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Pilotage de l’irrigation dans la

région de SOUSS MASSA


Sommaire
I. Généralités. … . ……………………………………………………….3

II. Les composants d’une installation d’irrigation localisée……..3

III. Pilotages d’irrigation : Techniques & méthodes de


détermination des besoins en eau dans le cas de l’irrigation
localisée… ……………………………………………………………………4

1. Pilotage de l’irrigation par Lysimètres………………………………….4


2. Pilotage de l’irrigation par tensiomètre………………………………...5
3. Pilotage de l’irrigation par rayonnement globale……………………15
4. Pilotage de l’irrigation par Dendromètre (L’outil PEPISTA)……….18

Exemples des pilotages d’irrigation dans la région Souss


Massa………………………………………………………………………...21
Essais réalisés dans des fermes de la région

Bibliographie

I. Généralités :

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Sur le plan international, différents termes sont utilisés pour désigner cette technique
d’irrigation :

 Micro-irrigation : terme choisi par la CIID (Téhéran 1976) en référence aux débits
utilisés qui, contrairement aux deux autres techniques plus anciennes, aspersion et
irrigation de surface, sont très faible.
 Irrigation Goutte à Goutte : terme utilisé par certain auteurs en référence à
l’utilisation d’un type particulier de distributeur : le goutteur.
 Irrigation localisée : terme choisi par l’organisation mondiale pour l’alimentation et
l’agriculture (FAO, OAA, 1976) en raison des apports d’eau effectués au voisinage
immédiat des plantes. C’est ce terme que nous utiliserons par la suite.

L’irrigation localisée se caractérise par :

 La mise en place sur la parcelle d’un réseau dense de canalisations (rampes)


couvrant totalement la surface à irriguer.
 L’apport de l’eau au voisinage de la plante.

II. Les composants d’une installation d’irrigation localisée :

Une installation ou réseau d’irrigation localisé comprend de l’amont vers l’aval les éléments
suivants :

 La ressource en eau ou point d’eau :


La connaissance de l’origine de l’eau permet de déterminer le niveau de filtration souhaitable
pour protéger efficacement l’installation et de définir les différents traitements nécessaires.
Parmi les sources d’eau on cite : les eaux de profondeur qui proviennent de forages profonds
et les eaux de surface qui proviennent de pompages effectués à partir d’un lac, d’un puits peu
profond, d’un cours d’eau ou d’un canal.

 La station de tête :
Elle comprend les différents appareils nécessaires pour garantir le bon fonctionnement et la
sécurité du réseau ainsi que la protection de l’environnement. Les différentes fonctions
assurées concernent le conditionnement hydraulique de l’eau (Bassin de stockage), la
filtration, la chimigation, la programmation et le comptage.

 Les canalisations de transport (canalisation principale et secondaire) en tête des postes


d’arrosage :
En aval de la station de tête, toutes les canalisations sont obligatoirement en plastique. Il s’agit
en général de conduite de diamètre de 100 à 200 mm. Les matériaux utilisés étant le
polyéthylène (PE) ou le polychlorure de vinyle PVC, ces canalisations doivent être enterrées
pour être protégées de l’action des UV.

 Les canalisations d’alimentation des rampes (le ou les porte-rampes) :

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Une installation d’irrigation localisée comporte un ou deux porte-rampes en plastiques qui
alimentent les rampes par des départs sur un ou deux cotés

 Les canalisations d’alimentation des distributeurs (les rampes) :


Les rampes équipées de distributeurs assurent le transport de l’eau sur la parcelle ; portent et
alimentent les distributeurs. Elles sont fabriquées en PE basse densité. Les diamètres inférieur
et extérieur (en mm) de ces canalisation les plus couramment utilisés ont pour valeurs : 13/16
– 14,5/17 – 17/20 - 22/25

 Les distributeurs installés le long des rangées de culture (les goutteurs) :


Les goutteurs assurent la répartition de l’eau sur la parcelle au voisinage de la culture. Ils sont
conçus pour dissiper l’énergie de pression existant dans la rampe et pour donner un débit
faible aussi régulier que possible. Selon la culture et le type d’installation le nombre peut
atteindre plus de 30000 goutteurs /ha (tomate : 20000 goutteurs/ha ; poivron : 25000g/ha…..).

III. Pilotages d’irrigation : Techniques & méthodes de détermination des


besoins en eau dans le cas de l’irrigation localisée.

1. Pilotage de l’irrigation par Lysimètres :

a. Principe de base :
Le principe de base consiste à déterminer l’évapotranspiration maximale (ETM) de la culture
en se basant sur le bilan hydrique entre la quantité d’eau apportée et celle perdue par drainage
d’une cuve lysimètrique.

b. Stratégie de pilotage :
 Matériel de mesure :
Le matériel de mesure est une cuve formée par un film plastique posé d’une manière à
récupérer les eaux de drainage et les conduire à un réservoir. Ce réservoir doit être protégé
contre les eaux de pluie et les animaux.

 Fréquence des mesures :


Les paramètres mesurés sont la quantité de drainage, le pH et l’EC. Ces mesures se font à
l’aide d’un bécher gradué, un pH-mètre et un EC-mètre. Elles sont enregistrées
quotidiennement avant chaque irrigation.
 Détermination des besoins en eau :
Les besoins en irrigation sont calculés en se basant sur l’irrigation précédente et sur la formule
suivante :

ET  I  D ds

Dont I est l’irrigation précédent, D est la quantité des eaux de drainage et ds et la variation du
stock qui peut être éliminé en maintenant l’humidité du sol à l’intérieur de la cuve très proche
de la capacité au champ.

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Remarque :

Le pilotage de l’irrigation par les Lysimètres permet de réduire l’infiltration de l’eau, mais
sans éliminer ce problème, ce qui rend cette méthode moins utilisée par l’irrigant, même si
elle permet de mieux gérer la fertilisation en ce basant sur l’EC et le pH du drainât.

2. Pilotage de l’irrigation par tensiomètre :

a-Définitions et généralités :

Méthode permettant de piloter les irrigations en se basant sur l’état hydrique du sol, qui
s’apprécie à l’aide des forces de liaison (tension) entre l’eau et le sol. En effet, l’eau du sol en
un point est soumise à différentes forces :

 Son poids, P, qui tend à l’entraîner en profondeur.


 L’attraction par les particules de terre, F.
 La succion par les racines, S, qui est en concurrence avec les deux précédentes.

b-Tension:

On appelle tension la valeur de la dépression par rapport à la pression atmosphérique obtenue


à partir d’un tensiomètre, exprimée en centibar (= cbar).

L’eau de la solution du sol pénètre dans les racines des plantes par un phénomène passif : la
pression osmotique, basée sur la différence de concentration des milieux. Plus il y a d’eau
dans la solution du sol, moins elle est concentrée, et plus le passage vers l’intérieur des
cellules racinaires est aisé. Lorsque l’eau se raréfie, la concentration de la solution du sol
augmente, l’osmose ne permet pas de remplir suffisamment les cellules, et la plante s’épuise à
augmenter la concentration au niveau de ses propres cellules … puis subit un déficit
d’alimentation hydrique. D’une manière pratique, la tension correspond donc à la force avec
laquelle l’eau est retenue par le sol, et par conséquent, à l’inverse de la capacité de la plante à
la prélever.

c- Relation tension /teneur en eau

Approche simplifié ; Beaucoup d’eau dans le sol = faible tension.

Peu d’eau = forte tension.

La relation entre tension et teneur en eau n’est pas linéaire, elle varie selon la texture et la
structure du sol.

Influence de la texture sur la rétention de l’eau dans le sol :

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Le graphique ci-dessous nous montre que pour une même tension, la teneur en eau (= taux de
remplissage de la capacité du sol) est beaucoup plus grande dans l’argile que dans le sable.
Notez bien qu’il s’agit ici de courbes de tendance, raison pour laquelle il n’y a aucune valeur.

Figure n°1 : Influence de la texture sur la rétention de l’eau dans le sol

Pour une même teneur en eau, l’alimentation hydrique d’une plante est plus facile dans un sol
sableux (tension faible) que dans un sol argileux (tension élevée) : l’argile retient plus
fortement son eau.

Les courbes rappellent également le phénomène d’adsorption de l’eau dans l’argile : malgré
les fortes tensions, une partie de l’eau ne sera jamais disponible pour les plantes, car bloquée
sur les parois des molécules de sol.

Influence de la structure sur la rétention de l’eau dans le sol :

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Figure n°2 : Influence de la structure sur la rétention de l’eau dans le sol

Dans un sol compacté l’eau est moins disponible pour les plantes (tensions plus fortes) quand
on a des valeurs de teneur en eau moyennes. La zone des faibles tensions montre une capacité
de stockage plus grande pour un sol bien aéré. Cette partie mise au point était très importante
pour rappeler la très haute importance d’une préparation de sol réussie.

d-Quelques valeurs de tension repères :

Tableau n°1 : Quelques valeurs de tension repères

Valeur de tension (cbar) Phénomène correspondant dans le sol

0 La macroporosité est pleine d’eau

(c’est bon pour la culture des plantes aquatiques ou du riz !)

<à7 La macroporosité n’est pas totalement drainée

(la sonde WATERMARK n’est pas précise dans cette gamme de


tensions : on les considère donc toujours équivalentes à zéro)

Eau très abondante (même sur sable) mais bonne aération du sol
7 à 15

Sol bien pourvu en eau

15 à 25
Très variable selon le type de sol

7
> à 25

Tableau n°2 : Quelques valeurs de tension repères de l’épuisement relatif de la réserve


utile en fonction du type de sol

Exemple à 60 cbar Proportion de réserve utile (RU) épuisée

Sol sablo-limoneux 3/4

Sol limono-sableux 1/2

Sol limoneux 1/3

Sol argileux 1/6

 Mesure de la tension
Appareils de mesure

a. Tensiomètre à eau :

Photo n°1 : Tensiomètre à eau Figure n°2: Tensiomètre à eau

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Photo n° 3et 4 : Thermomètres d sol

b. Sonde Watermark :

Figure 3 : Capteur Water mark

La sonde Water mark se compose d’un capteur avec deux électrodes noyées dans un sable et
reliées à 2 fils électriques. Le capteur est surmonté par un tube en PVC. Un boîtier électrique
se branche sur les 2 fils à l’aide de petites pinces, il permet la lecture des valeurs de tensions
des sondes. Le boîtier émet un courant électrique qui est échangé entre les deux électrodes et
renvoyé au boîtier : c’est ce niveau de conductivité électrique qui est converti en tension du
sol.

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Tableau n°3 : Avantages et inconvénients du tensiomètre à eau et des sondes Water mark

Tensiomètre à eau Sonde Water mark

 Lecture facile et propre à chaque  Manipulation facile (ne nécessite pas


Avantages tensiomètre de préparation)
 Large intervalle de mesure (0 à 200
cbar)
 Manipulation et préparation  Paramétrage température d’où la
délicate nécessité de se munir d’un
Inconvénients  Risque de gel et d’infiltration d’air thermomètre de sol.
en sol sableux  Faible précision dans les tensions
 Intervalle de mesure réduit (0 à 80 basses.
cbar)

 Mise en place des capteurs


La mise en place des capteurs doit répondre aux règles suivantes :

 Positionner les capteurs à la profondeur de mesure désirée.


 Etablir un bon contact entre le capteur et le sol.
 Localiser les capteurs et les repérer pour les retrouver facilement.
 Protéger les capteurs contre le choc.

Pour une bonne mise en place des capteurs, les étapes suivantes doivent être respectées :

 Graduer le tube PVC de la sonde tensiomètrique à l’aide d’un marqueur : on part du


milieu du capteur (qui correspond au zéro de la graduation) pour remonter le long du
tube PVC.

 Tremper les sondes dans un seau d’eau 10 à 20 minutes avant leurs mises en place
(vérifier que la valeur indiquée par les sondes après trempage est égale ou proche de 0
cbar).

 S’assurer que le sol est humide. A l’aide d’une tarière vrille, effectuer un trou en
tournant dans le sens des aiguilles d’une montre, retirer le sol au fur et à mesure du
creusement en retirant la tarière bien verticalement dans le sens inverse des aiguilles
d’une montre : ceci permet d’éviter le tassement du sol. Répéter l’opération jusqu’à
atteindre la profondeur désirée. Le diamètre de la tarière vrille doit être identique à
celui du tube PVC des sondes tensiomètriques, ce qui garantit un bon contact de la
sonde avec le sol.

 Enfoncer le tube bien droit sans tourner jusqu’à la profondeur souhaitée.

 Ramener un peu de terre humide autour du tube.

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 Localisation des sites de mesure
Les points suivants doivent être respectés pour repérer les parcelles qui seront pilotées par
tensiométrie:

 Un sol homogène.

 Une même culture.

 Une irrigation homogène (débit des goutteurs homogène et régulier).

Pour avoir des données fiables il faut 3 sites équipés chacun de 2 capteurs. La médiane des
valeurs de tensions obtenues de ces trois sites (en surface et en profondeur) constitue la valeur
sur laquelle on se base pour piloter les irrigations.

Mais il existe parfois des différences très marquées entre les serres (notamment relief et type
de sol). On peut alors soit :

 Créer plusieurs zones qui seront pilotées différemment, chacune avec trois sites de
mesure ;

 Piloter toute la ferme en se basant sur la zone la plus exigeante, en sachant que
l’économie d’eau sera moins grande dans le reste de la ferme.

 Positionnement du capteur
Positionnement par rapport au goutteur (positionnement dans le bulbe)

Figure n°4: Bulbe humide

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La forme du bulbe est très variable, elle dépend da la nature du sol, l’eau s’étale plus en sol
fin qu’en sol sableux. On distingue trois zones dans le bulbe :

 La zone centrale très humide, souvent saturée.

 La zone extérieure non influencée par le goutteur.

 Une zone intermédiaire où les fluctuations de tensions sont importantes. C’est dans
cette zone qu’on doit installer les capteurs.

En pratique, si la tension indiquée par le capteur monte entre 2 arrosages et redescend après,
la position de la sonde est bonne.

 Si la tension à tendance à monter malgré une irrigation, le capteur est à l’extérieur de la


zone d’influence du goutteur, il faut le rapprocher du goutteur.

 Si la tension reste basse entre 2 irrigations, la sonde est dans la zone centrale du bulbe
toujours saturée en eau, il faut l’écarter du goutteur… ou l’irrigation était insuffisante.

Ceci est toujours vrai, mais souvent difficile à vérifier en maraîchage car les goutteurs y sont
tellement rapprochés que la zone très humide est continue tout le long du billon et en occupe
également une grande part de la largeur.

Concrètement, des tests réalisés à ont montré que les tensions étaient identiques en plaçant
plusieurs capteurs entre deux goutteurs, entre deux plants, comme dans les 30 cm de chaque
côté de la ligne de goutteurs.

Créer plusieurs zones qui seront pilotées différemment, chacune avec trois sites.

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Figure n°5 : Zones du bulbe

Profondeur des capteurs :

Comme cité dans le paragraphe précédent, deux capteurs doivent être installés par site, chacun
à une profondeur précise. Le premier (sonde de surface : SS) doit être installé à une
profondeur où la grande partie du système racinaire de la plante est concentrée : il permet de
décider de la fréquence des irrigations.

Le second capteur (sonde de profondeur : SP) doit être installé à une profondeur qui
correspond à la limite que les racines atteignent : ce capteur permet de décider de la dose
d’irrigation.

En pratique, on peut déterminer la profondeur du système racinaire en réalisant deux


tranchées perpendiculaires (en forme de « L »).

N.B: la profondeur des capteurs doit être modifiée en fonction de l’évolution du système
racinaire (et donc du stade de développement de la culture)

Positionnement des capteurs :

Les tensiomètres doivent être positionnés comme suit :

13
A mi-chemin entre deux goutteurs.

A 20 cm de la ligne de goutteurs.

SS = 15 cm et SP = 30 cm pendant les deux premiers mois de culture, puis augmentation de la


profondeur : SS = 20 cm et SP = 40cm.

 Lecture des tensions :


Deux lectures sont nécessaires chaque jour vers 8 h 30 et 13 h 30. La première permet de
décider du programme d’irrigation pour la journée (dose et fréquence). La seconde sert de
contrôle : le programme peut évoluer après cette lecture.

Toujours vérifier que le boîtier de lecture est réglé sur la bonne température (un écart
important de température peut modifier le résultat sur l’écran).

Vérifier les données qui s’affichent en appuyant plusieurs fois sur la touche “READ".

Il est possible d’obtenir des valeurs aberrantes : capteur mal positionné ou manipulé par une
personne non habilitée, particularités du terrain à cet endroit-là… ou autre ! Il suffit alors de
déplacer le capteur de quelques centimètres.

L’idéal en tensiométrie est d’avoir des tensions en profondeur légèrement inférieures à celles
de surface : on favorise ainsi les remontées capillaires et l’installation des racines en
profondeur (ce qui donne des plantes moins sensibles aux écarts thermiques).

Enfin, il faut savoir que si l’on se fixe un objectif de tensions précis (18 par exemple), on a
toujours une marge de +/- 5 cbar (donc de 13 à 23 pour un objectif de 18) dans laquelle les
résultats quotidiens peuvent fluctuer.

Photo n°5 : Lecture de la température du sol

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Photo n° 6 et 7 : Boîtier de lecture débranché

Test

Read Temps

Photo n° 8: Description du boîtier de lecture

3. Pilotage de l’irrigation par rayonnement global :

1. définition :

Rayonnement global : rayonnement circumsolaire : rayonnement solaire, direct et diffus, reçu


par une surface horizontale à partir d’un angle solide de 2 stéradians.

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2. Source des valeurs de rayonnement global :

ORMVA : Office Régional de la Mise en Valeur Agricole, qui fournit les données
météorologiques à des fins agricoles et / ou biologique.

Le rayonnement global doit être prit d’une manière journalière et régulière chaque matin
avant de commencé l’irrigation.

3. Appareil de mesure :

µMETOS

Est une station automatique destinée à la mesure et à l’enregistrement des données agro
météorologiques, permet de mesure de calculer et de surveiller tous les paramètres agro
météorologiques, parmi les quelles le rayonnement global.

Photo n°9 : µMETOS

Cette photo a été prise pendant le forum de SIFEL de cette année, de la société
HYDRAUMET société de prestations hydrauliques et météorologiques.

Détermination du besoin en eau à partir du rayonnement global :


1. procédure de calcul :

 Etape 1 : calcul d’ETPs :

Formule 1 : ETPs = RG*t

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Avec :

ETPs : Evapotranspiration potentielle sous-serre (mm = 1/m²).

RG : rayonnement Global (joule/cm²)

t : (0, 67*KP)/L avec KP coefficient de transmission de la paroi. Et L (la chaleur latente de


vaporisation de l’eau) = 251joules/cm2

La valeur du coefficient (t) varie en fonction de la période et du % de transmission de


l’énergie par la paroi de l’abri serre.

Le tableau ci-dessous présente les valeurs de t selon les périodes de l’année :

Tableau nº4 : Valeur de « t » en fonction des périodes de l’année

Période % transmission t
1er décembre au 20 janvier 50 0,00133
20 janvier au 28 février 60 0,00160
1er mars au 31 mai 70 0,00187
1er juin au 31 juillet 80 0,00213
1er août au 31 octobre 70 0,00187
1er novembre au 30 novembre 60 0,00160

 Etape 2 : calcul d’ETM :

Formule 2 : ETM = Kc*ETPs

Avec :

ETM : Evapotranspiration maximale qui correspond à la quantité d’eau à apporter (mm =


1/m²).

Kc : coefficient cultural qui dépend de la culture et de son stade physiologique

Le tableau suivant donne les valeurs de Kc :

Tableau nº5 : Valeur de Kc par culture et par stade physiologique

Espèce Stade physiologique Kc


Tomate PL – F2 0,4 – 0,6
F3 – F6 0,75 – 0,8
F7 – R2 0,9 – 1
R3 - Fin 0,9 – 0,8
4. Pilotage Poivron PL Croissance 0,6 – 0,75 de l’irrigation par
FL – Nouaison 0,8 – 0,9
Début Récolte – Fin 0,9 - 1
Dendromètre (L’outil
PEPISTA) : Haricot vert PL – Croissance 0,4 – 0,65
FL – Début Nouaison 0,7 – 0,9
Récolte - Fin 1 – 0,8
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4.1 Introduction
Le pilotage de l’irrigation est habituellement réalisé à partir des contrôles indirectes de l’état
hydrique de la culture, or comme l’on montré de nombreuses études, le végétal est le meilleur
indicateur de son propre état et de ses interactions avec le milieu. Dans ce contexte, plusieurs
méthodes directes, notamment la teneur en eau des feuilles et le potentiel hydrique foliaire,
ainsi que des méthodes indirectes, tels que la résistance stomatique et la température foliaire,
ont été proposées.
L’une des méthodes indirectes consiste à suivre les microvariations du diamètre des organes
végétaux et en particulier de la tige. En effet, PEPISTA est un dendromètre développé par
INRA France, il mesure le diamètre (la croissance) de la plante et indirectement l’état de
turgescence de ses cellules afin d’ajuster l’irrigation au plus près des besoins des plantes. Il est
doté pour cela d’un capteur micromorphométrique qui peut être placé sur différentes parties
du végétal (tige, branche ou fruit), ce capteur mesure le grossissement et la contraction de
l’organe en question au centième de millimètre.

4.2 Circulation et régulation de l’eau au sein de la plante


L’eau pénètre dans la plante par l’épiderme des racines et des poiles absorbants, transite par
les vaisseaux jusqu’aux feuilles. Après avoir traversé le mésophyle, elle parvient aux cavités
sous stomatiques où elle passe à l’état gazeux, et quitte le végétal par le canal stomatique qui
débouche sur une ouverture à l’air libre (ostiole).
La circulation de l’eau dans la plante est régulée en grande partie par les stomates qui sont des
ouvertures de l’ordre de 20 à 50 microns, ménagées sur les faces inférieures et supérieures des
feuilles ou seulement sur la face inférieure.
Ces ouvertures sont délimitées par une paire de cellules particulières : Les cellules
stomatiques, très riche en chloroplaste, dont les déformations provoquent l’ouverture ou la
fermeture de l’ostiole. Le déficit en eau de la plante est le facteur essentiel de la régulation
stomatique : Un dessèchement relativement important du végétal entraîne une fermeture des
stomates. En fait cette relation n’est pas aussi simple pour de faibles déficits, car d’autres
facteurs interviennent dans la régulation stomatique, comme la teneur en gaz carbonique, en
oxygène, l’intensité lumineuse…etc.
De plus, les stomates répondent avec une certaine inertie aux variations des conditions de
milieu : La régulation n’est pas instantanée, par contre la fermeture stomatique observée après
un flétrissement important, même bref, persiste partiellement quelques jours après le retour à
un état d’hydratation normal.
De ce fait, si l’état moyen d’hydratation de la plante est le principale facteur de la régulation
stomatique, d’autres éléments interviennent, en particulier la présence ou l’absence de
lumière, qui font que ce phénomène est assez complexe.

4.3 Description de l’appareil PEPISTA


PEPISTA mesure et mémorise en permanence les variations de diamètre des tiges ou fruit
d'une plante, sans perturber son fonctionnement.

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PEPISTA est un ensemble autonome constitue de :
 Un boîtier électronique avec son logiciel spécifique, a la fois cœur et cerveau du
système.
 Capteurs pour mesurer la variation micrométrique de diamètre.
 Logiciel sur ordinateur pour visualiser les courbes de croissance.
PEPISTA peut être relie a d'autres types de capteurs (tensiomètre...), et en intégrant plusieurs
sources d'informations, il devient ainsi la base d'un ensemble d'outils d'aide a la décision.
Légende :

a. Capteur de déplacement
b. Visserie pour la fixation du capteur
c. Cylindre guide pour le capteur
d. Tige INVAR
e. Visserie pour la fixation de la tige INVAR
f. Ressort de stabilisation
g. Tige sensible
h. Anneau plastique
i. Stabilisateurs
j. Stabilisateur supplémentaire en forme de V.

Figure 6. Schéma d’un porte-capteur système PEPISTA

4.4 Pilotage de l’irrigation à l’aide de PIPESTA


4.4.1 Principe
Au lever du soleil, la plante commence à transpirer, et si la journée est claire, cette
transpiration sera croissante jusqu’au moment de plus forte demande climatique.
Au cours de cette phase, la plante transpire plus d’eau qu’elle ne peut en absorber par ses
racines, même en sol bien humide. Pour compenser ce déficit provisoire, la plante utilise la
capacité tampon d’une partie de l’eau de ses tissus d’où la perte d’eau, et donc la diminution
du diamètre (contraction).
Dès que la transpiration cesse d’augmenter, les tissus récupèrent de l’eau. Si celle-ci est
suffisamment disponibles dans le sol, ils retrouvent leur turgescence initiale et peuvent
exprimer une croissance (évolution nette).
Mais quand l’eau du sol est rare et plus difficile à extraire, on assiste à une déshydration et
l’évolution nette devient nulle ou négative. Parallèlement, l’amplitude de contraction diurne
augmente de jour en jour, jusqu’à atteindre et franchir ce que l’on définit comme un seuil de
stress.

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Figure 7. Microvariations de diamètre de la tige durant toute une journée en comparant
avec l’évolution de la température.4.4.2 Stratégie de pilotage de l’irrigation

Le PEPISTA fournit deux paramètres :


 La croissance (C) qui représente la croissance nette d’un jour à l’autre (de 6h du
matin à 6 h du matin du lendemain).
 L’amplitude (A) qui est égale à la perte du diamètre de la tige pendant la journée.
Cette amplitude reflète le déstockage d’eau de la plante qui est un phénomène naturel
qui peut être amplifié par un stress (c’est vers 16 h que la plante présente le diamètre
de tige le plus faible, ainsi, l’amplitude correspond à la différence de diamètre de la
tige entre 16 h et 6h).
On notera ici que le seuil d’amplitude de contraction (SAC) qui est fixé par le fournisseur du
PEPISTA pour la culture de tomate est SAC = 5, c’est à dire qu’une contraction inférieure à 5
centièmes de millimètre traduit un confort hydrique de la plante. En fonction des valeurs de C
et A enregistrées, le PEPISTA donne les messages suivants :
Tableau 6. Messages donnés par le PEPISTA en fonction de C et A.
Message PEPISTA Croissance C Contraction A
Forte humidité >0 < ou = au SAC
Tout Va Bien >0 > SAC
Plante a Soif < ou = à 0 > SAC
Tige croissance Faible (TCF) Durant 1 jour sur 2, C a été > 0 > ou < au SAC
Tige Croissance Nulle < ou = à 0 < SAC

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Photo n° 10. Et 11. Capteur du PEPISTA installé sur la tige d’un plant de tomate

Photo 12. PEPISTA protégé dans un boîtier Photo 13. Afficheur du PEPISTA

Grâce à un programme pour micro-ordinateur, il est possible de récupérer à tout moment les
informations enregistrées par PEPISTA et de visualiser les courbes d'évolution des végétaux :
mini et maxi journalier, croissance générale...
Les courbes peuvent mettre en évidence des incidents autres que l'irrigation (fertilisation,
maladies, régulation...), elles permettent d'étudier les réactions des plantes soumises à divers
traitements, d'effectuer des comparaisons de développement...

Exemples des pilotages d’irrigation dans la région Souss Massa :


 Essais réalisés dans des fermes de la région :
1. Essai de pilotage de l’irrigation par tensiomètre
L’essai est réalisé au sein de la ferme SOPROFEL 5 sur culture de tomate dans la région de
Khmiss Ait Amira. Les tensiomètres sont installés le 28/08/06.
Pour comparaison, on a choisie une serre irriguée normalement où la tomate cultivée est de
même variété et au même stade de développement que celle de la serre piloté par tensiomètre.
Le sol étant limono-sableux, alors, on a fixé comme objectif de tensions à maintenir : 15 cbar
en surface et 17 cbar en profondeur. Le pilotage effectif n’a commencé que le 13/09/06.

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2. Essai de comparaison rayonnement global / tensiométrie
L’essai est effectué au sein de la ferme ROSAFLOR 1 sur tomate dans la région de Khmiss
Ait Amira, le sol étant limono-sableux et la variété cultivé est CALVI. La serre choisie est
divisé en deux parties : Une piloté avec rayonnement global (RG) et une autre avec
tensiomètrie. L’installation des tensiomètres est faite le 19/09/2006.

3. Essai pilotage de l’irrigation à l’aide de PEPISTA et tensiomètre


L’essai est installé sur Pêcher au sein de la ferme SOPROFEL 4 dans la région de Khmiss Ait
Amira. Il consiste à étudier l’association des deux méthodes de pilotage d’irrigation :
Tensiomètrie et PEPISTA en une seule.
Cet essai est installé le 01/10/2006, et l’enregistrement a commencé le 04/10/2006 or le
pilotage proprement dit n’a commencé que le 30/10/2006. Et puisque notre stage est terminé
le 04/11/2006, Donc on a pensé à vous présenter l’essai de pilotage par PEPISTA et
tensiomètre sur tomate de la compagne précédente.
L’essai a été installé au sein de la ferme ROSAFLOR 1 sur tomate, la variété cultivée est
CALVI.
Deux capteurs de PEPISTA sont installés, chacun dans une serre, en veillant à respecter le
même stade de développement. On note ici qu’une serre est irriguée sur la base des
tensiomètres, tandis que l’autre serre est irriguée normalement, les objectifs qui ont été fixés
pour cet essai sont les suivants :

 Déterminer si les valeurs de tensions fixées pour le pilotage de l’irrigation dans la


serre sont adéquates en se référant aux messages fournis par PEPISTA.
 Evaluer par la même occasion les apports d’eau dans la serre irriguée normalement.
 Détecter les facteurs qui peuvent influencer de prés ou de loin sur le bon
développement de la plante grâce au PEPISTA.

Les capteurs ont été installés le 13/01/2006 et l’enregistrement de données a commencé le


15/01/2006.

Résultats et discutions
1. Essai de pilotage de l’irrigation par tensiomètre

1.1 Tensions enregistrées


La figure .70 montre l’évolution des médianes des tensions par rapport aux apports d’eau
enregistrées au niveau de la serre pilotée.

22
Figure 8. Les tensions médianes enregistrées en rapport avec la quantité d’eau apportée

Interprétation :
Pendant les six premiers jours, on a fractionné les apports de l’eau d’irrigation en deux, et on
a remarqué que les tensions augmentent au fur et à mesure jusqu’à le 17 octobre où on a
enregistré des tensions très proches aux tensions seuils. Donc on a regroupé les apports pour
essayer de garder les tensions proches des tensions seuils et c’est ce qu’on a noté pour les
jours qui suivent.

1.2 Consommation en eau :


Le graphe suivant reflète la différence d’apport en eau entre la serre irriguée par tensiométrie
et l’autre serre irriguée normalement. On remarque que depuis le début du pilotage, la
différence est considérable en quantité et en rapport.

23
Figure 9. Cumul des apports L/Bras
 Economie d’eau
Après deux semaines de la mise en place des tensiomètres, la différence des apports est
remarquable, ce qui nous a amené à une économie de l’ordre de 14,37 % au bout de 52 jours.
 Rendement
Vu la période de mon stage, les plants de tomate n’ont pas encore atteint le stade de récolte
(5ème floraison), de ce fait, on ne peut pas comparer le rendement des deux parties, alors on a
pensé de procéder à la comparaison comme suit :
Sur un échantillon de 30 plants choisis au hasard au niveau des deux serres irriguées par
tensiométrie et normalement (30 plants dans chaque serre), on a effectué les mesures
suivantes :
 Nombre de fleurs du premier bouquet (en partant du sommet de la plante) ;
 Nombre de fruits et diamètre du plus gros fruit du troisième bouquet (en
partant du sommet de la plante) ;
 Diamètre de la tige juste au-dessus de ce troisième bouquet.

24
Les résultats sont résumés dans le tableau suivant:
Tableau 7. Données relatives à la vigueur et la productivité d’un échantillon de plants dans la
serre d’essai (Test réalisé le 01/11/06)

Diamètre de Diamètre de
Nombre des
Nombre fleurs plus gros fruit tige
fruits du 3ème
bouquet 1 de 3ème
bouquet
bouquet (en cm) (en cm)

Serre irriguée par


5,6 5,3 4,7 1,1
Tensiomètrie
Moyennes
Serre irriguée
5,6 4,8 4,5 1,2
normalement

Le tableau montre que la partie irriguée à l’aide des tensiomètres présente une meilleure
nouaison (plus de nombre de fruit par bouquet) et un très léger avantage concernant le
diamètre des gros fruits. Pour le diamètre de tige, les plants de la partie pilotée par
tensiométrie présente un diamètre plus petit que celui de l’autre serre piloté normalement, or,
on a constaté qu’il n’a pas d’influence négative sur la production.

2. Essai de comparaison rayonnement global / tensiométrie


2.1 Apports en eau

Le graphe suivant montre les apports L/Bras enregistrés au cours de la période de mon stage :

25
Figure 10. Cumul des apports L/Bras
Interprétation

La figure 69 présente l’évolution du cumul des apports en eau pour la partie pilotée par
rayonnement global et celle pilotée par tensiométrie. L’écart entre les irrigations commence à
se distinguer à partir du 28 septembre, puis s’élargit avec les semaines jusqu’à atteindre une
différence de consommation cumulée de l’ordre de 9,1 L/bras ; ce qui correspond à une
économie d’eau par tensiométrie de l’ordre de 32 % sur une période de 41 jours.
2.2 Rendement
Les plants de tomate dans la serre d’essai n’ont pas encore atteint le stade de récolte (6ème
floraison), de ce fait, afin de discuter la qualité et la quantité de rendement, on a pensé a
procédé de la même façon comme dans le cas de l’essai de pilotage de l’irrigation par
tensiométrie (partie V.1).
Sur un échantillon de 30 plants choisis au hasard au niveau des deux parties pilotées par
tensiométrie et rayonnement global (30 plants dans chaque partie), on a procédé aux mesures
suivantes :
 Nombre de fleurs du premier bouquet (en partant du sommet de la plante) ;
 Nombre de fruits et diamètre du plus gros fruit du troisième bouquet (en
partant du sommet de la plante) ;
 Diamètre de la tige juste au-dessus de ce troisième bouquet.

Les résultats sont résumés dans le tableau suivant:

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Tableau 8. Données relatives à la vigueur et la productivité d’un échantillon de plants dans la
serre d’essai (Test réalisé le 01/11/06)
Diamètre de
Diamètre de
Nombre des plus gros fruit
Nombre fleurs tige
fruits du 3ème de 3ème
bouquet 1
bouquet bouquet (en (en cm)
cm)

Partie pilotée par


5,7 5,4 4,8 1,1
Tensiométrie
Moyennes
Partie pilotée par
5,7 4,8 4,5 1,2
RG

Le tableau montre que la partie irriguée à l’aide des tensiomètres présente une meilleure
nouaison (plus de nombre de fruit par bouquet) et un très léger avantage concernant le
diamètre des gros fruits. Pour le diamètre de tige, les plants de la partie pilotée par
tensiomètrie ont un diamètre plus petit que celui de l’autre partie piloté par rayonnement
global, or, on a constaté qu’il n’a pas d’influence négative sur la production.

3. Essai de pilotage de l’irrigation à l’aide de PEPISTA et tensiomètre


3.1 Présentation et interprétation des résultats
Les messages quotidiens fournis par le PEPISTA ne permettent pas de dire que telle ou telle
valeur de tensions est la bonne valeur à viser (car tout stress de la plante n’est pas
obligatoirement due à un manque d’eau au niveau du sol), pourtant, la tendance générale de
ces mêmes messages peut donner une idée relativement précise sur les valeurs des tensions les
mieux adaptés a nos conditions. Ainsi on peut dire :
 Les tensions inférieures à 10 cbar sont à éviter en surface et en profondeur : stress dû à
l’excès d’eau ;
 Les valeurs qui semblent induire un confort hydrique pour la plante se situent entre 10
et 19 cbars, avec une affinité pour des valeurs autour de 14 et 16 cbars en surface et en
profondeur successivement ;
 Les valeurs proches de 20 cbar provoquent un ralentissement de la croissance de la
plante ;
D’après les valeurs de la croissance (C) et l’amplitude (A) fournis par PEPISTA, on peut dire
que les plants de la serre pilotée normalement reçoivent généralement plus d’eau que
nécessaire, ce qui est le contraire pour les plants de la serre pilotées par tensiométrie. La
croissance enregistrée dans la serre irriguée normalement est souvent supérieure à celle de
l’autre serre irriguée par tensiométrie, mais elle s’accompagne toujours d’une faible
contraction journalière, qui est le signe d’un excès d’eau. Du reste, le surplus de vigueur, se
traduit par un rendement inférieur à celui de l’autre serre.
Concernant les facteurs influençant le bon développement de la plante, PEPISTA a montré
que les opérations culturales s’accompagnent souvent d’une perte de vigueur ponctuelle, donc
une perte d’eau importante sans doute par les blessures, le badigeonnage systématique et

27
immédiat d’un pansement sur les plaies de la taille et la récolte diminuerait peut-être ces
pertes de vigueur tout au long de cycle de croissance.

Bibliographie

28
L’encyclopédie de « Traité d’irrigation » ; CTIFL, 1995.
Les tableaux et les photos sont tirés des Sociétés « SOPROFEL ; ROSA FLOR »

Les cultures hors sol. Ouvrage collectif dirigé par Denise BLANC-INRA
.
Fondements et principes du hors sol : ALAIN VITRE 2003.

Office régional de la mise en valeur agricole (subdivision de SOUSS MASSA).

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