Sunteți pe pagina 1din 2

Analyses de films - Janvier

Petite histoire du cinéma américain:


- dans les 50’s-60’s: l’American dream, le mythe de la conquest, la masculinité des héros vainqueurs de
guerre (=> westerns, films d’espionnage…)
- dans les 70’s vers le plus politique, et plus pessimiste les revers du rêve américain
- fin des 70’s tournant post Vietnam war vers destruction de l’être humain
- dans les 80’s => quête de personnages emprisonnés (ds grandes villes, argents, valeurs peu nobles…)
EX New York 97 de Carpenter, Wall street de, Full metal jacket de Kubrick
+ tentatives de rehabilitation du héros américain (Indiana Jones, Ghostbusters, Back to the future)

Histoires= progression depuis l’asservissement (physique, psychologiq etc) vers


-> soit plus de liberté
-> soit une destruction pleine, la mort =tragédies…)

L’Arène =où se déroule l’action. Quatre types :


- Stade 1 : nature => personnages nomades, VS la Nature, des forces divines, du cosmique
- Stade 2 : village => sedentaire en communauté VS l’extérieur, l’étranger entrant (EX westerns)
- Stade 3 : urbain => idem ville VS le système (bureaucratiq, trop de gens, trop de conso, de tout)
- Stade 4 : urbain saturé => des antihéros ; plus de lois ; VS système saturé / souvent=science-fiction

Le personnage principal est défini par :


- Son besoin = ce qui lui manque (mais dont il est plus ou moins inconscient)
- Son désir, son objectif = ce qu’il veut consciemment
- Sa faiblesse psychologique = son problème intérieur majeur
svt // à la manière dont il se voit (et ignore pb réel)
- Sa faiblesse morale = l’expression de ce problème intérieur qui rejaillit sur les autres, par rapport aux
autres
- Ses valeurs
- Et sa révélation morale finale qui transforme les valeurs de départs

L’adversaire respecte quatre points :


- il fait ressortir la plus grande peur ou faiblesse du personnage principal (+ est celui le plus à même de
raviver le spectre du personnage pour)
- il est humain (ou il a une part minimum d’humanisé)
- il veut la même chose (égal ou plus encore) que le héros
- il se trouve dans la même arène que lui (même si invisible)

Structures narratives -genres :


- le mythe : personnage part de chez lui et y revient mais son voyage l’a changé. Le mythe multiplie les
symboles ; le monde physique environnant et ses actions expriment le personnage et son intériorité
- le conte : narrateur y fait entrer ; exposition rapide grossière ; pas réaliste mais codé ; pose vite
personnage principal ; finit en harmonie ; archétypes
- la love story : étapes ; adversaire=personne aimée
Analyses de films - Janvier

POLAR CRIME STORY THRILLER


Personne normale sans compétences
professionnelles qui doit s’improviser
Personne compétente type homme de loi, policier,
Héros détective (par accident dans
ancien militaire, etc.
circonstances)
A une grosse faille
Découvert à la fin, par le
personnage et le
Adversaire spectateur ensemble Connu assez vite
Après de nombreux
suspects à la chaine
Relation héros-
Intrigue mystère (on
adversaire et résolution Pression cachée pesant sur le héros
Intérêt cherche => genre
du conflit ; jeu chat- Sa faiblesse faille à résoudre
intellectuel)
souris + faille du héros
Who done it ; « Qui est
Question « Qui peut vivre au-
coupable et qui est « Suspicion justifiée ? »
posée dessus de la loi ? »
innocent ? »

Le spectre / the ghost story = l’évènement précis qui hante le héros


=> donne sa plus grande faiblesse du même coup + crée de l’empathie pour le spectateur et nourrit la
connexion émotionnelle

La connexion émotionnelle
= obtenue via les frayeurs ou douleurs possiblement communes à tous

S-ar putea să vă placă și