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un moyen de transport
C
Chapittre 2 : Choix d’un moyen
m de traansportt
Introdu
uction
L
Le choix d’une solution n transport est une commbinaison co
ohérente dee toute une série
s
d’élémeents répondaant à une séérie de questtions et des problèmes à résoudre :
- Q
Quel mode de transporrt choisir ?
- A qui m’addresser ?
- Q
Que dois-jee facturer ?
- Q
Quel contraat de transpoort ?
- C
Combien ceela va-t-il co outer ?
- Q
Quelles sonnt mes respo onsabilités ?
- P
Puis-je souss-traiter ces opérations ?
- P
Peut-on pallettiser ?
- C
Comment emballer
e ?
- E
Etc.
Le ccœur du prooblème est ici i le choix des modaliités de transport (modee de transpo ort (mer,
routtier, etc.) et
e modalitéss pratiques (expédition n exclusivee ou envoiss complet, solution
portte à porte ouu appel à pluusieurs trannsporteurs su
uccessifs)) puisque
p ça vva influencer toutes
les ddécisions suuivantes. Cee choix peutt être résolu
u en 3 étapess :
- EEtape 1 : dééfinition dees possibilittés en consiidérant le flux d’un côtté et les con ntraintes
ttechniques (caractérisstiques phyysiques de l’expéditio on telles qque sa natu ure, son
cconditionneement, etc.) et commercciales (délaais, retards, coût)
c d’un aautre côté.
- E Etape 2 : chhoix réalisé selon des ccritères (esseentiellemen
nt le coût, lee délai et la sécurité)
ppropres à chhaque cas de
d figure.
- E Etape 3 : déétermination n des consééquences praatiques du choix
c des mmodalités : nature
n du
ccontrat, doccuments, rissques, prix à facturer, etc.
e
La quaantité à traansporter va v être unn élément essentiel dans d le chhoix des modalités
m
d’achem
minement, à travers son incidencee sur les coûts et la geestion des fl flux. Pour tooutes les
N. AISSA
AOUI OMRAN
NE ENIICARTHAGE 3ème année GSIL
Chapitree 2 Choix d’un
un moyen de transport
opératioons répétitivves (livraison à un disstributeur, à une usinee de montaage, etc.) lees flux à
transporrter doiventt être étudiiés sur unee période asssez longuee. Selon le mode de transport
t
adopté, le lot-éconnomique peeut être d’uune grande importance puisqu’il permet paarfois de
bénéficiier des connditions less plus avanntageuses. Il I convient alors d’éttudier les solutions
s
(camionn complet, conteneur
c coomplet, etc..) atteignantt le lot écon
nomique.
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AOUI OMRAN
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Chapitre 2 Choix d’un moyen de transport
conçus précisément pour faciliter le transfert d'un mode à l'autre. Ainsi, l’idée de base du
transport intermodal est de charger la marchandise dans des conteneurs qui peuvent être
déplacés par plusieurs modes de transport, afin d'exploiter leurs forces respectives. Plusieurs
catégories de transport intermodal sont possibles :
L’exploitation en série du rail et de la route (piggyback) à l'aide de remorques ou
de conteneurs. C’est la technique la plus utilisée. Cette opportunité a conduit au
développement d'opérations de type hub-and-spoke ou réseau en étoile (le moyeu et
les rayons d'une roue de charrette). Un hub (de l'anglais hub airport) désigne un
concept commercial développé aux États-Unis par les compagnies aériennes
nationales américaines. Un aéroport est choisi par une compagnie pour y faire transiter
une partie notable de ses vols et y assurer des correspondances rapides et garanties. Le
hub et une configuration de vols, qui consiste à mettre en place des vols long courriers
effectué par des très gros porteurs (tel que l'A380), entre les grands aéroports. Les
passagers changent ensuite d'avion, et sont amené à leur lieu de destination par un
avion plus modeste. Le hub and spoke s'oppose au point-to-point. Ce concept a été par
la suite appliqué au fret. On passe ainsi les envois à travers un site d’interconnexion
unique, une installation de tri située au centre du réseau de façon à massifier les
expéditions dans un nombre réduit de véhicules et à desservir un plus grand nombre de
paires origine-destination.
Le couplage du transport aérien et routier. Ces réseaux sont aussi structurés en
hub-and-spoke, mais leur portée est restreinte par la taille des conteneurs qui peuvent
être transportés par avion.
La combinaison du transport maritime avec le rail et la route. Ce type de service a
conduit à la mise en œuvre de ponts terrestres pour passer d'un océan à l'autre. Par
exemple, le US/Canadian Landbridge permet d'acheminer des marchandises de
l'Europe à l'Asie, par transatlantique plus piggyback plus transpacifique, avec un seul
connaissement.
Les coûts exigés par le transitaire sont minimes parce que ses honoraires viennent en
majeure partie des transporteurs.
Le courtier maritime. Il met en contact l'exportateur qui veut affréter un navire avec des
armateurs ou des fréteurs. Son rôle est de négocier les coûts et de préparer les contrats.
L'agent d'expédition. Il joue un rôle semblable à celui du transitaire international mais
dans un contexte de transport intermodal (en particulier de piggyback).
Le courtier en transport routier. Il prend livraison des marchandises de l'expéditeur et
trouve le transporteur routier approprié pour les acheminer à destination. Il se préoccupe en
particulier de trouver des cargaisons pour le backhauling.
2. Eléments de choix
2.1. Critères de choix d’un transporteur public
Les avantages et les désavantages des divers modes de transport ne sont pas les
mêmes : dans un contexte particulier, certains modes sont généralement préférables aux
autres. Plusieurs critères entrent en jeu dans le choix du mode à retenir dont le coût, les délais
et les dommages infligés aux marchandises. Supposant d’abord que l’on veuille utiliser un
transporteur public, pour chacun de ces critères, on peut résumer la situation ainsi :
Les coûts. Les coûts à considérer comprennent le fret, l'emballage (le coût de
l’emballage dépend de la modalité retenue, des économies peuvent être réalisées en
utilisant des conteneurs), les chargements, les déchargements, l’entreposage, les
manutentions, les assurances (elles varient selon les risques encourus par exemple
elles sont trois fois plus élevées en maritime qu’en aérien), le cout des prestations de
service (rénumération des intervenants dans la chaine logistique tels que les
comissionnaire de transport, transitaire portuaire, agréé en douane, etc.) et tous les
autres coûts encourus lorsqu’un moyen de transport est choisi. Le cout doit inclure
également les pré et post acheminement éventuels.
Les temps de transit. Il faut considérer le délai de porte à porte en considérant :
o Le délai du transport (transit-time)
o Les délais d’attente du (des) moyen(s) de transport dû à plusieurs causes :
faible fréquence de départ pour les navires, attentes nécessaire à la constitution
d’un lot complet en cas de groupage etc. Dans certains cas ces délais peuvent
être pénalisants.
o Les délais nécessaires aux formalités douanières.
En plus des temps moyens, la variabilité des temps de transit doit aussi être prise en
compte pour prendre une bonne décision. Des temps fiables sont souvent jugés plus
importants que des délais courts. La variabilité est généralement mesurée par la
variance du temps de transit.
Pertes et dommages. Tel qu’on l’a vu, le transport ferroviaire à beaucoup plus de
problèmes à satisfaire ce critère que les autres modes. Toute protection de la
marchandise a un coût direct. Toute avarie relevant d’un défaut ou d’une insuffisance
d’emballage implique également un coût.
2.2. T
Transportteur publicc vs acqui sition d’un
ne flotte privée
p
D
Dans certaiins contextees, il pourraait arriver qu’une entrreprise obtiienne de meilleures
m
perform
mances, par rapport aux x critères qque nous veenons d’exaaminer (coûûts, délais, pertesp et
dommagges), en invvestissant dans
d une flootte privée qu’en utilissant des traansporteurs publics.
Ces conntextes corrrespondent généralemeent à des siituations trèès particulièères qui ne peuvent
pas êtree desserviess adéquatem ment par less transporteeurs disponibles. Danss un environ nnement
très conncurrentiel, par exemplle, une entrreprise pourrrait vouloirr se différenncier en offfrant une
flexibiliité, une rappidité ou un
ne fiabilité de livraisoon qui dépaasse les norrmes de l’in ndustrie.
Dans certains cas, pour des raisons dee sécurité ou à causee de la natture du pro oduit, la
manutenntion et le trransport dess marchanddises peuven nt nécessiterr des équipeements spécciaux qui
ne sont pas disponiibles par aillleurs. Pourr plusieurs entreprises,
e l’utilisationn d’une flottte privée
est ausssi un instrumment de maarketing privvilégié, à caause des afffiches publiicitaires plaacées sur
les cam
mions. On peeut toutefoiis s’organisser avec dess transporteurs publics pour avoirr ce type
d’avantaage.
3. C
Choix éco
onomique d’un moyeen de tran
nsport
T
Toute décission stratégiique doit s’ appuyer sur une évalu
uation sérieuuse des coû
ûts et des
bénéficees qui y soont associéss. A ce niveeau, notre attention poorte sur l’aanalyse écon
nomique
d’optionns de transpport.
3.1. S
Sélection d’un moyen de tran
nsport
L
Lorsqu’on veut choisir un moyyen de tran nsport (mod de, transporrt public vs.v flotte
achetée vs. flotte louée, livraaison directte vs. group page...) parrmi un enseemble de solutions
s
possiblees, les coûtss suivants do
oivent être ppris en com
mpte pour tou utes les optitions envisagées :
L Les coûts d'expédition
d n (nécessairees pour dép placer les produits danns l'espace entree les
oorigines et les destinaations). Ces coûts dépeendent de qui q relève lla responsab bilité du
ccoût de toutes
t les étapes (cchargement chez l'ex xpéditeur, livraison au port
dd'embarqueement, assurances, mannutention à l'embarquement, trannsport, man nutention
aau débarqueement...) selon les respponsabilités définies dans les contrrats.
L Les coûts d'opération
d (nécessaires
( s pour déplaacer/fabriquuer les produ
duits à l'intérrieur des
iinstallationss - usine, terminal dee transbord dement, entrepôt...). Seeulement les coûts
dd'opération qui ne son nt pas identtiques pourr tous les moyens
m de ttransport en nvisagés
ddoivent êtrre considérrés. Les cooûts d'immo obilisation (nécessairees pour gaarder les
pproduits danns le temps)), en tenantt compte des stocks en transit, ainssi que des stocks
s de
ssécurité de l'expéditeuur et du desttinataire (s''ils sont tou
us les deux sous le con ntrôle de
ll'entreprise)) qui sont affectés par la décision
d dee transportt (c.-à-d. le coût
dd'immobilissation pendaant que les pproduits atttendent d'êtrre transportéés ou conso ommés).
N. AISSA
AOUI OMRAN
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Chapitre 2 Choix d’un moyen de transport
Dans le contexte de partenariat et de forte compétition qui prévaut actuellement, il est souvent
plus adéquat de minimiser l'ensemble des coûts de la chaîne logistique, même s'ils ne sont pas
tous sous la responsabilité de l'entreprise. Cette approche revient à maximiser les profits de
l'entreprise et elle donne de meilleurs résultats à long terme. Si on inclut seulement nos coûts,
on crée des problèmes à nos partenaires et on se rend vulnérable face à la compétition. En
incluant tous les coûts, on offre des conditions intéressantes aux partenaires et on peut ainsi
améliorer notre part de marché et nos profits.
ce = a’dα Qb = a Qb (1)
Où :
ce : coût d’expédition de la cargaison de l’origine à la destination.
d : distance aller-retour entre l’origine et la destination.
Q : taille de la cargaison (en unités, kg...).
a', α, b : paramètres obtenus par régression multiple.
a = paramètre calculé pour une origine-destination donnée.
L’interprétation de ce modèle n’est pas toujours évidente et son utilisation peut mener
à des modèles non linéaires difficiles. Une approximation plus simple des tarifs des
transporteurs publics, pour une plage de taille de cargaison donnée, est généralement obtenue
en utilisant la fonction linéaire illustrée à la figure 7, soit :
ce = ca + cd d + cv Q = cf + cv Q (2)
O
Où :
ca, cd, cv = param mètres obteenus par réggression multiple,
cf = paramètre calculé
c pourr une origin
ne-destinatio
on donnée.
ca : coût d'arrêêt (indépenndant de laa distance à parcourirr et du con ntenu du
charrgement) en ncouru à caause de l'afffectation d'u
un véhicule à un voyag ge et, en
partticulier, à caause du temmps perdu au u départ et à l'arrivée ;
cd : coût de la distance (iindépendan nt du conten nu du véhiccule). C'estt le coût
(chaauffeur, esseence, usure....) par kilom
mètre parco ouru ;
cv : coût de charge
c (inddépendant de
d la distan nce parcouurue) encou uru pour
chaqque article inclus
i dans le véhiculee (chargemeent et déchaargement dee l'article
et manutention
m dans le véhhicule).
La relattion (2) peuut aussi être utilisée pouur caractérisser les prix de revient ddes voyagess point à
point efffectués aveec une flottee privée. Sii on n'a pass des transp ports point à point, maais plutôt
des rouutes avec arrêts multip ples, les cooûts peuven nt être mod délisés en uutilisant la relation
modifiéée suivante :
ce = ca (n+1 ) + cd d + cv Q (3)
Où :
n = nombree d'arrêts en cours de rooute.
Dans ce cas, Q correspond
c à la chargge au dépa
art, plutôt qu'à la quuantité d'artticles Qi
livrés/raamassés auxx arrêts i = 1,..., n, et d correspon
nd à la long gueur de laa route parccourue et
non à lla somme des distancces point à point di entre e l'origiine et chaccun des arrrêts. Ces
distinctiions sont illlustrées à laa figure 8.
La distaance d déppend évidem mment de lla route cho oisie pour faire la livvraison. Il est
e aussi
possiblee que la quaantité Q à liv
vrer nécessiite plus qu'u
un véhicule..
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AOUI OMRAN
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Chapitree 2 Choix d’un
un moyen de transport
Fig
g. 8 : Distannces point à point et tou
urnées
3.3. S
Sélection d'un mode de transsport public
Suppoosons, dans un premierr temps, quee l’on veut choisir un mode de tra ransport pub
blic pour
transporrter, sur unne base réguulière, des produits faabriqués dan ns une usinne vers un entrepôt
situé daans une régioon relativem
ment éloignéée, tel qu’illlustré dans le schéma ssuivant.
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Chapitre 2 Choix d’un moyen de transport
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Chapitree 2 Choix d’un
un moyen de transport
(4)
C’est cette expreession qu’ill faut utilisser pour co omparer le coût de diffférents mo
oyens de
transporrt public enttre une orig
gine et une ddestination.
Exemp
ple :
Une enttreprise doitt expédier à son entreppôt de distrib bution envirron 200 0000 kg de prod duits par
an. La capacité de d productio on de l'usinne est de 2 000 kg de produit par jour ouvrable o
(240jouurs/an). La valeur
v du produit
p à l'uusine est dee 20 DT /kg g et le tauxx du coût du u capital
utilisé ppar l'entreprrise est de 10%.
1 Les cooûts d'entrep posage pouur l'expéditeeur et le desstinataire
sont ausssi de 10%. Trois optio ons de transpport sont coonsidérées:
- environ unne fois par semaine
s parr avion (= 2 jours) en lots de 4 0000 kg;
- environ unne fois par mois
m par cam mion ( = 3 jours) en loots de 20 0000 kg;
- environ huuit fois par année
a par raail (= 10 jours) en lotts de 30 0000 kg.
Les diveers coûts d’’expédition (fret, cueilllette, livraisson, emballaage, chargemement, domm mages et
frais d’’administrattion) ont été é évalués sur une base b annuelle, à partiir des soum missions
obtenuees de différeents transporteurs. L’annalyse des soumissions a donné less résultats suivants:
Tab. 3 : Eléments du
d coût d’ex
xpédition
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Chapitree 2 Choix d’un
un moyen de transport
3.3.2. O
Optimisation de la taille
t des lots
Dans la méthodee d’évaluatiion que nouus venons de d présenterr, on suppoose que la taille des
cargaisoons à expéddier, Q, est prédétermin
p née pour chaaque mode de d transportt. Dans certtains cas,
le type de véhiculee utilisé peuut imposer uune taille dee cargaison,, mais danss d’autres co
ontextes,
la taille des lots Q peut
p être un ne variable dde décision à optimiserr.
Pour ttrouver la quantité
q op
ptimale à exxpédier pou ur un mode donné, il suffit de trrouver le
minimuum de la fonnction conveexe (4). Ce ppoint peut être
ê trouvé en e prenant lla dérivée de CT (Q)
par rappport à Q et en
e l’égalant à zéro, c.-àà-d. en résollvant la relaation :
(5)
3.4. E
Extensions
- la dem
mande de l’eentrepôt est un processuus stochastiq
que stationn
naire et on cconnaît sa moyenne
m
µx et sonn écart-typee x ;
- le temp
ps de transitt est une vaariable aléatooire et on connaît sa moyenne
m µτ eet son écart--type
τ ;
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Chapitree 2 Choix d’un
un moyen de transport
- l’entre
epôt contrôlee ses stockss avec un syystème à poiint de comm
mande. Le ppoint de com
mmande
est calcuulé de façonn à s'assurerr que la probbabilité de non-rupture
n e durant un ddélai de livrraison
moins .
soit au m
= Φ-1() = k
SS=
ooù : Φ-1 est l'inverse dee la distributtion normalle centrée rééduite de nivveau
k = LOI.NO ORMALE.S STANDARD D.INVERSE( ),
est l’écartt type de la demande du durant le déllai de livraisson.
Dans l’approchee qui vient d’être préésentée, on fait impliccitement l'hhypothèse que l'on
transporrte un seul produit. Si les moyenns de transport considérés sont utiilisés pour déplacer
une fammille de prooduits simillaires, l’appproche peu ut être utilissée pourvuee que x so
oit défini
comme la demandee totale pou ur tous les aarticles (exp
primée par exemple enn kg, en caisses, en
palettes...) et que des coûtss unitaires moyens so oient utilisés. Si les produits sont
s très
disparattes, le probllème devien
nt beaucoupp plus difficiile.
3.4.3. C
Cas de mu
ultiples liv
vraisons directes
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