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d'aujourd'hui
“Sans rendez-vous”
Toi, qui d’elle-même s’invite
Sans aucun rendez-vous.
Toi, qui me rends visite
Dont j’ignore les dessous.
Toi, qui me réjouis sans limites,
Ton mérite dépasse le tout.
Tu vaques à tes affaires
Ignorant jusqu’à mon existence.
Le balourd
Me pardonneras-tu un jour
Les ruines
Tu es entrée sublime
Tu as pansé la mienne
Jean-Claude Roche
jc.roche@audit31.fr
Un Rêve.
Le jardin endormi
Un musée
Michael Lecomte
Michael Lecomte
Vu du toit
du ciel d'été
De ma lucarne je l'ai vu
Un matin il a du comprendre,
Marie-Paule THIERRY
D'un seul coup, une pluie de glands s'abattit sur lui !! ooohhhh !! il
avait rêvé, il s'était assoupit au pied de l'arbre centenaire A présent, le
soleil était haut dans le ciel, il fallait rentrer Peu importe, il savait
qu'un jour son rêve serait réalité
MORANDIDIER@aol.com
Eternité
Condor
Mon fils
Condor
Le clown triste
Condor
Regrets
Condor
Le destrier
Condor
Saisons
Femme naissante
à l'aube du printemps,
bercée de l'illusion
d'être la seule au monde,
pour celui qui ce matin
Femme brulante,
dans la chaleur d'été,
vous relevez vos jupes
pour écarter le doute,
et vos genoux ouverts
appellent tous les désirs.
Femme brumeuse,
dans l'automne encore doux,
vos illusions jaunies
vous rendent infidèle
à celui qui revient
vêtu de mille parfums.
Femme de l'hiver,
quand vos petites filles
caresseront votre main
posée sur vos genoux
fermés et fatigués,
surtout ne dites rien.
Marie-Agnès ROCH
Eric Lacroix
perso.wanadoo.fr/arbres.palabres
PREMIER PRINTEMPS
Eric Lacroix
perso.wanadoo.fr/arbres.palabres
Douceur
Michael Malacrino
Soulasylum_fr@yahoo.fr
Le temps
Au crépuscule de ma vie,
Alors que tu passes de vie à trépas,
Je n'ai pas eu assez de temps,
Pour te dire combien je t'aime.
Grisou
Leploui@hotmail.com
Ma plume
Grisou
Leploui@hotmail.com
L'ENNUI
Mais hélas,
J'ai beau regarder partout
Ils ne sont nul part.
Je suis découragée, déprimée et fatiguée.
Jess
Indy6@caramail.com
LA COLÈRE!!!
Bref,
La colère est mauvaise
La colère nous rapproche
De la haine et du côté obscur,
La colère éloigne l'amour que j'ai pour toi
Indy6@caramail.com
La vie
Carolyne Villeneuve
CHRIS
Lauréano Soares
E U S S E-J E
Lauréano Soares
LES AMIS
Lauréano Soares
DEUX SOEURS 1
Lauréano Soares
L'Ê T R E LE P L U S P A R F A I T
MÈRE!
Lauréano Soares
Lauréano Soares
LOUISE
Lauréano Soares
SI MYSTÉRIEUX
Mélissa Schaefer
REVERRAIS-JE
Noël Vernois
Noël Vernois
Prière
Oh ! Sainte Sylvie,
De toutes la plus jolie.
Hier bannie,
Aujourdhui bénie.
La vie est ainsi,
Pour ceux qui ont de lesprit.
Le cur dun mari,
Sans souci tu pris,
Dédaignant son esprit
Pour toi trop petit...
Mais je garde à lesprit,
Que souvent les maris,
Avec philosophie...
Doivent donner leur vie.
Reste ainsi ma mie,
Car je t'ai choisie,
Et à la mairie,
Ma vie je tavais promis.
Oh ! Sainte Sylvie,
De toutes la plus jolie.
Hier bannie,
Aujourdhui bénie.
La vie est ainsi,
Pour ceux qui ont de lesprit
Noël Vernois
Noël Vernois
Muguet
Cest un porte-bonheur
Cultivé avec amour.
Pour toi quand sonnera lheure...
Amour... mais aussi bonheur...
Tu vivras à ton tour.
En attendant ce beau jour,
Voici une jolie fleur.
Un petit brin de muguet
Pour attendre lété,
Là... où est ton coeur.
Noël Vernois
20 ans
A monsieur le maire,
Nous avons dit oui.
Vingt ans déjà,
Et combien au-delà,
Pour le meilleur et pour le pire
Avons-nous encore à vivre.
Les mots amour et toujours,
Font partie de toute cour.
Mais cour et amour,
Ne vivent pas toujours.
Il y a déjà vingt ans,
Je voulais être ton amant.
Aujourdhui plus que jamais,
Nous deux saimer je voudrais.
En ce début de printemps,
Et pour nos vingt ans,
A toi qui mest si chère,
Je dis bon anniversaire.
Noël Vernois
Noël Vernois
A mon amie
Noël Vernois
Complainte
Noël Vernois
La mort
Noël Vernois
Soirée dautomne
Noël Vernois
Le 1er avril
Noël Vernois
Au téléphone
Souvent le midi,
Après avoir déjeuné,
Et que Sylvie soit partit.
Je me décide, à t'appeler.
Pour prendre de tes nouvelles,
M'enquérir de ta santé.
Cela me paraît naturel,
N'es-tu pas... mon amie.
Nous parlons de ta quête,
De trouver des idées,
Pour telle ou telle autre fête
Aux enfants qui leur sera donné.
Par ton dynamisme et tes projets,
Tu me vois... souvent étonné.
Nous parlons de ton ami,
Que tu as retrouvé après tant dannées.
De tes regrets aussi,
De ne pas avoir avec lui fait ta vie.
De ton bonheur à nouveau de laimer,
Même si... avec une autre il te faut le partager.
Nous parlons de tes enfants.
De ta fille et de son poupon...
Qui n'est qu'un petit être en bourgeon.
Du devenir de ton fils aîné,
De l'avenir du petit cadet,
Et de toi... de temps en temps.
Nous parlons de ta peinture,
De l'huile qui est ta nouvelle passion.
Que les gens ont le cur dur...
Que tu feras moins dexposition...
J'aimais bien pourtant ce que tu faisais,
Noël Vernois
Les yeux
Noël Vernois
MALADIE DAMOUR
Noël Vernois
IMPOSSIBLE AMOUR
Noël Vernois
Saint Valentin
Noël Vernois
Le Papillon
Noël Vernois
Bonjour Yannick
Noël Vernois
Ma Canadienne
Noël Vernois
noelvernois@wanadoo.fr
Noël Vernois
CE N'EST QU UN RÊVE...............HÉLAS
Ce rêve de toi qui ne se réalisera peut-être jamais et qui chaque nuit vient me visiter.
Ce rêve d'amour tendre, ce rêve d'amour passion, qui nous mène à la déraison, celui
qui est là, tapis au fond de nos coeurs, dissimulé par nos peurs, vit au fond de mon
coeur.
Je ne te vois pas, je t'espère, et me demande qui sur cette terre pourra m'émouvoir
autant que toi. Et je reste là à rêver d'amour passionné... Tu glisses ta main derrière
ma nuque et la relève de manière à me regarder bien en face. A l'instant même où nos
regards se croisent tout se transforme. L'air autour ne nous se met à brûler, et nos
corps s'étreignent avec plus de force.
Sous la pression de tes mains, je me courbe vers toi, le souffle roque, et passant mes
doigts dans tes cheveux, tu relèves la tête comme pour posséder un peu plus mon
image et la fixer dans le brasier de ta mémoire. L'air est humide, je frémis sous l'effet
modèlent mes seins dont tu saisis une pointe entre tes lèvres, puis poursuivent cette
quête toujours plus basse. Ma peau frissonne au contact de ta bouche et de tes
mains, tu m'ôtes toute raison, tant je te désire, tant j'ai envie de toi. Tu me caresses la
taille, les hanches, les cuisses. Tu t'étends sur moi, et haletante, je me soulève vers
toi exigeant mon dû...Et...
Je suis là, assise dans mon lit, je cherche mon souffle. Je cligne des yeux dans
l'obscurité de ma chambre, je rejette les couvertures et m'assois au bord de mon lit.
Tête baissée, le visage entre mes mains le rêve était tellement réel... Je peux presque
encore sentir tes caresses sur mon corps qui n'est plus qu'un cri vers toi, un désir
insatisfait, une faim incontrôlable... Juste un rêve...
le 21 janvier 2003
Patricia
Au plaisir!