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Fonctionnalisme
Etude du fonctionnement de l'objet en activité : On apprend en faisant.
Apprentissage = activité de transformation. Action + réflexion sur le sujet
L'enseignant : double activité : Faire, agir, pratiquer en interaction avec son
environnement physique et social, et en même temps, réfléchir, s'interroger, sur ce qu'il
est en train de faire.
Dewey : LEARNING BY DOING : Les connaissances ne se découvrent ni par
introspections (=analyse) ni par observation, mais en résolvant des problèmes -> de
l'action à la connaissance.
TÂTONNEMENT EXPÉRIMENTAL : L'enfant apprend en agissant : C'est en marchant qu'on
apprend à marcher,… Quand l'enfant se trouve face à une difficulté, il essaye d'abord au
hasard, si ça fonctionne, il répètera cette action, si non, il essayera autre chose.
Les travaux de Dewey influenceront la théorie piagétienne.
C. LE BÉHAVIORISME
Béhaviorisme :
Watson : Reproche à ses prédécesseurs de considérer l'étude de la conscience
subjective comme objet central)
Il considère que le seul objet légitime de la psychologie est l'étude du
comportement observable.
L'apprentissage = processus de modification du comportement (observable)
Comportement humain déterminé exclusivement par l'environnement (pas
la mémoire) comme source de stimuli.
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Pavlov : CONDITIONNEMENT "RÉPONDANT" ou « Classique »: le chien qui salive quand il
entend les pas du laborantin qui lui apporte son pâté -> réponse par réflexe qui suite
à des associations répétées, se trouve déclenchée par un autre stimuli que celui qui
la déclenche naturellement.
Skinner : CONDITIONNEMENT "OPÉRANT" : actions volontaires du sujet et sur les
conséquences de ces actions (=renforcements). (Expérience de la souris qui appuie
sur un bouton pour recevoir de la nourriture).
Le behaviorisme aura une influence sur la pédagogie par objectifs.
B. LE CONSTRUCTIVISME PIAGÉTIEN
Le Constructivisme :
Jean Piaget s’est intéressé à la genèse du développement de l'intelligence humaine de la
naissance à l'âge adulte
Troisième voie entre la Gestalt et le Béhaviorisme (selon Piaget) :
Critique le Béhaviorisme : reproche de ne pas tenir compte de l'activité cognitive
Critique la Gestalt qui ne considère l'activité cognitive que ici et maintenant.
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Piaget : L'apprentissage désigne essentiellement ce processus par lequel des
connaissances mobilisées par le sujet pour faire face à une situation se transforment
au cours de l'interaction du sujet avec son environnement.
IV. ET AUJOURD'HUI ?
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CHAPITRE 2 : LES APPORTS DU BÉHAVIORISME
À L'ENSEIGNEMENT
Pour le behaviorisme, apprentissage = processus de modification du comportement.
Le seul objet légitime d’une psychologie scientifique doit être l’étude du comportement
observable. Le rôle de l’environnement est donc primordial : le comportement humain serait
donc uniquement déterminé par l’environnement, en tant que source de stimuli ou de
renforcements de la réponse comportementale.
Le behaviorisme est une des sources de la « pédagogie par objectifs ». (décrire une
activité de l’apprenant identifiable par un comportement observable).
La pédagogie de la maîtrise (BLOOM) est l’une des concrétisations les plus intéressantes
de cette pédagogie par objectifs.
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Certains stimuli provoquent naturellement des réactions physiologiques (exemple : caresse,
sourire, induisent une émotion positive) et certaines attitudes s’accompagnent aussi de réactions
physiologiques (Exemple : attitudes racistes s'accompagnent de variation électrique au niveau de
la peau).
Certains mots peuvent eux-mêmes être chargés d’émotion.
Staats :
En associant des stimuli émotionnels, verbaux ou non-verbaux, à d’autres
mots, il est possible d’induire une réaction positive ou à l'opposé, négative à
l’égard de ces mots. (Racisme sur une catégorie d'individus)
Un même message peut être perçu différemment selon certaines
caractéristiques de l'émetteur. (Exemple : la beauté de quelqu'un, son prestige
et son comportement -> valeur attractive. Beaucoup utilisé dans la Publicité)
Il est aussi possible qu’un même stimulus affecte différemment les élèves, en
fonction de leur passé scolaire, de leur groupe d’appartenance ou
d’événements spécifiques vécus par le passé.
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II. QUELQUES RETOMBÉES DES RECHERCHES LIÉES AU CONDITIONNEMENT
OPÉRANT (SKINNER)
Par opposition au conditionnement répondant (Pavlov) qui s’appuie sur des réponses de
type réflexe, le conditionnement opérant (Skinner) s’appuie sur des réponses volontaires de
l’organisme.
Pour lui, « les hommes agissent sur le monde, le transforment et sont transformés en
retour par les conséquences de leurs actions ». C’est la relation entre la réponse et le
renforcement qui y est associé qui constitue la relation centrale.
Skinner apprend à un rat à appuyer sur un levier pour obtenir de la nourriture. Le lien
entre la réponse (appuyer sur le levier) et le renforcement (nourriture) est évident (pas d’action,
pas de renforcement). L’animal établit vite cette liaison.
Cela suppose donc un animal actif, contrôlé par la conséquence de ses actes
Le milieu ne déclenche pas les comportements, il les sélectionne, les entretenant ou les
éliminant, selon les contingences en vigueur.
C’est le renforcement fournit par l’environnement suite à l’action de l’animal qui va
déterminer ses comportement futurs. Autrement dit, si l’individu est déterminé par son
environnement, ce n’est pas parce que cet environnement provoque telle ou telle réaction à la
manière d’un réflexe, mais parce que l’environnement fournit les renforcements qui vont
permettre de sélectionner les réponses jugées adéquates et qui devront être reproduites.
Quatre conditions sont nécessaires pour établir un conditionnement opérant :
une motivation importante (l’animal a faim alors il cherche à produire des actions qui
pourront être renforcées en lui octroyant de la nourriture)
une action volontaire de l’organisme (>< réflexe)
un renforcement de l’action attendue (positif, ou négatif)
une contigüité temporelle entre la réponse et le renforcement (doit survenir très
peu de temps après la réponse)
réponse -> renforcement (R-Rf)
B. L'ENSEIGNEMENT PROGRAMMÉ
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après l’émission de la réponse immédiatement la validité ou non de sa
réponse.
L’erreur n’apprend pas. Les renforcements Maximiser les feedbacks positifs en s’assurant
positifs sont les plus efficaces que le % d’erreur ne dépasse pas 5%
1Les recherches montrent clairement que placer les élèves en situation de réussite joue un rôle
motivationnel important.
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C. ANALYSE FONCTIONNELLE ET GESTION DE CLASSE
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III. LA PÉDAGOGIE DE LA MAITRISE (BLOOM)
Tous les élèves sont capables, à des vitesses différentes, des apprentissages souhaités
par l’école.
La pédagogie de la maitrise développée par Bloom vise à dépasser le postulat d’« égalité des
chances » pour viser une "égalité des acquis de base".
Bloom a une vision largement optimiste en matière d'enseignement.
Idées communes dénoncées par Bloom Présupposés sur lesquels Bloom s’appuie
Certains élèves sont doués pour les études, La grande majorité des élèves peuvent
d’autres pas apprendre ce que l’école veut leur enseigner
L’aptitude détermine une sorte de niveau L’aptitude est une caractéristique qui
maximal que l’élève peut atteindre détermine la vitesse d’apprentissage
Ce don est un trait stable La capacité à apprendre s’apprend ;
l’intelligence peut s’enseigner
Pour Bloom, la plupart des élèves sont capables des apprentissages de niveau élevé, si
l’enseignement est adéquat et si les élèves sont aidés et là où ils rencontrent des difficultés, si on
leur donne suffisamment de temps pour atteindre la maîtrise et s’il existe des critères clairs de
ce qu’est cette maîtrise.
La perspective défendue par Bloom s’appuie explicitement sur la théorie psychologique de
Carroll pour qui « l’aptitude ne doit plus être assimilée à une structure indélébile qui détermine
ce que l’individu peut ou ne peut pas apprendre »
L’aptitude affecte la vitesse d’apprentissage, mais ne détermine pas le niveau de maîtrise que
peuvent atteindre les individus
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s'intéresse aux caractéristiques individuelles des élèves qui peuvent affecter l’apprentissage
Toutes les caractéristiques affectant l’apprentissage sont modifiables à des degrés divers
la disponibilité des pré-requis nécessaires aux apprentissages ultérieurs constitue l’élément
le plus important
Pédagogie de la Maîtrise =
Enseignement collectif + Test formatif + Procédures de remédiation
Il faut pratiquer une évaluation formative et mettre en place des remédiations pour que
chacun, en fonction du temps dont il a besoin, puisse maîtriser les apprentissages visés à une
étape de la séquence avant de passer à l’étape suivante sont deux éléments indispensables pour
permettre à un maximum d’élèves d’atteindre les objectifs visés.
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Expérience :
Trois groupes (hétérogène) d’élève à qui il est enseigné une même matière mais la façon
d’enseigner a été différente pour les trois groupes. Le même test final a été dispensé aux
trois groupes ;
- Le premier groupe reçoit un enseignement ordinaire avec des leçon
traditionnelles. Résultats des tests : Courbe de gauss.
- Le second groupe bénéficie de la pédagogie de la maîtrise ; la matière est divisée
en unité d’apprentissage test formatif à la fin de chacune de celle-ci et bénéficient
de procédures correctives s’ils n’ont pas compris. Résultats : Courbe en J (la
majorité des élèves obtiennent de bons résultats.
- Dans le troisième groupe, chaque élève bénéficie d’un « précepteur », choisi pour
sa compétence et soigneusement formé. Résultats : les meilleurs des trois
groupes : Courbe en J (mais les élèves les plus faible de ce groupe ont des
résultats supérieurs au groupe le plus fort du premier groupe).
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CHAPITRE 3 : LES APPORTS DU
COGNITIVISME À L'ENSEIGNEMENT
Les cognitivistes vont s’intéresser à ce qui se passe dans le cerveau (la boîte noire). Pour
les cognitivistes, penser = traiter l’information et traiter l’information, c’est manipuler des
symboles.
Apprendre = intégrer de l’information en mémoire et, plus exactement, en mémoire à long terme
Le cerveau est un système cognitif composé de modules qui assurent l’encodage, le stockage et la
récupération de l’information.
Modèle de Gagné :
Les informations perçues vont alors accéder à la mémoire de travail (ou mémoire à
court terme) où elles seront traitées, généralement de manière consciente. Le traitement des
informations va permettre leur intégration dans la mémoire à long terme où se situent les
connaissances antérieures.
La mémoire de travail = centre de traitement de l’information
La mémoire à long terme = réservoir illimité de connaissances.
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mémoire de travail en vue de fournir une réponse à une question posée (3 <=). C’est alors la
mémoire de travail qui activera le générateur de réponse (4), lequel activera l’émetteur de
réponse (6), c’est-à-dire par exemple les mots que l’on prononcera ou les actions que l’on
entreprendra en direction de l’environnement (7).
La flèche qui relie la mémoire à long terme au générateur de réponse indique que, dans
certains cas, des réponses peuvent être produites sans que la mémoire à court terme ne
soit sollicitée. C’est le cas des automatismes.
PISTE 1 - COMMENT PRÉSENTER LES INFORMATIONS AUX ÉLÈVES ? (NON VU DANS LE SYLLABUS MAIS
PEU ÊTRE UTILE)
Les informations perçues par nos organes des sens ne sont stockées dans les mémoires
sensorielles que de façon éphémère. Elles ne seraient utilisables telles quelles que pendant une
durée très brève, avant de disparaître si elles ne sont pas traitées.
Multiplier les modalités de présentation augmente les chances de mémorisation:
davantage d’informations perçues et davantage d’indices de rappel (ajouter des images
aux mots et des mots aux images ; proposer des illustrations vidéo, photos, des extraits
sonores,…)
Leclercq : Notre mémoire visuelle n'est pas photographique : quand on voit un objet
ou une personne, on retient certaines caractéristiques qui vont nous permettre de
construire une image mentale -> Construction visuelle
Lorsque l’on présente un schéma ou une image aux élèves, il est important de
consacrer du temps à s’assurer de la bonne compréhension de cette source
d’informations ; aider les élèves à en dégager les caractéristiques importantes pour
qu’ils puissent reconstruire une image mentale valide
Difficultés inhérentes à la fonction de « montrer » un objet ou une représentation
de celui-ci aux élèves.
Gestalt = toute image ou tout schéma montré aux élèves peut être sujet à de multiples
interprétations, parfois très éloignées de la réalité que l’enseignant souhaite leur faire
comprendre
L'enseignent peut donner des indices préalables de structuration (advance
organizers) pour orienter l'activité perceptive de l'élève.
L’ancrage des connaissances nouvelles dans la structure de connaissances antérieures
de l’individu ne se réalise pas toujours automatiquement, ni adéquatement. Pour
Ausubel, il faut souvent préparer leur incorporation par la mise en place d’idées
générales organisatrices autour desquelles le nouveau savoir pourra s’agglomérer
(Exemples : vue d’ensemble des différentes théories, premier aperçu, sommaire. marquer
convergences / divergences entre différentes théories qui seront développées par la suite,…)
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Joue un rôle tant pour l'encodage et le stockage des nouvelles informations.
Interface essentielle entre l’environnement et la mémoire à long terme.
Opère généralement à un niveau conscient
Deux limites importantes :
Limite quantitative : Le nombre d'informations qu'elle peut gérer simultanément
(limite fixée à 7, + ou - 2). La capacité de mémoire est déterminée par le nombre
d'items et de tronçons.
Exemple : liste de lettres ou de chiffres impossibles à retenir, mais si on les combine en
formant des mots ou dates significatives de la MLT, on retient mieux.
Ex : USAIBMBMWTOTFGTBWAISGB
Limite temporelle : La durée de disponibilité de l'information (= dizaine de
secondes si pas traitées (pas répétées par exemple) ou stockée dans la MLT)
Ce que représente une unité d’information dépend à la fois de la structuration des nouvelles
informations présentées et de la structure des connaissances antérieures
En matière d’enseignement :
Ne pas confondre l’intégration des informations nouvelles dans les connaissances antérieures
du sujet et l’enracinement des apprentissages nouveaux dans son vécu. Rien ne prouve que les
nouvelles connaissances doivent être enracinées dans le vécu alors que l’importance des
connaissances antérieures a été démontrée par les tenants de la psychologie cognitive.
Les connaissances logées en mémoire sémantique ont un caractère plus universel et
plus général que celles logées en mémoire épisodique. Rôle de l'école = développer des
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connaissances que la personne peut généraliser. C’est donc avec le contenu de la mémoire
sémantique que l’école souhaite que l’enseignant interagisse le plus fréquemment possible.
PISTE 3 : EVITER DE PLACER LES ÉLÈVES EN SITUATION DE « SURCHARGE COGNITIVE » (NON VU MAIS
PEUT ÊTRE UTILE)
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On risque alors de ne plus être attentif à certaines informations, ou de commettre des erreurs, u
d'oublier des étapes.
(Exemple : Celui qui apprend à conduire à trop de choses à penser au début. A l'école, pareil. Si on
doit faire une multiplication écrite, il faut au préalable connaitre sa table)
Comment prendre en compte ce problème ?
Être attentif à la complexité des tâches que l'on propose aux élèves
Inciter les élèves à développer des automatismes (sur les procédures de base surtout!)
Le cout des processus cognitifs (Exemple : Rédiger un texte coûte plus que de le recopier)
PISTE 4 : FAUT IL FAIRE APPEL À LA MÉMOIRE ÉPISODIQUE ? (NON VU MAIS PEUT ÊTRE UTILE)
Peut être intéressant pour aider l'élève à se forger des indices de rappel, et donc d'avoir des
souvenirs plus vivants de certaines leçons.
Fayol
(->capacité de traitement) (->pratique répétée) (absence de consolidation = difficile à
(-> Attention) (->rôle des connaissances récupérer)
Antérieures) (Décline avec le temps)
(interférence entre les connaissances)
2. LE STOCKAGE DE L'INFORMATION
Quatre conditions favorisant la consolidation des informations et leur stockage en mémoire à
long terme :
a) La pratique répétée améliore la performance : Comme ça qu'on s'expertise dans un
domaine (Ex : gym). Certaines formes d'organisation de la pratique pouvaient être plus
optimales que d'autres. (=espacer les séances de travail, varier le niveau
progressivement, faire beaucoup d'exercices)
b) Le Feedback immédiat : Il faut un guidage qui explique sur quoi doit porter leur
attention, la manière de procéder. Ça permet d'éviter de mémoriser des façons de faire
erronées difficiles à éradiquer par la suite.
c) Les connaissances antérieures jouent le rôle de point d'ancrage favorisant
l'intégration d'informations nouvelles à celles qui sont déjà acquises. (Accrocheur
cognitif). (molécules qui se fixent sur enzyme et modifie la forme) Ca peut aussi faire
obstacle si les connaissances antérieures sont erronées !!
d) Les stratégies d'apprentissage (= Modes d'actions généraux diversifiés)
La répétition mentale : répéter pour maintenir actifs en mémoire temporaire
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La catégorisation des éléments -> très efficace (regroupement des éléments en
catégories).
L'élaboration : enrichir le contenu en le mettant en relation avec le savoir antérieur
(Création d'images, de chansons pour retenir,…)
Cela montre bien l’importance de la compréhension : Trop d’élèves pensent qu’il faut
mémoriser par cœur ce qui est erroné. Il faut surtout qu’il la comprennent bien et qu’ils la
structure correctement.
De fait, l’enseignant peut aider les élèves à construire des indices (moyens
mnémotechniques, etc,..). La formulation de questions peut également fortement influencer les
capacités de récupération (attention dès lors à la formulation de ses questions).
PISTE 5 : POURQUOI ET COMMENT SUSCITER L'ATTENTION ? (NON VU MAIS PEUT ÊTRE UTILE)
C’est l’attention qui joue un rôle déterminant dans le processus d’encodage de l’information.
On peut supposer que les élèves seront d’autant plus attentifs qu’ils auront de réelles
intentions d’apprentissage. Mais attention ! Sur quoi focaliser leur attention ?
Notre capacité d'attention est limitée (Après 1h de film, qualité d'encodage baisse).
inclure évènements marquants,
varier mouvements, voix, supports, méthodes,
mots clés au tableau
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expliquer les objectifs
PISTE 7 : PLANIFIER ET ENCADRER LES SÉANCES D'EXERCICES POUR DONNER DES FEEDBACK
RAPIDEMENT (NON VU MAIS UTILE)
Donner des Feedback immédiats favorise la mémorisation (=stockage dans MLT) (=principes clé
du béhaviorisme + enseignement programmé de Skinner)
Prévoir des moments de travail individualisé et encadré (= Pratique guidée (circuler entre les
bancs)), puis pratique autonome.
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Connaissances déclaratives : la théorie, constituée de faits, de règles, lois et principes,…
C'est quoi?
Connaissances procédurales : permettent d'accomplir des actions. Savoir-faire, gestes
techniques, automatisme,… Comment faire ? Sert à résoudre, faire, lire,…
Connaissances conditionnelles : elles se réfèrent au Quand et au pourquoi? Elles jouent
un rôle clé au niveau de la mobilisation des savoirs et des savoir-faire. Sert à distinguer
une chose d'une autre, à reconnaitre.
Le passage d'un type de connaissance à un autre n'est jamais immédiat ni facile. Une fois
acquise, la connaissance procédurale permet la plupart du temps un passage à l’acte rapide et
efficace.
Rapides et peu coûteux, les traitements automatisés déchargent la mémoire de travail, ce
qui présente des avantages importants au niveau du fonctionnement cognitif de tout individu
qui s’efforce de résoudre un problème. Par contre, comme ils sont réalisés avec un minimum de
conscience et qu’ils sont irrépressibles, « ils peuvent déboucher sur des erreurs plus ou moins
systématiques.
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L’inverse est également vrai : ce n’est pas parce qu’un étudiant peut réaliser un
mouvement d’attaque (c. procédurale) qu’il peut expliquer ce mouvement (c.
déclarative).
Ce n’est pas parce qu’un étudiant peut conjuguer des verbes aux temps donnés (c.
procédurale) qu’il peut le faire lors d’une production de phrases en choisissant le
temps adéquat (c. conditionnelle).
PISTE 10 : ACTIVATION DE NŒUDS DANS LE RÉSEAU SÉMANTIQUE (NON VU MAIS PEUT ÊTRE UTILE)
Le système cognitif agit comme un cadre assimilateur qui va permettre d’intégrer les
connaissances nouvelles dans un réseau déjà constitué.
Un nœud correspond à un concept. Il est possible qu’un même mot n’évoque pas le même
concept chez tous les élèves. Il est donc important que l’enseignant s’assure que les « nœuds »
activités chez les élèves permettent une intégration adéquate des nouvelles connaissances dans
la structure d’accueil... (Corneille ou Corneille?)
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A. LE TRANSFERT DE CONNAISSANCES
Le transfert est vu comme un processus par lequel des connaissances construites dans
un domaine particulier (tâche source) sont réutilisées dans un contexte différent (tâche cible)
après avoir été mobilisées, combinées différemment, puis adaptées.
Enseignement stratégique qui vise la maitrise des apprentissages et le transfert de ces
apprentissages dans d'autres contextes.
Le transfert = recontextualisation, réinvestir ses acquis, transport de connaissances.
Importance de la base de connaissances du sujet, et de l'organisation de ces
connaissances : la mise en relation des nouvelles connaissances avec les anciennes au
sein d’un réseau conceptuel bien organisé nécessite une décontextualisation des
nouvelles connaissances découvertes en contexte.
Selon les principes de l’enseignement stratégique, le transfert sera favorisé par une
approche en trois étapes :
Contextualisation : Mettre en contexte le contenu des apprentissages visés. Sert
à donner du sens aux apprentissages (situations-problèmes)
Décontextualisation : Distancier du contexte original pour donner à
l'apprentissage une portée plus large. Synthèse des savoirs et savoirs faire
appris, automatiser certaines procédures.
Recontextualisation : envisager hypothétiquement quels pourraient être les
contextes à l'intérieur desquels ils pourraient réutiliser les apprentissages qu’ils
viennent d’effectuer, et amener réellement les élèves à réutiliser leurs
apprentissages dans de nouveaux contextes, et justifier pourquoi.
développement de connaissances conditionnelles (Quand et pourquoi?)
B. LA MÉTACOGNITION
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(structure claire = plus compréhensible)
c) Les connaissances relatives aux stratégies concernent la nature et l’utilité de chaque
stratégie en tant que moyen de réaliser tel ou tel but. Régulation de sa propre activité
cognitive. (recopier plusieurs fois, comprendre ce que je lis)
stratégies de préparation de l’action (détermination du but et planification)
stratégies qui visent à optimiser la mise en œuvre de l’action (contrôle et
régulation).
C. L'APPRENTISSAGE AUTORÉGULÉ
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Que l’évaluation soit formative ou sommative, inciter les élèves à s’auto évaluer (avec ou
sans grille critériée) avant (prédire son résultat, ses forces et ses difficultés,…) et/ou
pendant et/ou après. Demander ensuite aux élèves de chercher des causes potentielles à
leurs difficultés et des pistes pour y remédier.
Il est important que l’enseignant aide les élèves à réfléchir à leurs difficultés, à trouver des
stratégies leur permettant de surmonter ces difficultés et à prendre ainsi conscience qu’ils ont
prise sur leurs apprentissages.
I. LE CONSTRUCTIVISME
Le constructivisme conçoit l’apprentissage comme une modification de l’apprenant, une
réorganisation de son mode de pensée. Ce processus ne s’opère pas par la simple écoute d’un
discours (comprendre un texte, résoudre un problème, etc.)
A. LE CONSTRUCTIVISME PIAGÉTIEN
Jean Piaget s’est essentiellement intéressé à la genèse du développement de l’intelligence
et à la façon dont les connaissances se construisent.
Un schème désigne une entité abstraite qui correspond à la structure d’une action. Le
schème peut être :
L’assimilation : consiste à interpréter des situations nouvelles grâce aux schèmes préexistants ;
il s’agit d’incorporer les éléments du milieu à ses propres cadres conceptuels (à ses schèmes
donc), de rendre familier ce qui ne l’était pas.
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Ainsi, quand l’objet ou la situation résiste, le sujet est « poussé » à un réajustement (il doit
adapter ses schèmes). C’est là qu’intervient l’accommodation. (Exemple d’assimilation-
accommodation p. 78).
Lorsque l’assimilation ne fonctionne pas, cela peut provoquer chez le sujet un déséquilibre.
Si le sujet modifie son schème et procède à une accommodation, il retrouvera un nouvel
équilibre (équilibration).
Pour qu’une accommodation se produise, il faut que l’échec soit vécu comme une
perturbation (qu’il provoque un déséquilibre cognitif), que le sujet tente d’adapter son schème,
mais aussi qu’il y parvienne de façon satisfaisante.
Donc, « accommoder, c’est relever un défi ; c’est reconnaitre que ses schèmes, se heurtant à
une réalité imprévue, sont inopérants et donc, qu’il convient de les transformer ».
L’enseignant doit aussi aider les élèves à prendre conscience de leurs propres
contradictions internes (favoriser la prise de conscience d’un déséquilibre, d’un conflit cognitif)
et à les surmonter (à retrouver un équilibre, à résoudre le conflit cognitif, en modifiant sa façon
de penser, en coordonnant différentes représentation et en recherchant une cohérence globale).
Moyen : L’élève est confronté à une situation dont la résolution nécessite un outil, une
procédure, une notion, un concept qu’il ne possède pas à priori mais qu’il découvrira en
se confrontant à la situation.
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Les connaissances dont dispose l’élève doivent être suffisantes pour qu’il aborde le
problème mais insuffisantes que pour résoudre le problème et ainsi le motiver à
l’acquisition de nouvelles connaissances.
2) L’élève doit pouvoir aborder la situation avec ses schèmes propres, dans une
tentative d’assimilation
5) Le problème doit pouvoir se formuler dans divers « cadres » (de façon à conduire
les élèves à renoncer à une de leurs préconceptions et à leur permettre de
construire eux-mêmes la nouvelle connaissance. Pour cela, l’enseignant doit les
aider, sans toutefois leur apporter le savoir directement (…).
CCL : Dans toutes les disciplines scolaires, il est important que l’enseignant donne l’occasion à
l’élève de jouer un rôle, non seulement dans le processus de construction des connaissances,
mais aussi dans celui conduisant à leur validation.
Avant de construire les connaissances dans l’esprit des élèves, il importe préalablement de
déconstruire leurs préconceptions.
Ex : en histoire ; les élèves abordent l’étude du passé avec la conviction que les modes de
pensées et les formes d’organisation du savoir ne peuvent être qu’identiques à celles
d’aujourd’hui.
1) L’esprit d’un élève n’est jamais vide (on parle de représentation spontanées, de
conceptions préalables ou de préconception).
3) Pour qu’un élève apprenne, il ne suffit pas qu’il reçoive l’exposé d’un savoir nouveau ; il
faut l’amener à opérer une rupture épistémologique.
3 Al-Assad ? lol.
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1) Faire émerger les conceptions des apprenants ;
3) Mettre en place une situation de rupture : placer les apprenant dans une situation
d’impasse en les confrontant à des conceptions différentes
II. LE SOCIOCONSTRUCTIVISME
Le socioconstructivisme s’appuie sur la conception constructiviste mais la dépasse et
modifie certains aspects.
Le rôle d’autrui est double : il peut aider à déséquilibrer mais il intervient aussi pour
aider à rééquilibrer.
Un conflit entre plusieurs personnes peut être soumis à deux types de régulations :
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réorganisation des points de vue. = grande efficacité (du point de vue des
performances collectives mais surtout individuels).
1) Il faut que la tâche à réaliser interpelle suffisamment les élèves pour qu’ils s’intéressent
aux divergences de démarches, de réponses ou de justifications.
2) Les groupes doivent être constitués de manière à rassembler les élèves qui ont des avis
divergents sur le problème posé.
La réponse finale doit refléter l’avis des différents membres et ne pas être imposée par
certains.
1. LA PERSPECTIVE DE VYGOTSKY
Vygotsky connaissait les premier travaux de Piaget et les avait critiqués parce qu’il
n’accordait pas assez de place aux composantes sociales et culturelles.
Influence de la culture : Il faut réintégrer la culture dans laquelle vit l’enfant comme
facteur de son développement. Plus important, il invite à s’interroger sur l’importance des outils
qui médiatisent les relations entre l’homme et l’environnement.
Les deux dimensions sont clairement liées : « l’emploi des outils ne se conçoit pas sans
interactions sociales.
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Pour Piaget, le développement précède l’apprentissage. Vygotsky critique cette position
car selon lui : « L’apprentissage est susceptible de contribuer au développement »
(l’apprentissage ne doit pas se situer au niveau de développement atteint par l’enfant MAIS à son
niveau potentiel de développement).
S’appuyant sur cette idée Vygotsky propose le concept de ZDP qui est : « La différence
entre le niveau de résolution de problèmes sous la direction de et avec l’adulte et celui atteint
seul ». La ZPD est un « espace potentiel de progrès » : ce que l’élève peut réaliser avec aide
aujourd’hui (en collaborant avec autrui, ses pairs et/ou l’enseignant, il pourra le réaliser seul
ultérieurement.
Etayage : ensemble des interactions de soutien et de guidage mises en œuvre par l’adulte
ou un autre tuteur pour aider l’enfant à résoudre seul un problème qu’il ne savait pas résoudre
au préalable.
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2. Dans la conduite des interactions en classe, une des dimensions importantes est de
« centrer l’attention des élèves sur les caractéristiques de la situation qui sont
importantes ».
3. Il est fondamental qu’une place soit faite à la parole des élèves, même quand elle est
erronée.
PRÉAMBULE
A. LA PÉRIODE DE L’ADOLESCENCE
S’il est relativement aisé de déterminer le point de départ de l’adolescence, il n’en va pas de
même pour convenir de son point de clôture. Selon les spécialistes du développement humain,
cette période de transition s’achève lorsque l’individu s’engage dans l’âge adulte.
Mais quels critères permettent de considérer quelqu’un comme « engagé dans l’âge
adulte » ?
1995 : avoir quitté l’école, avoir accédé au marché du travail, s’engager dans une vie de
couple, avoir quitté la famille pour adopter un habitat indépendant et, signe ultime de la
maturité adulte, devenir parent à son tour et prendre en charge la génération nouvelle
Aujourd'hui : 23 ans, toujours ado ? Non! Ce sont des jeunes adultes qui ont réalisés les
tâches de l'adolescence. Ils ont une forme d'autonomie, et s'engage dans la vie
professionnelle et de couple.
Phénomène des tanguys
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- 15-17 ans : dominée par les modifications de la vie sociale et relationnelle
- 18-20/21 ans : dominée par la consolidation de l’identité
Chacune de ces trois étapes implique des réaménagement afin d’intégrer ces changements dans
une construction nouvelle. L’adolescent doit réaliser une série de tâches développementales au
cours d’une même étape afin de faire face à ces nouveaux enjeux psychologiques et sociaux.
Pour certains adolescents, vivre ces changements pubertaires n’est pas chose facile. Ces
modifications modifient l’image corporelle de l’adolescent et peuvent avoir des répercussions
psychologiques et sociales.
- Difficulté de s’adapter aux transformations physiques de leur propre corps
- Nouvelle morphologie rend l’adolescent méconnaissable à des personnes proches
mais aussi à lui-même
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- Il ne sait plus qui il est, qui il est entrain de devenir
- Passe son temps devant le miroir (complice/ennemi)
Piaget estimait que la plupart des adolescents accédaient à la pensée formelle mais des
recherches ultérieurs montrent que de nombreux adolescents et adultes ne savent pas résoudre
les problèmes proposés par Piaget. débat sur l’universalité de la pensée formelle.
Consensus : tous les adolescents et tous les adultes ne souffrant pas de déficience intelectuelle
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seraient dotés d’une capacité formelle, mais seuls ceux dont le style de vie l’exige en
maîtriseraient réellement l’usage.
Rôle de la scolarisation est essentielle :
Sous-estimé par Piaget qui mettait le développement avant l’apprentissage
Pour Vygotski l’apprentissage précède le développement rôle indéniable de
l’éducation dans le développement de la pensée
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Chaque stade possède une cohérence interne et précède un autre stade dans une progression
unidirectionnelle. Tous les individus ne passent pas par les 6 stades mais caractère immuable et
universel.
Bee et Boyd expliquent que les résultats de Kohlberg, confirmés par d’autres recherches,
mettent en évidence des liens entre âge et niveau de raisonnement moral :
Raisonnement moral pré-conventionnel (stade 1 et 2) : élèves du primaire + jeunes
adolescents
La morale conventionnelle (stade 3 et 4) : adolescents et majorité des adultes
La morale post-conventionnelle : rarement même chez les adultes
Liens entre la forme de raisonnement appliquée aux problèmes moraux, les choix moraux dans
la vie réelle et les comportements développés. Intensité des liens évolue avec les niveaux de
développement moral.
Construction identitaire = une des tâches centrales de l’adolescence : quête d’une identité
propre et d’une indépendance envers ses parents.
Adolescence = période de réflexion sur soi : qui sui je ? que serais je ? qui devrais je petre ?
qu’est ce que je vaux ?
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Rejeter les identifications antérieures associées aux objets parentaux
S’engager dans la reconstruction de son identité par la quête d’un nouvel idéal du moi,
d’une image satisfaisante de soi-même (réassurance narcissique)
Identité globale formée de plusieurs composantes, chacune pouvant se situer à des niveaux
d’évolution variable (pas exhaustif) : Identité professionnelle, sexuelle, religieuses, quant au
style de vie, sur le plan amical, récréative, amoureuse, politique, intellectuelle, culturelle, …
Sachant qu’ils sont sur le point d’assumer les rôles de l’âge adulte, les adolescents réexaminent
leur identité et reconsidèrent les valeurs de leurs parents et de leur culture : acceptent certaines
et rejettent d’autres. Harmoniser ces aspects d’eux-mêmes avec les croyances acquises
dans le passé et avec leurs rêves d’avenir (continuité et projection).
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