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Chapitre 12 : Le fonctionnement de l’organisation

Ceux chapitre concerne à la fois les entreprises ; les associations et les organisations
publiques. Il faudra alors dans tous les cas adaptés la gestion à l’environnement et à la finalité
de l’organisation.

I) Gérer en fonction de l’objet social et de la production de l’organisation


A) L’objet social d’une organisation
Lors de la création d’une organisation ; les créateurs doivent fixer l’objet social
dans les statuts.
ATTENTION L’objet social va limiter les actions possibles de l’entreprise au
quotidien : si une activité n’est pas inscrite dans l’objet social l’entreprise ne
peut pas l’exercer. L’objet social choisi devra assurer la pérennité et maximiser
le bénéfice. L’objet social doit aussi être la pérennité et maximiser le bénéfice.
L’objet social doit aussi être adapté aux objectifs que l’on se fixe dès le départ.

B) La production de l’organisation
L’organisation doit respecter son objet social. On distingue :
- Production de biens : (produit matériel et stockables)
- Production de services : (produit immatériel et non stockables)
Une argumentation peut proposer des services supplémentaires.
Exemple : livraison gratuite ou payante, services supplémentaires garanti
supplémentaires. Les entreprises sont les principal concernés ceci pour
faire face à la concurrence

II) Gérer en fonction de l’environnement de l’organisation.


A) Les opportunités et les contraintes de l’environnement
Pour exerce son activité l’organisation est en rapport avec son environnement
extérieur quel doit biens connaître.
L’environnement correspond aux élémentssusceptibles d’influencé son
activité.
On trouve dans l’environnement de l’entreprise des opportunités : cela permet
une amélioration du fonctionnement de l’organisation
Exemple : L’essor du marché bio et une opportunité pour les agriculteurs.
L’environnement est source de contrainte ceux qui crée un dysfonctionnement
de l’organisation.
Exemple : pression de la grande distribution sur les agriculteurs.
Pour prendre les bonnes décisions de gestion il faut connaître toutes les
contraintes et toutes les opportunités de l’environnement.
B) Le marché
Définition : lieux de rencontre entre l’offre et la demande.
L’offre s’est les vendeurs d’un produit et la demande se sont les acheteurs.
Les offreurs sont toujours les entreprises et les demandeurs sont soit des
entreprises soit les particuliers.
Les échanges peuvent être marchands : dans ce cas les biens et services
échanger son vendues au prix du marché à un prix aux moins égal à un coup de
production (sinon on prendrait de l’argent). Ceux types d’échange marchande
permettent de maximiser le profit des entreprises.
De façon assez rare les associations et les organisations peuvent réaliser des
échanges marchands.
Mais le plus souvent elle intervienne sur le secteur des services non marchands
(bien ou service gratuit ou quasi gratuit)
Pour les biens ou services non marchand ; une vente à perte est possible. C’est
par contre interdit pour les biens et services marchands (sauf denrée
périssables) concurrencesdéloyales.
III) Les processus de gestion
C’est une succession d’activités faites par différents acteurs économique pour
obtenir un résultat grâce à des moyens financiers ; humain ; matériel.
A) Les acteurs économiques
Une organisation sera en relation entre différents acteur qui sont les suivants:
 Acteur interne (Salariés ; actionnaire ; associé…)
 Acteur externe (client ; banque ; l’Etat ; Fournisseur ; prescripteur ; usagers…)
Ce sont les utilisateurs des services non marchands proposés par les
organisations publiques.

B) La représentation d’un processus de gestion


On peut faire un schéma pour représenter un processus de gestion. On y
représentera les acteurs économique internes et externes ; la phase de
stockage ; leurs activités. On y inscrit aussi les flux financier/monétaires et
réels.

Achat de matières
Entreprise A Entreprise B
Premières 1000euros

Paiement, banque (chèque de 1000euros n°…)


En droit, quand 2 individus ont des obligations réciproques on parle de contrat
bilatéral ou synallagmatique.

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