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UNIVERSITÉ ,,AL. I.

CUZA’’
FACULTÉ DES LETTRES

MÉMOIRE DE LICENCE

LA CONCESSION
EN FRANÇAIS ET EN ROUMAIN

Coordonateur :
Conf. Dr. OANA POPÂRDA

CANDIDAT:
TEREZA BUIUM-FURTUNĂ

IAŞI
2003
SOMMAIRE

1. Avont-propos
2. Perspectíves linguístiques sur la concessíon
3. Traíts comnuns de la proposition concessíves en
français et en roumaín
4. Traíts différents de la proposition concessives dans les
deux langues

4.1. Propositions concessíves ìntroduites par maís,


et
4.2. Propositions concessíves-résultat de la
négatíon de la cause réelles hypothétique,
írréelle (si, les extensíon de si)
4.3. Les connecteurs mixtes
4.4. Les relatíves à valeur indéfinie

5. Conclusions
6. Bibliographie
Avant-propos

Vu l’essor des sciences humaínes, débattre un problème de grammaire, il


sembleraít un jeu d’enfant.
Mais, si on dépasse cette frontière strictement syntaxique on va découvrir
un domaíne tout à fait díversifié. Si on essaíe de chercher tous les rapports avec
les autres scìences linguistíques dans les langues de la même famille on se
reudra compte que le problème de la concession n’est pas símple.
Il y a beaucoup de locuteurs quí n’aperçoívent que la valeur d’usage de la
langue qu’ils parlent. Ils peuvent seulement comprendre et être compris, sans
jamaìs faíre des conexìons et parfoís, sans connaître les ìnstruments
grammmatícaux dont ils font usage dans la communìcation.La langue devient
pour eux un simple instrument pour informer on pour être ìnformés.
Je veux faíre connaître le mécanisme de la langue en ce qui concerne les
rapports de la subordination dans la concessíve.
Je me suís proposée d’étudier et d’analyser le problème de la concessíon
dans deux langues de la même famìlle: le françaís et le rommain. Je veux aussí
soulìgner tous les traits communs et bien sûr, les traits distinctifs quí s’ímposent
en analysant la phrase concessíve dans la langue françaíse en rapport à la
langue roumaíne.
Ce sont les aspects les plus ìmportants que j’espère avoir atteìnts.
Le poínt de vue des linguistes

Les analyses de linguistes ont essayé de surprende les aspects


essentíels du fonctíonnement des énoncés concessifs. G. Ivănescu précíse ,,les
propositions causales et hypothétiques sont des jugements quí affirment
l’existence d’un rapport nécessaire entre deux choses, entre deux faits. Les
négatives de jugements et des phrases causales et hypothétiques devraíent nier
le papport d’implication entre deux faits’’.
Kr. Sandfeld dans Syntaxe du français contemporain identifie deux
catégoríes enregistrés sous le nom d’énoncés concessifs. La première catégorie
vise la suppresion de la cause exprímée dans l’autre parte de la phrase à
laquelle appartient la proposítion concessive et la deuxíème concerne la
suppression de la condítíon exprimée dans l’autre partie de la phrase à laquelle
appartient la proposition concessive.
On suppose que ce terme–de proposition concessive a été lancé au XIX-è
siècle. Mois chez Grevisse ce terme subsistait à côté du terme ,,proposition
d’appositíon’’.
La Grammaire Larousse remarque le rapprochement entre les
subordonnées d’opposition et celles causales, temporelles, hypothétiques.
Ce rapprochement est analysé et approfondi par G et R.Le Bidois; entre
les termes de concession et d’apposition il y a une différence théorique et une
similitude pratique. Les auteurs utilisent le terme de concessive-appositive.
Dans sa demarche Petar Guberína dans Valeur logique et valeur
stylistique des propositions en français et en serbo-croate se propose de
distanguer an-delà des expressíons concessives de nombreuses nuances parmì
les subordonnées. Il choisit le terme de ,,subordination brisée’’ aìnsì justifié:
,,dans les concessives, la cause existe et elle a la capacité de produire un effet
émanant de sa valeur (…).
Mais dans le cas donné cette cause n’a pas produit sa conséquence
logìque : elle a été emêchée par d’antres faits matériels on physique: cette cause
a été brisée. Tandis que dans le cas de subordination des idées était de cause à
conséquence dans les concessives, le rapport est d’une ,,cause à une
consíquénce innatendue.’’
Il y a toujours un parrallélisme entre les concessives et les causales d’où
résulte une classificatíon des expressions qui contiennent les concessives
suivant les catégories de réel, possible, irréel.
La phrase concessive connait une gamme varié de réalisateurs qui vont
en francais du syntagme nominal à la phrase complexe, en passant par les
constructions inversives, pour ne pas rappeler les diverses articulations du
discours qui opèrent au niveau, des relations entre phrases.
La phrase concessive est définie par T. Cristea comme ,,une
macrostructure qui contient une proposition principale qui indique un fait dont la
réalisation aurait pu être empêchée par le fait mentionnée dans la proposition
subordonnée, fait qui normalement devrait exclure le fait principal.
Cette phrase complexe comporte donc une proposition principale et une
autre dépendante, introduite par un subordonnant sans que la proposition
dépendante contienne l’idée d’intensité.
Les propositions concessives proprement – dites sont introduites par:
quoìque, bien que, malgré que, encore que. Pour rendre l’idée de concession,
celle-ci utilisent troís procédés auxquels l’on ajoute une intonatíon spécifique et
la possibilité de nuancer à l’aide de l’alternance ,,indicatif/subjonctif’’. Les trois
procédés sont:
L’existence d’une conjonction concessive;
L’ordre des termes;
L’aspect sémantique des segments propositionnels.
Ces facteurs ne constinent pas un critère de regroupement des
propositions concessives mais sont à analyser chaque fois que leur apparition
est décisive pour le caractère global de l’énoncé.
Les constructions concessives sont, premièrement un résultat de la
négation de la cause réelle, le caractère concessif ètant présent, tout
premìèrement dans la locution concessive. Les conjonctions ou locutions
conjonctives proprement-dites sont nommées aussi, par Grevisse ,,mots de
liaison.’’
La proposition adverbiale de concession du point de vue de Grevísse
indique qu’il n’y a pas la relation logique attendue entre le fait qu’elle exprime et
celui qu’exprime le verbe principal. Elle énonce notamment une cause non
efficace, contrariée qui n’a pas en l’effet que l’on pouvait prévoir.
Dans le cas de bien que, la valeur concessive est détaíllée. Dans
l’exemple:

Bien qu’il change d’état, il ne change point d’âme, l’on a:


Il change d’état, c’est vrai-concession et.
Il ne change point d’âme-apposition.
L’effet concessif subsíste également dans le cas d’un ordre des termes
qui sépare, dans la phrase, les deux composantes de la locution.
Bien, je l’écris, qu’avec l’intention le plus noble.
Chez T. Cristea la locution bien que peut figurer dans des structures qui
présentent la réductìon en surface du verbe être.
Bien que de meilleur apparence (…) la construction, visiblement du même
âge que toutes les autres, offrait la même architecture simplifiée…. 1
Eu ce qui concerne ce locution concessive Grevisse remarquait la
confusion fâcheusse de bien que et de quoi que, due à l’homonymie avec
quoique qui est moins rare qu’on ne croirait. Cela s’observe dans l’exemple
suivant:
Aucune femme bien qu’elles prétendent, n’étant indifférente à la beauté
physique et à la gloire2.
On lui donna un pourboire, bien qu’il ne le méritât pas3.
La locution bien que introduit un grand nombre de propositions
concessives dans le roman Thérèse Desqueyroux de Fr. Mauriac.

1
Robbe-Grillet apud T. Cristea, pag. 347
2
Maupassant, apud T. Cristea, I, pag. 37
3
M. Grevisse, Le bon usage, pag. 1624
Lui – même subissait alors les premières atteintes d’une
obsession si commune aux gens de sa race bien qu’il soit rare
qu’elle se manifeste avant la trentième année 4.
Il faudrait que Bernard comprît qu’à cette époque elle était
très éloignée de la haïr bien qu’ il lui parût souvent méchant5.
Bien qu’il fredonnât parfais un refrain de Béranger, il
ne pouvait souffrir qu’on touchât devant lui à certains sujets,
devenait porpure comme un adolescent 6.
On a trouvé dans ce roman en total onze exemples de propositions
concessives introduites par bien que
On trouve aussi malgreé que pour bien que.
J’ai la tête froide, malgré qu’on en dise7.
Malgré que figurant dans une construction combattue, pourtant sa
fréquence apparaît comme étant entraîné par malgré prépositionnel:
Malgré qu’il m’en coute, je ne refuse pas de retourner dans le monde 8.
Malgré que a été formé sur la préposition malgré, d’après le modèle de
nombreuses locutions conjonctives correspondant à des prépositions (avant que,
après que, dès que, sans que).
Malgré que a appartenu d’abord à l’usage populaire. La locution n’a plus
ce caractére, comme le montrent les exemples suivants (où l’on remarquere le
subjonctif imparfait).
Malgré que fusse mal satisfait de mon arrestation il y mit de
la courtoisie.
Malgré que je ne le puisse imaginer9.
Elle vit Jacques d’une mauvrais œil, malgré que10 du son
côte elle trompât Lazare avec un peíntre.

4
Fr. Mauriac, Therese Desqueyroux, pag 75
5
Ibid, pag. 78
6
Ibid, pag. 79
7
G. Sand apud T. Cristea, pag. 364
8
Kr. Sandfeld, apud D. Popârda
9
Vigny-Ciuq Mars, XXV apud M. Grevisse
10
A. France, Coime de S. Bonnard, pag. 98 apud M. Grevisse
On a observé la mobilité de cette construction pour bien que qui apparâit
lorsque la proposition est coordonnée avec un substantif introduit par malgré.
Celui-ci ne se repète pas, normalement, dévant que.
Malgré mes larmes et que jè puisse en mourir11.
Ce qui signifie qu’on combine malgré avec deux régimes différents. Cette
utilisation de malgré que n’a rien de commun avec malgré que j’en aie où que est
équivalent à quelque mauvais gré que j’en aie (un archaïsme réactualisé, de
temps en temps par la langue littéraire).
Tout est sains aux sains, malgré qu’en aient ceux que
vous entendez parfois12.
Selon les grammariens puristes la concessive introduite par malgré que
ne devraient pas s’emplayer qu’avec le verbe avoir : malgré qu’il en ait. L’emploi
de cette locution avec de verbes que le verbe avoir est pourtant assez fréquent.
Malgré que cela ne puisse vous servir à rien, je veux
bien vous le prêter.
Une autre locution conjonctive est encore que qui, marquant initialement,
le fait que l’obstacle nié a une certaine importance, s’emploie encore dans la
langue littéraire.
Auprès d’elle, Gontran bavarde volontiers, encore qu’il ne
puisse parler avec elle de presque rien de ce qui lui tient à coeur 13.
Souvent la proposition qu’il introduit suit le verbe principal et exprime une
réserve faite après coup, comme le montre éventuellement la ponctuation:
Rien de ce qui pousse à la révolte n’est définitivement
dangereux encore que la révolte puisse fausser le caractère14.
La locution quoique et considerée la plus soudée des locutions
envisagées. En rapport avec bien que elle a une fréquence d’emploi plus grande
et un fonctionnement quasi-identique. Cela, parce qu’il est ,,plus abstrait plus
employé, sauf s’il y a dans le voisinage un conjunctif (qui, que, quoi) qui
risquerait de produire une suite de sons désagréables. Bien que est consideré
11
A. France, Coime de S. Bonnard, pag. 98 apud M. Grevisse
12
Vigny-Ciuq Mars, XXV apud M. Grevisse
13
Gide, Faux monnayeurs, I, 12
14
Gide, Faux monnayeurs, I, 12
plus littéraire que quoique qui a la tendance de devenir un espèce d’adverbe,
dans le langage familier, en perdant sa valeur subordonnante.
Je n’irai pas, quoique je suis très tenté d’y aller, malgré ma fatique.
On va m’emmener dans le Midi. Ce qui serait chic quoique cela me
fera manquer un arbre de Noël15.
Quoique est analysé comme un équivalent de pourtant, cependant a
course de la courte pause intonatoire qui suit cette conjonction.
La pause intonatoire est très inportante parce que la proposition
concessive peut être introduite après une petite pause, comme une restriction ou
une correction par rapport à ce qui a été déjà dit cependant et pourtant et se
construisent aussi bien avec l’indicatif qu’avec le subjonctif, parfois avec un
cependant ou pourtant intercalés:
Oui, dit-elle, il va bien. Quoique, cependant l’air d’Etretat soit
peut-être un peu vif pour cet enfant16.
…une fois atteinte, l’arrête mi-roche mi-neige, (…) ne serait
pas trap difficile à gravir quoique très raide17.
…Thérèse la veillant nuit et jour quoiqu’elle parût à bout de
forces et qu’elle fût incapable de rien avaler 18.
Pourtant ,,une conclusion, il y en aura une […] mais si
compliquée si tourneboulé roman d’espionnage, que c’est
pire que s’il n’y en avait pas eu.
Pourtent comme tu devins pâle cette nuit où apperçus que
nes jambes étaient inertes insensibles19.
Pourtant ce n’est pas lui que Thérèse, les paupières baissés
la tête contre la vitre du wagon20.

15
M. Proust apud O. Popârda, pag. 112
16
Kr. Sandfeld, Syntaxe du français contemporain
17
B. Pierre apud T. Cristea, Gramm. Structurale du fr. contemporain
18
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueuroux, Magazine literaire no. 410, june 2002, pag. 114
19
ibid pag. 25
20
ibid, pag. 33
…pourtant je ne suis qu’une novice auprès de toi: aussi
suis-je bien sûre que tu seras avec nous contre ceux que
nous font du mal21.
Les maladies les plus redoutables pour la race ne sont-elle
pas secrètes par déffinition ? nos familles n’y songent
jamais, elles qui s’entendent si bien, pourtant, à recouvrir, à
ensevelir leurs ordures.
Elles n’ose espérer qu’il consente à cheminer à pas si lents
sur cette route tortuesse; pourtant rien n’est dit de
l’essentiel22.
Pourtant Mme de la Trave supportait mal, chez Thérèse,
cette affectation de ne pouvoir souffrir… 23
Pourtant vers la mi-août […] Pédemay, lui-même souhaita
l’avis d’un de ses confrères24.
En ce qui concerne cependant que on peut observer que : ,,Cette
conjonction composée gouverne d’ordinaire l’indicatif, mais la liberté des
locuteurs reste entière.’’
Nonobstant que est une locution rarement utilisé ete exclusivement dans
la langue littéraire, registre juridique ; tout comme en depit que.
Et chacun de ces êtres nonobstant qu’ imitaient dans les
grandes lignes la desinvolture des baigneurs de casino,
étaient éperdument occupé par l’obsur mystere de ses
poumons25.
Mois en dépit qu’ils en aient ils sont bien forces d’avouer le
succés de Tartuffe26.
…il avait maintes fois constaté dans la paratyphoïde un
pours calme en dépit d’une forte fièvre27.
21
ibid , pag. 52
22
ibid, pag. 63
23
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueuroux, Magazine literaire no. 410, june 2002,pag. 63
24
ibid, pag. 108
25
H. Barbause apud M. Grevisse
26
M. Michaud apud M. Grevisee
27
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueyroux, pag. 10
L’apparition de la locution concessive tout de même est considéré par Kr.
Sandfeld comme un fait isolé, d’usage enfantin:
J’vous aime bien, allez, m’sien l’able, tout de même que j’suis méchant.
Mais la locution se toouve aussi dans la langue littéraire:
Tout de même, l’explication qu’elle a donné : cet inconnu qui
lui remet une ordonance….28
Comme elle lui demandait s’ils arriveraient assez tôt pour le
dernier train, à la gare de Nizou, il la rassura: tout de même
mieux volait ne pas s’attarder29.
C’est tout de même étrange qu’il ne trouve pas le moyen de
faire passer un mot30.
…un monstre, sans doute ; tout de même on a beau dire31.
L’immense rumeur des pins emplissait Argelouse mais en
dépit de ce bruit d’océan c’est tout de même le silence
d’Argelouse32.
Vous n’espériez tout de même pas qu’on allait vous la
laisser ?33
Tout de même, sois prudent, ne te fixe pas trop à elle34.
On observe que le fonctionnement des énoncés structurés par des
connecteurs mentionnés met en évidence, dans tous le cas, une cause
considérée comme réelle, mise en rapport avec un effet qu’elle devrait annuler
mais qu’elle ne peut empêcher.
Selon T. Cristea l’idée de concession est incidente à un élément verbal où
a un élément prédicatif-qualité ou identité. La valeur et le fonctionnement
concessifs au niveau endophrastique de ces connecteurs, les transforme en ,,Dt
prépositionnels de concession, sans modifier les jugements qui apparaissent
dans l’analyse logique, mais au contraire en la confirmant.
28
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueyroux, pag. 112
29
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueyroux, pag. 12
30
ibid, pag. 67
31
ibid, pag. 132
32
ibid, pag. 155
33
ibid, pag. 127
34
ibid, pag. 167
Dans le cas où plusieurs propositions concessives sont coordonnée, l’on
répète, le seul que pour tout le groupe de conjonctions et locutions
conjoctionnelles mentionées.
Bien que les jongleurs soient en pleine décadence, qu’ils aient délaissé la
grande poésie et que le terme ne représente guère plus ce qu’il signifie
aujourd’hui, le genre qu’ils ont pratiqué, à savoir le monologue dramatique et le
35
sermon joyeux, restent en honneur ; bien qu’il soit venu et qu’il ait vu.
Dans le cas des conjonctions « jumelées » ou « doublées », le premier
terme garde sa valeur copulative, alors que le second acquiert une valeur
affective : et, pourtant, mais par contre, bien que cependant.
L’homme qui revêt un costume inhabituel, même par jeu,
même pour une heure, éprouve, qu’il le nie ou l’avoue, le
36
sentiment de multiplier son être.
Dans les propositions introduites par bien que l’omission du sujet et du
verbe être peut conduire à des constructions raccourcies, du type:
Bien que libéral l’origine et de tendance, il plut à l’Empereur
par son application.37
La proposition complete et la forme raccourcie peuvent se combiner.
Ses jouissance étaient infinies, encore d’ailleurs que tout
intimes et qu’à peine un soupçon de rire le trahit 38.
Lorsque le verbe est à un temps composé, le sujet et le verbe être
peuvent être remplacés par le participe pe présent.
Bien qu’ ayant vécu chez eux /…/, tu connais mal ces
ennemis du geure humain39.
D’après les grammaires puristes, malgré que appartient à cette même
catégorie et elle ne devrait se construire qu’avec le verbe avoir.
Quoique, bien que, encore que peuvent être utilisés également sans
verbe à un mode personnel. Les enquêtes effectuées par M. Cohen, sur le

35
M. Grevisse, Le bon usage
36
J.C. Chevalier, Grammaire Larousse du français contemporain
37
A. France. Apud. T. Cristea pag. 347
38
Courteline, apud O. Popârda
39
A. Prance, apud O. Popârda, pag 78
français eléméntaire, mettent en évidence le fait que les subordonées
concessives introduites par ces locutions sans mentioner même : malgré que,
quand même que, tout de même que sont très rares, à la différence de celles qui
comportent quand même, tout de même,nombreuses dans les constructions par
juxtaposition. Cette frequence reduite s’explique par l’effort qu’implique la
construction par bien que, quoique ; mais la quantité considérable d’informatión
concessive que renferment ces conjonctiones assure, d’une part, leur résistance
dans la langue. C’est toujours Cohen celui qui a constaté que: ,,Des
subordonnées diverses jouent le rôle de compléments circonstanciels, introduites
par des subjonctions ou locutiones subjonctives composées de que et d’autres
éléments qui sont en partie des prépositions, lesquels servent précisément à
introduire des compléments circonstanciels dans les propositions. Ces
prepositions subordonnées à verbe conjugué peuvent être supplées, comme les
complétives, par des éléments nominaux, différents suivant les catégories de
sens. Les questions de corres pondance se posent, comme pour les propositions
completives.
L’indicatif, le subjonctif, ou le conditionnel peuvent être utilisés, avec un
sujet commun ou différent, dans les deux propositions du systeme. Les
restrictions qui apparaissent sont également dues à l’emploi relativement
fréquent des participes avec quoique, bien que, encore que et à la posibilité
d’omision complète du verbe.
Il partira en voyage, quoique étant encore malade.
quoiqu’ayant été opéré récemment.
quoique mal remis de sa maladie.
On constate ainsi que le présent du subjonctif intervient ,,normalement’' a
près ces locutions:
Je l’accepte, bien qu’il me déplaise.
L’indicatif apparaît lorsque l’on insiste pourtant sur l’intensité de la cause
niée ;
Les victimes sont abandonnées sur place quoique le génie
ne se repaît que de leur sang.
Pour l’imparfait de l’indicatif on a l’exemple suivant :
Il voulut disculper de l’intention d’un tel acte, bien que avec
son bon sens populaire patriote èt le jugeaît inopportun.
Pour le passé composé :
Il n’est pas de de notre côté, quoiqu’il a changé, je crois, ces
derniers temps.
Le passé simple :
…les difficultés furent moins grandes, quoiqu’elles ne furent
pas minces.
Le futur s’observe dans l’exemple suivant :
Le sens du divin lui échappera toujours, bien qu’il en parlera
sans cesse.
Le conditionnel :
Il ne s’inquiétait pas trop du lendemain bien qu’il aurait eu
bonnes raisons pour cela.
Dans la sphère du subjonctif dans la langue écrite et aussi orale le
présent est employé le plus sounvant ; l’imparfait est exceptionnel en relation
avec un présent dans la principale. L’explication donnée par Damourette et
Pinchon en ce qui concerne l’emploi de l’indicatif et/ou du subjonctif dans les
propositions qui comportent quoique, bien que est la suivante : ,,quand on veut
indiquer que le protagoniste prend entièrement à son compte d’assertion du fait,
l’indicatif apparaît. Quant à l’emploi du subjonctif il serait inexplicabile si l’on
voulait s’en tenir à l’idée que le subjonctif fût le moeuf du doute […] certes,
l’existence de formes distinctes à l’indicatif et subjonctif n’assure pas entre elles
une opposition significative puisque l’on remarque que le subjonctif est somis à
un conditionnement syntaxique repérable au niveau de la transformation
subordonnée de deux propositions minimales.‘’
Le conditionnel apparaît à son tour, comme une exception, dans le cas ou
la proposition concessive dépend d’une condition :
Ma fille, je ne t’empêcherai pas de parler, quoique le mieux
serait si tu as une confession à faire, d’appeler le père
Théodose40.
En général , M. Grevisse considerait que : ,,Le verbe de la proposition
d’opposition se met au subjonctif dans la plupart des cas, même d’une manière
générale, quand il s’agit d’un fait réel ; l’indicatif pour marquer la réalité, ou le
conditionnel pour marquer l’éventualité.’’
Celon T. Cristea, si la concession parte sur un fait non réel, le français se
sert des relateurs même si suivis de l’indicatif, quand même, quand, alors même
que, suivis du conditionnel.
Mais, même si ses yeux restaiant ouverts jusqu'à la dernière
minute, sa mort lui échapperait41.
Nous finirous toujours par nous tirer d’affaire quand bien
même il nons faudrait emprunter.
Le tour inversif, construit avec le conditionnel exprime la même valeur
sémantique de concessive virtuelle :
Pauvre tante Rosie, lui aurait-on raconté cette historie
qu’elle n’y aurait rien compris42.
Si la concession est incidente à un Prédicatif elle se realise au moyen de
formant discontinus.
Pour le Prédicatif considéré comme réel ou se sert de la locution tout…
que suivie du mode indicatif :
Je me rappelle que, tout bambin que j’étais, jè sentais à ma
façon (…) que cette poupée manquais de grace 43.
L’auteur remarque que dans cette locution à formant discontinu, dont les
éléments sont dissociés par un Préd adjectif ou nom de quantité tout est
invariable avec un nom masculin pluriel :
Tout princes que vous êtes
et varie avec un nom féminin qui commence par une consonne :
40
O. Popârda Les constructions concessives en français
41
S. De Beauvoir apud T. Cristea
42
Charles-Roux apud T. cristea
43
A. France apud T. Cristea
Toute femme qu’elle est
de même qu’avec un adjectif.
Toutes raisonnables qu’elles sont.
Pour exprimer une concession portant sur le procès irréel on utilise les
relateurs suivants :
- avec une idée de quantité (intensité) : tout, quelque, aussi (si),
pour suivi d’un adjectif, l’adverbe que.
Enseigner le sicilien aussi étrange que cela puisse paraître,
n’est pas une tâche à confier à un illettré 44.
Une arrête pour impressionante qu’elle soit à cette altitude
constituera en effet une voie relativement sûre 45.
La même nuance concessive peut être rendue au moyen du tour inversif,
quelquefois en présence d’un si adverbial de quantité.
J’aimerais à vous voir généraux hardi, prêt à accepter tout
reforme juste, fût-elle contraire à vos intérets46.
Pour exprimer une concession portant sur le procés irréel ou utilise les
relateurs suivants, avec une idée d’identité : quelques+nom+que, quel (et varie
de genre et de nombre que+être, quique, quoique, où que.
Quel que soit l’objet, les règles sout les mêmes47.
Quelle que fût ma décision, c’était toujours toi que je
trahissais48.
Je ne suis venu dans l’aujourd’hui de coclure quelque
marché que ce soi avec vous49.
Chez nous, c’est impossible à qui que ce soit…50
Elle est assurée d’en sortir quoi qu’il arrive51.

44
Charles-Roux apud T. Cristea
45
B. Pierre apud T. Cristea
46
Maurois apud T. Cristea
47
Maurois apud T. Cristea
48
S. De Beauvoir apud T. Cristea
49
Femmes d’aujourd’hiu, no 1520,1974
50
Simeon apud T. cristea
51
Mauria C. Apud T. Cristea
Où que vous alliez, quoique vous fassiez, votre enfance
vous rattrapera toujours par la manche52.
La forme modale que l’on emploie dans ces structures est le subjonctif.
Construite avec le subjonctif la concessive exprime un fait qui n’est pas passé
parce qu’ a été substitué par celui énoncé dans la principale.



Dans la langue romaine la concessive est une preposition subordonnée


qui correspond au complément concessif, elle détermine aussi un régent de
premier degré (verbe, adjectif, adverbe, interjection) et un régent de deuxiéme
degré (nom, pronom, numéral à valeur pronominale) et montre par raport au
régent de premier degré où se trouve la concession – qui ou quoi devait
empêcher la réalisation de l’action ou de la caracteristiqoe déterminée mais ne
l’empêche pas :
Eu nu-i înţeleg pe cei cu suflet rău, chiar dacă am fost lovit
de unii dintre ei (je ne comprends pas les personnes
malveillantes même si j’ai été affligé par certains d’entre
eux.)
Tânărul nu se recunoaşte învins , cu toate că a pierdut de
multe ori (le june homme n’admet pas être vaincu, bien qu’il
aît perdu beaucoup de fois.)
Oamenii se poartă frumos cu şeful, deşi nu au nici o
obligaţie faţă de el (les gens se conduisent bien avec leur
chef, quoiqu’ils n’aient aucune obligation envers lui.)
Le rapport de subordination entre la proposition concessive et le ,,régent’’
s’établit d’habitude par jonction et plus rarement par juxtaposition.
La jonction de la concessive avec son ,,régent’’ est marquée par les
éléments suivants:
a. des conjonctiones à spécialisation absolue

52
Charles-Roux apud T. Cristea
- deşi (bien que) ; cu toate că (quoique) ; chiar dacă (même si) ;
măcar că (bien que) chit că (même si) etc.
Dans certains ouvrages de spécialité, on affirme parfois que la fonction de
concessive est concrétisée dans un adjectif, adverbe ou nom précédes par la
conjonction deşi (bien que), la préposition deşi (bien que), l’adverbe chiar
(même) ou qui n’est pas précédée (cette fonction de circonstanciel concessif) par
l’un de ces éléments comme dans les exemples suivantes :
O văzurăm atât de frumoasă, deşi palidă53.
Ea răsuflă adânc, deşi i încet…54
Felix, deşi la începutul studiilor….înţelesese….55
Şi chiar mort, oasele mele se vor bucura…de isprăvile tale 56.
Nene, moartă, tăiată, nu mai stau cu mitocanul… 57
Quent aux adjectifs, adverbes et noms des contexts d’au dessus les
opinions variant : dans la première partie d’édition de Grammaire de l’Académie
et chez Irimia (Grammaire on trouve que les adjectifs, adverbes et noms
respectifs représentent la fonction de concessive au niveau de la proposition);
dans la deuxième édition de la Grammaire de l’Academie on exprime l’idée que
les adjectifs, adverbes et les noms ont la fonctíon de compléments concessifs au
niveau de la phrase, c’est-à-dire des propositions concessives ,,soit elliptiques
de pr3dicats, soit nominales, avec la prédicat exprimé seulement par l’attribut de
nom.’’
A notre avis les structures auxquelles on nous rapporte, n’ont pas toutes
la même résolution. La présence ou l’absence de l’adverbe chiar ou du
pseudoadverbe emphatique chiar devant l’adjectif, l’adverbe ou le nom n’a pas
d’influence sur le niveau (proposition ou phrase) auquel on réalise la fonction
n’appartinent ni aux éléments de relation, ni au type des prépositions (qui
établissent le rapport de subordination dans la propositions) ni au type des

53
C. Negruzzi apud C. Dimitriu, pag. 328
54
M. Eminescu apud D. Irimia, pag. 455
55
G. Călinescu apud C. Dimitriu, pag. 281
56
P. Ispirescu apud C. Dimitriu, pag. 146
57
I.L. Caragiale apud M. Avram, pag. 146
conjonctions (qui établissent des rapports syntaxiques de différentes types au
niveau de tous les unités syntaxiques).
En plus, quand chiar est pseudoadverbe emphatique, il ne remplit ni la
fonction syntaxique ni la fonction de marque, étant une partie de proposition à
fonction exclusivement expressive. D’ici s’ensuit le fait que les adjectifs les
adverbes et les noms dont ou s’occupe peuvent apparaître seulement dans deux
types de structures:
- précédés par le mot deşi (bien que) considéré conjonction ou
préposition ;
- non précédés par deşi – on encadre ici les adjectives, adverbes
et les noms devant lesquels on trouve l’adverbe/pseudoadverbe
emphatique chiar.
De l’autre câte, du cadre des parties il faut détacher les adjectifes qui ne
sont pas précédés par le mot deşi qui-indifférement des ,,structures initiales’’
auxquelles elles doivent avoir appertenu-dépendent maintenant simultanément
d’un régént verbal (avec lequel il a des liaisons seulement sémantiques), et d’un
régent nominal (avec lequel il a des liaisous aussi sémantiques dans l’accord en
genre, nombre et même cas avec le régent nominal respectif). Les adjectifs
respectifs remplissent la fonction d’attribut complétif :
- chiar mort [ ,,accordé’’ avec un ,,nom’’ masculin áu singulier
nominatif-acusatif] oasele mele se vor bucura ;
- moartă, tăiată [,,accordés’’ en genre, nombre et cas avec un
,,nom’’ féminin] nu mai stau cu mitocanul….
En romain surtout dans la langue parlée il y a outre les propositions
complétes avec toutes les parties de proposition qui ont des fonctions
syntaxiques exprimées, des propositions incomplètes où l’une ou plusieurs
parties de proposition qui ont des fonctions syntaxiques ne s’expriment pas, les
dernières peuvent être elliptiques, où il y a, mais ne s’exprime pas-partiellement
ou totallement - la partie de proposition qui a la fonction principale de sujet: des
restes de propositions concrétisées dans une ou plusieurs parties de
propositions avec des fonctions secondaries (attributs, complements etc.) où on
comprend le prédicat dans le contexte :
Ce citeşti ?
Un roman (citesc eu).
ou
Unde lapoviţează ?
La munte (lapoviţează).

b. Les conjonctions subordonnatrices universelles că, dacă, de lorsque


dans le contexte-surtout dans le language populaire et familier-peuvent être
commutés avec l’une des conjonctions à spécialisation absolue comme : deşi, cu
toate că, chiar dacă, etc.
Dacă (chiar dacă) port cu uşurinţă şi cu zâmbet a lor ură,
Laudele lor desigur m-ar mâhni peste măsură 58.
Dans le cadre des conjonctions subordonnatrices qui ne sont pas
spécialisées on note aussi fără (+subjonctif/infinitif) et fără ca (+subjonctif), qui
introduisent des propositions concessives négatives :
Fără să fie/a fi şef, se comportă ca un şef.
Fără ca el să le fe făcut vreun rău, ei îl duşmănesc profund 59.
Puisqu’elles out perdu leur sens lexical initial de lien, temps on maniére on
pourrait considérer toujours des conjonctions subordonnatrices les ex-adverbes
pronominaux relatifs où, quond, comment, lorsque, en introduisant des
propositions concessives, elle sont commutables avec une conjonction
subordonnatrice à spécialisation absolue pour la concessive comme : deşi, cu
toate că etc. :
El continuă să le facă bine prietenilor, când (= cu toate că)
ştie că unii prieteni îi fac rău60.

58
M. Eminescu apud C. Dimitriu, pag. 281
59
C. Dimitriu. Sintaxa, II, pag. 1463
60
C. Dimitriu. Sintaxa, II, pag. 1462
c. Certains pronoms/adjectives pronominaux indéfinis formés sur la base
des pronoms relatifs [oricine ( qui que), orice (quoi que)] etc qui se comporte
comme des jonctifs avec spécialisation absolue pour la proposition concessive :
Poţi zidi o lume-ntreagă, poţi s-o sfarâmi…
Orice-ai spune,
Peste toate o lopată de ţărână se depune 61.

d. Certains adverbes proximinaux indéfinis formés sur la base de ceux


relatifs (oricât, oricum) dans le cas desquels on peut parler aussi de
spécialisation absolue pour la proposition concessive.
….îndemnul tuturor celor care încă puţini, oricât i-ar deosebi
felul lor de luptă, este….62
Sur la juxtaposition à ,,règent’’ de la proposition concessive ou peut parler
de quatre types de ,,structures’’:

 si l’on accepte la prédicativité du gérondif quand le verbe-


prédicat/ de la structure du prédicat de la proposition
concessive est au gérondif, à condition que le mode du verbe-
prédicat ou le gérondif peut être commuté sans le changement
de l’intention communicative du sujet parlant accepte un jonctif
subordinnateur dans la phrase à spécialisatíon absolue pour la
concessive :
Lucrând (cu toate că lucrez) zi şi noapte, nu pot termina
volumul în timpul promis.
 Si l’on admet que l’impératif a aussi la III è personne, quand
le verbe-prédicat/de la structure du prédicat de la proposition
concessives est à l’impératif est commutable, tolère devant lui
un jonctif subordinnateur dans la phrase à spécialisation
absolue pour la concessive (deşi, cu toate că, chiar dacă etc.)

61
M. Eminescu apud C. Dimitriu, pag. 106
62
T. Arghezi apud C. Dimitriu, pag. 11
Aducă (chiar dacă aduce/ar aduce) el şi argumente logice,
pierde în faţa puterii.
 Si l’on apprécie que les ,,structures’’ où l’on n’exprime pas le
jonctif subordinnateur dans la phrase se sont généralisées et
sont devenues une nouvelle norme, quand le jocntif
subordinnateur dans la phrase résulte du contexte :
Eu (chiar dacă) am (chiar dacă) n-am clienţi acasă, la
unsprezece fix mă-ntorc din târg63.
 Si l’on soutient l’idée que să est marque pour le subjonctif,
quand le le verbe-predicat /de la structure du prédicat est un
subjonctif, à condition que le mode du verbe-prédicat avec
lequel ou peut remplacer le subjonctif respectif sans le
changement de l’intention communicative de celui qui parle,
accepte un jonctif subordinnateur dans la phrase à
spécialisation absolue pour la concessive :
Să fi procedat (chiar dacă ar fi procedat) altfel, rezultatul ar fi
fost neschimbat.
Note : Dans la littérature de spécialité (respectivement dans la
Grammaire de l’Accadémie, la Grammaire D’ Avram, la Grammaire de Irimia) les
propositions concesives sont partagées-en fonction des éléments introductifs qui,
parfois sont en rélation avec la caractère réel, possible ou iréel de ,,l’obstacle’’
qui aurait pu empêcher la réalisation de l’action ou de la caracteristique mais ne
fait pas cette chose-eu deux catégories :

- les prepositions concessives (réelles-chez M. Avram et aussi la


Grammaire de l’Accadémie utilise le terme de concessives proprement-dites ;
Irimia (Grammaire) revient au terme de réelles) qui s’introduissent pour les
concessives (deşi, cu toate că, măcar că etc.) mais aussi les universelles (dacă,
de, că etc.), en indiquant un ,,obstacle réel’’ :
Sfântul soare,dacă-i soare,

63
I. L. Caragiale apud C. Dimitriu, pag. 119
Şi tot după tine moare64

- les propositiones concessives iréelles ou conditionnelles (Avram préfère


le terme conditionnelles; dans la Grammaire de l’Académie on parle des
concessives hypathetiques) qui s’intraduisent aussi par des conjonctions à
spécialisation absolue (chiar de, chiar dacă, măcar de etc.) ou universelles
(dacă, de, etc.) avais indique un ,,obstacle réalisable ou irréel’’ :
Eu pe cinstea mea vă spun
De m-aţi bate toată ziua
Nici de dascăl n-aş fi bun !
L’existence de même ,,éléments introductifs’’ (de, dacă etc.) aussi pour
les ,,concessives réelles’’ que pour les ,,iréelles’’ ainsi que le fait que le mOde du
verbe prédicat ne permet pas la différenciation nette de ces ,,groupes’’
conduissent d l’idée que-sauf le temps du verbe-predicat-jusqu’ à présent-on n’a
pas trouvé des critères convenables pour la différenciation des concessives
réeles de celles iréelles. Cela veut dire que même la distinction des propositions
concessives en réelles et iréelles-représente pour le moment seulement un
objectif principal.
Tout aussi dans la littérature de spécialité on parle du fait que les
propositions concesives ont un corrélatif dans la propositions principale. Ce
carrélatif est représente par totuşi, tot, cu toate că.
Era pe la amiază şi, deşi carul toamnei sta să intre, pe sub cerurile
turburi de ploaie ale lui octombrie, totuşi ziua strălucea ca o zi de
primăvară65.
La proposition concessive avec corrélatif dans la proposion principale est,
en fond, une proposition apositive qui ,,traduit’’ les adverbes concessives
comme : totuşi, tot, cu toate acestea qiu se trouvent dans la proposition
principale.

64
Jarnik-Bârseanu apud Gramatica Academiei, pag. 326
65
Galaction apud Gram. Acad., pag. 284
Ştefania Popescu dans Grammaire pratique de la langue roumaine nous
donne une analyse plus simple de la phrase concessive, en commençant avec
la complément concesif :
Cu toată stăruinţa noastră, n-a primit propunarea.
Parfois, dans la proposition concessive, le verbe ,,être’’ (prédicatif,
copulatif ou auxiliare de la voix passive) n’est pas exprime:
Deşi vară, e incă răcoare.
Deşi mai mic, este mai înţelept decât tine.
Ces constructions ne doivent pas être confondues avec le complément
concesif. La conjonction de dépendance deşi montre qu’il s’agit d’une proposition
concessive, pas d’une complément concessif.
Le rapport entre la proposition concessive et la proposition présente les
caracteristiques suivants:
a. La circonstance exprimée par la proposition concessive aurait
pu empêcher la réalisation de l’action de la proposition
principale mais ne l’empêche pas cependant lui fait une
,,concession’’ en permettant la réalisation de l’action respective.
Le fait que am stăruit, aurait pu empêche le réfus de recevoir la
proposition mais ne l’a pas empêchée.
b. La proposition principale, en exprimant une autre action que
celle attendue on trouve face de la proposition concessive dans
un rapport comparable avec le rapport adversatif exprimé à
l’aide de la conjunction dar. La phrase se peut transformer dans
une autre phrase avec des propositions adversatives où
l’ancienne proposition concessive occupe la premier place :
Am stăruit, dar n-a primiti propunerea ;
N-a plouat de mult, dar câmpul este frumos
c. L’ordre normal des actions est le suivant :
1. l’action de la proposition concessive (am stăruit)
2. l’action de la proposition principale (n-a primit)
 La proposition circumstancielle concessive peut être introduite :

a. par les conjonctions ou des locutions conjonctionnelles


caractéristiques pour la proposition concessive : deşi, cu toate că, măcar că,
măcar de, măcar să, chiar dacă, chiar de, chiar să, şi (chiar) dacă, şi (chiar) de,
şi (chiar) să :
Deşi ştia despre ce este vorba, domn Toma se arăta mirat 66.
Dar eu nu te mai ţin minte, măcar că nu-i aşa de mult de
atunci67.
b. par les conjonctions dacă, de, să ;par des pronoms et des
adjectifs pronominales indéfinis : orice, oricare, oricâte et par les adverbes
relatifs cât, oricât, oricum.
Dacă (deşi) în multe privinţe erau deosebiţi unul de altul, în
altele se asemănau, ceea ce îi făcea prieteni buni 68.
Asta n-aş face-o eu, de-ar mai fi el pe cât este (chiar dacă ar
mai fi…)69.
Nu vrea să plece, orice i-aş făfădui (chiar dacă i-aş făgădui
orice)70.
Oricât de multe şi de mari ar fi fost deosebirile dintre noi,
erau câteva lucruri care ne legau pentru toată viaţa (chiar
dacă deosebirile ar fi fost oricât de multe şi de mari) 71.

 Les propositiones concessives ont dans la proposition principale,


l’adverbe corrélatif totuşi ou tot. L’adverbe corrélatif a le rôle de souligner le sens
concessif de la subordonée :
Oricât de tânără era Ileana, înţelese totuşi că taică-său
citea în sufletul eri…

66
M. Sadoveanu, Baltagul
67
M. Sadoveaunu, Nicoară-Potcoavă.
68
I. Slavici, M. Eminescu, I.L. Caragiale.
69
I. Creangă, Povestea lui Harap Alb
70
T. Argheyi, Alba
71
I. Slavici, Eminescu - omul
Tot vei învinge în luptă prin alţii,
Si dacă o să pieri72.
Dans n’importe quelle phrase avec des propositions concessives,
même si l’adverbe corrélatif totuşi, tot n’est pas exprimé, il peut être
introduit dans la proposition principale.
Chiar dacă e ger, ies la tăiatul copacilor.
Chiar dacă e ger, totuşi (tot) ies la tăiatul copacilor73.

 Pour ne pas confondre les propositions concessives introduites


par les conjunctions dacă ou de avec les propositions conditionnels, on
doit tenir compte des moyens de vérification du rapport concessif :
1. la possibilité de transformer le rapport concessif dans
un rapport de coordination adversative, realisé à
l’aide de la conjonction dar ;
2. le sens concesif des conjonctions dacă ou de (deşi
ou chiar dacă) ;
3. la présence dans la proposition principale de
l’adverbe corrélatif totuşi (tot)ou la possibilité
d’introduire dans celle-ci l’adeverbe corrélatif.

 Même si la locution conjonctionnelle măcar să est spécifique au


rapport concessif, cependant on ne doit pas se dépêcher à considérer la
subordonnée concessive chaque proposition dans laquelle le mot măcar
est suivi de la conjonction parce que ces mots ne représentent pas
toujours une locution concessive. L’adverbe măcar peut avoir le sens
restrictif ,,cel puţin’’ et avec ce sens il peut être utilisé dans toutes les

72
G. Jebeleanu, În satul lui Sahia
73
Z. Stancu, Desculţ
propositions construites avec le mode subjonctif (proposition subordonée
ou proposition principale) :
Ar fi vrut măcar (=cel puţin) să-l vadă (subordonée
completive directe).
Măcar (=cel puţin) să ne scrie dacă nu poate veni
(proposition principale).

 Comme les autres propositions subordonnées, les propositions


concessives peuvent être intercalées dans leurs régents ou elles peuvent être
coordonnées :
Deşi venise pe lumea aceasta într-un grajd boieresc şi cu
toate că sfărâma oase suculente, Jap era lipsit de veselie 74.

 La proposition concessive peut être placée à côté de la proposition


principale ou peut être séparée de celle-ci par l’une ou plusieurs subordonnées :
Chiar dacă aş fi vrut să-l indrumez şi să-l ajut, n-aş fi avut
timp.
En ce qui concerne la ponctuation de la proposition concessive, elle se
sépare par virgule, n’importe pas sa place au rapport avec la proposition
principale (devant ou après la proposition principale ou intercalée dans celle-
ci) :
Deşi vorbeşti pe înţeles,
Eu nu te pot pricepe75.
Pe coastele astea, cât e frigul de mare tot năduşeşti76.
La gamme de connecteurs concessifs, dans la langue roumaine, est
relativement reduite.
De tous exemples tirés, de tous les arguments imposés de linguistes en
faveur de leurs théories grammaticales, surtout celles qu visent la concession en

74
G. Galaction, Viteazul Jap
75
M. Eminescu, Luceafărul
76
G. Bogza, Moartea lui Iacob Onisia
français, on peut dégager quelques idées principales, quelques tendances dans
la langue contemporaine :
o la présence de certaines conjonctions de subordinnation
entraîne l’emploi du subjonctif ;
o dans le cadre de l’emploi du subjonctif dans les
subordonnées concessives qui ne comportent pas l’idée
d’intensité il intervient, comme une exception, l’emploi de
l’indicatif ou du conditionnel. L’emploi du subjonctif dans les
subordonnées introduites par certains conjonctions ou par
d’autres éléments de subordinnation est obligatoire et après
certaines formules verbales il intervient l’alternance avec
l’indicatif.
o A l’interieur de ce type de concessives à valeur
,,informationelle’’ et non pas ,,affective’’ certaines nuances
d’emploi permettent l’implication du sujet parlant dans la
situation annoncé.
Les subordonnées concesives, résultat de la négation de la cause réelle,
résultent de l’utilisation de l’ordre des mots à intention argumentative :
propositions incidentes, des conjonctions ou des locutions suspendues.

Les propositions concessives


introduites par mais et

Les propositions concessives introduites par mais et complétent la gamme


de constructiones concessives – résultat de la négation de la cause réelle et
viennent après celles introduites par quoique, bien que, malgré que, encore que.
L’idée de concession vis-à-vis d’un fait réel, peur s’exprimer par
l’interaction des facteurs syntaxiques-position et conjonction avec ceux
sémantiques et suprasegmentaux. L’intonation particulière met en evidence le
nouveau rôle de la conjonction, à valeur polyvalente.
Utilisée pour marquer, en géneral, l’opposition, la conjonction mais peut
servir à l’expression du contraste entre la cause et l’effet. Dans le texte elle
conduit de l’idée de coordination adversative et non pas de subordination
concessive à la difference quoique.
Lui cherhe le nom des îles, qui se ressemblent tutes, aussi
innhospitalières, mais toutes imprégnée de mythologie77.
La valeur stylistique des propositions concessives introsuites par mais
résulte du rôle normalement appositif de la conjunction utilisée,cette fois-ci, pour
exprimer la concession. Les pause et la mélodie sout deux exprimer facteurs qui
rapprochent cette construction de celles réalisées par quoique, pourtant, larsque
ces instruments introduissent des propositions qui ne sont pas placées en tête
de la phrase. La concession preprement-dite présuppose, dans le cas de mais
l’ajout d’un terme ou d’une incidente qui marque l’intervention directe de la
volanté.
En absence de tout autre syntaxique, le systême concessif peut
fonctionner par la coordination adversative mais et par le contenu sémantique
des segments phrastiques mis en contact.
Dans le roman de Fr. Mauriac – Thérèse Desqueyroux se trouve un très
grand nombre dè expressions concessives introduites par la conjonction mais.
Thérèse marchait les deux hommes […] quo de noveau discutaient (…)
mais gênes par ce corps a femme…78
Aussi songe Thérèse qui voudrait bien ne pas rejoindre les deux
hommes ; mais dans le fem de la discussion i’ls s’arrêtent au milieu de route et
gesticulaient.
…sans doute avait’elle souvent fait ce même vayage qu’elle entre-prenait
ce soir ; mais elle n’avoit alore aucune préocupation que de renseignar
exactement son mari79.
Mais il a avoit cette ordonance : en somme, il s’agissa d’un faux80.

77
Magazine littéraire. No. 410, juin 2002
78
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueyroux, pag. 9
79
ibid, pag. 10
80
ibid, pag. 14
…il s’agissant alars entre eux non de ce qui s’était passé rúlement, mais
de qu’il impoertait d dire ou de ne pas dire 81.
Mais Duras n’etait pas d’avis que Bernard allât jusqu’à prétendre qu’il se
souvenait d’avoir repraché à sa femme une telle imprudence 82.
Prise de panique, Thérèse balbutie, tournée vers l’avocat mais c’est au
vieux qu’elle s’adresse83.
Parfais ou trouve dans la même phrase daux ou plusieurs conjonctions ou
locutions concessives :
,,Mais tu sois bien qu’il doit être d’abord notifié à l’avocat…. 84’’
…et déjà l’intelligence de Thérèse était fameuse ; un esprit fost, sans
doute…mais Bernard savais à quelle raisons céde une femme 85;
Mais Thérèse avait obéi peut-être à un sentiment plus obscur qu’elle
s’effarce de mettre à jour86.
Rien de change, mais elle avoit le sentiment de ne plus pouvoir désemais
se perde seule87.
,,qui sans doute n’est pas régulièrement jalie qui est le charme même 88’’.
Le roman de Fr. Mauriac dans des expressions concessives surtout celles
introduites par mais. On a extrait trente six exemples.
Un service sompteux n’implique pas un appétit monstrueux mais plutât de
manieres animnales ou sollennelles qui y respondent 89.
Mais les variandes sout matus essentieles qu’en France il disait que
c’était encore une manœuvre des Juifs mais je couis que, sur ce point précis, sa
mauvaise humeeur l’égarait90.

81
ibid, pag. 9
82
ibid, pag. 14
83
ibid, pag. 15
84
Fr. Mauriac, Thérèse Desqueyroux, pag. 15
85
ibid, pag. 32
86
ibid, pag. 40
87
ibid, pag. 43
88
ibid, pag. 44
89
Magazine litteraire, no. 410, juin, 2002
90
Magazine litteraire, no.405, juin 2002
La conjonction et, instrument de la coordination, par exellence, figure,
pourtant pami les ,,mots outis marquant l’apposition’’. Sa valeur oppositive-
concessive apparît dans de situation comme.
Las Français, eux, n’ont pas déplacé leurs plus houts autorités en la
matière. Aucum P.D. G., de chîne n’est la présent le soir des ,,sossier’’ de l’écron
suriv91.
Lasque et apparaît seul, le functionement syntaxique est copulatif, la
valeur concessive étant le resultat du contexte :
Seulement, il y a en le soupçon et c’est toujours cela de gagné92.
Ce functionement est identíque à celui de toute fois, tout de même et à
celui de la locution restrictives pour autant que.
M8eme en absence d’une telle équivalence et confère à l’énoncé une
mance concessive :
…votre prsence allait être pour moi une compagne charrmante, et voila
que, selon toute probabilité, d’un moment à l’autre je vois quitter le couvent 93.
Ou observe dans cette construction le fait que aller (à l’emparfait+infinitif
exprime ,,l’action imminente entrvée par la survenance d’un événiment impréire.’’
L’idee d’apposition concessive peut être introduite aussi par sans (la
forme négative de et).
Il y a plus de dix ans que je dis de la prase sans que j’eu susse rien94.
Sans peut exprimer le même rapport quand il est suivi pur un infinitif.
A la difference de la langue roumaine, langue française posséde encore
des constructions concessives réalisées par juxtaposition.
Certaines locutions verbales ,,figées’’ placées au début de l’une des deux
propositions du systeme, ont veleur concessive en exprimant l’incapacité du fait
antérieurement annoncé dîempêcher la réalisation du fait suivant, tout en s’y
opposant. C’est le cas de n’empêche que et, de n’importe, de avec cela.

91
L’Express, 28 février, 1981
92
Camus, apud O.Popârda
93
Paul Imbs, L’emploi des temps verbaux en français moderne essai de grammaire descriptive
94
G. Le Bidois apud O. Popârda.
Il s’autorise …de notre confiance. N’empêche que madame Dumas a
déclaré l’autre jour…95
N’importe est équicalent de malgré cela est une valeur et un
functionement prache de la locution précédente. Son rôle est comparable à celui
d’un adverbe :
N’importe où elle tomber, elle sera toujours dans de mailleurs maíns que
les vôtres.
Un autre locution est avec cela qu’est dans une certaine nésure
synonyme avec malgré.Avec devient par de la valeur argumentative des
énoncés concessifs : ceux-ci sout le résultat d’un réflexions d’un processus
théorique d’abstraction et de hiérarchisation.
Avec tout cela (malgré les précautions de nos conseurs) cette médecine
ne laisse pas d’être amère à l’amour-propre.
L’expresion avoir beau, en même temps plusieurs autres constructíons
réalisés avec le verbe pouvoir, appartient autres mayens ,,lexicaux’’ d’expression
de la concession et se rencontre surtout dans la langue courante.
C’est encore une autre distraction. La faulein a beau dirè, les mômes
écoutet rien96.
Cette expression est considérée comune une métaphore elliptique.
Employée tantât seule, tantât suivie d’une proposition de cause, la locution fiuit
par jouer le rôle de subordnnée concessive, relevant l’interdependence entre
auvir et syntaxa.
Le verbe avoir et le nominal beau cessent d’être des mots pleins, perdent
leur individualité et leur fonction propres et se combinent en un nouveau nexus
vous avez/beaufire devient vouz avez beau/faire qui est l’instrument stable de
l’expression de la concession. Sa valeur sémantique est appositive avec me
expresivité intense comparable à celle de mais. L’on remarque encore outre
l’expresivité, l’intensité de l’action qui, pourtant n’a pu assurer l’accomplissement
du fait ,,principal’’.

95
G. Le Bidois apud O. Popârda
96
Cèline apud O. Popârda
La charge sémantique des verbes ,,connaîte’’ et ,,savoir’’’’ place l’énouncé
dans la spherè du réel (savoir) et non pas du possible (craire), comme les modes
utilisés l’aurcient décidé.
Dans l’expresion non-conjonctionnelles de l’idée d’opposition concessive,
d’antres procédés intervienment pour nuancer la parataxe ou bien en douner des
áquivalents :
 L’emploi des formes toniques du pronom personnel:
Voilà donc ce qu’il est. Moi, je suis pauvre97.
 L’emploi du gérondif:
En effectuant la raídeur, il laissait voir une aisance parfaite 98.
 Pour suivi de l’indicatif:
Pour ne pas reposer sur une symphathie de l’esprit, cet
amour n’em est pas moins vrois99.
Ces pracédés sont appéles concessives-oppositivies sans ligatures parce
qu’elles sont réalisées par la juxtaposition de deux idées sans pouvoir dire quelle
est la ,,concessive généralement ce rôle revient à la première. Cependant,
l’identification de la concessive reste assez dificile, dans l’acception des
grammaires classiques. Un rôle plus spécial out les mats à semantisme oopositif,
dans le sdeux parties de l’énoncé. Même dans l’absence de tels mots l’on
constate, dans tous les cos, un élément sémantique qui vient s’ajouter à la
syntaxe et aux marques suprasegmentales. Dans le cadre de proposition de la
concession par la juxtaposition de deux propositions à l’indicatif, l’on analyse le
cas des constructions qui comporte le verbe pouvoir:
Ou pouvoit souffler partout, pas un grain de poussiére ne s’envalait: ,,on
se sert du verbe pouvoir pour maerquer qu’un fait peut exister sans avoir
d’influence sur un autre’’.
En ce qui concerne les marques supra-segmentales de ces constructions,
l’on observe leur rôle dans l’etablisement de la dépendence; ,,sa dépendence
implicite est marqué par l’absence d’une conclusion méladique.’’

97
G. Et R. Le Bidois, Syntaxe du français, apud O. Popârda, pag. 86
98
ibid, pag. 87
99
ibid, pag. 88
On sait que dans lşes phrases concessives introduite par des locutions
concessives commes il s’agit d’une courbe intonataire, c’est-a-dire une élévation
de la voix, à la fin de la première partie, suivire d’une descente d’une note basse,
ayant tendance à remonter de nouveau.

Constructions concessives-résultat de la négation de la cause réelle,


hzpothétique irrélle

La coordination concessive s’etablit d’habitude par une série de


connecteurs. Les catégories de conecteurs analysées jusqu’au présent sant
propres à la négation de la conséquence supposée d+une cause réelle. Mais il y
a aussi d’autres catégories de connecteurs qui irrélle se rencontrent pour des
situation hypothétique est bien que (assimilable dans certains conditions à et et
mais pour la cause, prese en géneral, on utilise si (dans son hypostase
concessive).
Les énoncés structurés par (ou par ses équivalents) peuvent être utilitisés
pour la négation de tous les types de cause – y inclus de la cause réelle. Conque
comme un type particulier d’implication la cause réelle dispose d’instruments
propres, mais, dans la mêsure où elle est implication, on peut la vier aussi par
des instruments ayant un degré de géneralité plus grand (si peut être équivalent
à bien que la situation inverse bien que pour me cause irréle, étant exclue.
Si signifie à son origine ,,de cette manière’’ si (en latin sic).
Il est en alternance avec et si, l’opposition si appositif est fréquent en
français moderne:
Si elles ne possèdent rien d’autre en commun, qu’elle aient au moius cela:
l’ennui, l’absence de toute tâache haute, de tou devoir supérieur....
La conjunction si peut servir aussi à l’introduction d’une opposition dans
laquelle la mance concessive est maius marquée.
S’il était ménager de ses habits si les jours ordinaires il achevait d’user
ses nêtements de l’an passé, néanmoins il pouvait sortir quelquefois mis comme
l’est un jeune homme élégant100.
La polyfonctionnalité de si a suscité de nombreuses intérpretations. Ce
sont les passibilités prosodiques (variations de temps, de modes, adjection
d’autres particules) qui out réussi s’enrichite le semantique de la simple
coordination de deux enoncés et se fixer les mances résultants de leur
indétermination.
Dans l’interrelation ,,conjunction/temps/made les marques de la valeur
concessive de si ne sont pas tout-d-fait individualisées. Le temps ne y’one pas
un rôle important parce que ses marques ne suffisent pas à indiquer la valeur
concessive. Des adverbs ne sont pas indispensable, ils peuvent être supplées
(même si, dans la subordonnée, néanmoius dans la principale).
Mais les verbes de la principale et de la subordonnée devroient être plus
ou moins antagonistes. Por exemple les verbes: savoir et connaitre sont
considérés equivalentes, l’un à la forme affirmative, l’autre à la forme négative;
l’apposition peut être renfarcée par des adverbes ,,inde pendants’’ de l’idéee de
concession qui établissent dans le contexte, le rapport concessif.
Le rapport eutre condition et concessive et concession est étroit dans l
cas de l’expression de la concession par si respectivement par même si. Dans le
cas de la cause réelle, la cause réalisée peut être exprime par des propositions
introduites par si; la cause infirmée peut être exprimée dans les nômes condition
avec une expressivité accentuée:
Si les détails manquent encore, on sait déja que les navires ont recuilli
aussi tout le matériel scientifique....101
Les marques suprasegmentales sont celles qui assurent l’identité lexicale
entre les conditionnelles et les concessives. La différence de tou entre le si
implicatif et le si concessif se manifeste par le fait que, dans le systeme
concessif, la première proposition fait observer qu’il ne s’agit pas d’une
subordonnée: les conjunctions sont fortement accetuées; c’est la deuxième
100
R. Wagner, J. Piuchon, pag. 97
101
Petar Guberina, apud O. Popârda,pag. 81
proposition qui rend, parson conteon et par ses valeurs aconstiques, la valeur
logique de la phrase.
Dans le sphère du possible, si a une valeur compètement apposée à celle
conditionnelle.
Les extensions de si : si...que, si ...non, si ce n’est, si ...pas.
Si peut recevoir differentes extensions dans le cadre de l’expression de la
concession.
Si....que – ou destingue à l’intérieur de si, l’adverbe (est nommée locution
adversative) d’intensité tant (en roumain, oricât, oricum, etc.) En français
l’expression a acquis une valeur concessive, construite avec un attribut du sujet
on avec un adverbe, intercalés entre les deux éléments. Le deuxième élément
peut ne pas apparaîte et le sujet peut changer de place.
La possibilité d’un vozage, si petit fût-il.
Ou observe dans cette construction la mofdification de l’ordre normal, si
petit qu’il fût, par l’hypathétique inversive (fût-il très petit et de la persistancede
tant. Ces constructions sout trés rares dans la langue parlée ou écrite.
Lorsqu’il s’agit d’un fait supposé à l’interieur duquel on vent mettre en
évidence le régime (atribut du sujet on complement adverbial) les adverbes
peuvent être placés en début de phrase, suivis de que et précédés de si, la
locution aiusi obtenue a la rôle de marquer un degré quelcouque de la qualité
aiusi exprimé.
Si fantasistes qu’elles puissent être et si dégradées, il n’em reste pas
moins qu’elles dérivent, elle aussi, du manuscrit archétype.
L’expression si pas est courante en Belgique mais poasse pour un
„provincialisme” en France.
Par rapport à la variété des utilisations de si dans la phrase concesive, ou
pent distinguer semantiquement entre si qui exprime la concesion généraliste et
aussi qui exprime la concession seulement s’il y a en, initialment, un rapport
comparatif. Le mode utilisi dans ces constructions est le subjonctif l’indicatif peut
apparâtre.
Les prepositions introduites par même si, si même nomes par T. Cristea
„coordonnants concesifs”, auxquels l’on ajoute quand bien même, alors même
que, lors mêneque pourtant, neammoins, toutefois, fout de même, representent
la forme praprement diete de la concession.
Même si represente la negation habituelle de l’implication, de la même
facon dont bien que forme l’instrument type.
Les propositions introduites par même, dont le râle est comparable à celui
de que, dans sa qualité de „particule concesive”.
Le made utilisé dans ces énounc’es est l’indicatif. Même si les
monothéismes, tour out dorme lieu à ces diverticules tératoire giques dont
savonarobe, Calvin ou l’assassin d’Ithak Rabin tournissent de bin exemple 102.
La Littérature, la lecture et l’icriture même s’il sait que pour alles aussi
103
l’apparition implique la disparition, comptent.
Les propositions peavent revetir toutes les Jarmes qui riel, passible, irriel
des faits rendus par l’imparfait du subfonctif, précédé ou non de même et exigent
l’inversion du sujet:
Il admirait q’aucune dificulté ne résiste même un esprit droit et que
raisonne juste; même au lendemain d’une talle tourmente, il était prêr à soutenir
que l’or u’est jamais malleureux, sinon par sa faute.104
Tu vos trop loin. Thérése, permets-moi de te le dire ; même en plaisantant
et por me faure grimper tu ne doit pas toucher à la famille.

102
magazine litteraire No. 410. Juin 2002.
103
Magazine le Héraire No. 416. Jouvier.
104
Fr. Mauriac – Thérése Desqueyroux p.129
L’indicatif est pourtant le mode employé aprés même que, en dépit de
l’existence de que qui entreine le subjonctif. L’apparition du subjonctif aprés
même que n’est cependant pas exclue: „Mais grand même que vient à signifier
même si, comme dans la phrase suivante, le subjonctif apparcit tres
naturellement.
Il est content quand ou lui doune quelque chase, même que ce soit plutât
pour toi que pour lui”, d’aprés l’opinion de T. Cristea.
L’indicatif present, l’imperatif, ou le futur de l’indicatif prevent apparcitre
dans les prepositions avec même si même por la couse possible. Dans ces cas,
le sujet parlent tient à marquer l’oposition entre la cause qui est seulement
prisupposeé et la conséquence.
T. Cristea remarque encore „si la concession port sur un fait non-réel, le
français se sert des relateurs même si, suivi de l’indicatif, quand (bien) même,
quand, alors même que, suivis du conditionnell”.La differénce par rapport à la
cause possible se réalise par l’intermédiare des tempos-modes utilisés:
„Méme si elle eût porté le même nom, si elle, fût appelée Annie, cette
Annie n’auroit en rien d commun avec l’antre” 105.
Les connecteurs mixtes: quand (bien) même, alors même que, lors même
que, ori que, au lieu quepourtant, toutde même, apendant, por ... que, tout ...
que, quelque ... que, taut.
Les propositions concessives realisees avec bien que, même si as à laide
des pronoms, sont trés frequents et parmi elles sé trouvent aussi alles rediséés
opar des connecteurs mixtes. La voleur et le fonctionnement des connecteurs
mixtes ast le résultat de la combinaison entre la voleur propre à un élément (à
caractire modal, final, temporal, spatial) et l’un des éléments qui imposent la
voleurs concessive, que on même on les deux. L’accumulation des indices
concessifs à l’intériens même à l’intérieur du connecteur utilisé permet une
communication plus explicite de l’idée de concession.
Du point de vue de la construction, les énouncés structurérs par ces
éléments sont plus autonomes que ceux introduites par quoique malgri que.

105
Petar Guberina apud O. Popârda.
L’idee de concession conterue dans ce type de connecteurs est incidente à
l’ensemble de la phrase.
Les antres conjunctions du groupe introduissent une opposition simple –
la simoulative dans le temps – et par là, leurs voleurs acoustiques, pour la
négation de la cause et pour la coordonée oppositive, sont moins différentes.
Pendant la communication le sujet parlant, eu énongant deux fait opposés
par leur nature, peut être indifférent tandis que le fait de vier une cause implique
une attitude, d’ori résulte des différences des depré d’affectivité.
En ce que concerne le temps verbal utilisé, l’indicatif est le plus souvent
pour la cause réelle parcequ’ik „oppose deux états ou deux actions auvisagies
dans leur réalité” d’aprés Wagner et Pinchon.
Pour la cause possible et irréelle, ou utilise souvent le conditionnel.
Mais quand bien même ce serait vrai, notre anui Jaques a coutume de
venir lire parfois des livres qui lui seul peut nores faire connaitre 106
Chaque fois qu’intervient un fait présupposé, la proposition concesive
prend l’aspect d’une conditionelle ou d’une temporelle:
Quand bien vous seriez infiniment moius bien que vous u’êtes, vous me
plairiez bout de mâne.107
Le verbe de la proposition concesive, normendement au conditionnel,
peut être remplacé par le plus-que parfair du subjunctif:
Quand même la pitié, la sympathye, n’enssent pas rendu Robertall
disineaux de connaitre Mlle d’Hautrémont, la curioseté eût agité son esprit et
intéressé son caeur.
Dans les cas où le subjunctif peut être en alternance avec le conditionnel
et dans ceux dans lesquels la principale est remplocée par uni antre
construction, se manifeste une exception:108
Quand bien même les filles du village souricient un peu, le grand mal.
D’habitude, les verbes des deux propositions sont au même mode:

106
P. Guberina apud. O. Popirda pg 83.
107
Kr. Sandfeld, Syntaxe du français contemporaine apm O Popirda
108
ibid
Quand même je voudrais, je ne pourrais pas Il s’agit soit du double emploi
du conditionnel, dans la concessive, sans aucum rapport avec le verbe de l’antre
proposition:
Jamais je n’en éponseroi un antre, quand je devrois l’attendre ants aus. 109
Dans la langue littéraire moderne on a été mainternu l’emploi du
conditionel surtount avec leg verbes être et avoir que peut equivaloir à un
imparfait du subjonctif, à sens optatif („n’était” pour ne „fût”).
La différence entre le futur et le conditionnel s’estompe dans le style
indirect parce que le conditionnel pent prendre la valeur de „futur dans le passé”.
Selon Paul Imbs „Il’usage correct ne connait la construction symétrique avec
deux conditionnels que si la proposition hypothetique remplace si par un antre
morphéme de subordination (à voleur conditionelle ou concessive): Quand je
vivrais aussi lougtempsque mon onde Baptiste... jamais je n’oublierais mon
premier voyage à Paris”.
D’antres mayeus, moins frequents, fonctioment d’une facon comparable:
Il n’eût qu’une perception rapide et confuse, ne pouvont examiner en face
l’etragere et retenu d’avonce, au cos ou il auroit pu, par la délicatesse et le
respect.110
Dans le propositions de cette categorie an emploi le conditionnel pour
faire la distinction entre la cause riele et la cause possible même si la proposition
qui comporte quand est utilisée i’solément ou seulement commencée.
L’aparition d’un présent dans la concessive apporte un effet de style et
non pas une ambiguité entre réel et possible, tout comme l’omission de même.
Mais j’aurai l’air de une cocher. Et quand abe serait111.
Utilisé de façon independemente-quand peut appareitre dans des
constructions qui enregistrent une eventualité non-réalisée.
Au moment de sa formulation mais qui n’excluent pas tout
accomplissement futur:

109
ibid
110
Kr. Sandfeld, Syntaxe du français contemporaine apm O Popirda
111
ibid
Quond le pays fournirait à des hommes comme Delocroix ou Hugo cent
mille francs de rente, ori serait le mal?112
Le male „normal”, dans le cos des concessives irréelles, est de subjuctif
plus que parfait on le conditionnel passé. Pour la possibilité, l’on emploi de
présent, l’imparfait on encore le passé indefini.
On pent affirmer que tous kes énouncés structures par d’antres éléments
que ceux consacrés comune concessifs gardent une certain ambiguité, source
d’expressivité mais égalament, de confusion.
Kr. Sandfeld deserve que „ce n’est qu’apparemanent que la proposition
inprodute par quand a le sens concessifs, dons l’exmple suivand:
Quand tu resteras là à me regarder avec les bons yeux plein de larmes,
ça ne chompera rien, n’est-ce pas?”
L’expressivité de certaines constructions provient du fac que la forme
linguitique de la cause nieé est plus charg d’affectivité dans les situations ori les
conjunctions qui renferment une ideé de tempo servent à introduire des
concessives. C’est le cos des locutions ayant une voleur spatiale: où, au lieu de,
là où, lieu que, au lieu de lieu de, etc. Celles-si sout enregistrées à leur tour,
comme des moyens introducteurs de la concession ou de l’opposition.
Loin que le besoin aït dégrade l’homme, c’est e’logement de la société
qui le dégrade.
Qui que est presque incomm dans le language quatidiene 113.
On resque son esprit à se tromper de chemin, car où qu’on arrive, c’est
pour debonche sur l’entierete114.
Le mode utilisé dans ces constructions est le subjonctif. Construite avec le
subjonctif, la concessive exprime un fait qui ne s’est par pass parce qui’il a été
substitué par celui énoucé dans la principale.
L’indicatif est le mode qui suit après au lien que. Cette construction ne
peut être mis en equivalence, du point de vue du functionement, avec au lien de,
suivi de l’infinitif.

112
apud. O. Popirda pg 124.
113
L. Wagner, J. Pinchon apud O. Popârda, pag. 125
114
H. Michaux apud M. Grevisse, pag, 190
Utilisées pour la cause réelle les expressions: pour….qui, tout…que,
quelque…..que – experiment la concession incidente a’un member de phrase:
attribute du sujet, complement d’objet, complement circonstanciel.
L’existence d’un que a permis la spicialisation de ces expressions dans le
seus concessive.
La valeur d’intensité que prennent pour, tout, quelque, associés à un

adjective adverbe etc., tout comme le fait que l’ensemble peut incorporer

n’importe quell constituent de la phrase, ajoutent à la valeur concessive

proprement-dite une valeur expressive individualisée.

Ces autils appartiennent exclusivement au register soutenu de la langue

littéraire écrite. Ou donne maintenant des exemples:

Ce texte, pour intéressant qu’il soit, n’est danc pas probant, non plus115.

Tout … que n’est pas tojours synonyme avec quelque … que. Il pent

s’amployer avec un subjectif qui u’admet pas les dagnés, on avec un nom:

Vous l’avez tué, mais font mort qui’il est vous domine encore.116

Quelque … que – appartiant à la langue écrite soignée. Quelque distrait

que soit votre ami Pagano on ne pent supposer que ses distractions aient été

fusqu’a apprendre une langue pour une antre. 117

Les relatives à voleur indefinite: quique, quelque, quique ce soit qui(que),

quoique, quoi que ce sout qui(que).

Le systéme formé à l’aide de ces relatifs, combine’sà que, permet

l’incidence concessive sur l’attribut du sujet et sur l’objet, en exprimant, en

meme temps, “un degree maximal d’intensité”.

115
Brunat apud M. Grevisse, pag. 1648
116
Girandoux apnd. Grevisse pag 1541
117
J Verne apmd Grevisse pag. 1641
Quique, quelque, suivés d’un subjonctif, constituent de “composes sui-

generis” qui morquent tojours une consequence à extension indefinite, dans

laquelle que peut ître attribute du sujet ou complement d’objet.

Quique tu sois, contemple118

O conscience! […] Quel monster que


119
Du fosses, tu ne veux pas l’avoir un en voin

Qui que ce soit que sert de pronom indéfinis.

Qui que ce soit que je rencoute….

Qui qu’il soit meme prix est acquis à sa peine120.

Quoique, en tant que sujet et régime , peut être, parfais, remplacé par

malgré que:

La distinction entre quoi que et la conjunction quoiqie (qui en est

d’aillleurs issue) ne s’etabblie que dans le cours du XVIII sc.. Au XVII, la

confusion est quasi constante. Quoi que était precede d’une preposition souvent

qu’aoujourd’hiu il pouuait avoir un complement à l’interieur de la proposition.

Et, quoi que non amour ait sur moi de pouvoir

Je ne consulte pas suivre mou devoir121.

Ces locution qui comportent un que se construisent, normalement, avec le

subjonctif. Le probléme de la concordance se pase dès qu’intervient le passé et

la régle exige un imparfait du subjonctif.

La distinction subordonnée principale n’est pas exactement vérifé dans le

cadre des constructions concessives realize aotour de que. Dans tout ces tours,
118
Hugo apmd Grevisse pg 1642
119
Valery apmd Grevisse pg 1648
120
Corneille apud Grevisse pag. 1643
121
Coreneille apud Grevisse, opag. 1644
la concessive apparait comme subordonnée à une principale; en fait, elle et

construite en juxtaposition avec cette principale.


Conclusions

En general les énoncés concessive qut pour function d’exprimer

l’accomplissement d’un fait malgré l’existence d’une cause qui devrait empêcher

sa rédisation.

Dans les recherches sur la concession se distinguent trios types

d’approches. Morphologizique . lexicale . énonciative.

On doit aussi inclure dans la description de la conceptive quatre

compensantes:

la composante interactionelle;

la composante argumentative;

la composante sémantique;

la composante fonctionelle.

Dans l’etablissement du statut syntactico-semantique des proposition

concessives se detachment quelques conclusions:

L’idee de concession est incidente aussi bien à la rélation eutre deux

proposition, qu’a un certain member d’une phrase.

Les mayens syntaxiques (conjunction, mode / temps, ordre des mats,

s’associent des mayens lexicoux et supra segmentaux et implique un certain

degree d’expressivité des enounces).

Ence qui concerne l’emploi des modes dans les propositions concessives

ou dout retenire comme foudamentaux. Le subjunctive le conditionnel et

l’indicatif. Leur choix ne s’explique pas au niveau striclement syntaxique, par


la dependence de la conjunction d’introduction on du mode de la proposition

correlative. Il s’agit, plutât, de leur function mode dans le carde de la

“responsabilité communicationnelle”. Le subjounctif exprime une telle

responsabilite dans une mésure réduite, le conditionnel l’evite, l’indicatif reste

le mode de la responsabilité assumée.

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