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Sujet N°5
Première partie :
A/ 1) a- Il s’agit d’une réaction réflexe.

b- La ligature haute des carotides entraîne une élévation de la pression artérielle ; celle-
ci constitue le stimulus à l’origine de la réaction observée.

2) Les structures impliquées :


ƒ Récepteurs : les barorécepteurs situés au niveau du sinus carotidien et de la crosse
aortique.
ƒ Conducteurs : nerfs de Héring et nerfs de Cyon sensitifs.
ƒ Centre nerveux : centre bulbaire.
ƒ Conducteur moteur : nerfs X.
ƒ Effecteur : le cœur.
Le rôle des structures citées.
ƒ Les barorécepteurs détectent l’élévation de la pression artérielle et donnent naissance
au message nerveux.
ƒ Les nerfs de Héring et de Cyon véhiculent le message nerveux sensitif.
ƒ Le centre nerveux bulbaire émet une décharge de P.A aux nerfs X et inhibe le centre
vaso-moteur par l’intermédiaire de neurone inhibiteur.
ƒ Les nerfs X véhiculent le message nerveux moteur au cœur.
ƒ Le cœur fait ralentir le rythme de ses contractions et parallèlement il y a une
vasodilatation suite à l’inhibition du centre vaso-moteur.

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3) Schéma représentant les éléments impliqués dans la régulation de la pression artérielle


dans le cas d’une hypertension.

Deuxième partie :
A/ 1)
- La mort des rats du lot n°1 s’explique par virulence des pneumocoques de la souche S1
et à leur pouvoir de se multiplier à l’intérieur du corps de ces animaux.
- La guérison des rats du lot n°2 a été assurée les anticorps présents dans le sérum des
lapins immunisés contre la pneumonie déterminée par la souche S1.
- La mort des rats du lot n°3 est due à la virulence des pneumocoques de la souche S1. le
sérum injecté ne les protège pas car il ne contient pas les anticorps spécifiques à la
souche S1, mais plutôt à la souche S2.
2) La réponse immunitaire contre les pneumocoques est une RIMH : elle est assurée par les
anticorps. D’après les résultats relatifs au lot n° 2 et au lot n°3, les anticorps sont spécifiques
et diversifiés autant les souches de pneumocoques sont diversifiées. Donc la propriété mise
en évidence est la spécificité de la réponse immunitaire.

B/ 1) Le VIH se fixe sur les LT4, il introduit son ARN dans le cytoplasme du LT4, grâce à la
transcriptase reverse l’ARN du VIH est transcrit en ADN simple brin (ADNc). Une enzyme
permet de former l’ADN double brin qui s’intègre ensuite dans l’ADN du LT4.

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L’ADN viral introduit dans le LT4 sera transcrit en ARN messager qui sera traduit en
protéines grâce à la machinerie de synthèse du LT4. L’assemblage des structures virales
permet la formation de nouveaux virus (VIH) qui bourgeonnent et vont infester d’autres
LT4. Le VIH se multiplie progressivement et au contraire les LT4 sont détruits ce qui
entraîne le dysfonctionnement du système immunitaire (SIDA).
2) a- Les courbes a et b du document 1 montrent que le nombre de virus dans l’organisme
augmente très vite après infection durant les premiers mois. Toutefois le système
immunitaire encore fonctionnel réduit la quantité des virus entre le 6ème et le 12ème mois.
Pendant environ 3 ans le système immunitaire reste fonctionnel et garde la capacité de
contrôler la prolifération du virus dont le taux reste faible sans disparaître.
b- Les cellules immunitaires présentées sur le document 2 appartiennent à la lignée des
lymphocytes.
La forme A est un lymphocyte B (LB).
La forme B est un plasmocyte.

Le lymphocyte B (LB) se différencie en plasmocyte à réticulum endoplasmique très


développé prouvant une activité protéosynthétique intense du plasmocyte : le plasmocyte
produit des anticorps Anti-VIH en réponse à l’infection par le VIH.

3) À partir stade 3, la réaction immunitaire naturelle contre le VIH décroît et contrairement


la quantité du virus augmente. En effet, le VIH attaque les LT4, leur nombre diminue
(courbe c) et la production d’anticorps Anti-VIH décroît aussi progressivement (courbe b)
du fait que les LB se différencient en plasmocytes grâce à une activation par les LT4 (IL2).
Donc le VIH attaque les LT4, s’y prolifère, les tue et parallèlement fait chuter la production
des anticorps Anti-VIH par les plasmocytes.

4) a- Ces expériences montrent que la réponse immunitaire ne peut se dérouler que si la


moelle osseuse et le Thymus sont intacts.

En comparant les résultats des expériences 1, 2 et 3 on déduit le rôle de la moelle


osseuse (Organe lymphoïde central) : elle est le siège de la production des cellules souches
des lymphocytes et de la maturation des LB (Expérience 2). Le Thymus est indispensable à
la maturation des LT, en effet l’expérience 4 montre que lorsque les LT sont absents, les LB
seuls n’empêchent pas la prolifération des VIH. La présence simultanée des deux types de

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lymphocytes est nécessaire à l’accomplissement de la réaction immunitaire. Le document 4


illustre la nature de l’interaction entre les LB et les LT4 : c’est la coopération cellulaire.

b- Les expériences du document 3 précisent la nécessité de la moelle osseuse et du


Thymus pour produire les lymphocytes qui sont capables de déclencher une réponse
immunitaire spécifique contre le VIH, et la nécessité d’une coopération cellulaire entre les
LB et les LT4. En effet, sous l’action d’Interlukine 2 (IL2) libérée par les LT4, les LB sont
activés, amplifiés et différenciés en plasmocytes producteurs d’anticorps.

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