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Vox Pop
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Chronique
La réalité du journalisme étudiant à la Faculté des sciences sociales. Ceci à deux. d’O, la FÉUO et La Rotonde de pou-
Nonibeau Gagnon-Thibeault était fait dans le but d’échanger avec voir établir une communication effi-
les professeurs, employés et élèves de C’est dans ce genre d’atmosphère ciente. Une telle attitude en commu-
Lorsque j’ai commencé à travailler à la Faculté dans un but de transparence que les journalistes de La Rotonde nication dans d’autres sphères de la
La Rotonde en tant que journaliste, il y et de dialogue afin de mieux connaître politique serait catastrophique. Com-
travaillent, et on ne parle pas des
a presque un mois, j’étais enthousiaste les préoccupations de chacun et de les ment se fait-il que cela soit tenable à
courriels qui n’obtiennent jamais de
d’écrire sur l’actualité entourant le cam- inclure dans l’élaboration du budget l’U d’O?
réponse de la part de membres de
pus. Cet enthousiasme s’est rapidement de l’U de O. l’exécutif de la FÉUO.
modéré lorsque j’ai constaté la grande Les étudiant.e.s s’attendent à ce que
difficulté d’avoir des réponses de la Après la séance, j’ai envoyé une de- leurs institutions leurs soient rede-
part de l’administration de l’Universi- mande d’entrevue à M. Frémont afin
Pas de conversation, pas de participation vables, qu’elles répondent à leurs
té d’Ottawa (U d’O) et de la Fédération de pouvoir revenir sur certains sujets questions. Sans ceci, à quoi bon par-
étudiante (FÉUO). Cette attitude n’était qui sont restés en surface, faute du Alors qu’on est dans une période ticiper? Il semble plutôt que la réalité
pas fréquente de la part de la plupart grand nombre de sujets amenés et le d’apathie étudiante, que le recteur du- de ce campus « est plus un spectacle »
des intervenant.e.s à qui j’ai parlé dans temps limité pour en discuter durant rant la séance de discussion avait ad- plutôt qu’une vraie conversation,
mes autres expériences en journalisme. la séance. Ma demande a été faite le mis que les taux de satisfaction de la comme l’a souligné la présidente de
5 février et bien que la gestionnaire part des étudiant.e.s de l’U d’O pour- l’Association des Professeurs de l’U
Une discussion se fait au moins à deux des relations avec les médias, Isabelle raient être meilleurs et que la FÉUO a d’O, Susan Spronk, le 5 février, à la
Mailloux-Pulkinghorn, m’ait assuré des difficultés à susciter la participa- suite de la séance de discussion du
Cette réalité m’a frappé dès ma pre- que l’on avait soumis ma demande tion de ses membres, ne serait-il pas recteur de l’Université.
mière affectation à La Rotonde. J’écri- d’entrevue, je suis toujours sans ré- logique d’ouvrir ses communications
vais sur une séance de discussion orga- ponse un mois plus tard. Normale- davantage? Sans conversation, on n’a pas de par-
nisée par le recteur, Jacques Frémont, ment, une discussion se fait au moins Il serait tout aussi bénéfique pour l’U ticipation et non plus de satisfaction.
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actualités la rotonde numéro 19 7
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À partir de quand a-t-on commencé à évoquer la “culture sourde” ? se tenait une réunion du G5 Sahel. Tandis
qu’un commando a tenté de s’introduire
Ça a commencé avec l’utilisation du terme « Sourd » avec la majuscule initiale (S) dont l’existence remonte
dans l’Ambassade de France, une voiture
seulement aux années 1970 et non celle de la minuscule initiale (s) qui existe depuis fort longtemps, qui ne
décrit que le handicap. D’abord, le mot Sourd avec un (S) majuscule est une convention académique adoptée
piégée a explosé devant les bâtiments ci-
par l’Université Gallaudet à Washington D.C. pour désigner ceux qui font partie de la communauté linguis- blés. Tandis que l’attaque a été revendiquée
tique et culturelle des Sourds qui utilisent la langue des signes. le lendemain par le Groupe malien de sou-
tien à l’Islam et aux Musulmans, il semble-
2
rait néanmoins que l’ensemble des assail-
Que regroupe cette culture et quelles sont ses particularités ? lants soient burkinabé. Dans la nuit du 3 au
Comme dans n’importe quelle minorité, l’emphase est fortement mise sur les liens familiaux et sociaux, 4 mars, un second commando aurait tenté
lorsque les membres de la famille sont de la même culture ou de la même communauté. On a fréquemment de forcer un barrage de police alors qu’il se
observé que les Sourds se tiennent souvent en groupe à parler longtemps, par exemple après la fin d’une dirigeait vers le palais présidentiel.
réception ou après que le restaurant se soit vidé. Une raison certaine à cela est que les Sourds se plaisent en
compagnie d’autres personnes sourdes qui partagent le même esprit. Ils sentent qu’ils reçoivent support et
confiance d’autres Sourds qui partagent les mêmes croyances et attitudes culturelles. Niger - L’eau contaminée à la radioactivité
à Arlit C’est ce que dénonce la réalisatrice
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nigérienne Amina Weira au sein de son
Est-elle liée à un sentiment d’appartenance communautaire et comment cela se retran- film La Colère dans le vent présenté à la
scrit-il dans le quotidien d’une personne sourde ? fin février à l’occasion du festival Films
Femmes Afrique de Dakar. Accueillant
Une personne sourde peut avoir un sentiment d’appartenance à la communauté Sourde suite à une ex-
périence négative avec un.e enseignant.e en salle de classe. Il/Elle peut s’identifier aux premiers élèves depuis 40 ans l’une des principales mines
des institutions pour sourds qui, eux aussi, ont été maltraités. Les personnes sourdes peuvent se déplacer d’exploitation d’uranium de la compagnie
d’une région à une autre et s’intégrer à une nouvelle communauté avec une relative facilité. Elles appor- française Areva, la région d’Arlit est forte-
tent avec elles un bagage culturel qui leur permettra d’établir de nouveaux liens communautaires et de ment exposée aux impacts de l’activité mi-
découvrir les problèmes particuliers et les façons de faire de la nouvelle communauté. C’est pourquoi il ex- nière. L’eau empoisonnée, la poussière ra-
iste plusieurs communautés Sourdes différentes au Québec, mais il n’y a qu’une seule culture des Sourds dioactive et la contamination des sols et du
québécois dont les membres vivent dans des communautés différentes. bétail sont lourdes de conséquences pour
les populations qui vivent parfois à moins
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Bien que le gala ait été planifié pour Pour plusieurs une occasion de réseau- par ailleurs abordé le climat sur le cam- talent des artistes noirs du campus, des
18h00, à 18h45, des dizaines d’étu- tage et de remémoration des accom- pus de l’Université d’Ottawa: « Les gens soumissions d’œuvres à une exposition
diant.e.s échangeaient dans la rotonde plissements des Noirs dans l’histoire racialisés et des Premières nations sont d’arts visuels étaient ouvertes jusqu’au
du pavillon Tabaret. Pour la plupart en mondiale, le mois de février représente souvent mis de côté. Il devient difficile et 14 février dernier.
habits de soirée ou traditionnels afri- aussi une occasion de partage des tra- vraiment fatigant de se battre continuel-
cains, ceux-ci attendaient avec fébrilité ditions entre personnes noires. Selon lement pour créer des espaces les uns Le 14 février, une soirée d’humour avait
l’ouverture des portes de la salle de bal Joshua Dadjo, étudiant de quatrième pour les autres », affirme-t-elle. lieu au Café Nostalgica où les comédiens
où un décor feutré les attendait. Des dra- année en biochimie, « comme peuple Aba and Preach étaient mis en valeur.
peaux représentant divers pays étaient marginalisé, [le peuple noir] n’a pas eu Pour Joshua Dadjo, qui est né au Canada
disposés à chaque place autour des pour longtemps la chance de célébrer et a vécu le système d’éducation, « si les Le 6 février, le Centre de ressources
tables rondes. [sa] culture et même aujourd’hui, célé- professeurs n’ont pas de confiance en tes des femmes de l’Université organisait
brer cette culture est vu comme quelque habiletés, ça devient un défi. Quand tu son premier atelier pour l’entretien des
Des œuvres d’art de l’artiste Emmanuel chose à considérer deux fois ». Dadjo af- arrives dans un contexte universitaire et cheveux noirs où les différents trucs et
Akintade, originaire du Nigeria, étaient firme : « Nos étudiants font face chaque que le prof te juge déjà à cause de la cou- astuces étaient partagés avec les partici-
disposées un peu partout dans la salle, jour à des défis qui leurs sont uniques leur de ta peau, ils ont déjà un préjugé pantes. Un deuxième atelier permettra
ses peintures à l’huile représentant pour ». Tel que mentionné par la maître de contre toi. C’est extrêmement important entre autres aux participantes de fabri-
la plupart des femmes. « Mes peintures cérémonie, Vanessa Dorimain, ces dé- qu’on en parle » Lors du panel de dis- quer leurs propres produits naturels.
ne sont pas par rapport à être blanc ou fis se rapprochent de ceux vécus par les cussion, le thème récurrent était celui du Leïla Moumouni-Tchouassi indique
noir, explique Akintade, quand je fais étudiants autochtones des Premières manque de ressources pour les étudiants vouloir un espace où les étudiantes
une peinture, je veux que les gens la nations, Métis et Inuits sur les campus racialisés, que ce soit des formations du s’identifiant en tant que femmes noires
voient et s’imaginent eux-mêmes, qu’ils universitaires. corps professoral et des intervenants pourraient se réunir plus régulièrement.
y trouvent leur propre définition ». Pour dans les divers services fournis par les En découle donc des rencontres hebdo-
ce dernier, qui habite à Montréal, le universités.
Pour créer une discussion quant à ces madaires entre femmes noires au Centre
Mois de l’histoire des Noirs tient sa dé-
enjeux, soit les défis que peuvent ren- de ressources des femmes.
finition en deux mots : « liberté et fierté
contrer les étudiants noirs, la FÉUO or- 28 jours de célébrations
». L’artiste proposait donc de célébrer
ganisait le 28 février un panel de discus- Le Centre universitaire Jock Turcot prê-
en s’unissant pour connecter, toutes
sion sur la réalité des personnes noires Que ce soit au campus ou dans les en- tera également son sous-sol à un Marché
cultures confondues.
en contexte universitaire. Y siégeaient virons, la communauté noire a rayonné noir le 19 mars prochain où des produits
la vice-présidente pour l’équité Leï- tout au long du mois de février. À elle traditionnels africains seront vendus. Le
Enjeux des étudiants noirs sur les la Moumouni-Tchouassi ainsi que des seule, la FÉUO a proposé une dizaine Marché sera ouvert à tous les membres
campus étudiant.e.s des Universités de Toronto, d’activités en partenariat avec le Service de la communauté noire ainsi qu’à ses
Trent, Ryerson et Carleton. Celle-ci a de vie communautaire. Pour souligner le alliés.
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10 A R T S e t C U LT U R E l a lrao troont do en d e l eL umnadri d5i M2 9a rmsa2r0s1 28 0 1 6
Le contrôle après le dérapage dits. Cela se sent dès la première piste, Bien que l’ensemble de l’œuvre soit gé- touches d’humour et de refrains accro-
NONIBEAU GAGNON-THIBEAULT
Petit Jésus, où il met de l’avant son in- niale, on peut être agacé par les paroles cheurs, Lary Kidd nous démontre une
Lary Kidd nous offre quatre nouvelles térêt pour les Beaux-Arts et son mépris de Lary qui sont parfois trop hachées œuvre musicale réussie.
pistes dans Contrôle V2 qui contrastent de l’ignorance sous un son bien rythmé par le rythme dans la chanson Les fleurs
avec l’album original. Alors que l’on de Ruffsound. Dominant, il se permet bleues. Plus on écoute la chanson, plus Récupérer le gangsta rap à l’image
pouvait entendre il y a quelques mois le même de répondre avec habileté aux on est conscient de certaines pauses au
de la jeunesse québécoise
rappeur québécois en plein dérapage se lignes de son comparse Maybe Watson, beau milieu de phrases qui laissent mo-
questionner par rapport à sa place dans qui l’avait visé dans Ça que c’tait. mentanément en suspens. Le génie de Lary Kidd dans Contrôle V2
l’univers du gangsta rap sur des rythmes
réside dans la récupération du gangster
souvent sombres et émotifs, on assiste Le rappeur québécois passe plusieurs Ceux qui ont connu Lary Kidd avec le rap, dont les propos généralement vé-
dorénavant à un renouveau avec V2. commentaires ayant pour but de susciter trio Loud Lary Ajust (LLA) pourront en hiculés, que ce soit l’obsession des fusils
la réflexion de l’auditeur. Critiquant au- apprendre plus sur l’histoire racontée et de la violence ou encore de l’objectifi-
Une œuvre réussie tant la plus vieille génération qui regarde dans Blue Volvo. Dans Ce monde là, Lary cation de la femme, peuvent heurter les
TVA qu’aux jeunes qui s’emballent pour nous raconte avec une certaine nostalgie valeurs de la jeunesse québécoise. Lary
Équilibrées et réfléchies, ses chansons les bitcoins, Lary Kidd accumule des ré- non complaisante sa jeunesse et son pas- Kidd ici réussit à refléter la jeunesse qué-
nous montrent un Lary Kidd en contrôle, férences québécoises très actuelles. On sé rempli d’activités délinquantes. bécoise sans pour autant rendre le style
assumé et même arrogant, qui se ques- pourra notamment être agréablement moins punché. Il réussit notamment à
tionne par rapport à la société québé- surpris de le voir inclure le nom de Sé- Nous offrant un produit recherché qui inclure son féminisme d’une manière à
coise. Le ton n’est plus le même. Il a bastien Bovet, analyste politique pour aborde des thèmes totalement différents plaire à ceux qui aiment la forme du rap.
trouvé sa place dans l’univers du gangs- Radio-Canada, dans une de ses lignes. de ce à quoi on a pu être habitué dans Décidément, son étiquette autoprocla-
ta rap en récupérant des thèmes iné- le rap québécois, qui est parsemé de mée de « jeune homme » lui va bien.
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A R T S e t C U LT U R E la rotonde numéro 19 11
Entrevue
Conférence Toshiko Mori Groupe Black Femmes The Normal Heart Films: Femmes inspirées Martin Matte Fais-moi sourire, rire ou Resonation Vernissage
et inspirantes pleurer
18h30-20h 13h 20h 14h-17h
19h30-21h30
16h 15h30-16h45
Centre de ressources des
Musée des Beaux-Arts Bibliothèque publique Centre national des Arts Bibliothèque publique Cube Gallery
femmes uOttawa The Gladstone Theatre Ottawa Ottawa
Film: Strike A Rock Gestion de carrière en Drum Circle pour les Exposition Journée Célébration Sahra Psychedelic Underground
art femmes internationale de la Bright Nights Film Festival
18h-20h30 femme 23h-2h30 20h-minuit
19h-21h30 17h30 16h-17h30
Théâtre Mayfair 20h30-23h City at Night Prvt Prprty
Centrepointe Theatre Cour des Arts
Centre culturel Wabano Rooster’s Coffeehouse
Légende:
festivals cinéma théatre arts visuels musique ateliers divers
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basket-ball féminin
La dernière ligne droite pour atteindre la finale
SLIM ESSID
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Sports et Bien-être la rotonde numéro 19 13
ENTRevue
neur était dans votre ligne de mire ? mée meilleure joueuse olympique, qui a
joué à McGill et à Ottawa pendant cinq
faire du hockey dès mon plus jeune âge. l’équipe nationale ça a été un excellent
quatre de gagnées, avec cinq matchs teurs. Je ne suis pas le genre d’entraî- nous a définitivement coûté des points,
LR : Comment votre expérience vous mais cela fait partie de l’apprentissage.
contre chaque équipe. On a gagné quatre neur à chercher des excuses, mais c’est
sert-elle aujourd’hui à la tête des parties sur cinq contre l’Université Car- vrai que c’était assez compliqué pour Cependant, nous restons confiants pour
Gee-Gees? leton, trois sur cinq contre l’Universi- nous cette saison; c’est pour ça que je la suite et nous sommes contents des
té Concordia. Je trouve que pour une suis d’autant plus fier de mes joueuses. joueuses que l’on a!
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14 A RSTpSo re t sC eU tLTBUi Re En - ê t r e l al laraortroootntodonenddee l eL umnadri ld5ui nM2d9ai rm5saM2ra0sr1 2s8 021061 8
Chronique
le mardi 29 mars
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Rédacteur en chef Correctrice
Mathieu Tovar-Poitras Mélanie Chénier
redaction@larotonde.ca texte@larotonde.ca
sports Vidéaste
Slim Essid Shérazade Faynel
sports@larotonde.ca videaste@larotonde.ca
journalistes WEB
Maria Princene Dagba
web@larotonde.ca
Charley Dutil
informations@larotonde.ca
Photographe
Nonibeault Gagnon-Thibeault Samah Zkiou
reportage@larotonde.ca photographe@larotonde.ca
(21 mars au 20 avril) (22 décembre au 20 janvier) (21 juin au 22 juillet) (23 septembre au 22 octobre)
Vous êtes au meilleur de vous-même Vous flottez dans un monde invisible. Faites attention à la pluie, surtout à celle Vous vous sentez comme quelqu’un qui
quand vous êtes au gym, les autres utili- Mine de rien, l’éveil pourrait être diffi- du dimanche… Elle pourrait se changer recommence à marcher après une longue
sateurs du gym sont jaloux que vous leur cile. en glace sur les trottoirs durant la nuit... blessure, vous sentez une nouvelle éner-
montriez vos muscles à chaque opportu- gie jusqu’à ce que vous arriviez en retard
nité. à l’arrêt de bus et que vous ratiez votre
cours de photographie de 8h30.
(21 janvier au 18 février) (21 avril au 20 mai) (23 juillet au 23 août) (23 octobre au 20 novembre)
Vous êtes épuisés, arrêtez de vous en Votre rasoir se cassera cette semaine, Vous aurez une mauvaise aventure cette Les autres animaux sont jaloux de votre
faire. Votre MPC va descendre même mais vous n’avez pas les moyens de vous semaine et un de vos t-shirts préférés se habileté à piquer au bon moment. Faites
si vous ne faites pas de siestes. Prenez en acheter un nouveau, donc prépa- fera déchirer par accident. attention, cette semaine vous serez infi-
congé cet après-midi et allez ronfler dans rez-vous à vous faire pousser une barbe. niment seul et serez donc une cible facile.
votre lit tout douillet.
(19 février au 20 mars) (21 mai au 20 juin) (24 août au 22 septembre) (21 novembre au 21 décembre)
Les étoiles du mois de février vous ont Vous avez beaucoup de blagues en Profitez de la belle température pour Vous êtes célibataire et fier/fière de
amené du bonheur, mais le mois de fé- banque ces jours-ci, mais faites atten- porter un t-shirt pour aller dehors, n’ou- l’être, cependant il flotte dans l’air une
vrier est passé, profitez d’un mois plu- tion, vous êtes vite sur la gâchette et vous bliez pas que bientôt vous serez aux odeur de printemps… ce n’est qu’une
tôt relax ce mois-ci puisqu’avril sera un pourriez allez un peu trop loin. prises avec des milliers de moustiques… question de temps avant que vous ne
mois très stressant. tsé le zika. vous trouviez un.e partenaire.
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Étudiants en relations publiques et comm
communication
f rence
fé
vous présentent la conférence
Le monde de d
des
communications
à l'ère des
Pavillon Tabaret,
Salle Hugette-
plateformes
Labelle, local 112 numériques.
14 mars 2018 GRATUIT!
9h à 14h30 Diner servi
Photos
uocmn.ca LinkedIn
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