont entraîné une
réduction considérable des effectifs. Dans Titanic de James Cameron ou Forrest Gump de Robert Zemeckis, des groupes
d'environ 200 figurants ont été filmés puis multipliés afin de recréer des foules de plusieurs milliers d'individus.De
nombreuses anecdotes humoristiques circulent sur des gags survenus sur scène à cause du manque de répétition de la
figuration et de leur manque de qualification ou d'expérience.

8. Machiniste

Ce métier du spectacle, ancestral, a évolué au cours des siècles. Au XVIIe siècle, le machiniste est un ingénieur, comme le fut
Giacomo Torelli (1608-1678), dont la responsabilité ne se sépare pas de la décoration. Au XIXe siècle, les deux fonctions
sont nettement distinguées: le machiniste s'occupe de la machinerie pour équiper et actionner un décor. Appelé « technicien
de plateau », il remplit aujourd'hui un rôle nouveau outre les fonctions traditionnelles. De plus, le métier s'est séparé en
plusieurs branches, notamment le théâtre et le cinéma. Au théâtre, le machiniste est proche des décorateurs et du
scénographe. À l'origine, son travail était d'actionner les rideaux et les tableaux de décor. Les théâtres possèdent en coulisse
un réseau complexe de poulies et de guindes, servant à actionner tous les éléments sur scène, à changer de décor entre deux
scènes. Il reste en coulisse pendant le spectacle et à la charge des machines à fumée et des effets spéciaux.Désormais, les
éléments du cintre sont motorisés grâce à l'électricité1.
9. Metteur en scène

Au théâtre, le metteur en scène est l'organisateur et le responsable de la mise en scène d'une œuvre dramatique ou lyrique,
c'est-à-dire de tous les éléments qui composent le spectacle : jeu des acteurs, rythmes, espaces, décors, lumières… Au
cinéma, le terme « metteur en scène », quasi-synonyme de réalisateur, est souvent utilisé pour insister sur la qualité d'auteur
du réalisateur. « Au cinéma, metteur en scène est concurrencé par réalisateur, cinéaste. À la télévision, réalisateur (de
téléfilm) est plus usité1. Jusqu'au début du XIXe siècle, la mise en place d'une pièce de théâtre était la responsabilité de
l'auteur ou des principaux comédiens. Au XIXe siècle est née l'idée de principes dramaturgiques novateurs, à appliquer
concrètement sur scène : le metteur en scène prend ainsi une particulière importance, devenant le « maître du plateau » en se
distinguant progressivement du régisseur.

En France, l'émergence du metteur en scène et de la mise en scène date du succès d'André Antoine et de son Théâtre-Libre en
1887. Cette émergence est due à plusieurs facteurs : l'avènement du mouvement naturaliste, la conscience des limites
théâtrales de l'époque, la volonté de réalisme artistique.

Cette transformation est aussi provoquée par l'apport de l'auteur et metteur en scène russe Constantin Stanislavski, né en
1863, qui prône une nouvelle pratique du théâtre basée sur le travail corporel, le travail physique, le refus du jeu
conventionnel et l'attention à la situation psychologique des personnages.

Antoine, pour sa part, veut pour ses acteurs un jeu qui s'éloigne des anciennes conventions dramatiques, et qui aille vers le
naturel et le réalisme.

« Quelques années après avoir créé la fonction artistique du metteur en scène au théâtre, en ouvrant le Théâtre Libre et en y
signant ses premiers spectacles, Antoine définit en 1903 la mise en scène comme une « besogne », qui se divise en deux
parties : « l'une, toute matérielle, c'est-à-dire la constitution du décor servant de milieu à l'action, le dessin et le groupement
des personnages ; l'autre, immatérielle, c'est-à-dire l'interprétation et le mouvement du dialogue ». Il attribue ainsi, et pour
longtemps, à la mise en scène une dimension créatrice, qui vient doubler le champ de la technique et du savoir-faire dans
lequel elle avait été jusqu'alors limitée. Désormais, la mise en scène couvre tous les domaines du théâtre, depuis le décor et
les acteurs jusqu'à l'interprétation du texte. C'est l'ouverture de ce qu'on va appeler « l'ère du metteur en scène », qui, à bien
des égards, définit le XXe siècle théâtral, en France comme en Europe. »

— Catherine Naugrette, Devenir metteur en scène, in Registres, n° 6, novembre 2001 : La Formation du


metteur en scène

Au XXe siècle, pour Charles Dullin, le metteur en scène est « celui qui, par son art personnel, apporte à l'œuvre écrite par le
poète une vie scénique qui en fait ressortir les beautés sans jamais en trahir l'esprit ».

La première mention « officielle » du métier du metteur en scène en France apparaît dans le décret du 7 juillet 1941
promulgué par le Régime de Vichy, qui établit le Comité d'organisation des entreprises du spectacle2.
10. Scénographe

Le terme scénographe regroupe différentes définitions très variées, mais pouvant être regroupées en trois catégories :

 les scénographes de spectacles qui mettent en espace un spectacle ou une manifestation particulière, la signification
européenne est très proche du dramaturge ;
 les scénographes d'équipements qui conçoivent un lieu destiné à accueillir des spectacles ou manifestations
diverses ;
 les scénographes d'expositions qui interviennent dans le domaine des musées et des expositions.

Quelques scénographes cumulent plusieurs spécialisations, mais ils sont très rares.

Aux États-Unis, la signification est encore différente. Elle regroupe comme terme générique les différents créateurs : créateur
des décors, créateur de costumes, éclairagiste, concepteur son...

a) Scénographes de spectacles
b) Scénographes d'équipements
c) Scénographes d'expositions
d) Scénographes reconnus et réformateurs de l'espace scénique

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