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Le bandeau, est la trace figurée de la voûte sur le plan des têtes. I1 est
souvent réalisé en moellons d'appareil ou en pierres de taille. Dans les
voûtes en plein cintre, les bandeaux ont une épaisseur uniforme : on dit
alors qu'ils sont extradossés parallèlement.
- le tympan,
- la plinthe,
- le parapet,
- le couronnement.
1 .2 .2 .1 . Les tympans
2 .1 .2 . Les briques :
Les briques employées en maçonnerie sont obtenues à partir de certaines
argiles durcies naturellement (briques crues) ou artificiellement (briques
cuites).
Les caractéristiques des briques :
Les caractéristiques physiques :
L'homogénéité de composition et de structure
La régularité des formes et des dimensions
une bonne brique
La densité
2 .2 . LES MORTIERS :
2 .2 .1 . Les liants
1 . Chaux et ciments naturels
2 . Chaux et ciments artificiels
2 .2 .2 . Les mortiers :
Un mortier est un mélange de liant (chaux ou ciment) et de sable,
additionné d'une quantité d'eau suffisante pour constituer une pâte plus ou
moins plastique, apte à remplir les joints en maçonnerie.
Différents types :
Les formules les plus généralement employées dans les ponts en maçonnerie
sont les suivantes :
Mortiers de chaux :
Mortiers de chaux aériennes
Mortiers de chaux hydrauliques
Mortiers de ciment :
Mortiers de ciment Portland(ou à prise lente)
Pour un mètre cube de sable :
2.3.5. Synthèse :
Dans le but d'aboutir à des valeurs utilisables dans la pratique,nous proposons
d'adopter :
- la résistance à la traction nulle,
- pour le critère d'interface :
la cohésion nulle,
l'angle de frottement interne limité à 27° soit tgϕ ≤ 0.5.
Si la résistance de la pierre est faible, elle conditionne la valeurde la résistance de la
maçonnerie.
Avec :
La flèche f (la montée) : est la hauteur de la clé au-dessus de la ligne des appuis.
La portée 2a (ouverture) : est la distance horizontale entre les appuis.
b. Ogive : (figure : b)
c. Arc de cercle : (figure : c)
d. Ellipse : (figure : d)
Etape 2 :
Méry projette horizontalement le point S sur la droite passant par α, ce qui
donne le point R, puis obtient par projection verticale le point P.
Il obtient ainsi graphiquement la poussée horizontale KP, et la force
oblique KR qui s’appliquent en pied de la voûte au point α, pour ce choix
arbitraire de points α et β.
Etape 3 :
Méry cherche alors le point de passage de la courbe de pression par un joint
situé près de la clé. Il reprend alors la même construction que
précédemment : tracer la verticale passant par le centre de gravité de la
portion de voûte comprise entre la clé et le joint considéré (en bleu ici),
tracer le vecteur ks représentant le poids de la portion de voûte. De plus, la
poussée de la courbe de pression est connue, et il trace alors kp = KP
Etape 4 :
La position du centre de pression γ est donné par l’intersection entre le
joint considéré et la diagonale du rectangle formé par ks et kp.
Etape 5 :
La troisième et quatrième étape sont alors répétées en chaque joint de la
voûte où l’on souhaite obtenir le point passage de la courbe de pression. Ici
un autre point de passage γ′ sur un joint situé un peu plus bas que le joint
précédent.
Résultat :
La répétition de ces quelques dessins simples permet de construire de
proche en proche la ligne de pression passant par α et β.
•Section fissurée
Soit la même section de maçonnerie, toujours sollicitée par un
effort de flexion composée, équivalent à un effort normal N
excentré d’une distance e par rapport à l’axe de la section. Il
résulte de cette sollicitation un nouvel état de contrainte et de
déformation. Relativement au moment de flexion, l’effort normal
appliqué est, cette fois, insuffisant pour maintenir la section
entièrement en compression et cette dernière est partiellement
fissurée. Les déformation et contrainte de compression à la fibre
extrême sont toujours désignées respectivement par 𝜺𝟏 𝒆𝒕 𝝈𝟏 , tandis
que la hauteur résiduelle de la section est dénommée d’ .